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Tous les conseils en Immobilier

Perspectives pour les programmes neufs en région PACA

Perspectives pour les programmes neufs en région PACA

I.B. :Quelles sont les perspectives d’évolution du marché et comment vous positionnez-vous ?

L’effet levier du prêt à 0% sur la mensualité

L’effet levier du prêt à 0% sur la mensualité

Avec un financement intégrant un prêt à 0 %, le coût de votre crédit sera forcément moins élevé, le prêt étant consenti sans intérêts. Et ce, même si vous n’obtenez que 15 000 ou 20 000 euros. Démonstration : si vous empruntez 180 000 euros sur 20 ans sans prêt à 0 %, votre mensualité s’établira à 1 207 euros et le coût de votre crédit, à 109 895 euros. En revanche, si vous obtenez un prêt à 0 % de 25 000 euros, votre mensualité s’établira à 1 143 euros, soit 64 euros d’écart, ce qui est loin d’être insignifiant, surtout si votre capacité d’endettement est limitée. Rappelons que les banques exigent un taux d’endettement souvent inférieur à 33 %, voire 30 %. D’où l’utilité de ce type de prêt. L’opération s’avère encore plus intéressante si vous bénéficiez d’un prêt à 0 % avec différé de remboursement. Une enquête de l’Anil démontre que, dans ce cas, le pouvoir d’achat de l’acquéreur augmente. “Pour une mensualité de 700 euros, on peut emprunter 113 900 euros à 5 % sur 25 ans, alors que l’on peut emprunter 123 600 euros avec un prêt à 0 % de 21 300 euros et un différé d’amortissement de 50 % auquel s’ajoute un prêt principal lissé de 102 100 euros à 5 % sur 25 ans, constate Jean Bosvieux, auteur de l’enquête en question. Le fait de bénéficier du prêt à 0 % équivaut donc, dans cet exemple, à une subvention de 8 200 euros”. Un plus dont il serait dommage de se priver, à l’heure où les taux de crédit ne cessent de grimper. Encore faut-il pouvoir bénéficier de l’aide qui reste soumise à conditions, comme toute aide de l’État.

Le dedans rejoint le dehors

Le dedans rejoint le dehors

Aujourd’hui, rester dans sa cuisine n’est plus une corvée, mais un choix. Jadis reléguée à l’autre du logement ou confinée au simple cahier des charges de permettre à la maîtresse de maison de préparer de bons repas, la cuisine est aujourd’hui devenue une vraie pièce à vivre, un lieu de rencontre pour toute la famille. Elle s’est réellement ouverte, et la version “américaine” connaît un succès non démenti et permet, lorsque l’on reçoit, de profiter de la conversation avec ses invités tout en cuisinant, et inversement. On s’y réunit en famille ou entre amis, et l’on y soigne les moindres détails, comme les ustensiles de préparation, de préférence design pour pouvoir être exhibés avec fierté. Profiter du même confort à l’intérieur qu’à l’extérieur, c’est l’intérêt des nouveaux balcons, terrasses et jardins. En effet, l’heure est au décloisonnement entre le “dedans” et le “dehors”. Avec en ligne de mire, l’envie d’optimiser chaque m2 disponible, l’extérieur devient pièce à vivre. Véritable prolongement de l’habitat, le jardin a le mérite de pouvoir évoluer au fil de la journée. Equipé d’un barbecue, il se transforme en grande cuisine. Agrémenté de meubles de jardin, il devient salon. Canapés, poufs, banquettes, luminaires... il inspire les designers, qui proposent des solutions d’aménagement toujours plus raffinées. À tel point que depuis quelques années, ils signent des collections qui trouvent leur place aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de la maison. Le traditionnel trio table-fauteuils-transats en plastique a pris un sérieux coup de vieux. Aujourd’hui, les matériaux rivalisent d’inventivité, et les objets sont à la fois beaux à regarder, légers et résistants aux intempéries.

L’AVIS DE PIERRE-CHRISTOPHE BAGUET Député-maire de Boulogne-Billancourt

L’AVIS DE PIERRE-CHRISTOPHE BAGUET Député-maire de Boulogne-Billancourt

Indicateur Bertrand : Où en est l’opération Seguin-Rives de Seine ?

Un logement neuf aux Monts d’Or toujours précieux

Un logement neuf aux Monts d’Or toujours précieux

Point de grands aménagements dans les Monts d’Or. Ici, l’architecte en chef restera la nature, et les oeuvres maîtresses, les landes et les forêts. Alors que cet univers d’ouate verte ne regorge pas habituellement de programmes neufs, l’offre se révèle assez riche en projets aux prestations élevées (Cogedim à Saint-Didier, Bouygues Immobilier à Collonges, la ville où officie le célèbre chef Paul Bocuse). Sans être cousu d’or, un budget moyen peut acquérir un 2-pièces à 170 000 € des Nouveaux Constructeurs, également à Collonges, ou de Prestiige à Saint-Cyr. “Les appartements sont rares, et recherchés par des jeunes couples en raison de leur prix, et par des ménages aisés, las de vivre dans une maison”, remarque Luc Mettetal, gérant de Primmo, l’agence immobilière commercialisant le programme de Prestiige. Ce projet comporte des villas sur le toit à 545 000 € et des espaces extérieurs pour profiter du paysage. Le marché des Monts d’Or se montre surtout actif dans la maison ancienne, avec un premier prix de 450 000 € et une moyenne de 700 000 € pour 200 m2 habitables, 1 500 m2 de terrain et éventuellement une piscine. “La clientèle se compose de Lyonnais et de cadres mutés, appréciant les écoles de qualité du secteur et le lycée Jean Perrin du 9e.En surplomb, une vaste zone verte appartient au camp militaire de Polémieux, le plus grand centre de radars de France. C’est un gage de préservation du paysage naturel”, n’omet pas de rappeler l’agent immobilier.

De belles opportunités à Deauville

De belles opportunités à Deauville

Dans le Calvados, Deauville l’emporte en termes d’offres de commercialisation, qui sont plutôt haut de gamme sur un marché traditionnellement sélectif et de qualité. L’architecture multiplie les clins d’oeil aux références locales, en s’inspirant notamment des maisons à colombages et du style anglo-normand qui a marqué la station balnéaire, construite à la fin du 19e siècle sur le modèle des maisons de villégiature d’outre-Manche. Les livraisons se succèdent d’ici à 2010. Avec des promoteurs nationaux ou locaux, c’est avant tout le site qui peut faire pencher pour l’un ou l’autre des programmes. Les uns jouent la proximité de l’hippodrome et du golf. Les environs de Deauville en comptent quatre, limitrophes à Saint-Arnoult et Tourgéville ainsi qu’à Saint-Gatien-des-Bois, à 8 km, et Saint-Julien-sur-Calonne (15 km). Les greens de Saint-Arnoult sont ainsi à deux pas de la résidence du Prieuré (le Prieuré), 40 appartements du studio au 4-pièces et des Terrasses du Mont-Canisy (Vinci Immobilier), un programme d’exception dans le parc du Golf de Bel-Abri dominant en outre la vallée, avec la mer pour toile de fond. Sefri-Cime investit aussi les flancs du mont avec les Hameaux du Coteau (Deauville Atmosphères). En plus d’une vingtaine d’appartements encore disponibles, on y trouve quelques maisons à partir de 461 800 euros. L’autre paysage à s’offrir aujourd’hui à Deauville est ponctué de vagues et de voiliers. Tout près du bassin de Morny, de la gare et des commerces de la rue Désiré Le Hoc, Icade s’apprête ainsi à livrer Sur le Quai, avec une surface exceptionnelle de 5-pièces sur 156 m2 en duplex encore disponible. Face à la mer, c’est Norev Développement qui a déniché un terrain. Il y propose des studios à partir de 115 000 euros et décline jusqu’au 5-pièces entre 848 000 et 891 000 euros (Blue Ray). De l’autre côté du pont, sur le versant sudouest de la Touques et près d’un manoir de Trouville-sur-Mer, Vinci Immobilier achève la commercialisation de la Demeure d’Elisa avec quelques 2 et 3-pièces. En longeant la rivière, on arrive dans la commune qui lui doit son nom. À Touques, on découvre les Manoirs du Haut-Bois (Nexity-George V), domaine de 34 maisons de 2 à 4 chambres. Une nouvelle tranche vient d’être lancée avec de beaux espaces de vie, à partir de 210 000 euros. Sur les hauteurs de la ville, avec des perspectives sur la vallée et les haras d’un côté, et sur Deauville, Trouville et la mer de l’autre, Bouygues- Immobilier lance le Parc Bel-Horizon composé de 2 et 3-pièces, ainsi que de villas. Rendez-vous maintenant un peu plus loin, à Cabourg. La charmante station, si chère à Marcel Proust, accueille une nouvelle résidence de Nexity George V. Sur les Belles Rives, livrable en fin d’année, le promoteur offre encore quelques 3 et 4-pièces en bordure de rivière, entre le golf et le centre rejoignable via une piste cyclable. À michemin entre Deauville et Cabourg, on peut aussi se rendre à Houlgate pour découvrir le Parc Vert Marine, signé Bouygues Immobilier, une autre opportunité à proximité d’un golf avec cette fois des tennis privés en sus. Côté littoral, on trouve enfin de jolis emplacements à Courseulles-sur-Mer avec la Résidence Thalassa (une copromotion Nexity George V et HF Partners, jusqu’au 3-pièces) et à Lion-sur-Mer, où Fiderim a lancé les travaux de Lion de Nacre, situé à 100 mètres de la plage accessible par une rue semi-piétonne. Légèrement dans les terres, à moins de trois kilomètres de Honfleur et près du Pont de Normandie qui permet de gagner rapidement Le Havre, Tibere Investissements affiche notamment des 2-pièces à partir de 116 000 euros, et des 4-pièces dès 256 000 euros.

Franck Hammoutène

Franck Hammoutène

Auteur primé de l’extension de l’hôtel de ville de Marseille, l’architecte Franck Hammoutène ne craint pas de s’attaquer à l’exercice difficile de l’habitat. Une personnalité éclectique.

Développement durable - Quelle approche ?

Développement durable - Quelle approche ?

“Sefri-Cime a toujours eu, depuis sa création, une approche très qualitative sur tous ses projets. Nous considérons donc les nouvelles exigences environnementales avec beaucoup de sensibilité, mais nous sommes très attentifs à y apporter une réponse globale, consolidée et arbitrée entre toutes les attentes du marché. Cette question recouvre tout à la fois : des aspects techniques au regard, notamment, de la réglementation thermique dont la définition ne nous semble pas toujours maîtrisée en ce qui concerne la filière du bâtiment, des concepteurs aux constructeurs, des considérations esthétiques et sociétales qui nous conduisent à attacher une grande importance au cadre de vie familial, à l’architecture ainsi qu’à la qualité de l’environnement paysager de nos différentes réalisations. Notre approche consiste ainsi à concevoir des logements qui puissent répondre à toutes les attentes d’un marché si légitimement exigeant.”

Salon - Maison 100 % écolo

Salon - Maison 100 % écolo

Pour connaître toutes les dernières tendances de l’habitat écolo, cap sur le salon Bâtir écologique, à Paris. Ce rendezvous s’est rapidement imposé, pour la sélection pointue de ses exposants et ses conférences top niveau. Dès lors, pas étonnant que les organisateurs veillent à conserver le faible impact environnemental du salon par le choix d’une logistique sobre (éclairage basse consommation, restauration biologique, limitation des articles jetables...). De quoi donner des idées aux visiteurs ! Salon Bâtir écologique, du 28 au 30 novembre. Grande halle de la Villette, 211, avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris Tél. : 01 45 55 71 50 www.batirecologique.com

Miser sur le médical et les résidences d’affaires

Miser sur le médical et les résidences d’affaires

Quant à identifier les secteurs les plus opportuns en ce moment et pour les années à venir, les spécialistes penchent plutôt pour le médical, ainsi que les résidences d’affaires. “Les résidences pour personnes âgées constituent une opportunité de marché énorme. Il manque à ce jour à peu près 175 résidences médicalisées par an pendant trente ans pour combler les besoins. En passant par un bon opérateur, le propriétaire s’assure une bonne rentabilité”, s’enthousiasme Évelyne Desserey, gérante de Xenyt, société de conseil en gestion de patrimoine. “Les résidences d’affaires placées en coeur de ville, les résidences médicalisées accompagnant le vieillissement de la population et certaines résidences de tourisme restent des valeurs porteuses, renchérit Michèle Lambert. Pour les résidences étudiantes, je suis un peu moins convaincue : de nombreux étudiants préfèrent la colocation.” Même si la résidence avec services se prête plutôt à l’investissement de long terme, afin de bénéficier des avantages fiscaux et de se constituer un complément de revenus, on peut se trouver dans l’obligation de revendre son bien. “En cas de revente, il faut trouver un nouvel acquéreur qui a les mêmes objectifs de rentabilité et conservera les mêmes avantages, notamment pour la TVA et la fiscalité, et, dans la mesure du possible, ne pas retransmettre le bien dans l’immobilier traditionnel”, conseille Sébastien le Goascoz. La situation peut toutefois se présenter : si un gestionnaire est défaillant et que l’immeuble n’intéresse pas une nouvelle société, il faut se poser la question de savoir si l’appartement pourra être reloué dans le circuit traditionnel. “Même si les résidences avec services sont des placements plutôt sécurisés, cela reste de l’immobilier, donc les mêmes règles de base s’appliquent, rappelle Sébastien le Goascoz. Ainsi, l’appartement en résidence d’affaires, en plein coeur de Paris,pourra facilement se relouer, tandis que pour le lot situé à 50 kilomètres d’un centre-ville, dans une zone d’activités, cela semble plus compliqué.”Dans les résidences avec services, ce sont la qualité et l’emplacement qui continuent à faire la différence.

Cergy-Pontoise, la populaire

Cergy-Pontoise, la populaire

L’agglomération de Cergy-Pontoise pourrait être comparée à une salade aux champignons avec beaucoup de verdure. Les champignons, ce sont 12 villes poussées très vite pour absorber l’essor démographique francilien, construisant 3 000 logements par an durant les dix premières années de la vie de l’agglomération. Côté verdure, des pelouses courent sur le quart du territoire, les forêts et le Vexin sont à proximité, une base nautique de 250 hectares longe l’Oise. Populaire, Cergy- Pontoise accueille 42 % de logements sociaux, mais aussi 20 000 étudiants et 90 000 actifs. La SNCF, le RER A sillonnant Cergy et le RER C arrivant à Pontoise, desservent le territoire. La Défense est à une demi-heure, mais la fréquence des rames est à améliorer. Cette “ville nouvelle”, née d’une utopie en 1969, a été rendue à la vie civile en 2003. Depuis lors, la communauté d’agglomération gère son destin. L’ancien : baisse des prix. Entre février et mai, selon les notaires, les prix des appartements anciens ont baissé (de - 0,2 % à - 1,4 %) dans tous les départements franciliens, à l’exception de Paris. Certains secteurs de Cergy- Pontoise ont reculé plus franchement sur un an, de mars à mars : - 3,3 % à Cergy, - 11,6 % à Pontoise. “L’acquéreur a repris la main en proposant son offre au vendeur”, justifie Alain Desseroy, responsable de l’agence Guy Hoquet de Pontoise. Les tarifs ressortent entre 2 300 et 2 600 euros/m2, bien inférieurs à la moyenne régionale de 4 600 euros. Et la hiérarchie entre les catégories de biens est forte : “Même à Cergy Saint- Christophe,ne vous fiez pas aux apparences, explique l’agent immobilier. Des studios tout simples côtoient de très beaux duplex donnant sur les étangs de Cergy.” À Pontoise, le centre-ville, assez petit, est très prisé, surtout par les jeunes cadres moyens. Un pavillon de moins de 100 m2 change de mains entre 280 000 et 320 000 euros et une belle meulière pour 330 000 euros, mais elle dépasse rarement 80m2 avec des salons de peu d’ampleur, sans rapport avec le goût actuel. D’autres quartiers sont recherchés, comme le bourg ancien Cergy-Village, les bords de l’Oise et les Hauts-de-Cergy. En revanche, un 100 m2 de Marcouville, à Pontoise, ne coûte guère plus de 150 000 euros en raison de sa proximité avec des HLM.

Des chambres modulables

Des chambres modulables

Ne faire que dormir dans une chambre d’ado ? C’est complètement dépassé ! Aujourd’hui, les jeunes aménagent cet espace comme un mini studio, au coeur même de la maison, qu’ils équipent dernier cri : télé, chaîne hi-fi, console de jeux, ordinateur... Si on y dort toujours, la chambre est aussi devenue un espace de travail, de détente, de récréation et de convivialité, où les enfants peuvent recevoir leur amis. Sans oublier les “grands enfants”, qui sont de plus en plus nombreux à quitter de plus en plus tard le nid familial. Ce vrai phénomène de société, popularisé par le film Tanguy, s’explique non seulement par l’allongement des études, mais aussi par les difficultés pour trouver un emploi et un logement à un prix acceptable. Le neuf a intégré cette nouvelle donne. Ainsi, on voit de plus en plus des chambres donnant directement sur l’entrée. Cela offre à ces jeunes adultes une certaines autonomie, en les tenant un peu à l’écart du reste du logement, comme s’ils avaient leur propre studio. La salle de bains, elle aussi, fortement évolué. Hier exclusivement vouée à l’hygiène, elle est aujourd’hui devenue une pièce qu’on n’hésite plus à montrer, véritable temple du bien-être. Cet espace, jusqu’ici délaissé, a débridé la créativité des designers. Oublié, le (désuet) lavabo sur colonne ; place aux nouveaux plans vasques, audacieux et design. Avec une multitude de formes et des matériaux novateurs, la baignoire s’expose également. On installe un fauteuil, voire un petit canapé ou une chaise longue, on privilégie les lumières tamisées… chromathérapie, cabines d’hydromassage, jacuzzi, et même vélo d’appartement font de la salle de bains un véritable “salon de bains”, où l’on est invité à se délasser et, pourquoi pas, à faire un peu de sport. Avec pour seul objectif, la recherche du plaisir. Pourtant, cette pièce reste majoritairement de petite taille, environ 4 m2. Les designers doivent donc sans arrêt rechercher des solutions pour optimiser l’aménagement de cet espace. Plus de lumière, plus de confort, plus de détente et d’énergie : joli programme !

Les aides des collectivités

Les aides des collectivités

Pour accompagner les acquéreurs dans leur démarche d’accession, les villes et les départements ont donc mis en place des aides ou des subventions à destination de leurs administrés. Des aides qui peuvent prendre la forme d’un prêt à 0 % local (à Paris, Arras, Annecy, Nantes Métropole, Orléans, Toulouse, Caen, Amiens, La Rochelle, dans les Hauts-de-Seine…), d’un prêt à faible taux (à Châteauroux, par exemple), d’une subvention (à Vannes, Dunkerque, Marseille…) ou d’un soutien à la construction de programmes (à Montpellier, Angers…). Quant au montant de l’aide, celui-ci est très variable selon les secteurs. L’aide peut doubler le prêt à 0 % de l’État ou bien se contenter d’un montant beaucoup plus modeste. Attention : il faut savoir que les communes et les départements soumettent leurs aides et subventions à des conditions plus draconiennes encore que celles nécessaires à l’obtention du prêt à 0 % classique ou du prêt à 0 % majoré. Les collectivités privilégient, en effet, les primo-accédants à revenus souvent très modestes. Quoi qu’il en soit, à vous de vous renseigner sur le dispositif de prêt éventuellement mis en place par votre ville ou votre département. En consultant le site Internet de l’Anil (www.anil.org) ou en vous renseignant auprès de l’Adil de votre département (l’Anil fournit les coordonnées des antennes Adil), vous pouvez également compléter votre information sur toutes les aides disponibles et qui permettent d’accéder à un prêt à 0 % majoré.

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À l’heure où les banques resserrent les boulons du crédit immobilier et où les taux grimpent à vive allure, vous avez plus que jamais intérêt à profiter des aides de l’État. Le prêt à 0% en fait partie.