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L’emprunteur type du 78

L’emprunteur type du 78

Dans le cadre de son étude parue le 13 octobre 2014, intitulée « le profil type des emprunteurs », Bourse des Crédits, spécialisée dans le courtage immobilier, se penche sur la région Île-de-France.

Jean-Pierre Caffet - Adjoint au Maire de Paris, chargé de l'Urbanisme

Jean-Pierre Caffet - Adjoint au Maire de Paris, chargé de l'Urbanisme

Indicateur Bertrand : Le projet de réaménagement de la couronne parisienne, entre le boulevard des maréchaux et le périphérique, doit s'étendre sur plusieurs années. Onze quartiers aux portes de Paris sont concernés par cette intervention sociale et urbaine. Quelle est l'idée force de ce Grand Projet de renouvellement urbain (GPRU) ? Jean-Pierre Caffet : Il s'agit de faire en sorte que 200 000 Parisiens vivent mieux dans ces quartiers exposés à beaucoup de nuisances et en même temps, j'en ai la conviction, c'est probablement là qu'une partie de l'avenir de Paris va se jouer. Cela traduit d'abord une véritable relance en profondeur de la politique d'aménagement de la capitale. Cette relance est importante puisqu'elle concerne près de 10 % du territoire municipal. Elle nécessite également une importante politique foncière qui a fortement mobilisé les moyens de la Ville. Elle passe aussi par le dialogue. Il s'agissait de faire un urbanisme partagé avec les habitants, sans oublier naturellement qu'il nous revenait toujours, en tant qu'élus, de prendre la décision finale sur le contenu des aménagements proposés. Embellir l'ensemble des espaces publics, renforcer les transports en commun, traiter les espaces de liaisons, aménager de part et d'autre les territoires riverains avec des programmes diversifiés et de grande qualité, voila ce qui nous a guidé. D'où l'idée de définir des périmètres plus ou moins importants. Celui de Paris Nord-Est représente 200 hectares avec des politiques transversales de l'urbanisme, c'est-à-dire de la construction, donc de l'activité, du logement, des équipements publics, parfois des espaces verts, et faire revenir de l'emploi car ce sont des quartiers exposés au chômage. I.B. : Est-ce une façon également d'établir de nouveaux rapports avec la proche banlieue ? J-P. C. : Cette couronne de Paris entre les maréchaux et le périphérique est le terrain de jonction privilégié entre Paris intra muros et sa banlieue. La dynamique de l'agglomération est particulièrement importante pour nous. Ce vaste projet urbain est certainement une des clés de la réussite du Paris de demain. L'objectif est d'assurer une offre cohérente et convenable afin de répondre aux besoins très forts qui s'expriment en matière de vie quotidienne, d'emploi et de logement. En matière de logements il y a plus d'un million de mètres carrés qui sont, à l'heure actuelle, prévus dans ces opérations. I.B. :Avec Bertrand Delanoë, vous avez rencontré récemment le Premier ministre Dominique de Villepin à Matignon concernant le projet d'aménagement des Batignolles. Comment avance le dossier ? J-P. C. : A Matignon, la discussion a porté sur les grands principes d'aménagements. Parmi les points positifs : le projet de l'architecte François Grether initialement conçu pour le village Olympique ainsi que le parc de 10 hectares seront maintenus. C'est-à-dire que le parti global, l'organisation, la forme urbaine qu'a dessinée François Grether, avec un quartier de logements ouverts sur le Parc et entourant ou traversant un grand Parc partant de la rue Cardinet et qui remonte sur le Boulevard Berthier, a été validé. La protection de ces logements par la construction d'immeubles de bureaux et d'activités sur la dalle de la voie ferrée est également entérinée. Le nombre de logements à quelques dizaines près est validé aussi. Ce sera de l'ordre de 3 500 logements. Et il n'y a pas d'obstacle que sur ces 3 500 logements, 50 % soient des logements sociaux (NDLR : lors d'une première rencontre en septembre dernier, le Premier Ministre s'était dit "prêt à céder à la Ville de Paris la totalité des terrains des Batignolles à condition qu'elle s'engage à y réaliser dans un délai rapide 2 000 logements intermédiaires et 1 000 logements étudiants"). Il y a eu un accord entre le gouvernement et la Ville. Maintenant il va falloir mettre tout ceci en oeuvre et rentrer dans le vif du sujet, c'est-à-dire la négociation foncière.

Les tendances du cru 2006

Les tendances du cru 2006

Au total, 26 projets ont été primés en 2006, reflétant les enjeux et les préoccupations des constructeurs. Nature, Primera, Patrimonia, Senior et Technica : cinq catégories pour exprimer les enjeux et la demande du marché de la maison individuelle. La catégorie Nature comprend 2 variantes, électricité et gaz, visant à économiser les ressources non renouvelables et, pour la seconde, dédiée aux maisons bioclimatiques. Dans la catégorie Technica, deux variantes mettent l'accent, l'une sur la performance des techniques de construction, l'autre sur les innovations, tournées vers l'objectif commun de répondre aux nouvelles contraintes de réglementation et d'économie d'énergie.Les autres catégories, comme Primera avec des maisons ne dépassant pas les 100 000 e, ou Senior, présentant des modèles adaptés aux personnes âgées, illustrent la prise en compte de l'évolution des besoins des acquéreurs.

Avoir l'esprit pionnier ... en immobilier!

Avoir l'esprit pionnier ... en immobilier!

Devenir propriétaire d’un appartement ancien en Ile-de-France demande de débourser en moyenne 6 430 euros/m2 à Paris, et pratiquement moitié moins en périphérie (3 850 euros/m2 en banlieue proche, 3 010 euros/ m2 en grande couronne). Un bien neuf revient un peu plus cher, car il bénéficie d’une mise aux normes actuelles et de parkings, et vous est livré en bon état, accompagné des garanties de la vente sur plans. Dans un cas comme dans l’autre, avec un budget de 200 000 euros, le problème est cornélien : faut-il privilégier la surface ou la proximité avec la capitale? Encore faut-il relativiser. À Paris, par exemple, des biens de même catégorie se négocient avec un écart de 149 %, entre porte de la Chapelle et Saint-Germaindes- Prés. Une distinction qu’appuie François Bonnet, président de Nexity Apollonia et directeur général adjoint logement:

Zoom sur les prix immobiliers en Ile-de-France

Zoom sur les prix immobiliers en Ile-de-France

La Fédération des promoteurs immobiliers observe une hausse annuelle des prix de 2 % en Île-de-France pour une moyenne de 4 350 €/ m2, hors parking.

Diversité de l'offre de logements

Diversité de l'offre de logements

I. B. : L'offre de logements est-elle suffisamment diversifiée ?

Terrain en lotissement

Terrain en lotissement

Une agence m'a présenté un terrain dans un lotissement. Le négociateur me demande de me décider rapidement alors que j'ai lu que la vente était interdite avant achèvement des travaux d'aménagement. Existe-t-il des exceptions à l'interdiction ? (Laurence B., Paray-Vieille Poste, 91)

Une foule de projets

Une foule de projets

Pas question de se reposer sur ses lauriers ! La démarche HQE® est amenée à sans cesse évoluer. Ainsi, l’association s’est déjà investie dans la mise en oeuvre du Grenelle de l’environnement. Concrètement, la cible énergétique des référentiels de certification NF ouvrages-démarche HQE® s’appuie désormais directement sur les labels de performance énergétique. Considérant le label HPE (Haute performance énergétique) comme un minimum, l’association recommande de viser l’obtention du label THPE (très haute performance énergétique) ou, mieux encore, du label BBC (bâtiment basse consommation) en attendant un label bâtiment à énergie positive. Progressivement, les indicateurs environnementaux proposés par la norme NFP 01 020 (consommation de ressources énergétiques non renouvelables, changement climatique, pollution de l’eau, quantité de déchets produits…) seront calculés et affichés sur les certificats. Autre projet pour 2008 : l’apparition de nouveaux référentiels comme “commerce”, “hôtellerie”, “établissements de santé” et “bâtiments à vocation logistique”. Du côté des maisons individuelles, jusqu’à présent seules celles construites par des promoteurs pouvaient être certifiées. Désormais, ce sera aussi le cas pour les maisons imaginées par les architectes et construites par des artisans. Dernier projet d’envergure, l’Association HQE a lancé en novembre 2006 l’expérimentation HQE-Aménagement, à l’échelle des lotissements. L’objectif est plutôt ambitieux : maîtriser les impacts environnementaux des opérations d’aménagement, accroître leur qualité globale, ainsi que celle des futurs constructions, dans une perspective de développement durable. Jusqu’en 2009, cette méthode sera expérimentée sur sept lotissements et trois Zac, afin d’être validée, ajustée et améliorée.

Conseil du mois

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Vous envisagez un investissement locatif. Mais êtes-vous bien informé des nouvelles conditions pour bénéficier d'une fiscalité avantageuse ? Voici une page dédiée à ce sujet pour vous y retrouver !

Nice, 10ème au classement 2012 du meilleur investissement immobilier neuf

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Le soleil, la mer, et pourquoi pas un pied-à-terre ? A Nice, les prix de l'immobilier sont élevés mais la demande locative est forte.

Un label pour les rives de Seine (92)

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L’écoquartier île Seguin-Rives de Seine, à Boulogne- Billancourt, a reçu le trophée national du label ÉcoQuartier.

Les ambitions de Dijon

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Théâtre d'une euphorie immobilière qui s'estompe, la cité des Ducs est une valeur sûre qui attire de nouveaux acquéreurs. Tour d'horizon des projets et des opportunités.

3 QUESTIONS À Grégoire Carneiro, Maire de Castelginest

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"Nous sommes les pionniers locaux du pass-foncier"

Immobilier neuf : comment se porte le marché lyonnais ?

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Avec des ventes au top, les prix dans la capitale des Gaules progressent fortement pour l’année 2017. Une situation qui n’est pas prête de s’inverser.

 En résumé, la Vefa c'est

En résumé, la Vefa c'est

Un contrat de réservation : vous versez alors un dépôt de garantie. Son montant dépend du délai prévu pour la signature du contrat de vente définitif (5 % du prix prévisionnel de vente si le délai est d'un an ; 2 % si le délai se situe entre un et deux ans ; aucun dépôt si le délai dépasse deux ans). Il est restitué si la vente ne se réalise pas par la faute du vendeur ou si le prix de vente final excède de 5 % le prix prévisionnel, ou encore si les équipements prévus ne sont pas réalisés ou que le logement perd 10 % de sa valeur. Attention : si vous refusez de signer l'acte définitif sans l'un des motifs prévus par le contrat de vente, vous le perdez.