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Tous les conseils en Immobilier

L’Hexagone a ses faveurs

L’Hexagone a ses faveurs

Le hasard frappa à nouveau à la porte de Franck Hammoutène lorsque celui-ci avait une trentaine d’années. Son ancien directeur d’études de l’ENPC lui offrit l’opportunité de réaliser l’immeuble de bureaux Atya, dans le 15e arrondissement de Paris. L’ouvrage a été salué par une salve de prix, dont celui de la Première oeuvre, si bien que l’atelier Franck Hammoutène a décollé. Depuis lors, l’agence a réalisé près de 250 projets dessinés et une cinquantaine construits, comme l’Atelier Renault sur les Champs-Elysées, l’église Notre-Dame de Pentecôte à La Défense, le Musée de la musique à Paris, l’université François- Rabelais à Tours, l’Institut européen de chimie et de biologie à Pessac… Puis, l’Équerre d’argent a couronné son extension de l’hôtel de ville de Marseille. Aujourd’hui, l’atelier se diversifie dans l’architecture, l’urbanisme et le design, notamment sur la réhabilitation de l’entrepôt parisien des Galeries Lafayette en bureaux, une tour à venir à La Défense ou une gare maritime à Aubervilliers. Hormis pour un immeuble de très grande hauteur à Beyrouth et un restaurant en Floride, l’Hexagone a eu ses faveurs.

Panneaux photovoltaïques

Panneaux photovoltaïques

Ce type de maisons se caractérise également par la qualité de la mise en oeuvre des matériaux isolants, avec calcul de la perméabilité à l’air et épaisseur de l’isolation. Des constructions qui ouvrent la voie à de nombreuses innovations, présentées comme autant d’options que le client peut choisir en fonction du niveau de performance qu’il souhaite atteindre : chaudière à condensation combinée au chauffe-eau solaire ou pompe à chaleur avec ballon d’eau chaude thermodynamique pour assurer un chauffage performant, moins gourmand en énergies fossiles et limitant les rejets de CO2, mais également citerne récupératrice d’eau pluviale, ventilation double flux ou rafraîchissement d’été géothermique (puits canadien). Enfin, avec la production d’électricité par panneaux photovoltaïques, la maison écoperformante conforte sa légitimité en devant une véritable construction à énergie positive. Elle permet en effet de revendre l’électricité à un prix cinq fois supérieur au prix d’achat moyen.

Perspectives pour les programmes neufs en région PACA

Perspectives pour les programmes neufs en région PACA

I.B. :Quelles sont les perspectives d’évolution du marché et comment vous positionnez-vous ?

Boulogne : la Parisienne du 92

Boulogne : la Parisienne du 92

Là où coule la Seine et passe le métro, c’est encore Paris. Tel est le cas de Boulogne, que les Boulonnais ne quittent que pour… Boulogne ! “Quand les clients déménagent,c’est bien souvent pour s’installer dans la même rue, commente un négociateur. Ainsi,ils peuvent suivre les travaux de leur futur immeuble au jour le jour.” La ville possède, il est vrai, plus d’une corde à son arc pour retenir ses habitants, à commencer par un enseignement de qualité, des espaces verts en quantité comme les jardins Albert-Kahn et le bois de Boulogne, 80 000 emplois et deux lignes de métro. Parmi les nouveaux habitants, des Parisiens du 16e arrondissement, attirés par l’esprit familial de la ville, élisent plutôt domicile dans le nord, au caractère neuilléen. De jeunes couples sans enfant, également de Paris mais aussi des Hauts-de-Seine, optent, quant à eux, pour le sud, moins onéreux.

Logement neuf : les vrais chiffres

Logement neuf : les vrais chiffres

Sur l’agglomération de Montpellier, on comptait 98 programmes commercialisés au 2e trimestre 2008, soit 1 128 logements disponibles. Parmi ces derniers, 8 % se situaient en entrée de gamme à des prix inférieurs à 2 700 € le m2, et 24 % en haut de gamme, au-delà de 3 600 €le m2. Au sein de cette offre, la plupart des biens sont des 3-pièces (45 %), suivi de près par les 2-pièces (36 %). Quant à l’orientation géographique de l’offre, elle se partage entre Montpellier est (23 %), nord-ouest (23 %), sud (21 %), ouest (15 %) et centre (11 %), ce qui montre une bonne répartition des opérations en cours de commercialisation sur le territoire de l’agglomération. Pour essayer de comprendre l’évolution de ce marché et l’impact de la conjoncture sur son fonctionnement, il est intéressant de l’intégrer dans une logique plus large. C’est ce qu’Adéquation a présenté le 10 septembre dernier, lors d’une conférence organisée au Palais des Congrès de Lyon, sur “La crise : raison, importance et durée”.

La maison écoperformante

La maison écoperformante

Constructeur de maisons individuelles dans tout le Grand Ouest, Maisons de l’Avenir propose un concept de maison plus économique et plus écologique.

Transférer son prêt à 0 % sur une nouvelle acquisition

Transférer son prêt à 0 % sur une nouvelle acquisition

Mon mari est muté dans le Sud de la France.Nous nous trouvons donc dans l’obligation de vendre notre maison, acquise avec un prêt à 0 %.Dans quelles conditions le transfert de ce prêt estil possible par rapport à une nouvelle opération ? (Marie A.,Franconville,95)

Henry Buzy-Cazaux - Délégué général de la FNAIM

Henry Buzy-Cazaux - Délégué général de la FNAIM

Indicateur Bertrand : La Fédération nationale de l’Immobilier (FNAIM) annonce la baisse des prix de l’immobilier ancien de 2,9 % au 3e trimestre. Vous attendiez- vous à ce repli ?
Henry Buzy-Cazaux : Oui, parce que nos données mensuelles avaient fait état d’une baisse des prix en juillet et en août, confirmée en septembre. Ce repli est maintenant clairement avéré, alors qu’il se montrait plutôt erratique au cours du 1er semestre. Nous savions depuis longtemps que le niveau des prix était en décalage par rapport à la solvabilité des ménages, et qu’il aurait pour effet de tempérer les augmentations et d’infléchir le marché à la baisse. C’est un phénomène normal de fin de cycle. Par contre, nous ne nous attendions pas au resserrement du crédit. En mai et juin, nous avons constaté un revirement des banques, dont l’attitude a été beaucoup plus restrictive dans la distribution des prêts. Cela a eu pour conséquence de redresser l’activité immobilière à partir d’une moindre fréquentation des agences et de “casse” – pour emprunter une expression de négociateur, c’est-à-dire de ventes qui n’aboutissent pas, faute d’obtention de financement.
I.B. : Sur quels segments se situe particulièrement la “casse” ? Sur les grands logements et les maisons, dirait-on ?
H.B.-C. : Il est délicat de tenir un discours unique à ce sujet, car des disparités régionales apparaissent. Mais nul ne peut nier que la réticence des banques se manifeste surtout par rapport au financement des opérations les plus onéreuses, à hauteur de 450 000 à 500 000 euros. Par conséquent, les appartements des grandes villes, comme Paris, et les maisons sont les plus concernés.
I.B. : Vos adhérents ont-ils des clients qui rencontrent des problèmes avec leurs prêts-relais ?
H.B.-C. : Ce phénomène est beaucoup moins répandu dans les agences immobilières que sur le marché de particulier à particulier, car l’agent immobilier a pour mission de trouver le prix d’équilibre de la vente. Vis-à-vis du vendeur, ce rôle est didactique, d’autant que les négociations deviennent plus âpres à mesure que le marché se durcit. L’agent immobilier a pour métier, et il le fait très bien, d’inciter les vendeurs à la modération. En professionnel du flux, il ne peut pas se payer le luxe de garder trop longtemps un bien en vitrine – si celui-ci n’est pas vendu au bout de 18 mois, c’est souvent en raison de son prix. Les produits anciens se situent dans la partie dense du patrimoine, centre-ville ou proche périphérie, et n’ont pas de gros défauts rédhibitoires.
I.B. : Quel niveau de remise peut espérer l’acquéreur ?
H.B.-C. : Tout dépend si, à l’origine, le prix a été ou non fixé à sa juste valeur. Un bien mal évalué et présenté depuis 6, 8 ou 9 mois, pourrait ainsi subir une décote de 10 à 15 %. Ce cas de figure n’est pas rare. Quand le mandat a été bien pris, mais avec des visites insuffisantes, le prix peut être corrigé de 2 à 3 % au bout de trois mois.
I.B. : Pensez-vous que cela ira plus loin ?
H.B.-C. : Si les banques n’étaient plus au rendez-vous, l’économie serait bloquée, dont le marché immobilier en premier lieu. Nous vivons une période tellement folle que nous n’excluons pas cette sombre hypothèse. Mais ce scénario peut être évité à l’aide d’outils, comme la baisse des taux d’intérêt et les mesures en faveur de l’accession sociale, par exemple. Je pense que nous finirons l’année avec une baisse des prix de 5 à 6 %, qui pourrait se prolonger au même niveau en 2009. Cela induit une fourchette large de 10 à 15 % sur 18 mois, puisque le 1er semestre n’a pas enregistré de baisse. Cette érosion en pente douce pourrait permettre la resolvabilisation des acquéreurs.
I.B. : Comment les agences immobilières résistent-elles dans cette conjoncture ?
H.B.-C. : Les agences, comme les études notariales et les promoteurs, vont être touchées. Mais cela ne fait que 3 à 4 mois que leur activité est affectée, alors que leur capacité de résistance joue sur plusieurs mois, notamment en ajustant la variable de l’emploi. En général, la profession, et non les adhérents de la FNAIM, ont recours à 70 % d’agents commerciaux. Les agences ont également la possibilité de réduire leurs investissements, tels que la publicité et la formation. La FNAIM va d’ailleurs mettre en place une cellule, dans le but d’aider ses adhérents à choisir les meilleures solutions.
I.B. : Malgré tout, l’immobilier reste-t-il un bon investissement ?
H.B.-C. : Plusieurs de nos adhérents sont consultés par des clients paniqués, qui veulent convertir en immobilier leurs liquidités ou leur portefeuille d’actions. Ceci prouve bien que, quelles que soient les circonstances, il existe toujours un fond de confiance envers la pierre. L’immobilier est et restera un marché soustendu par le besoin. Une famille aura toujours l’obligation de se loger, de s’agrandir… Un tel investissement rime avec plus-value, la seule condition étant de garder le bien au-delà de 6, 7, voire 12 ans. Et s’il s’agit d’une résidence principale, cette plus-value n’est pas imposable. L’immobilier demeure le moyen sûr d’asseoir sa situation financière.

Une fiscalité avantageuse

Une fiscalité avantageuse

Puisque le propriétaire signe un bail commercial, les loyers encaissés sont imposés au titre des bénéfices industriels et commerciaux (Bic). En fonction des revenus dégagés annuellement par ces biens immobiliers, différents cas de figure fiscaux sont possibles. Si le propriétaire encaisse plus de 23 000 euros de recettes locatives annuelles et s’inscrit au registre du commerce, il entre dans la catégorie des loueurs en meublé professionnel (LMP). La première année de l’acquisition, les frais de mise en place (frais de notaire, frais de commercialisation du bien…) sont déductibles du revenu global. Le statut de LMP permet aussi de déduire tous les ans les intérêts d’emprunt ainsi que toutes les charges liées à la gestion et à l’administration du bien ; de plus, le bien loué meublé, ainsi que les équipements, sont amortissables. “Si les charges dépassent les recettes, le déficit constaté est imputable, sans limitation, sur le revenu global du déclarant ; les amortissements, eux, sont réputés différés. Quand les recettes redeviennent supérieures aux charges, le propriétaire doit utiliser les amortissements qui sont en sursis d’imputation afin de ne pas être fiscalisés sur ses résultats, et ce jusqu’à épuisement des amortissements réputés différés, explique Michèle Lambert. En fait, un bon montage financier et fiscal permet de ne pas être imposé sur les recettes, pendant au moins quinze ans. C’est un produit de constitution d’un patrimoine en franchise d’impôt. La défiscalisation joue surtout au départ.” De plus, précise aussi la spécialiste, si on revend son bien dans ce cadre-là après cinq ans de détention, et qu’on est enregistré en tant que LMP depuis 5 ans, cela permet d’être exonéré d’impôt sur la plus-value, à condition d’avoir dégagé moins de 250 000 euros annuels. C’est pourquoi les résidences avec services constituent un excellent placement pour les personnes qui sont lourdement fiscalisées. Cependant, l’investissement est aussi rentable pour une mise de départ plus modeste (des revenus fonciers supérieurs à 23 000 euros représentent une mise de départ comprise entre 500 et 600 000 euros). Si les revenus annuels sont inférieurs à 23 000 euros, ils sont toujours imposés au titre des Bic, mais l’acquéreur rentre dans la catégorie des loueurs en meublé non professionnel (LMNP). Un statut qui permet aussi de déduire des revenus locatifs les intérêts d’emprunt, les charges et les frais de gestion. En LMP ou en LMNP, grâce aux services para-hôteliers que proposent ces résidences, l’investisseur récupère également la TVA sur son bien.

3 QUESTIONS À JEAN-LUC PRONIER : Président de la FPC de Normandie

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Indicateur Bertrand : Quelle est l’ampleur de la crise en Normandie ?

L’AVIS DE JEAN PICARD Président de la communauté d’agglomération de Villefranche-sur-Saône

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Indicateur Bertrand : Quels aménagements projetez-vous pour l’agglomération ?

Chauffage et environnement

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Un chauffage performant, c’est la clé d’un logement moins gourmand en énergie. Les spécialistes du secteur planchent déjà sur le sujet. Sélection des initiatives les plus prometteuses.

Prêt Parcours Résidentiel - Un nouveau prêt à 0% pour Paris

Prêt Parcours Résidentiel - Un nouveau prêt à 0% pour Paris

Courant septembre, la Mairie de Paris a annoncé la mise en place, pour le début de l’année prochaine – vraisemblablement au mois de février – d’un nouveau prêt à 0 %, baptisé Prêt Parcours Résidentiel. Contrairement au Prêt Paris logement (également à taux zéro) que la Mairie propose déjà depuis 2004, le Prêt Parcours Résidentiel s’adresse aux locataires HLM qui souhaitent devenir propriétaire d’un logement dans le privé. Une démarche qui est donc différente de celle prônée par le Conseil général des Hauts-de-Seine puisqu’il ne s’agit pas de céder le parc de logements sociaux de Paris, mais d’encourager les locataires HLM à accéder à la propriété dans le secteur privé et de permettre ainsi à Bertrand Delanoë d’atteindre, dès 2014, la proportion de 20 % de logements sociaux dont la ville a tant besoin. “La vente simultanée d’une partie des logements sociaux actuels aurait pour conséquence de réduire le parc social à Paris, ce qui serait contradictoire avec cet engagement et constituerait une aberration au regard des besoins de logements à loyers accessibles qui ne peuvent être satisfaits actuellement”, explique-t-on à la mairie. Pour pouvoir bénéficier de ce prêt, il faudra que l’acquéreur soit locataire dans le parc HLM et qu’il s’engage à libérer son logement pour en acheter un dans le secteur libre. Ses ressources ne devront pas dépasser certains plafonds (entre 3 003 et 7 890 euros par mois, selon la composition de la famille). Quant au montant du prêt, il variera de 27 500 euros pour un célibataire à 80 000 euros pour une famille de cinq personnes et plus.

Montpellier : le marché immobilier neuf opte pour la stabilité

Montpellier : le marché immobilier neuf opte pour la stabilité

Tant dans le secteur neuf que dans celui de la revente, l’agglomération montpelliéraine confirme sa place régionale et son attrait auprès des acquéreurs.

Réactions aux initiatives pour le logement en région PACA

Réactions aux initiatives pour le logement en région PACA

Indicateur Bertrand :Comment réagissezvous aux différentes initiatives dites de “mobilisation pour le logement”, lancées par Nicolas Sarkozy ?