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Tous les conseils en Immobilier

Une fiscalité avantageuse

Une fiscalité avantageuse

Puisque le propriétaire signe un bail commercial, les loyers encaissés sont imposés au titre des bénéfices industriels et commerciaux (Bic). En fonction des revenus dégagés annuellement par ces biens immobiliers, différents cas de figure fiscaux sont possibles. Si le propriétaire encaisse plus de 23 000 euros de recettes locatives annuelles et s’inscrit au registre du commerce, il entre dans la catégorie des loueurs en meublé professionnel (LMP). La première année de l’acquisition, les frais de mise en place (frais de notaire, frais de commercialisation du bien…) sont déductibles du revenu global. Le statut de LMP permet aussi de déduire tous les ans les intérêts d’emprunt ainsi que toutes les charges liées à la gestion et à l’administration du bien ; de plus, le bien loué meublé, ainsi que les équipements, sont amortissables. “Si les charges dépassent les recettes, le déficit constaté est imputable, sans limitation, sur le revenu global du déclarant ; les amortissements, eux, sont réputés différés. Quand les recettes redeviennent supérieures aux charges, le propriétaire doit utiliser les amortissements qui sont en sursis d’imputation afin de ne pas être fiscalisés sur ses résultats, et ce jusqu’à épuisement des amortissements réputés différés, explique Michèle Lambert. En fait, un bon montage financier et fiscal permet de ne pas être imposé sur les recettes, pendant au moins quinze ans. C’est un produit de constitution d’un patrimoine en franchise d’impôt. La défiscalisation joue surtout au départ.” De plus, précise aussi la spécialiste, si on revend son bien dans ce cadre-là après cinq ans de détention, et qu’on est enregistré en tant que LMP depuis 5 ans, cela permet d’être exonéré d’impôt sur la plus-value, à condition d’avoir dégagé moins de 250 000 euros annuels. C’est pourquoi les résidences avec services constituent un excellent placement pour les personnes qui sont lourdement fiscalisées. Cependant, l’investissement est aussi rentable pour une mise de départ plus modeste (des revenus fonciers supérieurs à 23 000 euros représentent une mise de départ comprise entre 500 et 600 000 euros). Si les revenus annuels sont inférieurs à 23 000 euros, ils sont toujours imposés au titre des Bic, mais l’acquéreur rentre dans la catégorie des loueurs en meublé non professionnel (LMNP). Un statut qui permet aussi de déduire des revenus locatifs les intérêts d’emprunt, les charges et les frais de gestion. En LMP ou en LMNP, grâce aux services para-hôteliers que proposent ces résidences, l’investisseur récupère également la TVA sur son bien.

3 QUESTIONS À JEAN-LUC PRONIER : Président de la FPC de Normandie

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Indicateur Bertrand : Quelle est l’ampleur de la crise en Normandie ?

L’Hexagone a ses faveurs

L’Hexagone a ses faveurs

Le hasard frappa à nouveau à la porte de Franck Hammoutène lorsque celui-ci avait une trentaine d’années. Son ancien directeur d’études de l’ENPC lui offrit l’opportunité de réaliser l’immeuble de bureaux Atya, dans le 15e arrondissement de Paris. L’ouvrage a été salué par une salve de prix, dont celui de la Première oeuvre, si bien que l’atelier Franck Hammoutène a décollé. Depuis lors, l’agence a réalisé près de 250 projets dessinés et une cinquantaine construits, comme l’Atelier Renault sur les Champs-Elysées, l’église Notre-Dame de Pentecôte à La Défense, le Musée de la musique à Paris, l’université François- Rabelais à Tours, l’Institut européen de chimie et de biologie à Pessac… Puis, l’Équerre d’argent a couronné son extension de l’hôtel de ville de Marseille. Aujourd’hui, l’atelier se diversifie dans l’architecture, l’urbanisme et le design, notamment sur la réhabilitation de l’entrepôt parisien des Galeries Lafayette en bureaux, une tour à venir à La Défense ou une gare maritime à Aubervilliers. Hormis pour un immeuble de très grande hauteur à Beyrouth et un restaurant en Floride, l’Hexagone a eu ses faveurs.

Construisons demain

Construisons demain

Imaginée par les magazines Ecologik et Architectures à vivre, la maison Construisons demain, présentée sur différents salons en 2008, intègre des solutions architecturales, environnementales et techniques de demain. Mais ce n’est pas un projet de science-fiction ; chacun peut l’adapter à ses besoins. Pour le chauffage, Construisons demain utilise une chaudière à condensation avec planchers radiants, couplée à des capteurs solaires pour l’eau chaude sanitaire. Mais sa solution la plus innovante est le “tableau de bord énergétique”, qui permet à l’usager de prendre conscience de sa consommation d’énergie par poste (veille, éclairage, chauffage...). Quel meilleur moyen pour faire des économies d’énergie que d’avoir toujours un oeil sur ses consommations et ses (éventuels) excès ? Chargé d’études à Observ’Er, l’observatoire des énergies renouvelables, Frédéric Tuillé évoque les trois principales options pour ceux qui veulent chauffer leur logement en ayant recours aux énergies renouvelables. “D’abord, il y a les systèmes solaires combinés (chauffage + eau chaude sanitaire). Ensuite, le bois énergie. À choisir selon ses besoins : un simple poêle peut suffire, en système d’appoint, à moins de faire appel à une chaudière fonctionnant avec des granulés. Il y a, enfin, les pompes à chaleur. Depuis 2005, le crédit d’impôts mis en place sur ces installations a boosté les ventes. Les énergies renouvelables ont connu une forte croissance, du fait de ces mesures. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le nombre de panneaux solaires thermiques est multiplié par deux chaque année en moyenne. On est passé de moins de 50 000 m2 installés en 2001 à plus de 320 000 m2 en 2007. Les crédits d’impôts ont été un véritable accélérateur. C’est pareil pour la filière bois. Et ça continue à progresser. Ces applications ont prouvé leur efficacité, ce qui est rassurant pour le grand public, qui n’hésite plus à opter pour les énergies renouvelables. Il y a dix ans à peine, seuls les militants faisaient cette démarche. Depuis, il y a eu la montée des préoccupations environnementales, mais pas seulement. Les aides financières combinées aux tensions sur le prix des énergies fossiles ont conduit un plus grand nombre de personnes à choisir les énergies renouvelables.”

Le tiers des projets dans l’habitat

Le tiers des projets dans l’habitat

Une vingtaine de collaborateurs consacrent 30 % de leurs activités à l’habitat, en ce moment sur des projets à Lyon, en face de l’Ile Seguin, bientôt à Bordeaux et au sein d’Euroméditerranée. “C’est une gymnastique précise, dans laquelle chaque mètre carré doit être utile et agréable, insiste l’architecte. Désormais, les collectivités locales désignent de plus en plus souvent le binôme architecte-promoteur sur concours. Les impératifs du promoteur passent ainsi à l’aune de l’intérêt public et ceux de l’architecte, à l’aune du réalisme de l’investisseur privé. C’est un bien.” En mai, Franck Hammoutène a été élu président de l’Académie d’architecture, qui contribue à conserver et diffuser les oeuvres architecturales. “Sans être militant, je suis animé de convictions, avoue-t-il. L’architecte inscrit dans la pierre des projets qui dureront vingt ans, voire davantage. Rien qu’entre la conception et la livraison, dix ans s’écoulent. C’est un métier à la fois concret et d’anticipation”. Et là, le hasard n’imprime pas sa marque.

Mobilité réduite - Ça bouge dans le neuf

Mobilité réduite - Ça bouge dans le neuf

En 2000, notre pays comptait plus de 12 millions de personnes de plus de 60 ans, qui passeront à 17 millions en 2020 et à quelque 24 millions en 2050, soit environ le tiers de la population. Une “tendance” qui n'a pas échappé aux acteurs de la construction. Aujourd'hui, 90 % des personnes âgées de plus de 80 ans vivent chez elles. Pour leur offrir un maintien à domicile dans d'excellentes conditions, le neuf a tout prévu : élargissement des portes, remplacement de la baignoire par une douche avec siphon encastré dans le sol, cuisine équipée, volets roulants automatisés... De quoi faciliter la vie quotidienne. L'idée, c'est d'anticiper, dès la conception des logements, les difficultés futures. Pour que le logement ne dissimule plus d’obstacle susceptible de compliquer les déplacements (un éclairage trop faible, des sols glissants ou des marches trop hautes). Idem pour les personnes handicapées. Le neuf leur offre un environnement sécurisant et, surtout, accessible. C'est encore plus vrai depuis l'entrée en vigueur de la réglementation sur l'accessibilité des personnes handicapées, le 1er janvier 2007. Au cahier des charges, figurent des portes larges, des espaces dégagés, pour faciliter le passage d'un fauteuil. Mais également des rampes et des barres d'appui fixées dans certains endroits délicats (couloirs, escalier, douche...) pour maintenir l'équilibre, ou des détecteurs de présence, pour éviter d'avoir à manipuler les interrupteurs électriques. Là encore, le neuf marque des points par rapport à l'ancien !

Zoom sur Sefri-Cime

Zoom sur Sefri-Cime

Créée en 1953, Sefri-Cime est l’une des plus anciennes sociétés généralistes de promotion-construction du marché. Au service des grands investisseurs institutionnels et des grandes entreprises, mais également des particuliers, elle voit depuis plusieurs années son volume d’activité croître régulièrement. Son activité est portée par le Pôle logements et l’Immobilier d’entreprise. En progression régulière de l’ordre de 10 % par an, Sefri-Cime se développe non exclusivement, mais essentiellement en Ile-de-France. www.sefri-cime.fr

Bien optimiser les espaces de vie

Bien optimiser les espaces de vie

En vingt ans, nos modes de vie ont radicalement changé. Les acteurs de la construction l'ont bien compris, et proposent des logements de mieux en mieux adaptés à nos nouveaux besoins.

Promotion immobilière : une offre bien répartie

Promotion immobilière : une offre bien répartie

Qu’il s’agisse du projet du Nouveau Saint- Roch, de celui de la Restanque, de la poursuite de Port-Marianne, du lancement du projet Campus regroupant l’ensemble des universités ou de l’extension des lignes de tramway, le dynamisme de Montpellier est impulsé par un volontarisme de la ville depuis maintenant trois décennies. C’est dans ce contexte que les promoteurs implantent leurs opérations. Dans Montpellier centre, Dominium commercialise Grand Air, une opération sise 10, rue Chaptal, dans un véritable îlot de verdure au coeur d’un quartier desservi par tous les commerces. La résidence de 63 logements privilégie l’espace et les volumes, ainsi que les économies d’énergie, et elle devrait être livrée au cours du premier trimestre 2010. Dans le centre, Urbat lance Le Voltaire, à seulement 5 minutes de la gare et de la place de la Comédie. Dans le secteur ouest, sur la Zac Ovalie, Kaufman & Broad commercialise le Sequoia, rue de Bugarel. À proximité du centre-ville, cette résidence est constituée de 83 appartements et maisons de ville (du 2 au 5-pièces duplex), ouverts sur un parc arboré. Toujours dans ce quartier de la Zac Ovalie, signe d’ouverture de Montpellier vers l’ouest, Roxim commercialise la Résidence, articulée autour d’un jardin central. Résolument contemporain, le programme bénéficie d’une production d’eau chaude sanitaire par gaz et panneaux solaires. À noter qu’en première ligne du Lez, à l’est de Montpellier, Roxim signe Résidence Murano, du 2 au 4-pièces avec maisons sur le toit… face à la future mairie.

L’AVIS DE MAÎTRE FRANÇOIS GRANIER, Délégué de l’Observatoire du marché immobilier des notaires

L’AVIS DE MAÎTRE FRANÇOIS GRANIER, Délégué de l’Observatoire du marché immobilier des notaires

Indicateur Bertrand : Quelle est la situation du marché immobilier local de la transaction ?

Un salon à tout faire

Un salon à tout faire

Les meubles multi-usages sont aussi en vogue : bibliothèque-bureau, tête de litétagères… Les couloirs deviennent des lieux de rangement, où l’on intègre placards et penderies. Quant au séjour, “il reste un lieu de vie où chacun se rassemble, confie Gwenaelle Zunino. Mais l’énorme changement, c’est que les gens ont maintenant intégré que l’on pouvait très bien faire plusieurs choses dans une même pièce. Résultat, le salon se segmente pour que celui qui écoute de la musique ne dérange pas celui qui est en train de lire sur le canapé”. Alain Bourdin, sociologue et urbaniste, note lui aussi que “cette pièce offre plus que jamais une souplesse d’utilisation. Plus question d’être dépendant du comportement de ses proches. Quand les membres d’une même famille n’ont pas du tout les mêmes emplois du temps, il faut que chacun puisse vivre sa vie, être ensemble tout en étant autonome. Par exemple, ne pas forcément prendre tous les repas en commun. Le salon est désormais un lieu où l’on peut faire varier les ambiances, au fil des heures. Écouter de la musique, lire, regarder la télé, être sur l’ordinateur... tout cela, dans la même pièce ”. Alain Bourdin pousse même plus loin son raisonnement : “Le logement est plus que jamais considéré comme un cocon. En clair, on doit s’y sentir en sécurité. D’où l’importance accordée à l’environnement du logement : est-il bien desservi par les transports, y a-t-il des écoles et des commerces à proximité, le climat qui y règne est-il serein ? Autant de questions essentielles, que se posent les futurs acquéreurs. ”

Manche, Eure et Orne : projets au compte-gouttes

Manche, Eure et Orne : projets au compte-gouttes

La Manche, avec son port important de Cherbourg-Octeville et son paysage agricole, accueille assez peu de programmes neufs. On trouve cependant une certaine variété à l’intérieur des programmes en cours sur le département. Garden Park, d’Investir Immobilier, propose ainsi des surfaces du studio (à partir de 72 000 euros) au 4-pièces (256 500 euros) ainsi que des maisons jusqu’à 5-pièces. À Bréhal, à 10 km de Granville et à 4 km de la plage, les maisons du Clos des Salines (Geoxia Immobilier) démarre avec des 3-pièces et le programme dispose encore de nombreux 4-pièces entre 69 et 100 m2. Deux maisons et 60 appartements, du studio au 4-pièces, également dans les Chemins de Seine (groupe Arcade) : à Bréhal, dans le département voisin de l’Eure, à 47 minutes de Saint-Lazare et 54 minutes en train depuis Rouen, le groupe Arcade les propose à partir de 146 000 euros pour le dernier 2-pièces encore disponible, avec une livraison prévue en fin d’année. Dans l’Orne, une résidence de services pour les seniors vient de s’ouvrir à la vente. Composée de 113 appartements et de 14 maisons, elle se situe près du centre-ville d’Alençon et dispose de restaurants, d’un salon-détente, d’une salle de gym… En restant avisés sur la qualité des emplacements ainsi que celle de la construction des programmes aujourd’hui disponibles sur le marché, les investisseurs disposent de tous les atouts pour défiscaliser ou encore se constituer un patrimoine durable. Et si les prix ne baissent pas, les offres commerciales se feront sans doute encore plus fréquentes dans les mois qui viennent.

Du neuf bien situé

Du neuf bien situé

Malgré la baisse des mises en vente, l’offre globale permet de disposer d’un éventail intéressant sur l’ensemble du territoire de la Côte d’Azur. Ainsi, dans le Var, le promoteur Atrio réalise ainsi une opération baptisée Latitude 43°, commercialisée par Immo Up, sur l’île de Porquerolles. La résidence est sise au coeur de village pour 18 appartements, du studio au 6-pièces. Le promoteur Betrim, qui vient par ailleurs de lancer la résidence Le Mayoba, à Antibes, 38 logements dans un quartier calme et résidentiel, est également présent dans le Var. En effet, début juillet, il débutait la commercialisation d’Eagle, 29 logements situés en bordure du golf de Valescure, à Saint-Raphaël, dans la continuité des programmes déjà construits sur le site avec Albatros I et II. À Saint-Laurent-du-Var, Bouwfonds Marignan vient de réaliser Résidence Alexandrine, 27 appartements, du 2 au 4-pièces. L’opération s’inscrit en démarche HQE, et sa livraison est attendue pour la fin 2009. C’est aux portes de Nice, à Saint-André, que Kaufman & Broad a choisi de lancer une élégante résidence aux façades traditionnelles, Les Rives de Saint-André. Au prix moyen de 3 784€ le m2, la résidence sera livrée au cours du 4e trimestre 2010. Enfin, mais la liste serait encore longue, citons Meunier Méditerranée, qui avec Carré Delfino, sise à Nice, à proximité du port de plaisance, propose une résidence avec jardin intérieur et piscine sur le toit. Un 2-pièces de 36 m2 y est commercialisé à partir de 185 000€. La livraison est attendue pour le 2e trimestre 2010.

A Marne-la-vallée : Mickey, golf et architecture

A Marne-la-vallée : Mickey, golf et architecture

Fin juin, 64 programmes étaient commercialisés sur Marne-la-Vallée, dont 29 comportant moins de 10 lots.

L’accession en Rhône-Alpes entre en piste

L’accession en Rhône-Alpes entre en piste

L’avenir accordera la priorité au développement de l’accession populaire à la propriété. C’est tout au moins ce que laisse présager le projet de loi sur le logement, présenté par la ministre Christine Boutin. Parmi les acteurs de l’accession sociale figurent les 160 coopératives HLM de l’Hexagone, sociétés privées de l’économie sociale à ne pas confondre avec les offices HLM qui, eux, sont publics. Dans le département du Rhône, le seul opérateur de ce type, Rhône-Saône Habitat, construit et vend des logements en Vefa, et gère un patrimoine locatif. Ses utilisateurs (acquéreurs, locataires) détiennent des parts sociales, ses administrateurs sont bénévoles et ses bénéfices se réinvestissent intégralement dans l’entreprise sans distribution de dividendes. Point fort de l’entreprise, elle sécurise l’achat de ses logements en garantissant les “3 R” à l’acquéreur : relogement, rachat et revente.

L’état des lieux est-il obligatoire avant de louer un logement ?

L’état des lieux est-il obligatoire avant de louer un logement ?

Je m’apprête à mettre un bien neuf,récemment acquis en location.Doisje procéder à un état des lieux, ou la simple mention de l’état neuf pour l’ensemble suffit-elle ? (Soraya M.,Bordeaux,33)

Pier Carlo Bontempi

Pier Carlo Bontempi

Lauréat des Palladio Awards pour une place emblématique de Marne-la-Vallée, l’architecte Pier Carlo Bontempi se réclame du “Nouvel urbanisme”, le courant qui monte outre-Atlantique.