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Tous les conseils en Immobilier

La TVA à 5,5% repousse les murs

La TVA à 5,5% repousse les murs

Lancée en octobre 2007 à Mantes-la-Jolie, la résidence Sully de Constructa a été réservée à 40 %. Gage supplémentaire de sa consistance, la première pierre vient d’être posée, presque un an jour pour jour après l’ouverture commerciale. Ce complexe, qui mixera un Etap Hôtel, 58 logements et des commerces, se situe dans le Val Fourré “nouvelle génération”, c’est-à-dire aéré, planté d’arbres et ouvert sur la Seine. Un lieu paisible qui n’a plus rien à voir avec son passé trouble: “Le soir à 22 heures, je promène mon chien sans aucun problème”, confirme une habitante, présente depuis quatorze ans au Val Fourré. Au total, 13 tours disgracieuses ont été démolies. Commence maintenant l’embellissement des lieux, dont le point d’orgue sera la construction de l’architectural pôle nautique, à quelques pas de la résidence Sully.

REPÈRES

REPÈRES

1951 : Naissance à La Rochelle

Penser à soi et au locataire

Penser à soi et au locataire

Investir à la montagne signifie trouver l’appartement ou le chalet susceptible de vous correspondre et d’attirer les locataires potentiels. Pour cela, il faut savoir que le tourisme à la montagne a bien évolué ces dernières années. Déjà, en matière de typologie de bien, les petites surfaces n’ont plus la cote. “Les grands appartements de trois-quatre pièces, les 60 m2, se louent vite, ainsi que les deux-pièces, note Pascale Jallet, du SNRT. Si on s’y prend au dernier moment pour ses vacances, on trouvera un studio.”Au-delà du bien, il faut aussi penser aux services qui l’accompagnent. Une résidence avec services comprendra toujours l’accueil, la fourniture du linge et le ménage de fin de séjour. Mais elle peut offrir aussi en complément des services typiquement “montagne”, tels que la réservation de forfaits de ski, ou de cours pour les enfants, la livraison de paniers- repas… Les prestations de luxe peuvent aussi être de la partie. “À la montagne, l’aqualudisme est particulièrement apprécié, remarque Yannick Ainouche, directeur général du groupe Quiétude. Le spa,le hammam ou la piscine, sont toujours agréables au retour du ski.” Attention cependant, le luxe ne convient pas à toutes les familles. “Les prestations complémentaires dépendent de la station ainsi que du profil de la clientèle, relève Isabelle de Wavrechin, directeur général de Pierre et Vacances Conseil Immobilier. Il ne doit pas y avoir d’inadéquation entre la résidence et la fréquentation, par exemple des résidences de luxe qui seraient installées dans des stations plutôt familiales. Les résidences doivent être assez occupées pour être exploitées dans de bonnes conditions et offrir une rentabilité satisfaisante.” Il faut aussi être attentif à ce que le lieu choisi prenne bien en compte le nouveau profil des vacanciers. En effet, au moins 30 % des touristes à la montagne ne skient pas, selon le SNRT. Finie, l’époque où les familles sillonnaient les pistes tous les jours pour amortir leurs forfaits ; désormais, les activités annexes sont très appréciées. Pierre & Vacances propose par exemple des promenades en raquettes, pour lesquelles la demande est en constante augmentation. Comme pour tout investissement immobilier, l’emplacement est crucial. Le produit classique se choisit plutôt au pied des pistes, dans les grandes stations en haute altitude, qui attirent tous les mordus de sports d’hiver, en Savoie, à Val d’Isère. La haute montagne, qui garantit l’enneigement, ajoutée à la réputation internationale, permettent d’éviter le phénomène de vacance locative. “En résidence de tourisme, l’objectif est évidemment d’assurer le taux d’occupation le plus élevé possible”, confirme Isabelle de Wavrechin. Le dispositif des zones de revitalisation rurale (ZRR) a cependant permis de développer la moyenne montagne. “La résidence en moyenne montagne bien conçue, dans un endroit de charme, peut être un bon plan, si une liaison est assurée par exemple pour aller skier plus haut”, note Pascale Jallet. Sans oublier les microniches : “La Vallée d’or, le Vercors, les Alpes du Sud recèlent des coins attrayants, mais il faut analyser les emplacements station par station”, relève encore Yannick Ainouche, de Quiétude. En tout cas, la moyenne montagne peut permettre un investissement moins cher, tout en offrant une bonne rentabilité. À condition de repérer le petit village pittoresque, ou la commune qui offre de nombreuses prestations complémentaires, telles qu’une piscine ou des animations locales.

L'atout sécurité dans le neuf

L'atout sécurité dans le neuf

De nombreux accidents domestiques font encore des victimes aujourd’hui. Mais le neuf offre une sécurité quasiment sans faille. Électricité, gaz, lutte anti-incendie et intrusions: la preuve par quatre.

L’AVIS DE BERNADETTE LACLAIS, Maire de Chambéry

L’AVIS DE BERNADETTE LACLAIS, Maire de Chambéry

Bernadette Laclais : “La région connaît une forte croissance démographique et n’échappe pas au phénomène national de “décohabitation”, qui augmente le besoin de logements. Nous menons une politique volontariste pour améliorer la maîtrise foncière. En 2008, nous avons consacré 5 millions d’euros à l’acquisition de terrains et récupéré 2,5 millions à la revente, pour des projets consacrés à 80 % à la production de logements. Pour acheter ces terrains, nous procédons à l’amiable dans la majorité des cas. Ce lourd investissement nous est parfois reproché en conseil municipal, où certains nous accusent de vendre le patrimoine. Je pense au contraire que nous remplissons là notre rôle d’intermédiaire. Il est en effet nécessaire d’anticiper : il y a actuellement 3 100 demandes de logements sociaux en attente à Chambéry, 5 000 sur l’agglomération et 8 000 dans le département. Offrir des logements accessibles est essentiel au développement économique de la ville et à la qualité de vie de ses habitants. Pour illustration, la dernière opération de Nexity sur Chambéry-le-Vieux comporte 20 % de logements sociaux et 10 % de logements en accession sociale. Nous voulons favoriser la mixité au sein des résidences, mais aussi dans l’utilisation des équipements. Nous agissons avec une double contrainte : des limites géographiques, puisque Chambéry est situé entre les massifs des Bauges et les contreforts de la Chartreuse, et la hausse des prix du foncier, combinée au surcoût engendré par la multiplication des normes de construction. Cela compromet de plus en plus l’équilibre financier des opérations. Avec le désengagement de l’État, on ne sortirait plus de logements sans l’intervention des collectivités, région, département, communauté d’agglomération et ville. D’autant plus que l’augmentation des taux d’intérêt, consécutive à la crise financière, va augmenter le coût global de la production”.

Pleins feux sur le gaz

Pleins feux sur le gaz

Si le gaz ne vous emballe pas, au point de préférer “zapper” cette énergie, il est peutêtre temps de réviser vos a priori. Car dans le neuf, la norme NF DTU 61.1 assure une sécurité optimale. Tout sauf figée, elle évolue constamment pour répondre au mieux aux nouveaux besoins. Depuis le 1er juillet 1996, l’utilisation de tubes souples simplement emboîtés est interdite pour toute nouvelle installation de gaz. À la place, Gaz de France propose Vissogaz, un système de raccordement pratique et fiable, qui protège efficacement contre le risque que le tuyau se déboîte. Celui-ci se compose notamment d’un “ROAI”, soit un robinet de sécurité gaz à obturation automatique intégrée. En clair, il est muni d’un obturateur de sécurité interrompant automatiquement le passage du gaz en cas de débit subitement élevé, à cause d’un débranchement ou d’un sectionnement du tuyau flexible. Il garantit une étanchéité parfaite, une totale résistance à l’arrachement (quand vous tirez la cuisinière pour nettoyer derrière, par exemple), et l’impossibilité de désemboîter. Installé sur les brûleurs, le “dispositif de sécurité de flamme” contrôle en permanence la présence de la flamme et coupe automatiquement l’arrivée de gaz naturel en cas d’extinction accidentelle : débordement d’une casserole ou courant d’air, par exemple. Créée par la loi du 21 juillet 1983 relative à la sécurité des consommateurs, la Commission de la sécurité des consommateurs (CSC) est une autorité administrative indépendante. Sa mission : émettre des avis (plus de 400 à ce jour), destinés aux pouvoirs publics, aux professionnels et aux consommateurs, sur tous types de produits et services présentant des risques. “Dans l’habitat, 43% des avis que nous émettons concernent les appareils électriques ou fonctionnant au gaz, relève Guy Le Golf, conseiller technique. Les conditions d’installation des chaudières à gaz posent parfois problème”. Heureusement, le certificat de conformité protège l’acquéreur. Ce document est délivré par l’installateur au propriétaire en fin de chantier. Il atteste que les travaux ont été réalisés conformément à la réglementation en vigueur. C’est un document à conserver précieusement, car il engage la responsabilité de l’installateur. Autre problème soulevé par la Commission de la sécurité des consommateurs: la dangerosité des lampes halogènes portatives. “Elles diffusent une température de contact extrêmement élevée (parfois plus de 200°C). Elles sont d’autant plus dangereuses quand elles ne possèdent plus leur calot de protection.En contact avec une couette, elles peuvent provoquer des incendies, affirme Guy Le Golf. Nous souhaitons leur suppression pure et simple.Heureusement, le marché s’assèche de lui-même. Trois raisons à cela : le coût de l’énergie, la prise en compte des problèmes de sécurité, et enfin, le rejet pur et simple de cet éclairage, qui diffuse une lumière trop agressive. Nous conseillons donc aux consommateurs d’opter plutôt pour des luminaires offrant des températures de surface bien inférieures, notamment ceux équipés de lampes basse consommation.”

Ariane Obolensky - Directrice générale de la Fédération bancaire française (FBF)

Ariane Obolensky - Directrice générale de la Fédération bancaire française (FBF)

Indicateur Bertrand : Dans un contexte économique incertain, quelles sont les principales actions menées par les banques ?
Ariane Obolensky : Elles continuent simplement à faire leur métier, c’est-à-dire à octroyer du crédit de façon responsable chaque fois que c’est possible. Contrairement à ce qui est parfois dit, les banques poursuivent la distribution de crédits pour financer plusieurs centaines de milliers de projets immobiliers chaque année. Pour preuve, l’encours des crédits immobiliers aux ménages a augmenté de 10 % sur un an, entre les mois de septembre 2007 et 2008, avec près de 700 milliards d’euros. Dans la zone euro, l’augmentation est de 4 % sur la même période. Toutefois, l’activité de crédit est liée à la demande solvable, qui elle-même dépend de l’évolution de la conjoncture économique : s’il n’y a pas de croissance, la demande de crédit va diminuer. Enfin, l’un des soucis majeurs des banques était le retour de la confiance, afin de mettre un terme à la crise de la liquidité. La situation s’améliore progressivement.
I. B. : En matière de crédit relais immobilier, quels sont les engagements des banques ?
A. O. : Pour aider leurs clients à gérer au mieux une opération de crédit relais dans le contexte actuel et prévenir des difficultés, les banques ont pris plusieurs engagements qui sont déjà en vigueur. Premièrement, l’information du client est améliorée en amont via un guide gratuit, téléchargeable sur www.lesclesdelabanque.com. Celui-ci pourra être mis à disposition des professionnels de l’immobilier pour qu’ils le relaient. Car il est nécessaire de se poser les bonnes questions et de bien préparer son projet. Deuxièmement, les banques assureront un suivi préventif des clients engagés dans un crédit relais : elles les contacteront systématiquement 6 mois avant l’échéance, et les inviteront à rencontrer leur conseiller 3 mois avant l’échéance si aucun compromis de vente n’est signé. Les banques s’engagent en outre à contacter, avant la fin 2008, tous les clients actuellement engagés dans un crédit relais qui arrivera à échéance dans moins de 6 mois. Enfin, elles s’engagent à rechercher des solutions personnalisées pour accompagner leurs clients qui éprouvent actuellement des difficultés à dénouer leur crédit relais, à cause de la révision des conditions de vente du bien ou de l’allongement de la durée du prêt. Il ne faut pas oublier que les banques et leurs clients emprunteurs ont un intérêt commun à la réussite des opérations immobilières engagées ou à venir. La vente de crédits relais est un outil utile qui doit tenir compte de l’évolution récente du marché immobilier. Le client engagé dans un crédit relais a du temps pour revendre son bien. Il doit utiliser de façon optimale la période de 1 à 2 ans pour, le cas échéant, adapter son prix en fonction du marché. Il est donc important qu’il garde une marge de manoeuvre pour le faire.
I. B. : Les conditions de crédit se sont-elles “durcies”pour les emprunts immobiliers ?
A. O. : Les conditions d’octroi de crédit doivent prendre en compte l’évolution du marché immobilier, pour que les clients puissent s’engager en toute sérénité. Le crédit est à la base de notre métier, et la concurrence est toujours vive sur le sujet. Avant d’accorder un crédit, les banques se fondent sur l’analyse de la situation financière des emprunteurs et sur leur capacité de remboursement. Grâce à cette démarche de crédit responsable, nous n’avons pas connu de crise des subprimes en France. Si l’analyse montre un risque, il est du devoir du banquier de refuser un crédit pour ne pas compromettre la situation future du client. Soyons clairs, les acheteurs potentiels s’interrogent aujourd’hui sur le bon moment pour leur projet, alors que les professionnels de l’immobilier prévoient une baisse des prix et que la situation économique s’annonce difficile. Face à cela, les banques restent présentes pour accompagner leurs clients mais elles observent un net tassement de la demande depuis quelques mois. Concernant les taux, ils ont augmenté, car le prix de l’argent a augmenté. Ce mouvement a commencé en 2006. En France, les taux d’intérêt des crédits immobiliers restent toutefois inférieurs à la moyenne de la zone euro.
I. B. : Votre avis sur l’augmentation du plafond du Prêt à l’accession sociale (PAS) ?
A. O. : Depuis le 1er novembre, les plafonds de ressources du PAS sont alignés sur ceux du Prêt à taux 0 % (PTZ). Ainsi, 60 % de la population est désormais éligible au PAS. Nous saluons cette hausse des plafonds, ainsi que l’harmonisation PAS/PTZ que la profession réclame depuis longtemps. Ces prêts sont intéressants, car ils permettent aux clients de bénéficier de l’APL (Aide personnalisée au logement) en fonction de leur situation. Ces prêts sont également garantis par le FGAS (Fonds de garantie à l’accession sociale à la propriété) qui, en cas d’échec de l’opération, mutualise partiellement les pertes entre les banques et l’État, selon des règles complexes. Rappelons que chercher à obtenir un crédit à n’importe quelles conditions n’est pas la bonne approche. Un crédit immobilier engage sur le long terme, il ne faut pas y consacrer une part déraisonnable de ses ressources. L’apport personnel est également un élément important pour sécuriser le projet initial d’un client.

Des offres pour frontaliers en Haute-Savoie

Des offres pour frontaliers en Haute-Savoie

Dans le département de Haute-Savoie, la construction se concentre depuis quelques années sur l’axe Chambéry/Annecy/ La Roche-sur-Foron/Annemasse/Saint- Julien, selon l’observatoire départemental de l’habitat. La hausse des prix, notamment à la frontière suisse, sur les bords du Léman, autour de La Roche-sur-Foron, du lac d’Annecy et de Megève, a un peu modifié le paysage, avec davantage de logements collectifs. Aujourd’hui, le ralentissement du nombre de mises en chantier, amorcé en 2006, se poursuit. Dans les stations touristiques, on se rapproche des niveaux de production des années 90. Côté “ville”, Annecy affiche le Kaliste, par Bouygues Immobilier. Situé dans le quartier Courier, nouveau must annécien, celui-ci répond à “des exigences pointues en matière de prestations” près des rues piétonnes du centre-ville. Ticket d’entrée : 243000 euros pour 3-pièces hors parking. Aux portes de la ville, à Pringy, Promogim construit Le Plazza, une petite résidence entièrement close avec encore quelques 2-pièces (de 135 000 à 189 000 euros).

Ile de France : trésors cachés de la périphérie

Ile de France : trésors cachés de la périphérie

Dix fois plus riche en logements neufs de grande taille que la capitale, l’offre de petite couronne se localise souvent en lisière de Paris. Ivry-sur-Seine (94), par exemple, se situe dans le prolongement de Paris Rive Gauche, le futur quartier intello-écolo-branché autour de la bibliothèque François Mitterrand (13e). Dans cette “petite grosse ville” de 57000 habitants, aussi peuplée que le 7e ou le 9e arrondissement, Paris Promotion démarre la commercialisation de 90 à 100 m2 entre 383000 et 410000 euros, parking compris et à 200 mètres de Paris. Pour ce prix, le marcheur bénéficie de deux stations de métro, d’une gare RER et le cycliste n’a pas de gros efforts à fournir pour venir dans la capitale. Certes, le bâti ivryen est encore décousu quoiqu’il ait été modernisé dans Ivry Port, rues Molière ou François Mitterrand, pour ne citer qu’elles. Mais l’avenir s’annonce sous de bons auspices: Ivry et 11 voisines vont muter dans le cadre de l’Opération d’intérêt national “Orsa” (Orly-Rungis-Seine Amont) qui débute.

Rhône-Alpes: du neuf aux sommets

Rhône-Alpes: du neuf aux sommets

Dans les départements de l’Isère, de la Savoie et de la Haute-Savoie, de nombreuses opérations captent l’air du temps, en alliant diversité de l’offre et développement durable.

 Vente annulée : les conditions de restitution du dépôt de garantie

Vente annulée : les conditions de restitution du dépôt de garantie

J’ai réservé un logement vendu sur plan, avec achèvement prévu fin 2009. Aujourd’hui, je suis convoquée chez le notaire pour signer l’acte de vente, mais le prix est supérieur à celui annoncé. Puis-je renoncer à cet achat ? (Laurence V., Draguignan, 83)

Bien vendre au juste prix

Bien vendre au juste prix

Malgré une conjoncture moins favorable, le crédit relais reste un excellent moyen de financer votre projet d’achat/revente. À condition de prendre quelques précautions..

La domotique, ici et maintenant

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L’habitat “intelligent” n’est plus une utopie, mais une réalité à portée de bourse. Plus de confort, d’économies d’énergie et de sécurité : ses applications sont prometteuses. Détails.

Golfe du Morbihan : priorité à l'environnement

Golfe du Morbihan : priorité à l'environnement

Espace et emplacement vont de pair en Bretagne, où les grands logements ouvrent sur des paysages d’exception.