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Tous les conseils en Immobilier

Câble en maison

Câble en maison

Nous allons bientôt aménager dans un pavillon neuf situé en lotissement. Contrairement aux prévisions du contrat de vente d'immeuble à construire,notre maison n'est pas raccordée au câble. Quels sont nos recours ?(Paul M.,Bandol, 83)

Sud-Ouest : Renouveau urbain

Sud-Ouest : Renouveau urbain

Ce sera le 30 juin 2007. A Toulouse, 14 ans après l'ouverture de la ligne A, le métro de la ligne B, de Borderouge à Ramonville, avec 37 stations et 6 000 places de parkings réparties sur 8 stations différentes, verra le jour. A l'horizon de juillet 2007, le métro B devrait afficher une fréquentation journalière de 150 000 voyageurs. De Borderouge, il en est justement question puisque la ZAC est montrée comme un exemple de ce qui peut être réalisé en terme d'urbanisme vert, avec l'aménagement du parc de la Maourine et d'un espace naturel de 2,5 ha organisé autour d'une zone protégée.

Rhône-Alpes : De grands projets sur la ville-centre

Rhône-Alpes : De grands projets sur la ville-centre

En tant qu'ancien maire du 9e arrondissement, Gérard Collomb suit attentivement l'évolution de la Duchère, l'autre opération emblématique de Lyon. Au-delà de la restructuration du bâti, il s'agit de faire progresser les modes de vie à l'aide de missions d'insertion sociale et de développement économique. La mixité est déjà amorcée avec la mise sur le marché d'appartements privés intéressant les jeunes actifs des classes moyennes. Plus de 1 000 logements seront construits d'ici 2008/2009.

IdF : Les travaux d'Hercule en première couronne

IdF : Les travaux d'Hercule en première couronne

A l'inverse de Paris, les communes de première couronne se lancent dans les défis de très grande hauteur. L'architecte Tom Wayne vient d'être retenu pour réaliser le Phare, une tour de 300 m aussi élevée que la tour Eiffel et implantée à quelques pas du Cnit et de la Grande Arche. Un étonnant bâtiment qui sera livré en 2013, imprimant son originalité sur la rénovation en cours de La Défense. A Boulogne, Jean Nouvel est chargé de concevoir une tour de près de 900 m de haut sur les anciens terrains Renault. Deux tours s'élanceront bientôt dans le ciel de Levallois et d'Issy, rejointes par celles de Clichy et d'Aubervilliers, dont les municipalités montent en ce moment les projets. A Nanterre, la tour Granite, signée Christian de Portzamparc pour Nexity, surplombera les 17 Terrasses de Seine Arche.

L'AVIS DE MAÎTRE JEAN-MARIE MONTAZEAUD Président de la Chambre des notaires des Hauts-de-Seine

L'AVIS DE MAÎTRE JEAN-MARIE MONTAZEAUD Président de la Chambre des notaires des Hauts-de-Seine

Indicateur Bertrand : Boulogne connaît-elle l'accalmie des prix constatée au niveau national ?

Premiers pas immobiliers

Premiers pas immobiliers

Se lancer seul ou en couple dans un crédit sur 20, 25, voire 30 ans, alors qu'on est soimême sous la barre de la trentaine et que l'on débarque tout juste sur le marché du travail, est-ce bien raisonnable ? Vous vous posez peut-être cette question, légitimement angoissé à l'idée de vous retrouver coincé pour les décennies à venir, avec des échéances conséquentes à rembourser. Sachez tout d'abord que les trois quarts des détenteurs de prêts longue durée - sur 25 ou 30 ans - revendent leur bien avant de passer le cap des 10 ans de crédit, ce qui signifie heureusement que vous n'êtes jamais enchaîné au logement acheté jusqu'à la fin du prêt. Par ailleurs, tous les professionnels, qu'ils soient banquiers, conseillers en investissement ou promoteurs, s'accordent sur ce point : il faut commencer à construire son patrimoine immobilier le plus tôt possible.

Newlord de Castelord

Newlord de Castelord

Conception contemporaine, matériaux nobles et bâtiments modulables distinguent cette nouvelle maison d'architecte

Ma cyber cuisine

Ma cyber cuisine

A quoi pourra bien ressembler votre petit déjeuner dans une cuisine "intelligente" ? Bien entendu, le café est déjà prêt quand vous entrez dans la cuisine et votre toast grillé à point, puisque vous avez programmé votre cuisson idéale sur votre grille-pain. Mais ce n'est pas tout : relié au système intranet de votre maison, l'écran tactile de votre réfrigérateur vous tient au courant des dates de péremption des aliments entreposés et s'occupe même de passer commande, via internet, à votre supermarché en ligne : de quoi vous assurer de ne jamais manquer de beurre ! Autre exemple des applications "confort" de la domotique : les ingénieurs d'EDF ont travaillé à un projet baptisé Art culinaire. Ils ont conçu un plateau équipé de contacts magnétiques permettant de rafraîchir le verre de jus d'orange et de garder le café au chaud, sans oublier la lecture du e-journal sur son écran amovible…

Du côté des taux

Du côté des taux

Il vous suffit de surfer sur internet ou d'aller faire le tour des banques pour vous en apercevoir : les conditions de crédit restent attractives. Si l'on considère les taux fixes actuels, à moins de 4 % (taux pour un très bon dossier) et une inflation à 2 %, le crédit coûte à peine 2 % l'an. Alors même que les taux ont remonté au cours du 1er semestre 2006. Surtout les taux révisables qui s'adossent sur le loyer de l'argent à court terme en nette progression depuis le début de l'année 2006. Les taux fixes, eux, qui avaient aussi monté, sont de nouveau à la baisse. Ce n'est qu'une légère baisse, mais qui laisse un peu de répit aux emprunteurs. Selon le dernier baromètre des taux Empruntis, un courtier en crédit, les taux fixent démarrent à 3,55 % sur 15 ans, 3,75 % sur 20 ans et 3,85 % sur 25 ans. Ces conditions restent donc très attractives. Mais, rien n'est plus fluctuant que les taux. Qui sait si, dans quelques mois, vous bénéficierez encore d'un environnement aussi favorable. Et, si comme tout le monde, vous préférez payer une mensualité plutôt que de continuer à verser des loyers à fonds perdus, inutile d'attendre plus longtemps. Ce n'est pas non plus une raison pour vous précipiter sur n'importe quelle offre sans réfléchir. Le taux n'est pas le seul critère à retenir et tous les crédits ne sont pas forcément adaptés à votre situation. Sachez donc choisir la formule qui vous convient.

Midi-Méditérranée : L'AVIS DE CHRISTIAN ROUSSAUX Président de la FPC* Côte d'Azur et Corse

Midi-Méditérranée : L'AVIS DE CHRISTIAN ROUSSAUX Président de la FPC* Côte d'Azur et Corse

Christian Rousseaux : Le marché est resté stable en 2006, avec 3 400 ventes, mais ce n'est rien comparé aux 8 000 logements que nous produisions il y a 10 ans ! Or, entre-temps, la population a augmenté, l'économie et le tourisme se sont développés. La demande est considérable mais les perspectives ne sont guères encourageantes. A 4 700 e/m2, la clientèle se réduit considérablement. Ce niveau de prix est atteint en raison de la rareté des terrains et de l'obligation faite aux promoteurs privés de réaliser des logements sociaux à des prix imposés. Vendre à 2 400 e/m2 quand le prix de marché est de 4 700 e/m2 entraîne un transfert des prix sur le secteur libre. Cette situation accentue l'impossibilité pour les accédants d'acquérir dans des conditions acceptables. S'y ajoutent une superposition de réglementations et la réduction des densités validées par les PLU. Ne nous étonnons pas que les actifs locaux soient exclus du marché et que des entreprises refusent de s'installer sur la Côte d'Azur en raison des difficultés à loger leurs salariés. En 2007, j'attends une vraie volonté politique des collectivités.

Grand-Ouest : Normandie

Grand-Ouest : Normandie

Caen regagne sa presqu'île.

L'AVIS DE MICHEL MOLY Maire de Collioure, conseiller général, président de la Communauté de communes de la côte Vermeille

L'AVIS DE MICHEL MOLY Maire de Collioure, conseiller général, président de la Communauté de communes de la côte Vermeille

Michel Moly : Nous allons effectuer un recensement cet hiver pour vérifier si la population est bien de 3 000 habitants permanents et 15 000 résidents l'été. De nombreux résidents qui demeurent ici plus de six mois ne sont pas recensés. Britanniques ou Norvégiens, ils contribuent à faire augmenter les prix en réalisant un vrai placement puisqu'ils louent leur bien très cher auprès de réseaux de gestionnaires étrangers. Cette flambée des prix a des conséquences néfastes pour la population locale. En effet, lors de chaque décès, les héritiers qui, souvent, souhaitent conserver le bien dans leur famille, sont obligés de le vendre en raison des frais exorbitants de succession. Par ailleurs, des personnes modestes, voire en difficulté, comme les pêcheurs en front de mer, sont obligés de vendre leur bien. Cette situation est malsaine et je comprends la révolte des jeunes qui, même en travaillant et en économisant, ne peuvent plus résider dans leur commune. Nous avons développé un droit de préemption élargi en acquérant un terrain d'un hectare où des promoteurs voulaient construire. Nous l'avons destiné à la réalisation de logements sociaux. Par ailleurs, pour la première fois, nous avons trouvé un accord avec un promoteur, Bouygues Immobilier, pour qu'il réalise 30 % de logements sociaux sur un terrain que nous voulions acquérir. Enfin, nous allons réaliser des logements sociaux sous forme de villas 4-pièces pour les jeunes familles. Au total, la commune compte plus d'une centaine de logements sociaux. Nous nous battons, mais la situation est loin d'être facile. Je ne détiens aucune solution et j'attends beaucoup de la mise en place d'une structure régionale, pilotée par le Conseil régional, pour disposer de la capacité d'acquérir terrains, maisons ou logements collectifs dans l'intérêt général.

François Drouin Président du directoire du Crédit Foncier de France

François Drouin Président du directoire du Crédit Foncier de France

"De mal nécessaire, le crédit immobilier est devenu une réelle opportunité pour réaliser son projet."
Indicateur Bertrand :Quel bilan tirez-vous de l'année 2006 et quelles sont, selon vous, les perspectives d'évolution du marché immobilier ?
François Drouin : Le marché immobilier d'habitation en 2006 a poursuivi la décélération déjà observable en 2005. Plusieurs signes en témoignent : le nombre de cessions reste inscrit à un haut niveau mais progresse moins (autour de 3 %) ; le niveau des stocks de logements s'accroît dans l'ancien et dans le neuf ; la hausse générale des prix ralentit. Constatée localement, elle résulte d'un quasi-plafonnement des valeurs les plus hautes et du resserrement par le bas de l'échelle des prix. Mais le point majeur reste sans doute la persistance d'une demande qui ne faiblit pas. Les ménages parviennent à faire face à la hausse des prix par des emprunts à taux faibles et durées longues, par des aides familiales ou l'acquisition de superficies moindres dans des quartiers moins recherchés. Je note par ailleurs que les prêts aidés tels que le prêt à 0 % constituent des réponses intéressantes pour les ménages à revenus modestes.
I. B. :Quel regard portez-vous sur la mise en place des dispositifs Robien recentré et Borloo neuf ("populaire") ?
F. D. : Tout d'abord, le marché de l'investissement locatif reste très actif. En effet, le contexte économique et financier lui est aujourd'hui favorable, avec des niveaux de taux d'intérêt encore bas, une fiscalité attractive et une pénurie avérée de l'offre locative dans certaines régions. Les clients qui réalisent un investissement locatif poursuivent simultanément plusieurs objectifs : constituer/valoriser/ transmettre un patrimoine ; se créer des revenus complémentaires ; préparer leur retraite, tout cela dans un contexte fiscal favorable. Le choix du régime optimisant l'opération dépend évidemment des objectifs de l'investisseur : il doit avant tout être guidé par le marché local et donc les besoins. Par exemple, pour Paris intra-muros, le prix marché reste élevé et le régime Robien recentré peut être le dispositif adéquat. A l'inverse, les communes de première couronne dans des villes populaires sont attractives en investissement Borloo où les plafonds propres à ce régime pénalisent peu l'investisseur. D'autres objectifs peuvent également guider l'investisseur dans ses choix. S'il souhaite par exemple louer à un ascendant ou un descendant, il choisira le Robien recentré qui lui offre cette possibilité à la différence du Borloo.
I. B. : Votre dernière enquête menée avec Paris Dauphine souligne l'impact de mutations sociologiques profondes qui influent sur la demande de logement. Quels sont les grands enseignements à en tirer ?
F. D. : Le marché du logement en France a été marqué entre la Libération et les années 80 par trois chocs : la reconstruction, l'urbanisation et le développement des flux migratoires. Après cette période de construction très active, on pensait que tout était rentré dans l'ordre avec une production annuelle de 300 000 logements par an. Or, l'étude fait apparaître un véritable choc sociologique qui bouleverse la demande de logement, sous l'influence conjuguée de plusieurs changements sociologiques déterminants : l'éclatement de la cellule familiale, l'allongement de la durée de vie, les nouveaux flux migratoires et la part croissante du montant des investissements étrangers en France. Toutes ces causes structurelles viennent se cumuler et ont permis aux auteurs de l'étude d'estimer le besoin de construction de logements à 500 000 par an.
I. B. : Quelles sont les évolutions majeures en matière de crédit immobilier en France ?
F. D. : Le marché du crédit immobilier a fait l'objet de profondes transformations ces dernières années. Les taux favorables du crédit immobilier ont soutenu l'appétence confirmée des Français pour la propriété. Manifestation la plus visible de cet engouement : le taux de propriétaires est passé à 57 % contre 35 % après-guerre. Le recours au crédit immobilier est désormais bien installé dans les mentalités et ne fait plus peur. De mal nécessaire, il est devenu une réelle opportunité pour réaliser son projet immobilier, qui reste pour beaucoup de ménages LE projet d'une vie. Le profil des clients aussi a évolué. Les 55/65 ans veulent devenir propriétaires sans pour autant voir leur budget diminuer (culture, loisirs…). Les primo-accédants, eux, sont souvent moins jeunes (30 ans) du fait de la hausse des prix de l'immobilier et de leur situation professionnelle parfois précaire (CDD, intérim…). Dans le même temps, ils sont plus nombreux à acquérir un bien immobilier, préférant le remboursement d'une échéance de prêt immobilier au paiement d'un loyer généralement d'égal montant. Pour faire face à la diffusion à grande échelle du crédit immobilier, les banques ont développé leur offre de financement avec des formules de prêts adaptées aux besoins des différents types de clientèles : lissage des mensualités, allongement des durées, mixage des profils et des tarifications, services packagés. Les solutions de prêts à taux révisable, dont le Crédit Foncier a d'ailleurs été le précurseur, ont connu une forte croissance avec des montages sécurisés sur des durées de plus en plus longues. Elles ont aussi permis d'abaisser les mensualités de remboursement et donc d'augmenter la capacité d'emprunt.

Les clés de l'investissement

Les clés de l'investissement

Patrimonial ou locatif, l'investissement immobilier obéit à quelques règles de base qu'il ne faut pas négliger. Mais comment déterminer la formule la mieux adaptée à votre situation ? Voici quelques pistes.

Bien emprunter pour acheter

Bien emprunter pour acheter

Pour un jeune couple, difficile de se passer d'un crédit pour acheter son premier bien immobilier. Selon la situation, différentes options sont possibles, la meilleure étant celle qui s'adapte le mieux au profil de votre budget.