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Tous les conseils en Immobilier

Faites le bon choix

Faites le bon choix

Investissement locatif en résidence classique,ou en résidence avec services, avec ou sans dispositif fiscal, et si oui lequel ? L'investissement immobilier offre de multiples possibilités. Comment vous y retrouver ? Les bonnes questions. "Il n'y a pas d'investissements moins bons que d'autres.Tout dépend du but de l'investisseur.Tous les secteurs sont intéressants à condition d'être adaptés, un peu comme les différentes catégories de voitures, qui ne répondent pas aux mêmes besoins. L'investisseur doit être orienté en fonction de ses besoins et de sa situation au cas par cas", analyse Jean-Pierre Marillier, responsable de la formation chez Valority. Bref, vous n'investirez pas forcément dans le même type de bien selon vos moyens, bien sûr, mais aussi suivant l'objectif que vous vous serez fixé, davantage orienté vers la rentabilité locative ou vers la valeur patrimoniale. En résidence avec services. Qu'il s'agisse d'accueillir des étudiants, des personnes âgées, des touristes ou des hommes d'affaires de passage, les résidences avec services fonctionnent sur le même principe : proposer des logements meublés et un certain nombre de services de type hôtelier autour. Pour l'investisseur, le gros "plus" de l'investissement en résidence de tourisme réside dans le bail commercial qui va avec l'achat et qui le décharge de la gestion locative. Sans oublier que les prix d'entrée en résidence de tourisme sont souvent moins élevés que ceux d'une résidence classique. "Le produit qui fonctionne très bien en ce moment est la résidence meublée avec service, en loueur meublé non professionnel. Les investisseurs souhaitent des assurances annexes et des garanties en cas de vacance locative, des garanties sur les loyers, sur les impayés et la résidence de tourisme répond très bien à cette exigence", confirme Norbert Desmard, directeur général de Liins. La résidence avec services dote effectivement votre investissement locatif d'un cadre sécurisé et, ce qui ne gâte rien, elle affiche une faible fiscalité. Suivant les recettes que vous tirerez de votre investissement, vous aurez le statut de Loueur en meublé professionnel (LMP) ou non professionnel (LMNP), ce qui autorise des abattements conséquents sur vos revenus. En optant pour une résidence de tourisme située en ZRR (Zone de revitalisation rurale), vous pourrez en outre profiter d'une réduction d'impôts égale à 25 % du montant de l'investissement, étalée sur 6 ans et la TVA est également récupérable. Le revers de cette jolie médaille ? La résidence de tourisme est un bien plus ciblé qu'une résidence classique et le marché de la revente est donc moins large. Par ailleurs, pour que cet investissement vous rapporte, il faut que le taux d'occupation soit satisfaisant. Vous devez donc choisir le bon emplacement et vous montrer vigilant sur la qualité de l'exploitant, dont le rôle est capital, puisque c'est lui qui est chargé de trouver des locataires et d'entretenir le logement. En résidence classique. Si vous souhaitez réaliser un investissement locatif en conservant la possibilité de récupérer ensuite le logement à usage personnel, c'est-à-dire pour vous ou pour vos enfants, la résidence classique est la mieux adaptée. Là encore, vous devez respecter la règle d'or du choix de l'emplacement et ne jamais le sacrifier aux rentabilités locatives que le vendeur peut afficher - et qui sont parfois très théoriques… Un logement bon marché, promettant des rentabilités extraordinaires, mais très mal situé, sera difficile à louer et donc au final peu rentable. Optez pour des secteurs où la demande locative est réelle, sans que les prix de vente soient prohibitifs. En région parisienne par exemple, cela signifie choisir une ville de grande couronne, mais bien desservie par les transports en commun et qui jouit d'une bonne réputation, comme Cergy ou de nombreuses communes de Marne-la-Vallée. Dans les métropoles de province, la situation est un peu différente et il reste des possibilités d'investissement intra-muros, comme à Toulouse, où la ZAC Garonne, qui prolonge le centre-ville, est l'une des principales offres de neuf de la ville et présente une forte demande locative. Robien recentré, Borloo neuf : l'investissement en résidence classique possède également ses "carottes" fiscales, qui permettent de substantielles économies d'impôts. La prudence est cependant de mise, car une fois l'avantage fiscal terminé, le bien reste… La défiscalisation ne doit pas constituer le moteur de votre investissement, mais être prise pour ce qu'elle est : un "plus" non négligeable.

 3 QUESTIONS À JEAN-PIERRE SEDAGHAT Conseiller en investissement immobilier à Dubaï

3 QUESTIONS À JEAN-PIERRE SEDAGHAT Conseiller en investissement immobilier à Dubaï

"Les Français sont encore peu nombreux parmi les investisseurs étrangers"

Des courtiers en pagaille

Des courtiers en pagaille

A l'origine, les courtiers en crédit avaient la réputation de traiter les dossiers délicats et ne drainaient pas leur clientèle sur la toile puisque internet n'existait pas. Ils étaient peu nombreux et constituaient de discrètes officines. Désormais, ils sont non seulement présents sur la toile, mais ont, bien souvent, pignon sur rue. Parmi les poids lourds figure Cafpi (Conseil à l'accession et au financement en prêts immobiliers). Ce courtier a tout d'abord fait son chemin par le biais d'agences. "Il y a plus de 30 ans, j'ai créé Cafpi pour rendre le crédit immobilier plus simple et plus accessible, explique Elie Assouline, son président fondateur. Pour qu'un futur propriétaire trouve au même endroit toutes les solutions qui lui permettent de réaliser son rêve." Le groupe, né en 1971 et disposant aujourd'hui de 85 agences sur toute la France et outre-mer, n'a cependant pas manqué de tirer profit du web pour développer et diversifier ses activités, notamment avec www.cafpi.fr, www.votrepret. com, www.vitae-assurances.com et le petit dernier, www.creditpourtous.fr. Il négocie en moyenne 30 000 prêts par an représentant une valeur de 4,5 milliards d'euros. Sur le seul exercice 2005-2006, Cafpi est en progression, tant au niveau du nombre de dossiers traités (+ 25 %), qu'en volume de crédits accordés (+ 35 %) et qu'en chiffre d'affaires (+ 42 %). "La progression de Cafpi doit autant au dynamisme général du marché de l'immobilier qu'à la notoriété croissante de notre société, déclare Philippe Taboret, directeur général adjoint. Il est bien évident que les particuliers, notamment les jeunes couples qui n'hésitent pas à s'endetter au-delà de 20 ans, sont très sensibles à la perspective d'économiser plusieurs milliers d'euros en bénéficiant de taux, dans tous les cas inférieurs à ceux proposés par leur banque habituelle." Parmi les meilleurs. Autre courtier leader : Meilleurtaux.com, créé en 1999 et qui a d'abord fait son succès sur le web, mais qui dispose désormais de 45 agences en nom propre et de 20 franchisés en France et dans les Dom-Tom. Pour traiter les demandes qui lui sont faites, Meilleurtaux (www.meilleurtaux.com et www.meilleurtaux- patrimoine.com) s'appuie sur plus d'une centaine de conseillers, de même que sur un partenariat avec 110 banques. Crédit immobilier, crédit à la consommation, renégociation de crédit, assurance, financement de l'investissement immobilier… Il apporte une réponse à toutes les demandes qui touchent au crédit. Ce groupe ne cesse de progresser, sa récente introduction en Bourse en témoigne. ACE fait également partie du cercle des acteurs importants du marché (www.creditimmobilier- ace.com). Cette société créée en 1995 a négocié 7 200 prêts représentant un montant total de plus d'un milliard d'euros au 1er semestre 2006. "L'activité du courtage en crédit immobilier est en plein boum.De plus en plus d'emprunteurs nous font confiance pour négocier leur financement immobilier. La plupart sont des clients jeunes, qui n'hésitent pas à s'endetter sur de longues périodes pour acheter leur premier logement plutôt dans l'ancien. Ils disposent d'un apport personnel d'environ 15 %, commente Joël Boumendil, cofondateur et porte-parole d'ACE.Malgré la hausse récente des taux, passer par un courtier comme ACE leur permet d'obtenir les meilleures conditions du marché." Avec ses 300 collaborateurs et ses 30 agences, le groupe est spécialisé dans l'offre de crédits à taux fixe. Ses conseillers interviennent depuis l'étude du plan de financement jusqu'à la signature définitive chez le notaire. "D'ici fin 2006, nous devrions dépasser les deux milliards d'euros négociés, indique Joël Boumendil. Actuellement, 20 % des prêts immobiliers sont obtenus via les courtiers, la part d'ACE sur ce marché se situe à environ 15 %."

Des critères pour vous aider à faire votre choix

Des critères pour vous aider à faire votre choix

On le voit, les courtiers sont nombreux et il est parfois difficile de faire son choix. "Faire appel à plusieurs courtiers n'est pas dans l'intérêt de l'emprunteur, prévient Credixia (www.credixia.com), un nouveau courtier en ligne. Le premier courtier qui dépose un dossier auprès de ses partenaires bancaires détient l'exclusivité du dossier et les autres se retrouvent dans l'impossibilité de faire le tour des banques et de représenter le dossier alors qu'ils ont peut-être négocié au préalable de meilleures conditions… La banque ne peut pas rémunérer deux courtiers sur un même dossier." Quoi qu'il en soit, même si votre préoccupation première est le taux de crédit, sachez qu'un certain nombre d'autres paramètres sont à étudier : les souplesses que peut vous apporter le crédit proposé (prêt à taux fixe, révisable, modulable, à paliers…), l'assurance décès qui lui est forcément annexée et dont le coût peut varier d'une banque à l'autre, les frais annexes (hypothèque, caution, remboursement par anticipation sans frais…). De ce point de vue, les courtiers sont en mesure de vous aider à négocier des conditions plus favorables qu'avec votre propre banquier. C'est par exemple le cas en matière d'assurance. Quand vous prenez un crédit immobilier, vous souscrivez généralement l'assurance qui va avec. Or, ce type de contrat "groupe" n'est pas toujours adapté. Car il fait supporter à l'ensemble des emprunteurs des primes d'assurance identiques alors que le risque n'est pas le même. Il en découle que les jeunes paient pour les plus âgés. Une situation que les courtiers ont contribué à faire évoluer en proposant la délégation d'assurance. Vous pouvez ainsi vous assurer par le biais d'un autre contrat que celui de la banque à un coût parfois diminué de moitié. La plupart des courtiers proposent ce service. A titre d'exemple, chez Cafpi, pour un prêt de 150 000 e sur une durée de 25 ans accordé à un jeune couple (24 à 26 ans), le coût total de l'assurance représente 28 500 e avec un taux de 0,38 % et 100 % de couverture sur chaque emprunteur. Pour la même couverture, Cafpi se fait fort de vous obtenir, par le biais de Vitae Assurances un taux de 0,13 %, soit une économie de 18 750 e ! Le jeu en vaut la chandelle !

 Souscrire un crédit immobilier : du nouveau

Souscrire un crédit immobilier : du nouveau

La circulaire n° 1711 consultable sur le site de l'Office des changes (www.oc.gov.ma) prévoit l'octroi de crédits immobiliers en dirhams aux personnes physiques étrangères non-résidentes et la mise en place de cautions en faveur de banques étrangères. Les crédits aux personnes physiques étrangères non-résidentes peuvent être accordés par les banques intermédiaires agréées. Plusieurs conditions doivent être respectées : le bénéficiaire non-résident doit effectuer un apport en devises minimum de 30 % du prix du bien à acquérir ou à construire ; le remboursement du crédit (capital, intérêts et commissions bancaires) doit être effectué par cession de devises ou par débit d'un compte étranger en dirhams convertibles ouvert au nom de l'intéressé. Pour bénéficier de cette facilité, l'étranger concerné doit produire à la banque intermédiaire agréée une déclaration sur l'honneur faisant ressortir qu'elle n'est propriétaire d'aucune résidence au Maroc.

Immobilier neuf : les opérations phares d'Ile-de-France

Immobilier neuf : les opérations phares d'Ile-de-France

Coup de projecteur sur des communes de la périphérie parisienne qui s'affirment comme de grandes bâtisseuses en créant de vastes morceaux de ville. De nombreux quartiers à fort potentiel sortent de terre aux portes de la capitale.

L'AVIS DE ROLAND MUZEAU Sénateur, premier adjoint au maire de Gennevilliers

L'AVIS DE ROLAND MUZEAU Sénateur, premier adjoint au maire de Gennevilliers

Indicateur Bertrand : Qu'est ce qui a changé à Gennevilliers ?

Europe de l'Est, un nouvel Eldorado ?

Europe de l'Est, un nouvel Eldorado ?

Plus de quinze ans après la chute du rideau de fer, ça bouge à l'Est ! Poussés par leur intégration - effective ou prochaine - dans l'Union européenne, nos voisins européens voient leur économie progresser et une nouvelle classe moyenne émerger. L'adhésion à l'UE a tiré en avant les économies des nouveaux venus. En 2004, l'économie polonaise affichait par exemple une croissance robuste de 5,3 % qui reste la plus forte progression des 25 en 2006. En Hongrie, la croissance s'est également accélérée en 2004, aux alentours de 4 %. Côté législation, de plus en plus dans ces Etats, des conditions comparables à celles des pays occidentaux sont appliquées, uniformisation européenne oblige. Temples de la consommation. La multiplication de vastes centres commerciaux, où se retrouvent des enseignes mondialement connues, est un signe de ce renouveau économique. Si le pouvoir d'achat n'évolue pas de manière uniforme dans ces pays, celui des classes aisées et moyennes es grandes villes a connu une progression considérable. Selon l'étude réalisée par Procos, Eurelia et Retail & Trad sur l'immobilier commercial européen, la Pologne et la Roumanie figurent par exemple aux côtés de la France, de l'Italie et de l'Espagne parmi les pays très actifs dans ce secteur. En 2006, pas moins de 134 projets commerciaux ont vu le jour en Pologne, ce qui représente une progression de 30 % ! Parmi eux, l'agrandissement du parc commercial d'Ikea, ou encore les 63 500 m2 des Terrasses Dorées à Varsovie. La Roumanie part de plus bas avec 30 projets cette année contre 10 en 2002. C'est là que prendra place le plus grand centre commercial d'Europe centrale et de l'Est, au coeur du projet Baneasa qui compte plus d'un million de mètres carrés construits et une zone résidentielle de 3 000 logements. Quant à la plus grande tour d'Europe, elle se construit actuellement dans le nouveau quartier d'affaires de Moscou… Nouveaux quartiers européens. Mêmes projets de grande envergure en ce qui concerne les logements neufs. Si un tiers des Tchèques vivent encore dans des appartements en panneaux préfabriqués de l'ère communiste, plus de 200 logements neufs sont en construction à Prague. Les besoins sont grands et certains promoteurs occidentaux l'ont bien compris. "Les pays d'Europe centrale offrent de grandes possibilités et profitent d'un climat général de progrès économique et social. Nous avons commencé par nous implanter en Hongrie avant de nous engager en Pologne, où nous réalisons un projet de 1 900 logements de moyenne et haute gammes à Varsovie", explique-t-on chez Fadesa, un groupe immobilier espagnol qui n'a pas hésité à se tourner vers l'Est.

 Cergy-Pontoise, futur n°1 de l'immobilier neuf en Val-d'Oise ?

Cergy-Pontoise, futur n°1 de l'immobilier neuf en Val-d'Oise ?

Ces derniers temps, on parlait moins qu'auparavant de Cergy-Pontoise. Pourtant, depuis que l'Etat a remis les clés de la ville nouvelle à la communauté d'agglomération, lus de 1 200 logements ortent de terre bon an mal an. Le point chaud a été sans conteste les Hauts-de-Cergy, un quartier en développement au pied de la gare RER et du cinéma UGC. S'achèvent sur ce secteur 1 000 logements, mais la mise sur le marché de 400 autres par an s'annonce pour les prochaines années. "Les prix sont abordables, argumente Dominique Lefebvre, maire de Cergy et président de l'agglomération. Les premiers appartements sont partis à 2 700 e/m2 et maintenant, ils approchent les 3 000 e/m2. Ils ont été acquis par des propriétaires-occupants souvent locaux, mais aussi par des investisseurs articuliers qui habitent sur l'agglomération et croient dans son développement."

le viager à la rescousse ?

le viager à la rescousse ?

Le viager immobilier peut être une solution si vous souhaitez vous constituer des revenus complémentaires une fois à la retraite et si vous êtes propriétaire de votre résidence principale. En effet, même si le marché s'assagit ces derniers temps, le boom des prix a permis de valoriser le patrimoine immobilier dans tout l'Hexagone. Du coup, le bouquet (la somme payée comptant par l'acheteur en viager au moment de la transaction) est devenu plus conséquent. Pour tous les propriétaires confrontés à de maigres pensions de retraite, le viager peut être une solution. C'est par exemple le cas de bon nombre de veuves qui ont peu cotisé durant leur vie professionnelle (les mères au foyer par exemple, ou les épouses d'agriculteurs, de commerçants), la pension de réversion de leur mari ne suffisant plus à leur garantir un niveau de vie décent ou à permettre l'entretien du logement. Avantages de cette formule : vous continuez à vivre dans votre logement, tout en percevant une rente à vie. Par ailleurs, la vente en viager bénéficie d'une fiscalité attrayante et la rente est indexée sur l'inflation. Inconvénients : vous aliénez irrémédiablement votre patrimoine et ne pouvez le transmettre à vos enfants. Pour ne pas les léser, vous pouvez cependant placer le bouquet, par exemple dans un contrat d'assurance-vie et désigner vos enfants en tant que bénéficiaires, ce qui vous permet de transmettre un capital bénéficiant de la fiscalité relativement clémente de l'assurance-vie. Restent à trouver des acheteurs qui n'aient pas été échaudés par la longévité de Jeanne Calmant, la doyenne des Français, décédée à 122 ans, plusieurs années après le notaire qui lui avait acheté son logement en viager ! Mais si l'allongement de l'espérance de vie peut en décourager certains, le fait de pouvoir acheter, grâce à la formule en viager, à des prix beaucoup plus accessibles, peut en motiver d'autres !

Maroc : un marché immobilier en plein essor

Maroc : un marché immobilier en plein essor

Boom économique, volonté politique, multiplication des chantiers d'aménagement et de modernisation des infrastructures, le Maroc, aux paysages et aux atmosphères qui échappent à toute description brève et donc tronquée, n'est pas devenu par hasard un lieu vers lequel les regards se tournent. L'amélioration rapide du réseau routier et la profusion de vols au départ des villes françaises dont Paris, Toulouse, Bordeaux, Lyon, Marseille, Montpellier ou Nice vers le Maroc expliquent aussi en partie ce succès immobilier observé sur place. A Marrakech surtout, mais aussi à Tanger, Rabat ou Agadir, les opérations de logements foisonnent. Selon Smap Immo, le salon immobilier marocain à Paris, le marché peut se définir en plusieurs catégories : le logement économique (335 à 360 e/m2), le logement économique supérieur (450 e/m2), le logement moyen standing (720 à 810 e/m2) et le logement de haut standing (1 170 e à 1 350 e/m2). Ces prix peuvent laisser sans voix, mais correspondent en fait à la réalité économique et sociale du Maroc.

 Sur la piste des courtiers

Sur la piste des courtiers

Avec le développement d'internet, les courtiers en crédit ne cessent de renforcer leur présence sur le marché immobilier. Mais qui sont-ils ? Que peuvent-ils faire exactement pour vous ? Enquête au fil de la toile.

Subventions et déclarations

Subventions et déclarations

J'ai lu que les subventions de l'Agence nationale de l'habitat (Anah) devaient être déclarées comme revenu foncier dès lors qu'elles financent des travaux déductibles.Mettant en location selon le dispositif Robien, comment dois-je procéder ? (Peggy S., Livarot, 14)

Location de parking

Location de parking

Je vais investir dans deux places de parking pour les mettre en location. Quel type de contrat dois-je proposer ? (Dominique I., Paris 14e)

Archives de copropriété

Archives de copropriété

Le syndic confie la conservation des archives de notre copropriété à une entreprise et nous facture à ce titre une rémunération supplémentaire. En a-t-il le droit ? (Laurent T., Créteil, 92)