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Tous les conseils en Immobilier

Garantie biennale de bon fonctionnement

Garantie biennale de bon fonctionnement

Je viens de faire construire un pavillon, la chaudière se révèle défectueuse. Ai-je un recours contre le constructeur ? (Jean-Charles B., Les Molières, 91)

Où acheter en 2008 ? Tour de France des régions

Où acheter en 2008 ? Tour de France des régions

Cadre de vie, projets urbains, témoignages des principaux acteurs locaux, du Nord au Sud et d'Est en Ouest, suivez notre enquête sur les perspectives d'évolution du marché immobilier en France. Pour habiter ou investir, suivez le guide !

Côté financement

Côté financement

Mesurez au plus juste vos capacités d’endettement et surtout anticipez d’éventuels changements familiaux. Le loyer ne compensera jamais la totalité de votre investissement. En moyenne au final, 30 % du prix de l’acquisition restent à votre charge. Un plan de financement mal ficelé peut rapidement virer au cauchemar. “Pour cela,évaluez vos ressources actuelles sans les surestimer (…) puis estimez les mensualités que vous seriez en mesure de payer sans trop grever votre budget. Essayer aussi de vous projeter dans l’avenir”, conseillent les deux auteurs de “Investissement locatif mode d’emploi”. Comment vont évoluer vos ressources et vos charges dans les 10 ou 15 ans à venir ? Serez-vous capable de faire face à une éventuelle réforme des règles fiscales sur les revenus fonciers ? “Il faut ajuster son investissement à sa capacité à s’autofinancer en cas de coup dur”, insiste Mathie Toulza- Dubonnet, dirigeant de MTD Finances, cabinet de conseil en gestion de patrimoine et en défiscalisation immobilière à Paris. Actuellement, selon le dernier baromètre Empruntis, les taux d’intérêt des crédits immobiliers oscillent entre 4,45 et 4,65 % selon votre profil et votre région. Même s’ils sont en hausse, les taux pratiqués restent encore abordables. D’autant que vous pourrez déduire une partie de vos intérêts d’emprunt et bénéficier de “cadeau fiscal”. En effet, pour encourager la construction de logements, le législateur a mis sur pied de multiples dispositifs permettant au propriétaire bailleur de déduire de son impôt une partie, plus ou moins conséquente de son investissement. Chacun avec des avantages et des inconvénients. Parmi ces carottes fiscales, on trouve le Robien recentré. A raison de 6 % les 7 premières années et de 4 % pour chacune des 2 années suivantes, vous pouvez amortir jusqu’à 50 % du montant de votre investissement. En contrepartie, pendant 9 ans, vous vous engagez à louer votre bien à un locataire au titre de sa résidence principale en respectant des plafonds de loyer selon les zones géographiques. Aucune condition de ressource n’est exigée pour le locataire qui peut être un descendant ou un ascendant (hors foyer fiscal). Attention, face à la multiplication des immeubles éligibles au Robien recentré, certains biens peinent à trouver des locataires ou faute de demande suffisante, les loyers sont revus à la baisse. Ce qui ampute d’autant la rentabilité de départ. Dans le même esprit et toujours avec un engagement locatif de 9 ans, vous pouvez opter pour le Borloo neuf (ou Borloo populaire). Cette fois, vous pouvez amortir jusqu’au 65 % du prix d’acquisition et bénéficier d’un abattement de 30 % sur les revenus locatifs. En revanche, vous devez louer votre appartement à des personnes ayant des revenus modestes (hors ascendant et descendant) moyennant des loyers encadrés par la loi. Ce qui grève d’autant vos rentrées locatives. Vous pouvez également vous tourner vers une opération en résidence avec services (de tourisme, d’affaires, étudiante...). Le principe est simple : vous confiez à une société (l’exploitant) la gestion de votre bien pendant au moins 9 ans en échange d’un loyer annuel forfaitaire versé quel que soit le nombre de semaines effectivement occupées. Pas de travaux ni d’entretien à prévoir, l’exploitant de la résidence s’occupe de tout. Outre cette “tranquillité logistique”, vous bénéficiez de la récupération de TVA (19,6 %) sur le montant du bien. Et puis, compte tenu du caractère meublé de la location, vous endossez le statut de loueur meublé professionnel (LMP, si vos revenus fonciers dépassent 23 000 e par an) ou celui de loueur meublé non professionnel (LMNP) en deçà de ce seuil. Ce système permet de classer les recettes locatives dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et non plus fonciers. A noter que si vous investissez dans une résidence de tourisme en zone de revitalisation rurale (ZRR), vous pouvez bénéficiez du dispositif Demessine et retrancher 25 % du prix d’achat du bien de votre impôt final. Si vous affichez une tranche marginale d’imposition de 30 % voire plus, l’investissement locatif dans les Dom Tom, (dispositif Girardin) vous permettra d’amortir entre 40 % (Girardin libre) et 50 % (Girardin intermédiaire) du montant de votre achat. En contre partie, vous vous engagez à louer le bien nu pour une durée minimale de 5 et 6 ans. Cet avantage est accordé pour toutes les opérations réalisées avant le 1er janvier 2018. Donc ne vous précipitez pas et envisagez pourquoi pas, un petit séjour sur place. Cela vous permettra peut-être d’éviter les mauvaises surprises. Pour un investissement dans les îles ou en métropole, prenez toujours le temps de la réflexion. C’est en multipliant les avis de professionnels (agents immobiliers, promoteurs, notaires, gestionnaires de pratimoine, etc.) que vous pourrez vous faire une idée précise de la vraie valeur d’un bien immobilier. Et donc de sa rentabilité !

Du site traditionnel au secteur Anru

Du site traditionnel au secteur Anru

Sur Lyon intra-muros, de grands projets commencent à prendre tournure. La Confluence aborde sa 2e phase par la mise en oeuvre du plan d'urbanisme du secteur du marché de gros. Gerland se refait une santé et l'on voit sortir des commercialisations sur le quadrilatère du Bon Lait, comme celles de Vinci Immobilier et d'Atemi. Près de la Part-Dieu, les Jardins de La Buire poussent dans les délais prévus remarque Fabien Barboteu, le directeur régional de Gecina et aménageur du projet. "Nous avons remis le parc planté à la Ville qui devrait l'ouvrir au public vers le milieu de l'année", signale-t-il. L'assureur April est entré en possession de ses locaux et Cogedim achèvera en 2009 la construction d'un immeuble de bureaux. Tout le foncier destiné au résidentiel a été commercialisé et des opérateurs démarrent les chantiers. Si Constructa avait pris un petit retard au départ, le promoteur a accéléré le tempo en lançant une opération spéciale en novembre. Pour le directeur de programmes Eric-Abel Coindoz, pas de souci : "Nous sommes convaincus de la qualité du projet. Pour notre part, nous avons prévu une isolation par l'extérieur, en laine de roche habillée de brique comme sur la Cité Internationale, et une pompe à chaleur en toiture qui augmente les économies d'énergie". Sur l'Ouest lyonnais, tout continue comme avant. Le "Neuilly" local draine sa petite troupe de "fans" qui ne troqueraient pour rien au monde leur univers champêtre contre le centre de Lyon, malgré les embouteillages du matin vers la capitale. Les programmes sortent à dose mesurée mais régulière sur Tassin, Francheville et Dardilly.

3 QUESTIONS À PHILIPPE ROUX Président de la FPC Provence

3 QUESTIONS À PHILIPPE ROUX Président de la FPC Provence

“Les promoteurs ont anticipé les mouvements du marché”

Conditions d’obtention du pass-foncier

Conditions d’obtention du pass-foncier

• Le Pass-foncier est destiné aux primo-accédants, ceux qui n’ont pas été propriétaires de leur résidence principale au cours des deux dernières années ayant précédé l’opération et dont les ressources ne dépassent pas un plafond.

L’AVIS DE ALAIN BAUDET Responsable marché à la Caisse d’Epargne Paris-Ile-de-France

L’AVIS DE ALAIN BAUDET Responsable marché à la Caisse d’Epargne Paris-Ile-de-France

Alain Baudet : “En 2007, près de 50 % de nos clients ont moins de 35 ans et 35 % sont des primoaccédants alors qu’en 2006, nous avions financé bon nombre d’emprunteurs déjà propriétaires de leur logement. C’est une évolution qui est liée au fait que, pour les jeunes, il devient aujourd’hui plus facile d’acheter que de louer un logement. Mais, si nous avons affaire à une clientèle jeune, il est pour nous hors de question de proposer des prêts sur 50 ans. Nous nous limitons à 30 ans. La durée de nos prêts se situait à 20 ans et demi en 2006, soit 22 mois de plus qu’en 2005 et pour ce qui concerne 2007, cette durée moyenne passe à 22 ans, soit 18 mois de plus qu’en 2006. L’évolution est donc très rapide. Chez nous, ce sont les durées de 20 à 25 ans qui sont plébiscitées, alors qu’il y a seulement sept ou huit ans, c’était 15 ans. Mais par rapport au crédit, nous jouons évidemment notre rôle de conseil en attirant l’attention des acquéreurs sur l’évolution du marché. Certes, les prix ont augmenté de 130 % en dix ans, mais il n’est pas certain que la progression soit la même dans l’avenir. D’ailleurs, les prix se stabilisent en raison du ralentissement du marché. Un ralentissement lié en partie à la crise des subprimes, crise qui a jeté le trouble dans l’esprit des acquéreurs et encouragé certains à différer leur achat. L’accès au crédit est aussi plus difficile. Les prêts à 100 ou 110 % qui étaient courants, sont moins nombreux aujourd’hui.”

Cadeau bonus : un allègement fiscal

Cadeau bonus : un allègement fiscal

L’investissement en résidence de tourisme à la montagne vous permet de récupérer la TVA (19,6 %). Pour vous séduire, d’ailleurs, certains promoteurs n’hésitent pas à vous en faire l’avance. Sachant que vous louez votre bien à un exploitant, qui à son tour, se charge de le louer meublé à des touristes de passage, vous signez un bail commercial et vos revenus relèvent du régime des bénéfices industriels et commerciaux (Bic) et non des revenus fonciers. Au regard du fisc, vous endossez le statut de loueur en meublé professionnel, LMP, (si vos revenus d’activité dépassent 23 000 e par an ou 50 % des ressources du foyer fiscal) ou de loueur en meublé non professionnel (LMNP), si vos revenus d’activité sont inférieurs à 23 000 e. Fort de ce dernier statut pour lequel vous n’avez pas à vous inscrire au registre du commerce, vous pouvez déduire les frais de notaire, la taxe foncière et l’amortissement sur l’immobilier et le mobilier de vos revenus locatifs. Si vous empruntez pour acheter, cela vous permet de défiscaliser entièrement vos revenus d’activité. En LMP, vous pouvez imputer votre déficit foncier sur votre revenu global. Pour plus d’avantages fiscaux, mieux vaut opter pour un investissement en zone de revitalisation rurale (ZRR). Soit dans des zones rurales, de basse ou moyenne montagne, définies par décret. Vous tombez alors sous le coup de la loi Demessine, qui outre la récupération de TVA, accorde un crédit d’impôt de 50 000 e pour un célibataire et de 100 000 e pour un couple. Ce qui équivaut à une réduction de 12 500 à 25 000 e, étalée sur 6 ans. Ce dispositif a été prolongé jusqu’au 31 décembre 2010. Toutefois, là encore, attention à la seule carotte fiscale. Ces résidences, souvent situées en moyenne montagne, ne sont pas nécessairement toutes promises à un avenir radieux. Encore faut-il que des projets d’infrastructures de transport, de commerce, de remontées mécaniques soient envisagés. Sinon, gare à la vacance. De même, gare aux promoteurs qui sous prétexte de ZRR, et donc de prix de vente moins élevés, construisent des résidences au rabais en terme de qualité. Attention, l’achat dans les résidences se fait majoritairement en l’état futur d’achèvement (Vefa). En achetant maintenant vous serez au mieux livré fin 2008 voire 2009. Vous devez donc prévoir de ne percevoir aucun loyer jusqu’à la livraison du bien. De même, vous ne récupérez la TVA qu’au moment de la livraison du bien. Si vous décidez de revendre votre bien en cours de bail, c’est possible, mais le nouvel acquéreur devra lui aussi signer un bail commercial avec l’exploitant. Sachez tout de même que l’exploitant est en droit de vous demander une indemnité au titre de la propriété commerciale. Enfin, si vous revendez le logement moins de 20 ans après son achat, vous devrez reverser la TVA initialement récupérée, au prorata du nombre d’années restant à courir jusqu’à l’échéance des 20 ans.

Haut de gamme : qui achète ?

Haut de gamme : qui achète ?

Le plus beau, le plus cher n'est, par définition, pas accessible à toutes les bourses. Alors qui achète ces produits qui font rêver ? Portrait robot de ces heureux acquéreurs.

Le haut de gamme dans le neuf

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Quand l'immobilier devient un produit de luxe, la tentation est grande de ne pas faire les choses à moitié : emplacement de rêve et matériaux de choix, petite balade à travers l'Hexagone à la découverte des plus belles résidences haut de gamme disponibles.

Les aides des collectivités locales

Les aides des collectivités locales

Elles peuvent prendre la forme de subventions ou de prêts à 0 % de la commune, du département ou de la région. A noter que ces aides permettent aussi de bénéficier de la majoration du PTZ (prêt à 0 % de l’Etat) variant, selon la zone et la composition familiale, de 10 000 € à 15 000 €.

Côte d'azur : le luxe a la “Côte”

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Malgré un foncier rare, Cannes, la capitale du glamour et du strass, continue de se développer, surtout à l'ouest de la ville. En prenant garde de préserver un cadre exceptionnel, les nouvelles constructions figurent parmi les plus cotées de France.

Comment évaluer votre capacité d’achat ?

Comment évaluer votre capacité d’achat ?

Vous avez évalué le montant de votre future mensualité ? Il faut encore que vous définissiez la durée de crédit qui vous paraît la plus adaptée. Ce qui vous permettra de vous faire une idée de la somme globale que vous aurez la possibilité d’emprunter. De ce point de vue, la plupart des sites internet de crédit peuvent vous aider car ils disposent de calculettes qui vous seront d’une aide précieuse (www.cafpi.fr, www.meilleurtaux.com, www.credit-immobilier-ace.com, www.empruntis. com...). A titre d’exemple, si vous pouvez consacrer 1 000 e à votre acquisition, vous ne pourrez emprunter que 130 000 e sur 15 ans ou 155 000 e sur 20 ans. En revanche, si vous acceptez de vous endetter sur 25 ans, vous pourrez aller jusqu’à 175 000 e ou encore jusqu’à 185 000 e sur 30 ans. S’endetter sur un très long terme a cependant ses limites. Car plus longtemps vous mettrez à rembourser, plus le crédit vous coûtera cher. Entre 15 et 20 ans, vous augmentez votre capacité d’emprunt de 25 000 e, mais celle-ci chute à 20 000 e entre 20 et 25 ans et à 10 000 e entre 25 et 30 ans. Autrement dit, au-delà d’une durée de 30 ans, l’intérêt devient plus limité. Si vous avez l’intention de revendre au bout de 7 ou 8 ans comme c’est souvent le cas, sachez ce à quoi vous vous exposez. Ainsi, pour un emprunt de 150 000 e sur 15 ans, la moitié du capital emprunté sera remboursé au cours de la neuvième année, mais il vous faudra attendre la seizième année pour le même montant sur 25 ans. Malgré tout, acheter votre résidence principale à crédit est une épargne forcée qui vous servira au bout du compte. Non seulement, vous n’aurez plus à payer un loyer, mais vous vous constituerez tout de même un capital.