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Tous les conseils en Immobilier

Equipement - Crédits d'impôts

Equipement - Crédits d'impôts

A partir du 1er janvier 2008, de nouveaux équipements pour la maison en faveur de l'environnement seront éligibles au crédit d'impôt. Un arrêté paru au Journal officiel du 20 novembre 2007 modifie en effet la liste d'équipements qui ouvrent le droit à cet avantage au titre de l'habitation principale. Seront ainsi éligibles l'acquisition de chaudières à basse température utilisées comme mode de chauffage ou de production d'eau chaude, ainsi que les matériaux d'isolation thermique de l'habitation. Les appareils de régulation du chauffage et la programmation des équipements de chauffage, les équipements de production d'énergie utilisant une source d'énergie renouvelable et certaines pompes à chaleur complètent ainsi les équipements déjà éligibles au crédit d'impôt depuis quelques années. © L.Mignaux/Medad

3 QUESTIONS A ANTOINE DESBARRIÈRES, Directeur de Qualitel

3 QUESTIONS A ANTOINE DESBARRIÈRES, Directeur de Qualitel

"Un logement sur quatre en France entre dans une démarche de certification. "

Voir grand ou voir petit ?

Voir grand ou voir petit ?

Si vous recherchez un rendement immédiat couplé à des impératifs de défiscalisation, les petites surfaces semblent plus appropriées. A cela plusieurs raisons : d’abord, parce qu’elles représentent près des deux tiers du marché locatif, mais aussi parce que le loyer moyen y est plus élevé que pour des logements plus grands. En centre-ville (hors Paris), le rendement d’un studio neuf avoisine les 4 % contre moins de 3 % pour des biens plus spacieux. Maintenant, si vous investissez pour votre retraite, donc à plus long terme, voyez plus grand. La revente de ces biens est plus rapide et les locataires, généralement des familles, sont plus stables. Vous économisez ainsi des frais de vacance locative et de remise en état du logement. Si vous recherchez une rentabilité immédiate, mieux vaut éviter l’hyper centre des grandes métropoles. Les liquidités y sont certes meilleures et le nombre de transactions plus élevé qu’ailleurs, mais les prix de vente y flambent. “A Paris, par exemple, on est déjà en dessous de 3,8 % de rentabilité”, souligne Hubert Beaufils. Ces biens au coeur des grandes agglomérations trouveront en revanche toute leur place pour un investissement à plus long terme. Les perspectives de belles plus-values sont plus importantes. Certaines villes de taille plus réduite réservent encore de bonnes surprises. “A Valenciennes, par exemple, on a encore peu de logements neufs et une forte demande locative.On est actuellement à 4,5 % de rentabilité. Même tendance à Chartres”, recense Hubert Beaufils. Quelle que soit votre motivation, pas question d’investir les yeux fermés en se préoccupant uniquement de l’impact fiscal.

côté Bordeaux : des milliers de logements sur les Zac en cours

côté Bordeaux : des milliers de logements sur les Zac en cours

D'autres Zac promettent des commercialisations à suivre. Au nord de Bordeaux, le site des Ravezies créait une liaison entre le centre et le quartier du Lac. Traversé par le tramway dès cette année, le nouveau quartier pourrait accueillir 32 800 m2 de logements. La construction d'une centaine de logements entrera dans sa phase opérationnelle prochainement. Plus immédiate sera la livraison des premiers appartements des Berges du lac. A terme, 1 500 logements seront créés entre les Aubiers et le Palais des Congrès, dont 30 % en parc social. Dans le sud, le quartier Saint-Jean, bénéficie d'une opération de renouvellement urbain, 320 logements seront livrés en fin d'année par Domofrance. 69 logements sont réalisés en accession, à des prix attractifs. Enfin, des opérations d'aménagement accompagnent le développement de la desserte TGV et le prolongement de la ligne C du tramway jusqu'à Bègles. Sur l'Ilot Armagnac, on prévoit 200 logements. Dans le centre, l'activité va se réduire avec la fin du chantier de l'îlot Bonnac, qui achève de relier le quartier Mériadeck et le centre historique.

Savoir ventiler

Savoir ventiler

Dans nos logements très isolés et bien chauffés, la ventilation est une nécessité absolue pour notre bien-être, notre santé et celle de notre habitation. C'est aussi une obligation, depuis 1982. Elle évacue les nombreux polluants qui peuvent s'accumuler et dont certains, comme le monoxyde de carbone, sont extrêmement dangereux. Elle contrôle l'excès d'humidité, responsable de l'apparition de moisissures et de dégradations du bâti. Elle fournit l'oxygène nécessaire à notre vie. Dans ce domaine aussi, il existe des solutions techniques de plus en plus performantes. La plus confortable est sans doute la VMC (ventilation mécanique contrôlée) double flux. Le principe : récupérer la chaleur de l'air vicié extrait de la maison et l'utiliser pour réchauffer l'air neuf filtré venant de l'extérieur formant ainsi un circuit. Cet équipement est plus coûteux à l'achat qu'une VMC simple-flux. Mais en récupérant les calories, il permet d'importantes économies d'énergie. La VMC double flux est aussi très séduisante du point de vue "confort". L'air neuf soufflé à l'intérieur de la maison est filtré et débarrassé des polluants tels que pollens, poussières et particules souvent allergènes. Distribué à température ambiante, cet air ne générera aucun courant d'air, pour une ambiance intérieure beaucoup plus confortable.

Planchers chauffants

Planchers chauffants

Pour un bon confort thermique, le chauffage joue bien sûr un rôle de premier plan. Et dans ce domaine, les planchers chauffants sont aujourd'hui le système offrant le meilleur confort. Or, ils sont plus faciles (et donc moins coûteux) à installer dans le neuf que dans l'ancien. Mieux vaut donc traiter le problème en amont, dès la conception du logement. Le plancher chauffant basse température se compose d'un réseau de tubes encastré dans le sol, dans lequel circule l'eau chaude. Le chauffage se fait par rayonnement.

Il y a rendement et rendement

Il y a rendement et rendement

Mieux que le rendement facial, vous devez porter votre attention sur ce que les gestionnaires de patrimoine appellent le “rendement effectif”. Ce chiffre, souvent plus élevé que le rendement facial dans le neuf, prend en compte l’optimisation fiscale et toutes les autres charges déductibles. Il est donc plus proche de la réalité. Toutefois attention, ne perdez pas de vue que les avantages fiscaux disparaissent au bout de 9 ans dans le cadre d’un investissement en Robien et au bout de 15 ans pour un placement en Borloo populaire. Passé ce délai, la rentabilité effective sera donc moins importante. “Attention,à comparer ce qui est comparable. Autrement dit, l’investisseur doit toujours chercher à savoir ce qui se cache derrière ce chiffre.Par exemple,est-ce que le prix d’achat englobe le prix du parking, les frais de notaires ? Quand on parle de rentabilité,on doit rester sur des frais immobiliers et pas sur les autres”, insiste Christine Vassal-Largy, directrice générale, responsable du pôle immobilier du conseil en gestion de patrimoine Thésaurus. Pour comparer différents programmes entre eux, assurez-vous que les bases de calcul du rendement sont bien identiques. Pour faire grimper ce chiffre, certains vendeurs ont tendance à minorer le prix d’achat. Autre point de vigilance : le caractère “brut” des chiffres avancés par les vendeurs immobiliers. Une fois toutes les charges déduites, la rentabilité nette est inférieure de 10 à 15 % aux premiers chiffres communiqués. L’investisseur doit également être attentif au taux de rentabilité interne. Le fameux TRI également nommé taux de rendement de l’épargne. Il s’agit en fait du rapport entre les rentrées d’argent annuelles issues de l’investissement et l’effort d’épargne réalisé. Contrairement à ce que le terme laisse à penser, l’effort d’épargne ne correspond pas à une somme placée mais à de l’argent déboursé par l’investisseur. Il s’agit en fait de la différence entre les rentrées d’argent (loyers, économies d’impôts) et les sorties (remboursement d’emprunt, charges de copropriété, frais de gestion, taxe foncière…). Bref, ce que vous devrez sortir de votre poche chaque mois.“Le TRI est un taux important à surveiller, car il exprime réellement ce que l’investissement coûtera au final au particulier”, insiste Stéphane Cremades de l’Institut du patrimoine. On considère qu’un investissement est réussi si le TRI est supérieur au rendement facial et à la rentabilité effective.

Le confort en première ligne

Le confort en première ligne

Des techniques et des matériaux de plus en plus performants, des réglementations et normes de construction de plus en plus exigeantes assurent aux logements neufs un confort sans faille. Décryptage.

Les durées les plus courtes sont les meilleures

Les durées les plus courtes sont les meilleures

On l’aura compris, avec un crédit relais, mieux vaut vendre rapidement, d’autant qu’il n’est consenti que sur une durée relativement courte : deux ans maximum. Certes, si les délais de vente sont aujourd’hui de cinq à six mois, vous avez une belle marge. Mais, vous devez avoir à l’esprit qu’un prêt relais implique des modalités de remboursement différentes d’un prêt classique. Pour éviter que vous n’ayez deux fortes mensualités à payer – celle du crédit relais et celle du prêt complémentaire qui vous sera nécessaire si vous achetez plus grand – les banques ont prévu le remboursement du prêt au moment de la vente du bien. Dans le jargon bancaire, on parle de franchise partielle. Entre temps, les échéances de remboursement ne comprennent que les intérêts et la prime d’assurance décès invalidité, ce qui allège beaucoup la mensualité. Mais, le capital ne s’amortissant pas, les intérêts seront forcément plus élevés que pour un prêt classique. Avec une formule relais, il existe même la possibilité de ne rembourser le capital et les intérêts qu’au moment de la vente de votre ancien logement. Cette seconde option, qui se nomme franchise totale, coûte évidemment plus cher car les intérêts sont capitalisés et produisent eux-mêmes des intérêts. Quelle que soit l’option que vous choisirez, ne perdez jamais de vue que vous devez tout faire pour vendre vite et bien. Sur le marché des prêts relais, on distingue trois catégories de formules : le relais dit “sec”, le relais jumelé à un prêt à long terme et le prêt global. En voici les principales caractéristiques.

L’offre par secteur

L’offre par secteur

D'ouest en est, le département propose un éventail de programmes neufs géographiquement assez diversifié. Dans le secteur de Grasse, au pied du massif du Tanneron, Pégomas voit, tout près de son centre, le lancement de Villa Adrienne de Promogim, une résidence de quatre petits immeubles de deux ou trois étages. Le 2-pièces, de 41 à 48 m2, est commercialisé à partir de 150 000 e, hors parking. A Grasse, Bouwfonds Marignan livrera au 3e trimestre 2009 Le Carré Centifolia, avec des appartements du 2 au 4-pièces. Le 2-pièces est commercialisé à partir de 174 000 e. A Valbonne, situé entre Grasse et Biot, c'est Nexity groupe George V qui signe Villa Carla, à seulement 5 mn de Sophia-Antipolis. Cette résidence de seulement dix logements, livrable en 2008, propose le 3-pièces de 58 m2 à partir de 275 500 e, tandis qu'à Vallauris, le promoteur réalise 17 La Palmeraie, 43 appartements en lisière d'un joli square, pour le 2e trimestre 2009. Dans le secteur de Cannes, l'actualité se porte sur Cannes-la-Bocca avec la commercialisation par Real Immo Invest d'un programme de Bacotec nommé La Croisière. Divisée en 28 logements, cette résidence, à proximité du centre-ville, est composée principalement de studios, 2 et 3-pièces. Les studios sont commercialisés à partir de 187 500 e, les 2-pièces à partir de 212 500 e et les 3-pièces à partir de 231 000 e, hors stationnement.

Achat-revente mode d'emploi

Achat-revente mode d'emploi

Vous seriez tenté d’agrandir votre chez-vous, mais vous ne savez pas comment faire pour financer votre projet d’achat-revente ? Avec le prêt relais, c’est simple. Explications…

 Premier versement

Premier versement

Acquéreur d'un logement sur plan, j'ai lu que le premier appel de fonds intervenait à la réalisation des fondations à hauteur de 35 % du prix. J'ai reçu cet appel alors que les fondations ne sont pas terminées. Dois-je payer ? (Christian P., Lisieux, 14)

A Bordeaux

A Bordeaux

Avec 3 857 logements construits sur les 10 premiers mois de 2007, Bordeaux reste sur la tendance 2005- 2006, qui marquait un rattrapage. Le programme local de l'habitat des 27 communes de la communauté urbaine table sur un objectif de 4 200 nouveaux logements par an, accompagnés d'une remise sur le marché de 900 logements vacants. En accession, le gros de l'offre affiche un prix entre 3 000 et 3 200 e/m2. "Après deux années de hausse du coût de la construction, on observe une stagnation, essentiellement sur le dernier trimestre (+ 3 % environ). L'année prochaine devrait confirmer ce retour vers un marché serein", observe Patrice Pichet, PDG du Groupe Pichet (3 000 logements livrés par an dont 50 % en Aquitaine, avec 5 programmes en commercialisation sur Bordeaux et une trentaine sur la CUB). Dans les rues bordelaises, on entend le bruit des grues et les énergies qui s'activent autour de grands projets. La ville se réapproprie ses quais, en s'appuyant sur l'arrivée du tramway et, avec en fil directeur les aménagements du paysagiste Michel Corajoud, une nouvelle atmosphère se dessine. Parmi les étapes-clés, l'ouverture d'un parc des berges entre la rue Peyronnet et le cours d'Alsace- Lorraine à l'automne 2008, des fontaines innovantes sur le quai des Douanes. On annonce une "prairie des Girondins", parsemée d'oeuvres et d'activités sur le quai Louis XVIII. Les habitants des Chartrons redécouvrent les plaisirs de la ville, avec le marché Colbert et un marché bio réaménagés aux normes actuelles, une guinguette face à la rue Latour et de nouveaux jeux pour les enfants. Entre le cour du Médoc et la rue Lucien-Faure, un nouveau pôle d'activités prend forme autour du centre de cultures scientifique, technique et industrielle Cap Sciences.

François Bertière - Président-directeur général Bouygues Immobilier

François Bertière - Président-directeur général Bouygues Immobilier

Indicateur Bertrand : Votre groupe est très actif en matière de développement durable. Quels sont vos principaux engagements ?
François Bertière : Nous nous engageons pour l’architecture et le développement durable. J’avais pris l’engagement que tous nos logements seraient certifiés Habitat et Environnement à partir de 2007. En amont, cela a nécessité un énorme travail interne. D’autant que notre volume de production s’établit à 11 000 logements. Nous avons dû former nos techniciens, nos responsables et nos vendeurs… Mais, la démarche qualité fait partie de notre culture d’entreprise. Pour nos process, nous sommes aussi certifiés Iso 9001 depuis 1995. Tout cela contribue à élever notre niveau de compétences. Et nous continuons à aller de l’avant en faisant des opérations à énergie positive. Cette démarche ne se limite pas au résidentiel, elle s’applique aussi à nos immeubles de bureaux certifiés HQE®. Après avoir remporté le Grand Prix Eco Building Performance 2007 pour la tour Mozart d’Issy-les-Moulineaux, nous avons lancé Green Office à Meudon, une nouvelle génération d’immeubles tertiaires durables qui sera à énergie positive. Nous sommes très actifs dans ce domaine et je pense que la prochaine étape sera une approche plus globale, à l’échelle d’un quartier.
I. B. : En matière de programmes résidentiels neufs, quelle est l’actualité de votre groupe et quels sont vos projets phares ?
F. B. : Nous avons quelque 200 programmes en vente sur toute la France. Parmi nos opérations phare, on peut citer Les Berges du Lac à Bordeaux où environ 2 000 logements seront commercialisés sur une Zac privée de 30 ha au nord de la ville où nous développons une approche très environnementale. Nous perçons des canaux, nous repensons les abords du centre commercial déjà présent… L’essentiel de nos programmes se destine à une clientèle moyenne. Aujourd’hui, le problème n’est pas la demande, mais les prix qui, à mon sens, ne devraient pas dépasser 4 500 e/m2 en Ilede- France et 3 000 e/m2 à 3 500 e/m2 en province. Nous sommes au coeur de cette demande. Par exemple, aux Ponts Jumeaux à Toulouse, nos prix moyens oscillent entre 3 200 e/m2 et 3 500 e/m2 ; à Marseille, certains de nos programmes se situent autour de 3 100 e/m2, à Narbonne aux alentours de 3 300 e/m2 ; en région parisienne à Epinay-sur-Seine autour de 3 500 e/m2. Enfin, j’ajouterai que sur notre site internet, tous nos prix sont affichés par souci de transparence vis-à-vis de tous nos acquéreurs.
I. B. : Que pensez-vous des principales mesures annoncées par le gouvernement en faveur du logement ?
F. B. : Toutes les mesures en faveur du logement sont bonnes à prendre. Parmi celles-ci, la déductibilité des intérêts d’emprunt est très positive et commence à produire ses effets. Par ailleurs, l’Etat veut construire 500 000 logements et pour cela va vendre ses terrains. Ce qui permettra de détendre le marché foncier. Au même titre que les Opérations d’intérêt national (OIN) qui, comme à Saclay, nous ont permis de participer au concours d’appel à idées pour un quartier auto équilibré pour lequel nous avons été primés. Aujourd’hui, il faut construire une offre adaptée au budget des ménages. Nous sommes d’ailleurs prêts à faire du logement social et à travailler main dans la main avec les organismes HLM. Le Pass foncier est également une bonne mesure car il permet d’acheter le logement avant le terrain. Nous commercialisons une opération sur ce principe. En revanche, nous restons très vigilants quant à l’éventuelle diminution des déductions fiscales notamment en statut LMP. Car si la mesure était prise, elle aurait des répercussions sur le logement des étudiants, des personnes âgées…

côté Bordeaux : Bastide, la nouvelle

côté Bordeaux : Bastide, la nouvelle

Finalisation et point d'orgue de cette réconciliation entre Bordeaux et la Garonne, la Zac du coeur de la Bastide contribue au développement économique (imprimerie du journal Sud-Ouest, ateliers du tramway). On y réalise un pôle universitaire de gestion, le centre national de la fonction publique territoriale d'Aquitaine, mais aussi un jardin botanique et les aménagements nécessaires pour des navettes de liaison avec la rive gauche et l'accueil de bateaux de tourisme fluvial. En ce début d'année, l'opération d'aménagement touche à sa fin, avec la troisième tranche de l'Autre Quai, un programme Nexity Apollonia (à partir de 430 000 e pour un 5-pièces). En tout, près de 800 logements y auront vu le jour. L'actualité est à la Zac Bastide 2, qui prolonge l'opération précédente sur 30 ha. Sur les terrains de la caserne Niel et des emprises SNCF en friche, elle devrait accueillir 2 200 à 2 300 logements, exemplaires sur le plan de l'écoconstruction et du développement durable. On y trouve L'Atria, une réalisation de Bouygues Immobilier signée par l'architecte Christian de Portzamparc. Ses derniers logements se déclinent du 3 au 5-pièces, à partir de 315 403 e pour un 4-pièces. Cogedim y livrera également 28 logements en 2010 (Garden Avenue, 3-pièces à partir de 190 500 e). Avec des bureaux, des commerces et des équipements, la Zac prolongera la requalification progressive des berges jusqu'au futur Pont Bacalan-Bastide.

Une avance sur la valeur du bien à vendre

Une avance sur la valeur du bien à vendre

Toutes les banques proposent des prêts relais, dont les caractéristiques peuvent varier d’un établissement à l’autre. Mais quoi qu’il en soit, le principe reste le même et consiste à vous faire une avance sur le montant présumé de la vente de votre ancien logement. Cette avance ne dépasse généralement pas 80 % de la valeur du bien, à laquelle il faut toutefois déduire les éventuels crédits en cours. Si votre logement vaut 200 000 e et que vous devez encore 100 000 e, au mieux, la banque n’établira son crédit relais que sur la base de 80 % de 100 000 e. Une marge de précaution au cas où vous ne réussiriez pas à vendre votre ancien bien au prix souhaité. On le sait, les vendeurs ont toujours tendance à surestimer leurs biens… Quoi de plus légitime que d’espérer le meilleur prix ? Dans un contexte de fluidité totale du marché, pas de souci. On l’a vu ces dernières années, alors que les biens partaient comme des petits pains en une semaine ou un mois. Mais aujourd’hui, la donne a changé sur le marché de l’immobilier et les biens mettent plus de temps à trouver preneur. Aux dires des professionnels, il faut actuellement en moyenne cinq ou six mois pour vendre un bien, alors qu’il en fallait deux ou trois l’année dernière. D’où une vigilance accrue des banquiers. Certains ont d’ailleurs d’ores et déjà réduit leur avance, ne prêtant plus que 60 à 70 % du prix du logement à vendre. Pour autant, le crédit relais conserve son intérêt dans un projet d’achat-revente.