• Le Figaro.fr
  • Actu
  • Le Scan Politique
  • International
  • Économie
  • Bourse
  • Décideurs
  • Le Scan Éco
  • Sport 24
  • Le Scan Sport
  • Culture
  • Lifestyle
  • Madame
  • Figaro Store
  • FigaroTV
  • TVMag
  • Santé
  • Étudiant
  • Figarochic.cn
  • Histoire
  • Nautisme
  • Golf
  • Figaroscope
  • Voyage
  • Enchères
  • Vin
  • Jardin
  • Météo consult
  • Annuaire santé avec PagesJaunes
  • Le particulier
  • Cadremploi
  • La chaîne météo
  • Keljob
  • Kelformation
  • Ticketac
  • Cplussur

Tous les conseils en Immobilier

DAITEM

DAITEM

De la télésécurité à l’alarme anti-“homejacking” : Daitem tient toutes ses promesses!

Sécurité de l'habitat : Vivre chez soi en toute sérénité…

Sécurité de l'habitat : Vivre chez soi en toute sérénité…

Pendant les vacances, vous oubliez vos petits tracas. Mais les cambrioleurs, eux, n’oublient pas votre maison! Votre meilleur alliée pour les dissuader ? La sécurité électronique. Elle utilise les dernières innovations technologiques pour vous protéger. Suivez le guide !

Des financements multiples

Des financements multiples

Les banques ont donc bien compris l’intérêt qu’elles avaient à proposer des financements appropriés aux investisseurs. De fait, si vous êtes vous-même investisseur, des prêts amortissables aux prêts in fine, les formules ne manquent pas pour vous aider à réaliser un montage financier susceptible d’améliorer les performances de votre investissement. Si ces formules sont désormais bien connues des investisseurs, ils connaissent en revanche moins bien les prêts aidés par l’Etat. En particulier, le PLS (Prêt locatif social) dont les atouts sont nombreux. Car non seulement, vous pouvez investir dans le cadre d’un régime fiscal attractif comme le dispositif Robien, mais cumuler d’autres cadeaux du fisc qui sont loin d’être négligeables. Mais qui dit prêt aidé par l’Etat, dit aussi contraintes. Cependant le jeu peut en valoir la chandelle. Qui sont les investisseurs qui peuvent en bénéficier ? Pour quels types d’opérations ? Quelles sont les contraintes ? Rapide tour d’horizon des avantages et inconvénients du dispositif.

L’avis de Marc Gilli - Directeur technique national de Bouwfonds Marignan

L’avis de Marc Gilli - Directeur technique national de Bouwfonds Marignan

Indicateur Bertrand : Quelle question faut-il se poser pour prendre en compte le développement durable dans le logement neuf ?

PENTAX

PENTAX

Avec IntelliCorder, Pentax invente le premier judas électronique enregistreur !

Abonnement au câble

Abonnement au câble

Notre copropriété vient de voter le raccordement au câble et le syndic demande à chacun des copropriétaires de payer sa quote-part à cet abonnement en fonction de ses tantièmes. Je n’ai pas de télévision et n’ai donc pas l’intention de m’abonner. Puis-je refuser de payer ma quote-part ? (Hubert V., Paris 14e)

Jean Nouvel – Architecte-urbaniste

Jean Nouvel – Architecte-urbaniste

Indicateur Bertrand : Vous allez réaliser à Marseille un immeuble de bureaux de grande hauteur (130 m) au sein du projet SAS Suède, “Cité de la Méditerranée”, piloté par le promoteur Constructa, en plein cœur d’Euroméditerranée. Quelle est la portée d’un tel bâtiment sur ce site ?
Jean Nouvel : Euroméditerranée est un projet de mutation d’une structure industrielle et sa réutilisation permet de réaliser de l’anormal au bon sens du terme et de mélanger les genres. Décider de construire en hauteur impose de choisir son site et de connaître les raisons de ce choix. Ici, il existe une véritable échelle industrielle qui permet à des bâtiments d’une grande hauteur architecturale de dialoguer avec d’autres bâtiments. Même l’échelle portuaire, tout en longueur, contribue à ce dialogue. Il est bon d’aller regarder la ville d’en haut de temps en temps, de conquérir une vue privilégiée, surtout avec le relief d’une ville comme Marseille, avec les caractéristiques de sa côte, de ses îles en face. S’il est donc logique d’imaginer des tours en bord de mer, il faut s’interroger aussi sur la manière de les réaliser. Il ne s’agit pas de développer une sorte de pollution et d’exploitation totale du littoral urbain : il s’agit simplement de pouvoir créer quelques verticales dans la ville. Celle-ci a toujours besoin, dans sa composition, de verticales et elle a toujours besoin de se regarder. Nous aurons évidemment une étude d’impact, une approche cinétique par la mer ou par l’autoroute pour que cet IGH puisse exister avec grâce et puissance.
I.B. : On le sait peut-être moins, mais vous travaillez aussi sur un projet de requalification du littoral à Sérignan, dans l’Hérault, qui donnera lieu à la réalisation de 1 800 logements. Comment abordez-vous le dialogue entre requalification du littoral et urbanisation existante ?
J.N. : Sérignan est un projet surtout lié au développement du port et d’une zone très naturelle. Ce qui m’a intéressé c’est de relier la ville de Sérignan et les petites urbanisations de ce secteur en accentuant toutes les caractéristiques du paysage et la jouissance du climat méditerranéen. C’est un projet où les constructions ne sont pas hautes, à l’exception d’un hôtel. Il s’agit là d’un travail sur l’esprit méditerranéen dans la campagne méditerranéenne. C’est un projet lié à la nature et à la manière de vivre dans la nature. Avec le projet de l’IGH, à Marseille, nous assistons à l’inverse : nous sommes dans un monde urbain, dans un port magnifique qui possède la brutalité industrielle de tous les ports et nous essayons de travailler sur une autre poétique. Marseille, Sérignan, ce sont deux mondes poétiques complémentaires.
I.B. :Vos projets concernent des musées, des immeubles de bureaux, des logements mais aussi des lieux symboliques comme l’Hôtel de Ville de Montpellier.
J.N. : Ce projet est la Maison des Montpelliérains, l’Hôtel de Ville au sens plein du terme. Le positionnement est très symbolique par rapport au Lez. Nous avons joué avec l’entrée de l’eau, sur le principe du puits marseillais, qui rafraîchit le bâtiment, par ailleurs très protégé du soleil, grâce à des persiennes. Nous jouons aussi sur le fait que la Ville entre dans le bâtiment et nous créons un parvis avec commerces autour et une esplanade sur le dessus. Il ne suffit pas de dessiner un Hôtel de Ville, il faut dessiner son statut urbain et sa continuité avec la géographie : c’est une pièce urbaine que nous mettons en place et pas un simple bâtiment.
I.B. : Du Musée du Quai Branly au Théâtre de Minneapolis, vous êtes présent aux quatre coins de la planète. Comment s’articulent vos choix ?
J.N. :Mes critères sont basés sur le plaisir et le désir ! Ce qui m’importe, c’est la beauté de la question, de la ville, du site. Je suis très attaché à la qualité de la relation et ceux avec qui je peux réaliser un projet, comme c’est le cas, par exemple, à Montpellier ou Sérignan. Je n’ai pas vocation à construire la planète entière et il faut bien que je choisisse !
Indicateur Bertrand : Le développement durable : Quel regard ?
Jean Nouvel : Le développement durable signifie que nous allons réaliser des constructions que nos petits-enfants vont utiliser, qui ne leur coûteront pas trop cher, dont ils penseront que ce sont de bons témoignages et qui auront du sens par rapport à toutes les données d’énergie ou de durabilité des matériaux. Peu importe que le projet soir rural ou urbain. Habiter dépasse de beaucoup les quatre murs d’un logement. Il importe de l’intégrer dans le quartier, la ville, les espaces publics, de le lier avec la nature, de penser les services auxquels l’habitant aura accès. Le logement lui-même doit être libéré car les trois-quarts du temps, nul ne sait qui y vivra. J’essaie toujours de donner des volumes dans lesquels des transformations et des aménagements sont possibles”.

Pose d’une antenne de téléphone

Pose d’une antenne de téléphone

Le bruit circule au sein de notre copropriété que le syndic va installer une antenne de téléphonie mobile. Malgré les risques dont on parle pour la santé, peut-il nous imposer cette installation ? (Albertine V.,Créteil, 94)

Confort au premier plan

Confort au premier plan

Fort logiquement, le logement neuf, qui utilise les matériaux les plus performants et fait appel aux techniques de construction les plus modernes, affiche des résultats inégalés par l'ancien en termes de confort et de qualité.

Un marché conquérant

Un marché conquérant

Qualité, confort, modernité et “esprit vert” : les atouts du neuf continuent de séduire et malgré une conjoncture économique morose, les résultats du marché du logement ont encore progressé au premier trimestre 2006. Suivant les chiffres de la FPC, avec 32 765 logements vendus pendant ce trimestre, la variation annuelle s'établit à 8,9 % et la Fédération estime que le nombre de ventes pour l'année 2006 se situera dans une fourchette de 115 000 à 120 000 ventes. De bons résultats marqués cependant par de fortes disparités suivant les régions. Car si certaines enregistrent des progressions impressionnantes, comme le Languedoc- Roussillon où la commercialisation de logements neufs a bondi de 59 %, d'autres connaissent un net repli, comme la Normandie ou l'Ile-de-France, où l'activité chute de 16 %. Dans cette dernière région, le déficit foncier explique le rétrécissement du marché, l'activité du neuf dans les murs de la capitale étant réduite à une existence marginale et rencontrant de plus en plus de difficultés à trouver des terrains abordables, même en périphérie. Dans ces régions difficiles – Ile-de- France, Côte d'Azur – il faut espérer que les mesures visant à libérer du foncier contenues dans la loi d'Engagement National pour le Logement récemment votée, porteront leur fruit.

3 questions à Daniel Cresseaux – Directeur Qualité chez Vinci Immobilier

3 questions à Daniel Cresseaux – Directeur Qualité chez Vinci Immobilier

“Nous évoluons vers un plus grand confort d'utilisation des logements neufs"

L’avis de Nelly Ollin - Ministre de l'écologie et du développement durable

L’avis de Nelly Ollin - Ministre de l'écologie et du développement durable

“En tant que ministre de l'écologie, je constate que le secteur du bâtiment est à l'origine de 40 % de la consommation d'énergie et de 25 % de l'émission de CO2 dans notre pays. L'efficacité énergétique des bâtiments s'est améliorée, mais bien des progrès restent à accomplir si nous voulons atteindre l'objectif d'une division par 4 des émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2050. La démarche HQE répond à l'ensemble de ces défis. Parce qu'elle s'adresse à la fois à l'éco-construction, à l'éco-gestion, au confort et à la santé, elle offre ses bénéfices à l'ensemble des citoyens. Dans le domaine de l'habitat individuel, les bénéfices de la démarche HQE sont multiples, avec notamment des économies substantielles sur les dépenses d'énergie, un confort accru pour les habitants, une moindre gêne pour l'ensemble des riverains du chantier, sans oublier bien sûr la préservation de notre environnement. La Haute Qualité Environnementale, et en particulier sa composante énergétique, la Très Haute Performance Energétique, devront être renforcées et davantage mises en oeuvre. Pour que ces aspects soient pris en compte par les acquéreurs dans le choix de leur logement, le gouvernement a mis en place depuis le 1er juillet, des diagnostics énergétiques pour la vente, qui seront étendus à la location à partir du 1er juillet 2007. Toute cession immobilière fera donc bientôt l'objet d'un diagnostic énergétique. J'insiste sur cette mesure car elle constituera une véritable révolution pour tous.”

Fiscalité avantageuse

Fiscalité avantageuse

Côté finances, l'immobilier neuf présente des avantages non négligeables. Outre la possibilité de bénéficier du prêt à 0 %, il convient de préciser que les frais d’acquisition sont réduits à la seule taxe de publicité foncière, la TVA étant déjà incluse dans le prix annoncé. Frais de notaire compris, la facture ne dépasse pas 2 à 3 % du prix d’achat, contre environ 7 % pour un logement ancien.

Au goût du jour : tendance immobilière

Au goût du jour : tendance immobilière

Comme tous les créateurs dans quelque domaine que ce soit, les promoteurs prennent en compte les “tendances” actuelles dans la conception de leurs logements. “Je crois que l'atout essentiel du neuf est la prise en compte des besoins actuels. Nous construisons des logements adaptés à leur époque. D'une manière générale, nous sommes attentifs à la conception, aux matériaux utilisés, aux garanties qu'ils offrent. Mais notre réflexion tourne également beaucoup autour des modes de vie actuels. Nous nous demandons par exemple où placer l'espace informatique, convivial dans le séjour ou plutôt dans les chambres ?” déclare Marc Pigeon, PDG de Roxim. C’est ainsi que l’on voit fleurir dans les programmes neufs, les terrasses ou balcons suffisamment spacieux pour qu’on puisse y prendre un repas ou s’y reposer. Les cuisines se font pièce à vivre à part entière, assez grandes pour accueillir un coin-repas refuge de toute la famille, ou carrément ouvertes sur le salon. Bref, de l’équipement de la salle de bains en passant par la place de parking, voire la double place, sans oublier les systèmes multi-connexion à haut débit, les programmes neufs intègrent les besoins d’aujourd’hui.

3 questions à PHILIPPE NICOLET - Président du Groupe Réside Etudes

3 questions à PHILIPPE NICOLET - Président du Groupe Réside Etudes

“La résidence avec services représente un investissement immobilier sécurisé”

Forte demande pour les résidences

Forte demande pour les résidences

“La demande en logements étudiants est élevée et non satisfaite par le secteur public” constate le bureau des élèves de la faculté de Jussieu. En effet, plus de la moitié des 2 millions 250 mille étudiants ne vivent plus chez leurs parents. Ce ne sont pas les 150 000 chambres gérées par le Crous qui peuvent répondre aux besoins ! Dans ce contexte, les résidences offertes par le secteur privé remportent un franc succès et leur construction s'accélère : 8 000 nouveaux logements en 2005, 10 000 en 2006 et 12 000 prévues pour l'an prochain. Autre signe de prospérité pour ce secteur : de plus en plus de grands noms de la promotion “classique” s'y engagent, comme Eiffage, Icade par l'intermédiaire de sa filiale Eurostudiomes, Financière Rive Gauche, Nexity ou encore Kaufman & Broad, Promogim ou Bouwfonds Marignan. “L'investissement en résidence étudiante obéit à une seule règle : choisir un bon emplacement, près des campus ou, dans les grandes villes comme Paris ou Lyon, près des transports en commun” estime le gérant d'une de ces résidences en banlieue parisienne, tout près du campus de Marne-la-Vallée.