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Tous les conseils en Immobilier

Pénalités de retard : le minimum légal

Pénalités de retard : le minimum légal

Le contrat que j’ai conclu pour la construction de ma maison prévoit des pénalités dues par le pavillonneur en cas de retard de livraison. L’un de mes amis prétend que celles-ci sont minorées par rapport à la loi. Y aurait-il un minimum prévu ? (Renaud P.,Poitiers, 86)

Ajuster projet de vie et investissement

Ajuster projet de vie et investissement

Le choix du lieu dépend aussi grandement de l’objectif de l’investissement : s’agit-il de générer des revenus complémentaires sur la durée de la location, ou de se constituer une retraite ? Est-ce un patrimoine dont on souhaitera jouir plus tard, que l’on voudra revendre pour récupérer son investissement ou transmettre ? Lorsque l’on prévoit d’habiter son bien immobilier dans quinze ou vingt ans, mieux vaut penser tout de suite à investir dans un appartement ou une maison en accord avec son projet de vie. “Lorsque l’investisseur a une perspective de jouissance différée de son logement, il achète généralement sur des marchés attractifs comme les régions Paca,Languedoc- Roussillon ou la façade atlantique, note Jean-Jacques Toulgoat. Même si le logement va être loué pendant une longue période, il faut tout de suite le choisir avec une taille cohérente, en adéquation avec la vie quotidienne à laquelle on aspire : attention, donc, aux surfaces trop compactes.” Le projet à long terme doit être pensé avant l’investissement. “Il faut bien connaître les raisons immédiates qui vous poussent à investir, et cela ne doit pas être aussi basique que réduire ses impôts, conseille Norbert Desmard. Aujourd’hui, les clients investissent avec un vrai projet en tête : acquérir à terme une résidence secondaire, financer une passion.” Plus que jamais, l’investissement se fait bien dans la pierre, et non dans la réduction d’impôt que prévoient les dispositifs Borloo, Robien, les LMP ou LMNP (location meublée professionnelle ou non professionnelle), les lois Demessine ou Girardin pour l’Outre-Mer.

L’AVIS DE MICHEL WILLAEY, Directeur du développement de l’UMF

L’AVIS DE MICHEL WILLAEY, Directeur du développement de l’UMF

Indicateur Bertrand : Le marché de la maison individuelle est-il en repli ?

L’AVIS DE JEAN-FRANÇOIS GABILLA - Président de la FPC*

L’AVIS DE JEAN-FRANÇOIS GABILLA - Président de la FPC*

Indicateur Bertrand : À quoi le futur propriétaire doit-il prêter attention au moment de se décider ?

Créer des paysages urbains

Créer des paysages urbains

Dans l’oeuvre de Dominique Perrault, la bibliothèque François Mitterrand est l’arbre qui cache la forêt. Certains de ses projets sont internationaux, tels que le vélodrome et la piscine olympique de Berlin ou l’hôtel de ville d’Innsbruck. “Ce sont des paysages plutôt que des bâtiments, des ouvrages de grande dimension, complexes pour des clients publics qui le sont autant”, remarque le concepteur en évoquant le projet de Berlin se fondant dans un grand parc de pommiers. En décembre, s’achèvera la cour européenne de justice à Luxembourg puis, l’été prochain, le tennis stadium à Madrid. À nouveau reviennent des projets en France : palais des sports à Rouen, hôtel d’agglomération à Perpignan, immeuble de bureaux sur la Zac Seguin-Rive de Seine pour Vinci Immobilier, habitat à Lille pour Icade, adaptation de la bibliothèque aux performances du développement durable. Dominique Perrault a choisi l’architecture plutôt que la peinture pour rassurer la famille d’ingénieurs dont il est issu. Sans regret, il se dit “comblé par l’architecture”. Pas de violon d’Ingres caché ni de refoulement dans sa vie, donc. Juste des projets à forte personnalité, hors mode. Une soixantaine d’entre eux forment l’exposition d’été du Centre Georges Pompidou.

L’AVIS DE JEAN-LUC PRONIER Président de la FPC de Normandie

L’AVIS DE JEAN-LUC PRONIER Président de la FPC de Normandie

Jean-Luc Pronier : La Normandie s’inscrit dans le contexte national d’accalmie. Le mouvement s’était amorcé en 2007, il se confirme en 2008 avec moins d’autorisations de construire, de commercialisations, de ventes et de mises en chantier. Il peut être plus sensible par endroits dans notre région, où les volumes de production sont limités, entre 700 et 800 logements par trimestre, soit 1 500 à 2 000 logements par an. Cette pause me semble plutôt saine, elle témoigne de la capacité d’adaptation des promoteurs. La demande reste soutenue. Le niveau de stocks, en légère augmentation, demeure assez faible dans la région. La difficulté consiste à sortir de nouveaux biens, en adéquation avec les capacités financières des acheteurs investisseurs ou occupants. Ceux-ci sont contraints par un niveau de prix assez élevé dans les centres et la politique des banques, qui exigent des apports personnels et des revenus plus conséquents pour accorder des prêts immobiliers. Je pense que les prix vont se stabiliser. En revanche, la mise en place de la production future est préoccupante. Alors que les prix doivent stagner, le coût de la production continue de grimper. On peut agir sur le foncier, dont l’escalade des prix avait été entretenue par les promoteurs et les propriétaires fonciers. Les entreprises de construction, en proie à une légère baisse d’activité, vont aussi être mises en concurrence, mais elles-mêmes sont soumises à des impératifs et des pressions. En revanche, le coût des matières premières continue d’augmenter. Et l’application des normes législatives en matière d’accessibilité et de développement durable va représenter un surcoût de 15 à 20 % sur les années à venir. La proposition d’appliquer la dissociation entre le financement du foncier et du bâti, en cours pour l’individuel, a récemment été refusée pour le collectif. Ce type de décision n’est pas très cohérent dans le contexte actuel.

Où construire demain en Ile-de-France?

Où construire demain en Ile-de-France?

Réaliser quelque 60 000 logements par an, dont 20 000 sociaux : tels sont les objectifs du schéma directeur de la région Ile-de- France (SDRIF) pour les vingt ans à venir. Un chiffre ambitieux en comparaison du médiocre résultat de l’an passé (38 000 logements), mais réaliste car la pénurie sévit en région parisienne. Près de 400 000 personnes ont demandé un logement social, dont plus de 100 000 à Paris. Pis, les Franciliens angoissent. Un sondage, réalisé par la Région en mars, révèle que 85 % d’entre eux estiment “difficile de trouver un logement en Ile-de-France”. Les plus inquiets sont les Parisiens (90 %) et les ouvriers (92 %). Tous s’accordent à dire qu’il faut construire davantage, mais où ? Le SDRIF préconise la zone dense, c’est-à-dire la première couronne et ses bordures, afin de rapprocher l’emploi et l’habitat. Pour sa part, le conseil en stratégie immobilière Adéquation recommande “les moyenne et grande couronnes”, où les tarifs immobiliers conviennent au budget de la majorité des acquéreurs. Une enquête d’Adéquation, réalisée pour le Snal, le syndicat des lotisseurs, conclut à la distorsion entre l’offre et la demande. Les chiffres en sont témoins : 67 % de la demande porte sur les gammes abordables, à 2 800 €/m2, et intermédiaires, à 3 000 €/m2. Or, l’offre correspondante s’élève à 41 %. A contrario, 33 % de la demande sollicite du moyen et haut de gamme. L’offre est de 59 %.

François Jouven - Président du groupe Akerys

François Jouven - Président du groupe Akerys

Indicateur Bertrand : Comment se positionne votre groupe dans les différents métiers liés à l’immobilier ?
François Jouven : Le groupe Akerys est un acteur de référence sur le marché de l’épargne et de l’immobilier, avec l’investissement locatif comme spécialité. Notre activité repose sur quatre grands métiers, avec la volonté de suivre l’investisseur tout au long de son projet. En premier lieu, nous sommes un promoteur, avec 12 000 logements en construction dont 85 % sont déjà réservés et 70 % actés, sur tout le territoire français, dédiés majoritairement à l’investissement locatif et à l’accession sociale à la propriété. Des réseaux indépendants de conseillers en patrimoine, avec qui nous sommes associés, proposent nos logements à la vente et mettent leur expertise au service de nos clients. Depuis le 1er juillet, l’offre d’Akerys intègre une garantie de loyer dès la date de livraison du bien, et ce jusqu’à l’entrée dans les lieux du premier locataire, sans qu’aucune franchise ne soit appliquée. Nos services immobiliers viennent logiquement compléter ce dispositif. Nous gérons aujourd’hui près de 700 résidences, dont une centaine pour des promoteurs concurrents avec lesquels nous travaillons. Des équipes de proximité nous permettent d’être réactifs, tant dans la recherche des locataires que dans le suivi et l’entretien des résidences. Enfin, nous sommes aussi distributeurs de produits financiers, à travers notre pôle Akerys Capital. Au total, nous nous sommes organisés pour accompagner nos 50 000 clients investisseurs, ainsi que leurs locataires. La progression de leur satisfaction est mesurée par les enquêtes que nous réalisons chaque année avec BVA.
I.B. : Quels sont vos programmes résidentiels les plus emblématiques ?
F. J. : Difficile de faire un choix parmi les quelque 600 résidences déjà réalisées ou en cours de commercialisation… J’ai en tête la résidence La Lutèce, à Garges-les-Gonesses (95) qui propose des appartements et des villas au sein d’espaces paysagers. J’ajoute que cette résidence vient de recevoir le label Habitat et Environnement. J’ai bien aimé aussi la résidence étudiante Thalès, à Toulouse, à 10 minutes à pied du Campus Paul Sabatier. Elle offre tous les avantages susceptibles de faciliter la vie des étudiants. À Antibes, j’ai visité récemment la résidence La Peyregoue, proche du centre-ville, qui vient d’accueillir ses locataires. C’est une petite copropriété, aérée et sans vis-à-vis. Les derniers étages, avec vue sur mer, disposent de grandes terrasses. Dans un tel cadre, il est facile d’imaginer à quel point il a été aisé de trouver rapidement des locataires.
I.B. : Quel regard portez-vous sur le marché du logement ?
F. J. : L’évolution est inquiétante. Pour la première fois, experts et politiques s’accordent à dire qu’il faut construire 500 000 logements pour faire face à la croissance du nombre de ménages et rattraper le retard accumulé. Or, le nombre de logements mis en chantier diminue : de 435 000 en 2007, on va passer à 350 000 en 2008 ; et 2009 puis 2010 vont voir cette déperdition s’accélérer. Nous allons avoir une offre insuffisante, avec la tension que cela induit sur les loyers. Le fait que quelques micro-marchés soient saturés, en accession à la propriété comme en investissement locatif, masque encore ce phénomène. Les hausses des prix ont été trop fortes – 140 % en 10 ans sur l’ancien, 75 % sur le neuf – et sont le signe d’un fossé grandissant entre l’offre et la demande : les besoins sont là, mais la demande solvable ne suit pas. Le marché va peu à peu se bloquer : parcours résidentiel plus difficile, mobilité géographique moins facile, passage du secteur social au parc privé découragé… Bref, la fluidité du marché va encore chuter. La commission Attali a montré que dans le logement, l’État devait reprendre la main. En effet, la stimulation de la construction, toutes catégories confondues, ne se fera pas sans une initiative politique forte.

L’atout confort du neuf

L’atout confort du neuf

Des réglementations de plus en plus exigeantes, des matériaux et techniques de construction de plus en plus performants : le neuf a aujourd’hui plusieurs longueurs d’avance sur l’ancien.

Les meilleurs crédits jeunes

Les meilleurs crédits jeunes

Alors que les prix de l’immobilier stagnent ou baissent légèrement, les taux de crédit, eux, remontent franchement. Si vous avez un projet immobilier en tête, voici les règles pour bien acheter.

Initiative - Réparer la planète

Initiative - Réparer la planète

Imaginez un monde dans lequel chaque maison génère de l’électricité, chaque quartier produit son eau, chaque mur dépollue l’air... Loin de céder à l’habituel pessimisme du discours écologique, les auteurs du livre “Réparer la planète, la révolution de l’économie positive” (éd. JC Lattès) ont voulu donner de l’espoir. Maximilien Rouer et Anne Gouyon se placent dans le concret, avec une obsession : protéger l’environnement ne suffit plus, il faut réparer ce qui a été détruit. Dans ce livre pratique, ils montrent que cela est possible. Au fil de 360 pages illustrées de dizaines d’exemples, ils déclinent les grands enjeux d’aujourd’hui : par quelles techniques retrouver un climat stable, renouveler les sources d’énergie, les ressources naturelles, etc. Le message est clair : les solutions existent, il ne tient qu’à nous de les mettre en oeuvre !

Acoustique et thermique, les meilleurs ennemis ?

Acoustique et thermique, les meilleurs ennemis ?

Concilier confort thermique et acoustique, ce n’est pas toujours évident ! En effet, les performances de l’un se font parfois au détriment de l’autre. D’où l’importance d’avoir une vision globale, en anticipant l’impact acoustique d’un isolement thermique, et vice versa. Tous ces aspects doivent être pris en compte dès la conception, et les différents corps de métier doivent travailler de concert pour ne pas détériorer l’isolation. La facture grimpe rapidement, s’il faut, par la suite, rattraper des erreurs. Certains doublages thermiques (comme les isolants en mousse cellulaires) sont, par exemple, défavorables à l’acoustique. En revanche, les laines minérales ou le polystyrène expansé élastifié sont parfaits pour concilier les deux exigences. Ventilation double flux, rupteur de pont thermique et triple vitrage sont autant de solutions développées pour améliorer la performance énergétique des bâtiments. Si elles atteignent parfaitement ce but, leur confort acoustique n’est hélas pas toujours à la hauteur. Concernant les systèmes de ventilation double flux, les professionnels du secteur s’interrogent actuellement sur l’opportunité de créer une marque de qualité pour ce type de produits, incluant notamment les performances acoustiques. Par ailleurs, la Direction générale de l’urbanisme, de l’habitat et de la construction (DGHUC) a demandé au CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment) de rédiger un guide sur le sujet à destination de l’ensemble des acteurs de la construction. L’étude, qui vient juste de démarrer, devrait être disponible dans un an environ.

Nouvelle génération - Des maisons pleines de ressources

Nouvelle génération - Des maisons pleines de ressources

En janvier dernier, EDF donnait le coup d’envoi du concours d’architecte “Maison bas carbone et ENR”. Objectif affiché : récompenser l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables. Plus de 160 candidats ont relevé le défi ambitieux de promouvoir une nouvelle génération de logements, conjuguant innovation architecturale, performance énergétique et utilisation des énergies renouvelables, afin de réduire au maximum les émissions de CO2. Au final, trois équipes lauréates ont tiré leur épingle du jeu. Dans la catégorie “Maison entrée de gamme”, le modèle en bois “Casacarbone” a séduit le jury avec son architecture bioclimatique, son insert bois, son solaire thermique et son appoint électrique pour la production d’eau chaude. Dans la catégorie “Maison de 150 m2”, la “Light House” s’est distinguée avec ses matériaux nouveaux et ses assemblages inédits (panneaux polycarbonate et aérogel de silice). Enfin, dans la catégorie “Bâtiment résidentiel collectif”, la “Basic carbon” a récolté tous les suffrages. Conçue pour le climat du Sud, elle propose deux bâtiments facettés comme des diamants, traversés par la lumière et des mouvements d’air rafraîchissants, tout en garantissant uneprotection contre le soleil en été. Bref, le confort assuré 365 jours par an.

Du neuf qui dure

Du neuf qui dure

Dans le cadre d’un investissement locatif, le neuf présente de nombreux avantages par rapport à l’ancien. À l’entrée dans les lieux, le logement ne nécessite ni travaux de remise en état ni rafraîchissement, et il se dégradera moins vite dans le temps. De plus, l’immobilier neuf bénéficie des toutes dernières normes et obligations en vigueur, comme la réglementation thermique 2005 (RT2005), qui doit garantir une meilleure performance énergétique du bâtiment. Les logements neufs sont également soumis au diagnostic de performance énergétique (DPE), obligatoire pour tous les bâtiments dont la date de dépôt du permis de construire est postérieure au 30 juin 2007. Il en résulte l’attribution d’une étiquette énergie, qui classe les logements de A à G, du meilleur au moins bon. “Le diagnostic, qui doit être effectué dès que le logement est construit, se détermine en fonction des matériaux utilisés et de l’isolation, notamment. Il constitue un véritable critère de qualité pour un immeuble lorsque son résultat est bon, souligne Dumont Saint Priest, délégué général de la Fédération interprofessionnelle du diagnostic immobilier (Fidi).

Lyon - un habitat écologique

Lyon - un habitat écologique

Dans ces conditions, rien d’étonnant à ce que le marché immobilier neuf ait de l’entrain. En trois ans, sur l’agglomération et ses alentours, plus de 13 000 réservations et 17 000 mises en vente ont été effectuées, avec un taux de renouvellement de 128 %. Bien avant le Grenelle de l’environnement, l’urbanisme s’est caractérisé par son respect de la planète. Par exemple, la Zac des Hauts de Feuilly, créée il y a dix ans à Saint-Priest, est devenue la vitrine de l’habitat durable en mêlant des formes innovantes, individuelles ou en petit collectif. En juin, MCP Promotion a inauguré sur le site “la première maison passive de France,réalisée par la promotion privée”, selon ses mots. L’ouvrage privilégie le bois en façade et une conception bioclimatique en phase avec les paramètres naturels (lumière, vent, soleil…). Intégrant des panneaux solaires, il nécessite“un budget en énergie et en eau jusqu’à dix fois inférieur à celui d’une maison traditionnelle des années 1975”, précise le constructeur. Restés assez abordables pour ce type de produit, les tarifs vont de 380 000 à 500 000 euros sur les 31 lots qui viennent d’être mis en vente avec maison témoin. Autre exemple : les immeubles des îlots A, B et C de La Confluence obéissent aux impératifs environnementaux, à la fois du référentiel de qualité environnementale du Grand Lyon et du programme européen Concerto. Fonctionnant à partir de 80 % d’énergie renouvelable, les bâtiments ont recours au solaire et aux chaufferies à bois. Par rapport à la moyenne nationale, leurs besoins d’énergie se réduisent de moitié. Les appartements sont commercialisés 4 250 €/m2 en moyenne, pour ce qui est de Saône Park.

L’AVIS DE VINCENT HAAS Président de la FPC* Aquitaine-Poitou-Charentes

L’AVIS DE VINCENT HAAS Président de la FPC* Aquitaine-Poitou-Charentes

Indicateur Bertrand : Comment percevez-vous le marché régional ?