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Actualité

Marché immobilier de la revente : des interrogations

Marché immobilier de la revente : des interrogations

Sur le plan national, le secteur de la revente a connu au premier semestre 2008, d’après les chiffres du Conseil supérieur du notariat, une baisse des volumes sur l’ensemble des métropoles françaises de l’ordre de 25 %. Parallèlement à cela, la stabilité des prix – voire, dans certains secteurs, leur légère baisse – a marqué les transactions, quelles que soient les tranches de prix observées. Bien que datant d’avril 2008, la plus récente des publications de la Chambre des notaires de l’Hérault, offre un éclairage intéressant sur la situation de l’agglomération montpelliéraine. Pour le département de l’Hérault, selon la Chambre des notaires de l’Hérault-Perval, le prix au m2 était de 2 431 € pour les appartements au premier trimestre 2008 et le prix moyen de 227 800 €pour les maisons anciennes. Si, sur le marché de l’habitat individuel, Montpellier se classait, en 2003, 8e parmi les villes de province de plus de 100 000 habitants, la ville retombait à la 12e position en 2007.

L’AVIS DE ÉVELYNE DESSEREY - Gérante de Xenyt*

L’AVIS DE ÉVELYNE DESSEREY - Gérante de Xenyt*

Évelyne Desserey : L’offre de résidences avec services, mais aussi le nombre de clients désireux d’investir, ont considérablement augmenté ces derniers temps. Les prix d’appel – dans les résidences étudiantes, on peut trouver des lots pour moins de 100 000 euros – sont d’autant plus attirants. Même si le produit semble sûr, il faut rester vigilant. Tout d’abord dans le choix de l’emplacement : des résidences à la montagne où il n’y a jamais de neige, ou en pleine campagne où il n’y a pas de touristes, ça s’est déjà vu ! Puis, le gestionnaire doit être choisi avec soin, pour être sûr de toucher son loyer chaque mois. La résidence avec services constitue plutôt un investissement à long terme, qu’il ne faut pas prévoir de revendre rapidement. L’investisseur pourra récupérer la TVA dans les trois mois, mais il devra garder le bien vingt ans, s’il ne veut pas rembourser la TVA prorata temporis. Cependant, s’il veut ou doit revendre avant vingt ans, il peut toujours revendre à un autre investisseur qui s’engage à reprendre le bien en l’état. Une bonne façon de financer le produit est de prendre un crédit in fine, surtout dans le cadre d’un gros investissement de départ. Au terme du financement, l’investisseur pourra se verser un complément de revenu, et bénéficiera d’une défiscalisation sur une période longue, de 20 à 30 ans, après acquisition. Un produit bien fait et bien placé, garantit une excellente rentabilité financière à l’investisseur. C’est a priori plutôt un produit financier pur, sauf parfois pour la résidence de tourisme, où les acquéreurs prévoient de l’occuper une partie de l’année. Mais il faut savoir que dans ce cas de figure, cela fait baisser la rentabilité du bien.

TROIS QUESTIONS À PHILIPPE DE LONGEVIALLE Adjoint à l’urbanisme à Grenoble

TROIS QUESTIONS À PHILIPPE DE LONGEVIALLE Adjoint à l’urbanisme à Grenoble

“Nous allons créer 4 000 logements près du Polygone scientifique”

Grenoble : la vogue des écoquartiers

Grenoble : la vogue des écoquartiers

La capitale des Alpes a posé sa candidature aux jeux Olympiques de 2018. En attendant d’édifier des podiums, elle construit des écoquartiers tendance comme celui de Bonne, dont les bureaux à énergie positive ont été couronnés à la biennale du développement durable de la ville. Sur ce morceau de ville de 8 hectares, près de la ligne de tramway, sortiront du sol 850 logements à 50 kW/m2/an, un centre commercial de 15 000 m2, des résidences à thème (pour seniors ou étudiants), trois cinémas, un hôtel et une école. Les premiers habitants entrent dans les lieux, mais, fin septembre, les promoteurs avaient encore quelques disponibilités pour amateurs tardifs : lofts de plus de 100 m2 dans un bâtiment restauré de la caserne du site (Villes et Villages, 3 100 €le m2, livraison immédiate), appartements signés Jean-Paul Viguier (pour Nexity, 4-pièces duplex témoin en appoint). Sont également présents, Safilaf avec des lots au prix maîtrisé de 3 700 €le m2, Icade et Novalim. Ailleurs aussi, la programmation a de l’ampleur : 350 logements dans le quartier tendance et culturel Bouchayer- Viallet (dont le Patio de Bouygues Immobilier), 200 sur l’ancienne ganterie Perrin (Central Park de Meunier Rhône-Alpes, appartements à 92 kW/m2/an, façades à bardage bois pratiquement inédites à Grenoble), commercialisations de résidences Bernard Teillaud, Cogedim, Nexity, etc. La moitié de la production de l’agglomération se localise sur la ville-centre, au rythme de 700 à 800 logements par an. Intra-muros, les valeurs neuves affichent une moyenne dans les 3 700 € le m2 comparable à celle de Lyon, une fourchette basse de 2 500 €en accession sociale et une haute de 4 500 €. L’ancien cotait 2 480 € le m2, fin mai, selon la base de données Notaires de France. L’investisseur doit savoir qu’en 2007, la hausse des loyers a été quasi inexistante. Les 60 000 étudiants, plus nombreux qu’à Lyon, sont très demandeurs de petits logements. Toutefois, comme le souligne une étude du Crédit Foncier de France, “ils se tournent de plus en plus vers la colocation”. Un 90 m2, récent et bien situé, avec tennis et piscine, se loue très cher, 1 250 à 1 400 € par mois.

Seine-Maritime : du neuf côté ville et côté campagne

Seine-Maritime : du neuf côté ville et côté campagne

Rouen concentre une part importante de la production en Seine-Maritime. En bord de Seine, près de la place Saint-Marc, on peut opter pour un studio avec un budget de 116 500 euros au Cap Seine, affiché par Palm Promotion boulevard Gambetta. Le programme comprend de beaux volumes, avec des 4-pièces jusqu’à 144 m2. Les grandes surfaces sont aussi à l’ordre du jour du 50 Avenue de Caen. Ce dernier, construit par les Nouveaux Propriétaires au pied du métro et près du centre commercial Saint-Sever, dispose de plusieurs 4-pièces à partir de 108 m2 et des 5-pièces à partir de 104 m2 (269 000 euros). Proche de Rouen et accueillant le plus gros du pôle universitaire de la communauté urbaine, Mont-Saint-Aignan se renouvelle aussi : pour les familles entre autres, Nexity George V vient d’y lancer les Florilèges, un programme d’exception dans un parc arboré entre ville et forêt, bénéficiant de prestations hautement qualitatives.

Une pièce en plus

Une pièce en plus

Certains architectes innovent en proposant une “pièce en plus”, c’est-à-dire un espace sans affectation, qui anticipe de futurs besoins. Les choses ne sont pas figées. La maison est désormais “à géométrie variable”, s’adaptant à ce que l’avenir nous réserve. Un divorce, l’arrivée d’un troisième enfant, ou encore la grand-mère qui vient s’installer à la maison : autant de scénarios anticipés par cette pièce en plus. De son côté, le constructeur de maisons Phenix a lancé la gamme Tri-logis. Un modèle de maison qui évolue en fonction des besoins et des envies de toute la famille. On peut y passer d’une atmosphère à l’autre au gré de ses envies. Installer un appartement pour l’aîné ou pour accueillir un parent âgé, créer son bureau, s’offrir le luxe d’une vraie salle de sports, de loisirs, de jeux, son home cinéma... Tout y est possible. “Votre rêve à l’abri du hasard”, voilà l’argument marketing de cette nouvelle maison. Elle rassemble sous le même toit non plus des séjours ou des chambres, mais des espaces de vie qui communiquent entre eux de façon ouverte et libre. L’ensemble formant à peu près trois logis individuels, que chacun des habitants peut interpréter et aménager à sa guise, de plain-pied ou en duplex. Ultracontemporaine et lumineuse, l’ambiance ressemble à celle d’un loft. Plus que jamais, la modularité de l’habitat devient une notion essentielle, surtout en ce qui concerne les familles recomposées. Car passer de trois à la maison en semaine, à cinq un week-end sur deux, cela n’est pas anodin. Non figé, cet habitat propose notamment un système très pratique de cloisons amovibles. Désormais, les acquéreurs potentiels ont un seul impératif : que leur logement puisse évoluer en même temps qu’eux. Et dans ce domaine, le neuf relève le défi haut la main. Victoire par K.-O. sur l’ancien !

Valence mijote un plan local d’urbanisme

Valence mijote un plan local d’urbanisme

Au cours des deux dernières années, la production neuve a été multipliée par trois dans le secteur de Valence, fort d’une vingtaine de communes. Des programmes, bien placés, sont en vente dans ou près de l’avenue Victor-Hugo, où se trouve la fameuse maison Pic, le restaurant trois étoiles (Bouygues Immobilier, Nexity, Diagonale). Au 1er trimestre, le prix moyen du neuf s’élevait à 2 800 €le m2 dans Valence et ses alentours. D’après le Crédit Foncier, il s’agit d’un “plafond” qui devrait “se stabiliser,d’autant que le marché est suroffreur”. Le tarif de l’ancien (1 530 € le m2) pourrait “s’infléchir dans de faibles proportions, beaucoup de produits à la vente étant obsolètes ou inadaptés à la demande”. Des évolutions encore plus notables pointent à l’horizon, dictées par la nouvelle équipe municipale. “Nous ne changerons pas que la couleur de la façade, ironise André Solnais, l’adjoint à l’identité urbaine et aux grands travaux structurants, par ailleurs architecte. Notre maître mot est de reconstruire la ville sur elle-même, pour freiner les lotissements de périphérie”. Tandis que l’embellissement des grands boulevards touche à sa fin, de grands aménagements se profilent déjà à l’horizon : programmes mixant économie et habitat dans le centre-ville, où le quart des terrains est récupérable ; requalification des berges, dont enfouissement de l’autoroute “selon la configuration d’Angers” ; dépôt d’un 2e dossier auprès de l’Anru en faveur de Valence-le-Haut, le précédent ayant été retoqué. Le projet urbain sera consigné dans un Plan local d’urbanisme (PLU), élaboré dans les deux ans. “Valence n’a jamais eu ni PLU, ni Scot (Schéma de cohérence territoriale), ni PLH (Programme local de l’habitat), puisqu’elle n’a pas non plus de communauté d’agglomération”, déplore l’adjoint.

Maison HQE® - Élève modèle

Maison HQE® - Élève modèle

Le 20 septembre dernier, la place Denfert- Rochereau (Paris 14e) assistait au coup d'envoi d'un chantier unique. L'architecte Philippe Pascal, et son cabinet Art'Ur, ont imaginé une maison individuelle qui respecte les quatorze cibles de la HQE® (Haute Qualité Environnementale). Baptisée La Maison 14, elle aura sa propre serre bioclimatique, pour prolonger l'ambiance végétale de la place, filtrer l'air extérieur, et jouer le rôle d'écran acoustique. Construite en bois, elle sera passive au niveau énergétique. Panneaux solaires thermiques et photovoltaïques, pompe à chaleur, triple vitrage, récupération des eaux de pluie, isolation avec de la laine de bois... 555 m2 d'exemples à suivre pour être l'élève modèle de la classe écolo ! Pour en savoir plus : www.lamaison14.com

L’AVIS DE JEAN PICARD Président de la communauté d’agglomération de Villefranche-sur-Saône

L’AVIS DE JEAN PICARD Président de la communauté d’agglomération de Villefranche-sur-Saône

Indicateur Bertrand : Quels aménagements projetez-vous pour l’agglomération ?

Transférer son prêt à 0 % sur une nouvelle acquisition

Transférer son prêt à 0 % sur une nouvelle acquisition

Mon mari est muté dans le Sud de la France.Nous nous trouvons donc dans l’obligation de vendre notre maison, acquise avec un prêt à 0 %.Dans quelles conditions le transfert de ce prêt estil possible par rapport à une nouvelle opération ? (Marie A.,Franconville,95)

Henry Buzy-Cazaux - Délégué général de la FNAIM

Henry Buzy-Cazaux - Délégué général de la FNAIM

Indicateur Bertrand : La Fédération nationale de l’Immobilier (FNAIM) annonce la baisse des prix de l’immobilier ancien de 2,9 % au 3e trimestre. Vous attendiez- vous à ce repli ?
Henry Buzy-Cazaux : Oui, parce que nos données mensuelles avaient fait état d’une baisse des prix en juillet et en août, confirmée en septembre. Ce repli est maintenant clairement avéré, alors qu’il se montrait plutôt erratique au cours du 1er semestre. Nous savions depuis longtemps que le niveau des prix était en décalage par rapport à la solvabilité des ménages, et qu’il aurait pour effet de tempérer les augmentations et d’infléchir le marché à la baisse. C’est un phénomène normal de fin de cycle. Par contre, nous ne nous attendions pas au resserrement du crédit. En mai et juin, nous avons constaté un revirement des banques, dont l’attitude a été beaucoup plus restrictive dans la distribution des prêts. Cela a eu pour conséquence de redresser l’activité immobilière à partir d’une moindre fréquentation des agences et de “casse” – pour emprunter une expression de négociateur, c’est-à-dire de ventes qui n’aboutissent pas, faute d’obtention de financement.
I.B. : Sur quels segments se situe particulièrement la “casse” ? Sur les grands logements et les maisons, dirait-on ?
H.B.-C. : Il est délicat de tenir un discours unique à ce sujet, car des disparités régionales apparaissent. Mais nul ne peut nier que la réticence des banques se manifeste surtout par rapport au financement des opérations les plus onéreuses, à hauteur de 450 000 à 500 000 euros. Par conséquent, les appartements des grandes villes, comme Paris, et les maisons sont les plus concernés.
I.B. : Vos adhérents ont-ils des clients qui rencontrent des problèmes avec leurs prêts-relais ?
H.B.-C. : Ce phénomène est beaucoup moins répandu dans les agences immobilières que sur le marché de particulier à particulier, car l’agent immobilier a pour mission de trouver le prix d’équilibre de la vente. Vis-à-vis du vendeur, ce rôle est didactique, d’autant que les négociations deviennent plus âpres à mesure que le marché se durcit. L’agent immobilier a pour métier, et il le fait très bien, d’inciter les vendeurs à la modération. En professionnel du flux, il ne peut pas se payer le luxe de garder trop longtemps un bien en vitrine – si celui-ci n’est pas vendu au bout de 18 mois, c’est souvent en raison de son prix. Les produits anciens se situent dans la partie dense du patrimoine, centre-ville ou proche périphérie, et n’ont pas de gros défauts rédhibitoires.
I.B. : Quel niveau de remise peut espérer l’acquéreur ?
H.B.-C. : Tout dépend si, à l’origine, le prix a été ou non fixé à sa juste valeur. Un bien mal évalué et présenté depuis 6, 8 ou 9 mois, pourrait ainsi subir une décote de 10 à 15 %. Ce cas de figure n’est pas rare. Quand le mandat a été bien pris, mais avec des visites insuffisantes, le prix peut être corrigé de 2 à 3 % au bout de trois mois.
I.B. : Pensez-vous que cela ira plus loin ?
H.B.-C. : Si les banques n’étaient plus au rendez-vous, l’économie serait bloquée, dont le marché immobilier en premier lieu. Nous vivons une période tellement folle que nous n’excluons pas cette sombre hypothèse. Mais ce scénario peut être évité à l’aide d’outils, comme la baisse des taux d’intérêt et les mesures en faveur de l’accession sociale, par exemple. Je pense que nous finirons l’année avec une baisse des prix de 5 à 6 %, qui pourrait se prolonger au même niveau en 2009. Cela induit une fourchette large de 10 à 15 % sur 18 mois, puisque le 1er semestre n’a pas enregistré de baisse. Cette érosion en pente douce pourrait permettre la resolvabilisation des acquéreurs.
I.B. : Comment les agences immobilières résistent-elles dans cette conjoncture ?
H.B.-C. : Les agences, comme les études notariales et les promoteurs, vont être touchées. Mais cela ne fait que 3 à 4 mois que leur activité est affectée, alors que leur capacité de résistance joue sur plusieurs mois, notamment en ajustant la variable de l’emploi. En général, la profession, et non les adhérents de la FNAIM, ont recours à 70 % d’agents commerciaux. Les agences ont également la possibilité de réduire leurs investissements, tels que la publicité et la formation. La FNAIM va d’ailleurs mettre en place une cellule, dans le but d’aider ses adhérents à choisir les meilleures solutions.
I.B. : Malgré tout, l’immobilier reste-t-il un bon investissement ?
H.B.-C. : Plusieurs de nos adhérents sont consultés par des clients paniqués, qui veulent convertir en immobilier leurs liquidités ou leur portefeuille d’actions. Ceci prouve bien que, quelles que soient les circonstances, il existe toujours un fond de confiance envers la pierre. L’immobilier est et restera un marché soustendu par le besoin. Une famille aura toujours l’obligation de se loger, de s’agrandir… Un tel investissement rime avec plus-value, la seule condition étant de garder le bien au-delà de 6, 7, voire 12 ans. Et s’il s’agit d’une résidence principale, cette plus-value n’est pas imposable. L’immobilier demeure le moyen sûr d’asseoir sa situation financière.

Boulogne : la Parisienne du 92

Boulogne : la Parisienne du 92

Là où coule la Seine et passe le métro, c’est encore Paris. Tel est le cas de Boulogne, que les Boulonnais ne quittent que pour… Boulogne ! “Quand les clients déménagent,c’est bien souvent pour s’installer dans la même rue, commente un négociateur. Ainsi,ils peuvent suivre les travaux de leur futur immeuble au jour le jour.” La ville possède, il est vrai, plus d’une corde à son arc pour retenir ses habitants, à commencer par un enseignement de qualité, des espaces verts en quantité comme les jardins Albert-Kahn et le bois de Boulogne, 80 000 emplois et deux lignes de métro. Parmi les nouveaux habitants, des Parisiens du 16e arrondissement, attirés par l’esprit familial de la ville, élisent plutôt domicile dans le nord, au caractère neuilléen. De jeunes couples sans enfant, également de Paris mais aussi des Hauts-de-Seine, optent, quant à eux, pour le sud, moins onéreux.

Logement neuf : les vrais chiffres

Logement neuf : les vrais chiffres

Sur l’agglomération de Montpellier, on comptait 98 programmes commercialisés au 2e trimestre 2008, soit 1 128 logements disponibles. Parmi ces derniers, 8 % se situaient en entrée de gamme à des prix inférieurs à 2 700 € le m2, et 24 % en haut de gamme, au-delà de 3 600 €le m2. Au sein de cette offre, la plupart des biens sont des 3-pièces (45 %), suivi de près par les 2-pièces (36 %). Quant à l’orientation géographique de l’offre, elle se partage entre Montpellier est (23 %), nord-ouest (23 %), sud (21 %), ouest (15 %) et centre (11 %), ce qui montre une bonne répartition des opérations en cours de commercialisation sur le territoire de l’agglomération. Pour essayer de comprendre l’évolution de ce marché et l’impact de la conjoncture sur son fonctionnement, il est intéressant de l’intégrer dans une logique plus large. C’est ce qu’Adéquation a présenté le 10 septembre dernier, lors d’une conférence organisée au Palais des Congrès de Lyon, sur “La crise : raison, importance et durée”.

La maison écoperformante

La maison écoperformante

Constructeur de maisons individuelles dans tout le Grand Ouest, Maisons de l’Avenir propose un concept de maison plus économique et plus écologique.

Entrepreneur responsable, mais pas coupable

Entrepreneur responsable, mais pas coupable

Une fois installés dans notre maison à peine construite, nous avons constaté de nombreux dégâts, qui ont donné lieu à une expertise concluant à de mauvaises soudures. Notre entrepreneur s’exonère de toute responsabilité, mettant en cause celle d’un sous-traitant, qui refuse tout contact avec nous.Que faire ? (Anne et Pierre L., Clermont-Ferrand, 63)