Tous les conseils en Immobilier

Le salon national de l'immobilier à Paris
Rendez-vous incontournable de la pierre et de ses marchés, le Salon national de l’immobilier se tiendra du 11 au 14 avril porte de Versailles. L’occasion d’y rencontrer 250 professionnels.

L’AVIS DE LAURENT VIALET, Président de la région Ile-de-France/Oise de l’UNEP*
Indicateur Bertrand : L'UNEP vient de publier l'étude "Attentes et usages des Français en matière d'espaces verts". Qu'en ressort-il à propos des Franciliens ?

Les prix : 36 poids, 36 mesures
Les prix, à propos, où en sont-ils ? Comme Kaufman & Broad, des promoteurs ont repositionné leur grille de tarifs en renégociant le foncier, les divers corps d'état...

Hubert Falco, secrétaire d'Etat chargé de l'aménagement du territoire
À l'occasion de l'exposition “Habiter écologique”, présentée jusqu'au 1er novembre à la Cité de l'architecture et du patrimoine, Hubert Falco fait le point sur des initiatives pour aménager durablement le territoire. Indicateur Bertrand : Quelles sont vos impressions sur l'exposition “Habiter écologique” qui dévoile notamment des opérations exemplaires d'habitat durable ? >Hubert Falco : J'invite chacun à la visiter. Il est urgent d'apporter des repères pour les élus, les prescripteurs, les hommes de l'art, et pour chacun d'entre nous. Cette exposition montre que des voies sont possibles. I. B.:Quel lien faites-vous avec vos responsabilités en matière d'aménagement du territoire ? >H.F. :Habiter de manière plus écologique se joue à petite échelle, dans le choix des matériaux, l'agencement des pièces du logement et l'implantation du bâtiment sur la parcelle. Cela se joue aussi à échelle moyenne, dans l'inscription du bâtiment dans son environnement de vie et de services : proximité des transports en commun, des services publics. Et puis, cela joue à grande échelle. Les choix, que l'on pose en termes d'infrastructures et d'équipements métropolitains, ont des conséquences sur la manière d'habiter et sur “l'empreinte écologique” de l'habitat. Cela encourage à inscrire cette préoccupation de l'habitat écologique dans une démarche plus globale de “projet territorial” de développement durable. C'est ce que je cherche à promouvoir avec l'action en faveur des “Scot projet”. Il faut une approche qui ne dissocie pas les services de l'habitat, les équipements de la qualité de vie et des paysages. I. B. : Est-ce dans ce sens que vous faites travailler ensemble de jeunes professionnels dans le cadre des ateliers territoriaux du Grenelle ? >H. F. : Le développement durable, dont Jean-Louis Borloo a fait une priorité à travers le Grenelle de l'environnement, n'est pas une mode, mais une approche différente de la vie publique. Nous devons développer une nouvelle “intelligence de l'espace”. C'est un défi considérable ! Ainsi, en m'appuyant sur une dizaine de territoires urbains et ruraux volontaires et surtout sur l'imagination et l'audace de futurs professionnels issus des formations d'architecture, d'urbanisme ou de paysage, j'ai souhaité que nous puissions faire émerger ensemble, acteurs des territoires et spécialistes de l'aménagement, des expériences concrètes et innovantes, dont l'ensemble des territoires pourra bénéficier. C'est le sens des ateliers territoriaux du Grenelle, que j'ai lancé il y a un mois. Je crois à l'engagement des territoires pour réussir et à l'audace des jeunes ! I. B. : Une vingtaine de sites militaires vont être restructurés après le départ de leurs garnisons. Où en est ce processus ? Qu'en sera-t-il de l'habitat ? >H. F. : Cette réforme des armées, il fallait la faire. Elle était indispensable. Mais nous nous devions d'accompagner les territoires sévèrement touchés par le départ ou la dissolution des garnisons. C'est la mission que m'a confiée le président de la République. J'ai donc mis en place une méthode de travail, fondée sur la mobilisation des acteurs locaux pour faire émerger des projets alternatifs et anticipateurs. Et j'ai obtenu les moyens d'accompagnement nécessaires : la possibilité de céder les terrains militaires aux collectivités à l'euro symbolique dans les zones les plus affectées ; des moyens budgétaires conséquents pour soutenir les projets ; des mesures fiscales et sociales en vue de favoriser la création ou le développement d'activités. L'ensemble des contrats de sites seront signés avant que les militaires ne soient effectivement partis. Trois d'entre eux ont déjà été conclus, à Givet, Arras et Barcelonnette. Pour ce qui est de l'habitat, ce sera aux élus locaux d'en décider, mais nous les accompagnerons. Certains envisagent d'introduire un centre de balnéothérapie, de transformer les bâtiments militaires, qui sont de grande qualité, en logements pour étudiants.

Dans Lyon intra-muros, les programmes s’inscrivent surtout dans les IIe, IIIe, VIIe, VIIIe et IXe. Mais les accédants à la propriété dotés de budgets serrés ont intérêt à cibler les trois derniers arrondissements, en général moins chers.

3 QUESTIONS À Franck ALEXANDRE, conseiller en gestion de patrimoine
Il faut plutôt investir dans le neuf en grande couronne

Acheter un logement neuf en Ile-de-France à moins de 200 000 euros
Trouver des opportunités à moins de 200 000 euros pour investir ou bien habiter en Ile-de-France relève souvent de l'exploit. Voici des pistes et des suggestions pour savoir où et comment y parvenir. Suivez le guide.

L'AVIS DE MAËL BERNIER, Directrice de la communication et porte-parole d'Empruntis.com
"Des taux toujours bas et des nouvelles mesures"

Les centres-villes : un bain de renouveau
Evian-les-Bains vit un renouveau. La mairie gère un projet global de rénovation du coeur de ville, centré sur la revitalisation de quartiers anciens, comme le Nant d'Enfer où le palais Lumière a été réhabilité. Cet ancien établissement thermal du 19e siècle a été reconverti en centre de congrès et culturel abritant des expositions et une médiathèque. Une partie du bâti du centre historique est reconstruite à l'identique et la place Charles-de-Gaulle, noeud central de la ville, est en cours de réaménagement. Le secteur est en partie classé avec sa patinoire du 19e, témoin du moment fort qu'a été la Belle Epoque pour Evian. La ville enfle de 8 000 à 20 000 habitants durant la saison d'été, période durant laquelle l'Evian Royal Resort accueille la deuxième compétition mondiale de golf féminin. Entre la mairie et le casino, Sagec démarre la commercialisation d'un programme à partir de 209 000 e le 2-pièces hors annexe."Ces biens ont intéressé à titre de résidences secondaires une clientèle aisée extérieure au département et même des clients venus d'Alsace", souligne le promoteur qui vient de lancer un autre programme sur les hauteurs d'Evian.

La périphérie rennaise prend son envol
Lancée en novembre 2006, la première tranche du programme Nexity-Apollonia sur la Courrouze s’est déjà vendue aux trois quarts. Il reste une trentaine de logements disponibles, à 2 700 euros/m2 en moyenne. Toutes les surfaces sont encore proposées, entre les 2-pièces (de 130 085 à 192 000 euros pour 43 m2 minimum, parking compris) et les 5-pièces entre 278 100 et 328 600 euros pour 111 à 128 m2. Livrable au 4e trimestre 2010, une deuxième tranche du programme prévoit 40 logements supplémentaires. Rennes se renouvelle également dans sa périphérie. Quelques communes qui montent accueillent de grands noms de la promotion.

La construction de 6 300 logements par an sur la communauté de Toulouse
Le maire de Toulouse et président du Grand Toulouse, Pierre Cohen, délivre ses principaux projets dans le domaine du logement.

Les nouvelles pistes du prêt à 0%
Alors que les prix des logements n'ont cessé d'augmenter ces dernières années, le prêt à 0 % se veut, plus que jamais, une aide à l'accession à la propriété. Enquête sur les nouveautés pour en bénéficier.

Lumena : De nouvelles maisons modulables
Maison Familiale, marque du groupe de constructeurs Geoxia, lance une nouvelle offre de maisons contemporaines à l’architecture cubique originale.

Welcome : une nouvelle gamme de maison bien venue
Avec Welcome, sa nouvelle ligne de maisons personnalisables, le constructeur Phénix (groupe Géoxia) souhaite proposer une offre de construction à un budget accessible au plus grand nombre.

Sud-Ouest : L'AVIS DE ROGER METELLUS Président de la FPC* Midi-Pyrénées
Roger Metellus : Les collectivités ont pris conscience de la nécessité de cesser leur politique de pénurie pour permettre l'atterrissage des prix de l'immobilier. Résultat : les promoteurs ont pu trouver des fonciers disponibles et relancer l'offre de logements neufs, qui est passée, entre le 1er semestre 2005 et le 1er semestre 2006, de 153 à 231 programmes ! L'offre se reconstitue, le rythme de commercialisation est positif et la hausse des prix se ralentit. Les opérations de prestige, comme à Andromède ou au centre de Toulouse, doivent aussi être complétées par des programmes plus adaptés à la demande des jeunes, primo-accédants et accédants, inférieurs à 2 800 e/m2. La réponse à la périurbanité est essentielle. Cependant, en matière de coûts de construction, nous sommes la ville la plus chère de France ! Ceci dit, je suis plus inquiet de la hausse des taux d'intérêts que des perspectives de la région toulousaine. Airbus à 1 000 avions à réaliser : quelle industrie affiche un tel carnet de commandes ? Nous disposons en outre d'activités dans le domaine des satellites et de pôles de compétitivité - le Cancéropôle et Aérospace Campus - très prometteurs. En 2007, nous reverrons les investisseurs qui ont été en partie remplacés en 2006 par les accédants. Le très pertinent dispositif Borloo, qui colle à la réalité patrimoniale, aura nécessité un peu de temps avant d'être intégré. Nous sommes en train de sortir de la phase de pénurie avec un éventail d'offres qui, grâce à la maîtrise des prix de sortie, sera adapté aux différents acheteurs et à la demande pérenne des nouveaux arrivants. (*Fédération des promoteurs-constructeurs)

Conditions d’obtention du pass-foncier
• Le Pass-foncier est destiné aux primo-accédants, ceux qui n’ont pas été propriétaires de leur résidence principale au cours des deux dernières années ayant précédé l’opération et dont les ressources ne dépassent pas un plafond.

Je projette d'acheter sur plan. Il s'agit donc de programmes neufs qui,la plupart du temps,ne sont pas encore sortis de terre. Suis-je tenu de verser un acompte au titre de la réservation d'un futur appartement ? (Laetitia B.,Niort, 79)