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Tous les conseils en Immobilier

MONTANT LIMITÉ

MONTANT LIMITÉ

Pas de changement pour le plafonnement du prêt qui conserve ses principes généraux. Plusieurs critères sont retenus. Tout d'abord, il ne peut pas être supérieur à 20 % du coût de votre projet. Ce plafond est porté à 30 % dans les zones franches urbaines et dans les zones urbaines sensibles. Il ne peut pas non plus représenter plus de 50 % du montant du ou des autres prêts d'une durée supérieure à deux ans, entrant dans le financement de votre acquisition. Et, dans tous les cas, ce montant ne pourra jamais dépasser des plafonds établis en fonction du logement (neuf ou ancien), de sa localisation géographique et de la composition de votre famille. Compte-tenu de ces contraintes, il va de soi, que le prêt à 0 % ne suffit pas à financer l'acquisition. Il ne fait qu'entrer dans la constitution de votre apport personnel. Il est donc nécessaire d'obtenir un financement complémentaire. Dans ce domaine, les banques ne manquent pas d'imagination pour vous proposer des formules adaptées aux particularités du prêt à 0 %. D'autant que son mode de remboursement est particulier.

Un logement neuf au Plessis-Robinson : Renaissance de la Cité-jardins

Un logement neuf au Plessis-Robinson : Renaissance de la Cité-jardins

Dans les Hauts-de-Seine, Le Plessis-Robinson jouit d'une concentration d'espaces verts et d'une qualité de l'air exceptionnelle à 6 km de Paris. La commune poursuit sa métamorphose avec la Cité-jardins.

Hervé Manet - Président de Marignan

Hervé Manet - Président de Marignan

Indicateur Bertrand : Le dernier Congrès de la Fédération des Promoteurs Constructeurs avait pour sujet central "Environnement et construction". Est-ce une thématique qui a toute sa place chez Marignan ?
Hervé Manet : Marignan est très attaché au respect de l'environnement. Notre actionnaire Bouwfonds est un atout essentiel dans ce domaine puisqu'il exerce, depuis de nombreuses années, son activité dans le cadre du développement durable. Il est donc une référence et un soutien précieux pour Marignan. De plus, il y a quelques années, nous avons créé notre charte Haute Qualité Environnementale car la plupart des concours que nous remportons sont basés sur ces critères. Reste à convaincre le client, qui ne comprend pas toujours, que le surcoût généré par ces aspects environnementaux est une future économie de sa charge d'exploitation.
I.B. : Quels sont vos axes de développement en Ile-de-France et vos programmes les plus emblématiques ?
H.M. : Marignan aura mis en commercialisation cette année en Ile-de-France environ 800 logements dont 75 % en grande couronne et 25 % pour la première couronne. Dans les Yvelines, nous venons de terminer Carrières-sur-Seine et St-Cyr-L'Ecole, des opérations d'envergure qui représentent plus de 350 logements. Dans le Val d'Oise, à Vauréal, nous avons conçu un projet de création urbaine, où nous reconstituons un cœur de ville et développons 200 logements avec la commercialisation d'un deuxième bâtiment.
En première couronne, nous poursuivons nos activités à Meudon, Levallois, Asnières, Colombes, Le Plessis-Robinson, et sommes en pleine phase de développement à Saint-Denis, Nanterre...
I.B. : Rareté du foncier oblige, Paris n'a plus de terrain disponible et les communes résidentielles sont urbanisées quasiment définitivement, quelle est votre stratégie ?
H.M. : A chaque fois que la population se déplace, il faut recréer un environnement en démontrant aux élus notre capacité à faire venir une clientèle nouvelle. Comme à Colombes, Marignan a su attirer une autre clientèle qui a permis à la ville de s'ouvrir à une nouvelle forme d'urbanisation et d'accession à la propriété. Le même phénomène se produira demain dans toutes ces villes du Val d'Oise ou de la Seineet- Marne dont les marchés sont très actifs. C'est pour cette raison que nous sommes depuis longtemps partenaires d'EpaMarne et de Val d'Europe. Illustration notable, l'ouverture réussie de Courtaline, à Magny-le-Hongre, qui comporte 77 maisons et qui est un vif succès commercial. Six mois après le lancement d'une première tranche de 44 maisons, nous lançons la seconde, composée de 33 maisons, de 120 à 189 m2 habitables. Nous avons démontré tout notre savoir-faire sur le marché haut de gamme ainsi que notre capacité à développer des concepts originaux s'inspirant, comme à Magnyle- Hongre, d'une tradition architecturale briarde.
I.B. : Quel regard portez-vous sur l'évolution du marché ?
H.M. : Avec l'allongement de la durée des crédits, les banques continuent à soutenir l'immobilier par des taux d'intérêts très bas. C'est donc à nous de concevoir des produits qui ne dépassent pas la limite de solvabilité du client. Nous observons également depuis plus d'un an l'intérêt des investisseurs pour la région Ile-de-France grâce au dispositif Robien parfaitement en phase avec le marché. Je remarque de plus en plus, dans le comportement de nos investisseurs, que le complément de ressources pour la retraite qu'apporte un bien immobilier, s'ajoute à l'avantage fiscal immédiat.
I.B. : Qu'est ce qui a changé dans l'évolution des produits ?
H.M. : L'organisation du logement en règle générale n'a pas réellement évolué. Nous pouvons malgré tout noter que certaines pièces, plus que d'autres, reflètent aujourd'hui les différents styles de vie de nos clients : la cuisine par exemple, elle est souvent plus grande qu'autrefois pour être à nouveau un vrai lieu de rencontre de la famille, ou au contraire, pour certains, elle n'est qu'un lieu fonctionnel et devient dans ce cas une cuisine à l'américaine ; le séjour reste la pièce de réception par excellence, la demande est donc vers de belles surfaces lumineuses, les chambres sont quant à elles légèrement plus grandes pour recevoir, le cas échéant l'informatique.
En ce qui concerne plus particulièrement la résidence en elle-même, les systèmes de sécurité sont aujourd'hui nettement plus renforcés avec le plus souvent portier électronique, digicode, interphone...
L'écoute, qui est l'une des valeurs de Marignan, nous permet de mieux connaître nos clients et d'adapter nos produits à l'évolution de leurs attentes.
I.B. : Et sur l'évolution de votre métier ?
H.M. : Le métier de promoteur doit rester un métier de proximité ; proximité avec les clients, les élus locaux, les acteurs économiques... c'est pour cela qu'aujourd'hui nous avons renforcé notre maillage national avec dix directions régionales et neuf agences locales. L'évolution chez Marignan est dans l'accompagnement du Groupe aux projets d'aménagement urbains initiés par les collectivités locales soit en relation directes avec elles, soit aux côtés d'aménageurs publics ou privés. C'est cette notion de partenariat qui est aujourd'hui un élément essentiel de la culture de Marignan.

CAS PARTICULIER

CAS PARTICULIER

Les conditions à remplir pour l'obtention d'un prêt à 0 % ne s'appliquent pas lorsque l'emprunteur ou l'un des occupants du logement financé avec le prêt est :

Un appartement neuf dans la Cité Jardins du Plessis Robinson

Un appartement neuf dans la Cité Jardins du Plessis Robinson

Après le centre-ville, le curseur s'est déplacé vers le quartier historique du Plessis-Robinson, la Cité-jardins. "Construits en 1926 et 1935, les bâtiments étaient au bord de l'insalubrité", précise encore Hervé Caranobe. Sous l'impulsion de l'ancien maire, la Cité-Basse est rénovée entre 1991 et 1993. La Cité- Haute, trop coûteuse à réhabiliter devait être reconstruite entre 1992 et 1996. Le projet, validé par l'ancienne équipe municipale, reprenait, aux dires de la nouvelle, les principes de l'architecture fonctionnaliste des années 50. Profitant d'un différend entre le maître d'ouvrage et les architectes, la mairie demande une nouvelle consultation et retient le projet de Xavier Bohl. Sa force : s'inscrire dans la continuité du cœur de ville dessiné par son maître, François Spoerry. L'architecte s'est en outre fait une spécialité des projets reliant l'architecture aux éléments naturels. Selon la Sempro, "La Cité-jardins est construite comme un village dans un jardin" et sera "baignée d'une rivière sinueuse, parsemée de ponts, de parcs, de jardins potagers et de massifs fleuris". "C'est un projet avant tout fait pour les familles, précise Hervé Caranobe. Un quota de 70 % de 3-pièces et plus a été imposé". À 4 500 €/m2 en moyenne, le concept plaît. Lancée conjointement par tous les promoteurs présents : Bouygues Immobilier, Cogedim, Coprim Résidences, Eiffage Immobilier, Franco-Suisse, Habitat Pierre, Kaufman & Broad, Marignan Habitat, Les Nouveaux Constructeurs, Sorif (Vinci Immobilier) et Investir Immobilier Ile-de-France, la commercialisation s'annonce une nouvelle fois sous les meilleurs auspices. À la mi-septembre, près de la moitié des produits étaient déjà réservés. "Le dernier bilan donne 45 % d'appartements vendus, observait alors Hervé Caranobe. Certains promoteurs ont vendu plus de petites surfaces, d'autres plus de grandes. La proportion des volumes proposés sur le marché est donc à peu près identique à celle de départ".

L'ANCIEN, MÊME SANS TRAVAUX

L'ANCIEN, MÊME SANS TRAVAUX

La mesure phare de la récente réforme tient à l'ouverture du prêt au logement ancien sans contrainte de travaux. Certes, l'ancien dispositif prévoyait déjà la possibilité de bénéficier du PTZ dans l'ancien. Les conditions d'octroi étaient cependant très dissuasives : pour financer un logement ancien, il fallait au moins consacrer 35 % du coût de l'opération en travaux. De fait, 90 % des prêts à 0 % émis concernaient l'acquisition de logements neufs. Et plus particulièrement la maison individuelle. Selon la société de gestion du FGAS (Fonds de garantie de l'accession sociale à la propriété), 79 % des prêts octroyés en 2003 ont servi au financement d'un tel achat. L'ouverture à l'ancien sans condition de travaux va vraisemblablement modifier la donne. Déjà, les agents immobiliers comme les banquiers perçoivent ce mouvement. Certes, il est encore un peu tôt pour savoir si l'objectif de 240 000 prêts par an sera atteint. Mais, déjà, certains banquiers observent des évolutions notables. Certes, la clientèle n'est pas forcément plus nombreuse mais plus facilement éligible avec l'assouplissement des mesures dans l'ancien, d'autant que les plafonds de ressources ont été relevés. Il faut en effet souligner que l'aide est soumise à conditions de ressources. Certains banquiers avouent même avoir doublé leur production de prêts à 0 % dès le printemps. Parmi les plus gros distributeurs de PTZ, il faut citer le Crédit Agricole (près de 30 % de parts de marché) et le Crédit Foncier (20 %). Mais beaucoup d'autres banques distribuent l'aide de l'Etat, notamment des établissements généralistes comme BNP-Paribas, les Caisses d'Epargne, le CIC ou le Crédit du Nord, ainsi que des banques spécialisées comme l'UCB.

PLAFONDS DE RESSOURCES

PLAFONDS DE RESSOURCES

Tout comme dans l'ancien dispositif, pour bénéficier du prêt, vous devez être primo-accédant, c'est-à-dire acheter votre logement pour la première fois, ou n'avoir pas été propriétaire de votre résidence principale depuis au moins deux ans. Exceptions à la règle : si vous êtes titulaire (vous ou l'une des personnes vivant sous votre toit) d'une carte d'invalidité ou bénéficiaire d'une allocation adulte handicapé, d'une allocation d'éducation spéciale ou si vous êtes victime d'une catastrophe rendant votre logement inhabitable. En revanche, les situations de mobilité professionnelles prévues dans l'ancien dispositif ne sont plus prises en compte dans la nouvelle formule.

Le prêt à 0% : une aide efficace

Le prêt à 0% : une aide efficace

Vous voulez acheter votre logement et le financer dans les meilleures conditions possibles ? Pensez au prêt à 0 % (PTZ) qui peut vous faire économiser sur le coût de votre crédit. Encore faut-il pouvoir y prétendre. Explications.

RÉSIDENCE PRINCIPALE EXCLUSIVEMENT

RÉSIDENCE PRINCIPALE EXCLUSIVEMENT

Si l'ancien se voit désormais mieux traité par rapport au neuf, encore faut-il que le logement respecte des normes minimales de surface et d'habitabilité. Dans le cas contraire, le prêt à 0 % ne pourra vous être accordé que si vous réalisez les travaux nécessaires à cette mise aux normes. Dans le neuf, les conditions d'octroi ne varient guère par rapport à l'ancien dispositif. Outre l'achat d'un logement neuf, la construction d'une maison individuelle accompagnée de l'acquisition du terrain, vous pouvez également financer la transformation en logement d'un local non destiné à l'habitation, de même qu'un logement en location-accession. Dans ce cas, le prêt est accordé "au vu des ressources de l'accédant à la date de la levée d'option". Une précision qui n'existait pas dans l'ancien dispositif. Reste que, neuf ou ancien, le logement doit concerner votre résidence principale. Autrement dit, un logement occupé au moins huit mois par an.

Interview de Xavier Bohl - Architecte de cohérence de la Cité-jardins

Interview de Xavier Bohl - Architecte de cohérence de la Cité-jardins

Les clés de la réussite : tradition, originalité, brassage. L'opération de la Cité-jardins du Plessis- Robinson s'inscrit dans la continuité du Cœur de ville, redessiné par François Spoerry à partir de 1989. À l'époque,Xavier Bohl était dans son équipe. À la mort de ce dernier, il a créé son propre atelier et conservé la confiance du Plessis. Également urbaniste, Xavier Bohl est l'architecte de cohérence de l'opération. Entretien.

LE PTZ, QUEL AVENIR ?

LE PTZ, QUEL AVENIR ?

Dans le projet de loi de Finances pour 2006, le gouvernement envisage de prélever la quasi-totalité des fonds versés au FGAS*, autrement dit, de ne plus permettre aux banques de distribuer les prêts aidés que sont le Prêt à 0 % et le prêt à l'accession sociale (PAS). Une mesure qui fait monter les banques au créneau (BNP-Paribas, Banque Populaire, Caisses d'Epargne, Crédit Agricole, Crédit Mutuel, CIC, Dexia, Crédit Local, LCL, Société Générale et Crédit Immobilier de France). Logique puisque ce fonds est alimenté pour moitié par l'Etat et les banques. Celles-ci estiment en outre qu'une telle décision remettrait en cause 70 000 prêts par an. Espérons que le gouvernement reviendra sur cette mesure qui va d'ailleurs à l'encontre des récentes dispositions visant à élargir le champ d'application du PTZ, lequel devait profiter à 240 000 bénéficiaires par an (contre 80 000 en 2004). Affaire à suivre donc...

GARANTIE DECENNALE

GARANTIE DECENNALE

J'ai fait construire ma maison en 1999. Des fissures sont apparues sur le mur de mon salon. Puis-je faire jouer la garantie décennale ? (Paul V., Drancy, 93)

QUELLES CIBLES ?

QUELLES CIBLES ?

Pour ceux qui achètent des petites surfaces, les étudiants sont une cible idéale et semblent être une réserve inépuisable. On recense quelque 2 millions d'étudiants en France pour seulement... 150 000 places dans les cités universitaires. Tous les étudiants n'ont pas la chance de rester dans le cocon familial le temps de leurs études. Aussi, la pénurie fait rage et devient profitable aux investisseurs. Faute de place dans le secteur public, la majorité des étudiants n'ont d'autres choix que de se tourner vers le locatif privé, en particulier dans les grandes métropoles. De plus, louer à des étudiants permet de réaliser des baux courts tout en bénéficiant de garanties financières satisfaisantes. Explications. Les étudiants bénéficient tous d'une aide au logement, qui peut vous être versée directement. Une garantie contre les loyers impayés. De plus, en louant à un étudiant, vous avez systématiquement la caution parentale. Autre garantie contre d'éventuels incidents. Les étudiants louent en général le temps de leurs études, de 1 à 3, voire 4 ans au maximum. Cette durée courte dans le cycle immobilier peut inquiéter légitiment un investisseur. Pourtant, cette situation permet de coller au mieux au marché. A chaque changement de locataire, vous avez la possibilité de réajuster le loyer au niveau du prix du marché, alors qu'en conservant le même locataire, vous êtes tenus de suivre l'évolution de l'ICC (Indice du coût de la construction). Dans une situation de pression sur le marché locatif, le calcul peut être payant. Doublement payant même si vous achetez deux petites surfaces. Pour rappel, en un an, les loyers ont gagné 12 % à Paris, près de 20 % sur l'Académie de Versailles et plus de 15 % dans le sud de la capitale, autour de la fac d'Orsay. Par nature, l'étudiant est consommateur d'un espace exigu. Il se contente généralement d'un petit studio, sous réserve que celui-ci corresponde aux normes minimales de confort (voir encadré). C'est pourquoi, à budget égal, vous avez certainement intérêt à opter pour l'acquisition de deux petites surfaces plutôt qu'une grande. De plus, vous éviterez ainsi le phénomène des colocations, pas toujours bien vu par le propriétaire. Les adeptes des grandes surfaces peuvent néanmoins se tourner vers une population d'étudiants. D'abord, la colocation n'est pas aussi dramatique que certains investisseurs se l'imaginent. Chaque locataire est tenu de signer le bail. A ce titre, vous êtes en droit, comme la loi l'autorise, à percevoir directement les aides au logement de chaque co-locataire. Autre solution qui ne manque pas d'avantages : si vous êtes propriétaire d'un grand appartement et que vous décidez d'en louer une partie, vous pouvez bénéficier d'une exonération d'impôts sur les revenus que vous percevez de cette location. Attention, l'avantage fiscal ne fonctionne que si les pièces louées constituent votre résidence principale. Il faut également que la location soit un meublé.

LES CHAMBRES DE BONNES A PARTIR DE 9 M2

LES CHAMBRES DE BONNES A PARTIR DE 9 M2

Le gouvernement avait l'intention d'autoriser, dans le cadre du projet de loi sur les services à la personne, la location des chambres de bonne de 7 m2 à 9 m2, pour les étudiants et les personnes défavorisées. Un bail écrit donnera droit à des allocations logement. Depuis le décret du 30 janvier 2002, la location de ces chambres de service répond à des exigences de "décence", incluant notamment une surface minimum de 9 m2. Face au tollé des associations, Jean-Louis Borloo a finalement renoncé à son projet.

Un logement neuf à Saint-Germain : patrimoine vert

Un logement neuf à Saint-Germain : patrimoine vert

Ancienne forêt royale, le domaine de Saint-Germain-en- Laye se classe au deuxième rang des espaces verts des Yvelines, juste derrière la forêt de Rambouillet. Avec 3 500 hectares, la forêt dispose de deux parcours de randonnée à cinq minutes à peine du RER. Peuplée d'arbres centenaires parmi lesquels le chêne domine, elle offre près de 120 km de sentiers... de quoi prendre un vrai grand bol d'air !

LA LIQUIDITÉ

LA LIQUIDITÉ

La pertinence d'un investissement immobilier se mesure également à l'aune de sa liquidité, c'est-à-dire de sa facilité de revente. A priori, un studio est plus facile à vendre qu'un appartement familial ou une maison individuelle. Mais, n'oubliez pas que l'immobilier est avant tout une affaire de micromarchés. Une trop forte concentration de studios ou T2 dans un quartier ou même dans une opération, peut nuire à la revente de votre bien. Alors qu'une maison ou un appartement familial, en situation de pénurie, peut rapidement trouver preneur. Donc méfiez-vous des généralités et observez bien l'environnement immédiat avant d'investir sur telle ou telle résidence.

RESPECT DU REGLEMENT

RESPECT DU REGLEMENT

J'ai entrepris des travaux importants dans l'appartement que je viens d'acquérir. Le syndic me demande de remettre les choses en l'état, conformément à un règlement de copropriété dont je n'ai pas eu connaissance n'ayant pas été publié au bureau des hypothèques. Que dois-je faire ? (Léon P., Paris 12e)