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Tous les conseils en Immobilier

Au-delà de 70 ans

Au-delà de 70 ans

Tout emprunteur n'entrant pas dans les critères d'âge et de santé évoqués précédemment n'avait pas toujours la possibilité de bénéficier d'un contrat groupe et devait, pour obtenir son crédit, se tourner vers des contrats individuels dont les primes étaient tout à fait dissuasives. Ce marché des seniors au pouvoir d'achat non négligeable, les compagnies d'assurances comme les établissements de crédit l'ont pris en compte et ont réfléchi à de nouveaux contrats permettant aux emprunteurs sortant du cadre classique d'être tout de même assurés dans des conditions acceptables et donc de pouvoir emprunter pour un achat immobilier. Souvent baptisés seniors, ces contrats ne couvrent que le décès, généralement jusqu'au 80e anniversaire, voire 85e pour certains.

Dynamique marché immobilier neuf bordelais

Dynamique marché immobilier neuf bordelais

A observer le marché bordelais, l'offre est effectivement bien présente. Dans le secteur de Caudéran, Cogedim propose Villa Saint- Amand, une résidence intimiste de 21 appartements, du 2 au 5-pièces, tandis qu'Icade Capri y commercialise la troisième tranche du Parc Montesquieu, avec 86 logements, du studio au 5-pièces, livrable au 2e semestre 2008. Kaufman & Broad termine la vente, dans le même secteur du Square Caudéran, où le 3-pièces est commercialisé à partir de 187 000 e. Au coeur du nouveau quartier de la Bastide et de ses nombreux espaces verts, George V Apollonia réalise L'Autre Quai, de petites résidences qui bénéficieront pour la plupart de vues sur la Garonne. Le 2-pièces de 44,2 m2 vaut 161 000 e et la livraison est attendue pour le 4e trimestre 2007. Bouygues Immobilier signe deux opérations livrables en 2008, à 200 m de l'hôtel de ville, avec le Square Pey Berland, où le 3-pièces est commercialisé à partir de 263 000 e, et avec 17 rue du Ha, une opération de prestige dans le quartier de l'hôtel de ville pour 51 appartements. Groupe Patrice Pichet lance de nombreux programmes à Bordeaux, il offrira 200 logements avec Les Jardins de la Marjolaine, entre les Chartrons et le Jardin public, à un prix moyen de 3 300 e/m2, pour une livraison prévue eu 2e trimestre 2008.

Demande en hausse

Demande en hausse

D'où vient le boom des résidences services ? D'une demande tout d'abord : on connaît la pénurie de logements étudiants et ce ne sont pas les 150 000 chambres proposées par les services publics, par l'intermédiaire du Crous, qui peuvent répondre à l'ensemble des besoins. Dans ce contexte, l'offre du privé s'accélère, avec 12 000 lots prévus cette année. L'intérêt pour cette catégorie de résidences est d'ailleurs marqué par le nombre important de promoteurs nationaux qui s'y engagent, comme Icade (par l'intermédiaire de sa filiale Icade Eurostudiomes), Eiffage, Nexity, Kaufman & Broad, Bouygues.

Christian-Louis Victor, Président de l’UNCMI (Union Nationale des Constructeurs de Maisons Individuelles)

Christian-Louis Victor, Président de l’UNCMI (Union Nationale des Constructeurs de Maisons Individuelles)

Indicateur Bertrand :Quelles sont selon vous les raisons de l'engouement des Français pour la maison individuelle ?
Christian-Louis Victor : Il s'agit d'un attachement séculaire, dû à nos origines rurales. Malgré l'évolution sociologique que l'on peut constater aujourd'hui des comportements et des modes de consommation, nos origines sont là, qui nous font aspirer à vivre dans un environnement que nous maîtrisons. La maison est à la fois un espace partagé et des espaces séparés. C'est l'une des rares formes d'habitat qui permette d'obtenir cette distanciation par rapport à l'environnement et ce rapprochement par rapport à la famille et à ceux qui y vivent. La maison se situe au carrefour du besoin et du désir : le besoin de se loger et le désir de pouvoir, dans une certaine mesure, façonner soi-même son foyer. Un autre aspect important est l'évolution de l'offre financière et des garanties qui y sont liées. Le viager hypothécaire, l'hypothèque rechargeable, font de la maison le "coffre fort" des Français. Lorsque la maison est bien réalisée et bien située, elle leur permet une capacité d'endettement pratiquement infinie.
I.B. :Quelles mesures doivent être prises pour favoriser l'accession à la propriété des primo-accédants ?
C.-L.V. : Il ne faut pas forcément sortir plus de lois. Nous sommes passés d'environ 300 000 à 450 000 logements mis en chantier, dans le même cadre législatif, en disposant des mêmes outils : nous ne demandons donc pas forcément de nouveaux outils. Le prêt à taux zéro, qui a été sauvé il y a quelques mois, est par exemple un excellent outil pour les primo-accédants, d'autant que certaines municipalités et autres collectivités locales, le doublent. La difficulté majeure reste le coût du foncier par rapport au coût global de l'opération et à la capacité d'endettement, notamment des primo-accédants. Les chantiers ouverts par Jean-Louis Borloo, avec la maison à 100 000 e et l'achat en deux temps de la maison et du terrain, constituent d'excellentes pistes. Si cet achat en deux temps se stabilise juridiquement, ce sera un bon moyen de favoriser l'accession à la propriété des ménages les plus modestes. Au milieu des années 90, nous avions une majorité de jeunes ménages primo-accédants parmi les acquéreurs de maisons individuelles. On constate aujourd'hui une décélération au bénéfice de ceux qui ont un apport personnel dû à la revente d'un bien. Il faut retrouver un équilibre pour que l'accession à la propriété de sa maison joue pleinement son rôle d'ascenseur social.
I.B. :Quel bilan tirez-vous des chiffres de l'année 2006 ?
C.-L.V. : La maison individuelle se porte bien. Nous assistons à un atterrissage sur la cime des arbres, le marché se stabilisant à un très haut niveau. Le nombre de ventes enregistre un léger recul, de l'ordre de 1 % en 2006, qui correspond vraiment à un rééquilibrage, après dix années de forte croissance. D'ailleurs, si nous avions dû continuer à soutenir le rythme élevé de ces dix dernières années, nous aurions eu à affronter des problèmes de main d'oeuvre et d'approvisionnement. Quant à l'évolution des prix, on peut dire qu'en tenant compte de l'évolution des surfaces et des prestations – toujours plus importantes – le prix des maisons enregistre plutôt un décalage négatif. Par rapport aux prix du collectif, le coût du foncier a en effet moins d'impact, car il est beaucoup plus élevé en centre-ville qu'en périphérie.
I.B. :On observe des évolutions régionales contrastées. Comment les expliquez-vous ?
C.-L.V. : Le littoral ouest enregistre effectivement une baisse des ventes, de même que l'Est de la France. Il faut souligner que tout le littoral ouest a tracté pendant dix ans vers le point le plus haut le marché de la maison. Certains secteurs restent d'ailleurs toujours aussi dynamiques, comme celui de l'agglomération nantaise. Quant à la baisse globale de la région Ouest, elle illustre le phénomène de rééquilibrage que connaît le marché. A l'inverse, on note que la région Nord-Picardie, qui a connu quelques difficultés, enregistre aujourd'hui une indéniable reprise d'activité. Son positionnement géographique lui permet de profiter de l'espace européen et les nouvelles implantations d'entreprises et d'activités, soutenues par les pouvoirs publics, font revenir des habitants dans cette région à forte identité culturelle. Le développement du logement devrait donc s'y pérenniser.
I.B. : Quelles sont les grandes orientations à suivre pour les constructeurs en 2007 ?
C.-L.V. : Compte tenu de la demande qui reste très forte et de la stabilisation du marché, les constructeurs de maisons individuelles doivent proposer des maisons de qualité, mais qui restent à des prix abordables. Nous avons de nouveaux défis à relever autour de quatre enjeux qui sont fondamentaux pour toute la profession : construire des maisons sociales, à prix abordable ; développer les maisons de ville en optimisant la disponibilité foncière ; réaliser des maisons performantes, en utilisant des matériaux et des procédés de construction innovants et enfin généraliser la maison écologique, économe en énergie. Ce sont, fort logiquement, les thèmes retenus pour le prochain Challenge des maisons innovantes 2007.

Gestion d'un bien à distance

Gestion d'un bien à distance

Je viens d'acquérir un logement pour le mettre en location. N'étant pas sur place,puis-je confier à un professionnel la gestion complète de ce bien ? (Patrick T.,Marseille,13)

Vos héritiers

Vos héritiers

Si chacun a la disposition de son patrimoine, le Code civil préserve les droits des héritiers réservataires : tout d’abord les enfants (s’il n’y en a pas, les parents) et depuis la loi du 4 décembre 2001, le conjoint. Au-delà de la réserve héréditaire, la quotité disponible vous permet d’avantager un membre de votre famille ou un tiers. Ces gratifications sont prévues dans le cadre de donations avant décès ou de dispositions testamentaires.

La gamme Open de Maisons France Confort

La gamme Open de Maisons France Confort

Maisons France Confort lance un nouveau concept de maisons personnalisables. Et ce, à moins de 100 000 e.
Le groupe Maisons France Confort souhaite, avec la gamme Open, proposer à chacun une maison qui lui ressemble. Des maisons qui offrent de très nombreuses variantes : de 70 à 110 m2, de plainpied ou à étage, avec abri voiture ou garage intégré, il y en a pour tous les goûts. Le concept repose avant tout sur une personnalisation du modèle. Chaque propriétaire peut choisir le style de sa façade : Provençal, avec des tuiles vieillies et des génoises ; Design, pour une approche plus contemporaine ou style Elégance pour mettre en valeur les couleurs et les volumes. Quel que soit l'environnement, la maison s'intègre ainsi parfaitement à l'architecture de la région. Une maison évolutive Ces maisons offrent par ailleurs de très nombreuses options, qui permettent de choisir entre différents packs de prestations, compris dans le prix initial de la maison. Afin de gagner en équipements technologiques, le Pack High Tech permet de bénéficier d'une maison sécurisée et câblée (alarme sans fil, précâblage home cinéma et hi-fi). Le Pack Balnéo, avec robinet thermostatique, donne quant à lui la possibilité de transformer la salle de bains en un véritable espace bien-être. Enfin, grâce au Pack Déco vous pourrez personnaliser l'intérieur de la maison (corniche dans le salon, spots intégrés). Conçue dès le départ pour offrir des maisons évolutives, la gamme Open propose d'autre part de moduler l'espace en fonction de votre mode de vie. Vous pourrez à tout moment créer une nouvelle salle d'eau ou un cellier, aménager une suite parentale ou une chambre supplémentaire. A votre convenance et en toute liberté.

Le bonus fiscal

Le bonus fiscal

Autre grand avantage de la résidence services : elle affiche une fiscalité light, puisque vous pouvez opter pour trois régimes fiscaux différents - mais tous avantageux - suivant votre situation. Si vous tirez de votre investissement un montant de recettes annuelles inférieur ou égal à 23 000 e, représentant moins de 50 % de votre revenu global et que vous n'êtes pas inscrit au registre du Commerce et des Sociétés, vous opterez pour le statut de Loueur en meublé non professionnel (LMNP). Vos revenus seront alors imposables dans la catégorie des BIC (Bénéfices industriels et commerciaux), plus avantageuse que celle des revenus fonciers. Par ailleurs, les déficits occasionnés par cette activité peuvent être reportés dans la même catégorie des BIC les années suivantes, à condition toutefois de ne pas avoir opté pour le régime micro-BIC.

Val-de-Marne :Des projets d'intérêt national

Val-de-Marne :Des projets d'intérêt national

Le développement de la première couronne n'a pas été uniforme. Pour caricaturer, on pourrait dire que l'ouest parisien a bénéficié de l'aménagement de quartiers d'affaires, au premier rang desquels l'emblématique La Défense, tandis que le nord et l'est restaient en retrait. La situation a évolué depuis. L'aménagement du quartier de la Plaine, à Saint-Denis, dans la foulée de l'arrivée du Grand Stade, en est un parfait exemple. Aujourd'hui, le vent du renouveau souffle sur le Val-de-Marne, avec des secteurs déclarés l'an dernier "d'intérêt national". Au menu des projets d'envergure, comme celui de Seine Amont, qui met en valeur le potentiel de développement du département, notamment en matière d'activités économiques et d'emplois. Seine Amont, qui regroupe plusieurs communes du sud-est du département, parmi lesquelles Alfortville, articule son projet de territoire autour de trois grands axes. Le premier concerne la dynamique économique du territoire et met l'accent sur la valorisation des pôles d'excellence du secteur, mais aussi sur le développement de la coopération avec des pôles d'activité voisins, comme celui de Paris ou encore celui d'Orly-Rungis. Le deuxième se penche sur la liaison entre les différentes parties du territoire, en relevant la nécessité d'améliorer les infrastructures de déplacement, les transports en commun reliant les différentes communes entre elles, etc. Enfin, le troisième axe de Seine Amont est basé sur la mise en valeur du territoire, avec notamment la valorisation des bords de Seine et des grands équipements culturels, de formation et de santé.

La Société civile immobilière (SCI)

La Société civile immobilière (SCI)

En créant une Société civile immobilière, vous allez faciliter la transmission de vos biens immobiliers, lesquels seront partagés entre vos héritiers sous forme de parts sociales. Une décote sur leur valeur permet de réduire les droits. Une bonne raison de créer une SCI : si on n’est pas marié et que les héritiers risquent d’évincer le conjoint. Grâce à un savant croisement des parts sur lesquelles chacun confère à l’autre un usufruit, le survivant retrouve la pleine propriété de ses parts et conserve l’usufruit de la fraction tombant dans la succession.

Des maisons autosuffisantes

Des maisons autosuffisantes

Certains vont au-delà des exigences réglementaires et conçoivent des bâtiments à basse consommation énergétique, voire même des maisons "passives". Celles-ci font mieux qu'économiser l'énergie : elles sont pratiquement autosuffisantes et produisent même parfois un surplus d'énergie ! La maison passive doit ce nom à une norme allemande : "Passivhaus". Cette appellation s'applique à tout bâtiment faisant passer la consommation d'énergie sous la barre des 120 kWh/m2/an pour l'ensemble des consommations (chauffage, production d'eau chaude, éclairage, fonctionnement des appareils, ventilation et climatisation, etc.). Un chiffre à comparer à la moyenne de 320 kWh/m2/an consommée par un logement datant des années 1960-1970 ! Pour parvenir à ce résultat, les apports solaires, l'isolation, la réalisation des huisseries, les ponts thermiques et la ventilation doiventT U A L I T É S être particulièrement soignés. Ses adeptes mettent en avant des économies énergétiques largement supérieures à celles exigées par la RT 2005, la qualité de vie en plus : "C'est une maison confortable en toute saison et particulièrement saine puisqu'on utilise très largement la ventilation pour récupérer la chaleur, ce qui permet aussi de bien faire circuler l'air", estime Nanette Mazier, qui a construit sa maison passive près de Bâle, sous le label Minergie, équivalent suisse du Passivhaus. En retard sur ses voisins, la France fait ses premiers pas sur le terrain de la maison passive. En mai dernier, l'association Effinergie a vu le jour, qui propose un concept de bâtiments économes en énergie, neufs ou rénovés, suivant les démarches suisse et allemande. Effinergie regroupe collectivités locales, banques et professionnels du bâtiment et veut développer un référentiel français de performance énergétique pour des bâtiments basse énergie, allant au-delà des recommandations de la RT 2005. Un niveau de performance énergétique qui intéresse les organismes de certification, comme Qualitel et Habitat & Environnement, qui devraient l'intégrer à leurs référentiels.

Des capacités de 40 000 logements neufs

Des capacités de 40 000 logements neufs

Adopté le 10 janvier, le Programme local de l'habitat (PLH) du Grand Lyon table sur un potentiel de 40 000 logements et un rythme de construction entre 6 000 et 7 000 unités/ an. A l'heure actuelle, la communauté urbaine s'interroge sur les moyens d'éviter le décalage entre l'offre immobilière et les revenus des acquéreurs, sachant que 85 % de la production n'est en adéquation qu'avec 12 % des ménages. Un processus de travail est en route pour codifier l'accession sociale, encore inexistante sur le Grand Lyon au-delà du prêt à 0 % national. Les villes de l'ouest sont appelées à accueillir une part croissante de l'habitat social et la plupart d'entre elles, comme Dardilly, Ecully ou Craponne, se sont engagées sur la voie du rééquilibrage. A cela s'associe une politique importante de requalification urbaine des quartiers marginalisés : 23 secteurs prioritaires ont été identifiés, dont 18 en périphérie. Sur le segment de l'ancien, la tendance demeure à la hausse des prix. "L'augmentation a atteint une moyenne de 12,4 % dans le département entre le 1er octobre 2005 et le 30 septembre 2006 pour un niveau de 2 900 e/m2", rappelle maître Guérin, président de la Chambre du Rhône. Des écarts sont cependant sensibles entre, par exemple, la Presqu'île (16,6 %), Villeurbanne (15,4 %), Décines (11,23 %) et Bron (9 %).

Des prix abordables

Des prix abordables

A cette douceur de vivre s'ajoute celle de voir enfin en France des prix immobiliers modérés. Philippe Delorme, directeur commercial de Bouygues Immobilier région Centre Loire, ne tarit pas d'éloges sur le marché local : "Les prix figurent parmi les plus attractifs de France, de l'ordre de 2 200 z/m2 à Bourges et Poitiers ainsi que de 2 800 z/m2 sur Tours et Angers. Les produits sont de caractère, respectueux du style de la région, et offrent un bon compromis entre l'investissement et la qualité patrimoniale. Le marché locatif s'avère d'ailleurs dynamique grâce à un solde migratoire positif de la population, clé de la demande." Il est vrai qu'à Olivet ou Saint-Cyr-sur-Loire, les "Neuilly" locaux, les mètres carrés sont au prix de ceux de La Courneuve. Une maison avec un beau jardin se négocie dans les 200 000 e sur la région. De quoi faire réfléchir avant de signer ailleurs chez un notaire ! Ce microclimat est-il stable ? Oui, selon le ministère de l'Equipement qui rappelle qu'au 3e trimestre 2006 les prix des appartements neufs de Tours et d'Orléans étaient identiques à ceux de la fin 2005. Sur la région Centre, les volumes se sont maintenus autour de 750 ventes par trimestre depuis le début de 2006. Les stocks demeurent faibles et les acquéreurs sont des investisseurs pour les deux tiers. Toutefois, Jean- Grégoire Soissons, le négociateur du groupe Valloire, reconnaît qu'il faut en moyenne 10 jours pour "transformer un prospect en client" au lieu de 3 jours en 2004 et 2005. "L'offre est plus fournie et la demande légèrement plus faible. Dans ces conditions, les acquéreurs prennent davantage de temps pour se décider". Le marché de la maison neuve s'est aussi stabilisé, mais des disparités perdurent : comptez un surcoût de 30 % dans l'agglomération orléanaise par rapport au département du Cher. L'Indreet- Loire représente 45 % du marché régional et le Loiret 25 %.

Marseille, la fin de la pénurie

Marseille, la fin de la pénurie

Le marché marseillais, en matière d'offre de logements neufs, est largement sorti de la zone rouge et les opérations prévues cette année, via notamment le secteur de Sainte- Marthe dans le 14e, contribueront à alimenter le marché. En matière de prix, on semble aussi sortir d'un certain brouillard causé par deux paramètres : les implantations géographiques des opérations et les logements à prix maîtrisés. "Les prix n'ont pas baissé à Marseille, avertit Alain Vallet.Nous avons assisté à un transfert de la promotion entre le nord et le sud de la ville et beaucoup d'opérations ont été lancées dans le nord où la promotion immobilière n'existait que peu.Ce mouvement a donné l'impression que les prix fléchissaient, c'est faux !"Quant aux logements à prix maîtrisés qui semblent trouver leur place, Philippe Roux estime que leur annonce a pu provoquer "une certaine confusion dans les esprits des acheteurs potentiels.Beaucoup n'ont pas entendu que le chiffre de 2 400 e/m2 était actualisable avec l'indice BT 01 et ont cru qu'ils entraient dans les critères d'acceptation,ce qui a pu provoquer quelques positions attentistes sur d'autres segments de marché".

Le principe de l'assurance

Le principe de l'assurance

Quel que soit votre âge, vous disposez d'une gamme étendue de crédits, à taux fixe ou révisable, à échéances constantes ou modulables. Et si vous avez un bon apport, vous pouvez même profiter des meilleurs taux du marché. Mais si vous avez passé la cinquantaine ou la soixantaine, la durée de remboursement de votre crédit sera forcément raccourcie par rapport à un emprunteur de 30 ans qui peut aujourd'hui emprunter sur 25, 30, voir 50 ans. D'autant que les banques exigent généralement - et c'est votre intérêt - la souscription d'un contrat d'assurance décès-invalidité. En principe, les contrats groupes des banques permettent de rembourser jusqu'à 70 ans. Cela signifie que si vous empruntez à 60 ans, vous n'aurez qu'une dizaine d'années pour rembourser. Compte tenu de la montée des prix de l'immobilier, votre capacité d'endettement ne vous le permet peut-être pas. Même avec un bon apport. D'où la difficulté d'emprunter passé un certain âge. Reste que les banques ont trouvé la parade, associant à leurs crédits des contrats d'assurance décès spécifiques aux seniors. Dans un tel cas, il est parfois possible de rembourser un emprunt jusqu'à 80, voire 85 ans. Compte tenu de l'augmentation du risque, cette possibilité a un coût relativement élevé.

Seniors, les formules passées au crible

Seniors, les formules passées au crible

A condition d'être en bonne santé, on peut aujourd'hui emprunter à tout âge. Enfin presque… Mais les établissements de crédit font payer cette souplesse. Gros plan sur les formules de prêts destinés aux seniors.