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Tous les conseils en Immobilier

3 QUESTIONS À TERRY MOUBAYED FARAH Directrice de la fédération Multivilles

3 QUESTIONS À TERRY MOUBAYED FARAH Directrice de la fédération Multivilles

"Notre réflexion est partie de l’habitant, de ses besoins et de ses envies"

Logement durable

Logement durable

Autre grande tendance qui devrait marquer durablement l'habitat futur : la nécessité d'économiser les ressources naturelles, les sources d'énergie bien sûr, mais aussi l'eau et les matériaux. Côté économies d'énergies, des pas en avant importants ont été accomplis suivant les exigences réglementaires et parfois les dépassant nettement. Ainsi la maison passive, pratiquement auto-suffisante en énergie, devrait se généraliser. Elle permet de faire passer la consommation d'énergie sous la barre des 120kWh/m2/an, pour l'ensemble des consommations (chauffage, production d'eau chaude, éclaraige, fonctionnement des appareils, ventilation et climatisation, etc.). Un chiffre à comparer à la moyenne de 320 kWh/m2/an consommée par un logement datant des années 1960-1970 ! Pour parvenir à ce résultat, l'isolation, la réalisation des huisseries, l'absence de ponts thermiques et la création de circuits de ventilation performants s'ajoutent aux apports d'énergies renouvelables, avec par exemple des panneaux photovoltaïques."L'intégration systématique d'appareils et d'équipements solaires caractérisera peut-être les bâtiments de notre futur immédiat", pronostique Edouard Munozier, qui travaille au Conseil d'architecture d'urbanisme et d'environnement (CAUE) des Pays de la Loire. Le grand retour du bois s'inscrit dans cette évolution : matériau renouvelable par définition, puisque c'est le seul qui repousse, il offre également de grandes performances en matière d'économies d'usage, car les ponts thermiques sont pratiquement inexistants dans les constructions en bois. Il s'adapte également très bien à cette notion de "modularité" qui prime dans l'habitat de demain. Ajouter une pièce, déplacer une cloison sont des opérations relativement faciles à mener avec le bois.

La région Pays-basque et ses différents marchés immobiliers

La région Pays-basque et ses différents marchés immobiliers

Indicateur Bertrand : La région du Pays basque recèle-t-elle des marchés différents ?

Le prêt à 0 % de la ville de Paris

Le prêt à 0 % de la ville de Paris

Les acquéreurs d'un logement neuf ou ancien peuvent financer une partie de leur bien avec le prêt Paris Logement (PPL) de la Ville de Paris. Sans intérêt et sur 15 ans, celui-ci équivaut à 24 200 e pour une personne seule et à 39 600 e pour tous les autres ménages. Les bénéficiaires doivent être primo-accédants, résider à Paris depuis au moins un an et justifier d'un revenu annuel plafonné à 25 425 e pour une personne seule et jusqu'à 64 794 e pour les ménages de 5 personnes et plus. Une quinzaine de banques accordent ce prêt auquel ne peuvent pas prétendre les investisseurs.

Les prêts de l'épargne logement.

Les prêts de l'épargne logement.

Avec la remontée des taux de crédit, les prêts de l'épargne logement redeviennent attractifs. Si vous avez eu la bonne idée d'ouvrir un Plan ou un Compte, vous pouvez peut être bénéficier d'un prêt qui peut atteindre 92 000 e dans un cas et 23 000 e dans l'autre. Le taux du prêt dépend de sa date d'ouverture et force est de constater que certains régimes sont plus intéressants que d'autres. Pour le Plan, la dernière modification remonte au 1er août 2003 et fixe le taux du prêt possible à 4,20 %. Ce n'est pas le cas du régime précédent, qui concerne les Plans ouverts entre le 12 décembre 2002 et le 31 juillet 2003, dont le taux d'emprunt est fixé à 4,97 %. Mais ceux qui ont souscrit un plan entre le 26 juillet 1999 et le 30 juin 2000, sont mieux lotis, le taux du prêt étant fixé à 4,31 %. Certes, vous pouvez espérer mieux avec un crédit libre si vous mettez sur la table un excellent dossier : par exemple 4,20 %, mais sur 15 ans seulement ! Au-delà, les taux grimpent entre 4,40 et 4,80 %. L'intérêt du PEL reste limité, mais celui du CEL ne fait aucun doute. Le taux d'emprunt du régime en vigueur (depuis le 1er août 2006) s'élève à 3,25 %, soit nettement moins que les taux des banques. Et si vous avez la chance de posséder un CEL plus ancien, ne vous en privez pas. Pour les comptes ouverts entre le 1er février 2006 et le 31 juillet 2006, le taux d'emprunt est fixé à 3 % et pour ceux souscrits entre le 1er août 2005 et le 31 janvier 2006, c'est encore mieux : 2,75 % ! De quoi faire réfléchir.

Plusieurs marques pour quoi faire ?

Plusieurs marques pour quoi faire ?

Qualitel, NF logement, Habitat et Environnement : vous pouvez retrouver ces différents sigles sur les plaquettes des programmes neufs des promoteurs. A quoi correspond cette diversité ? Qualitel caractérise avant tout le confort et l'économie de charges d'une réalisation. Mais plusieurs marques sont proposées afin que les maîtres d'oeuvre aient envie de s'engager. Cette abondance de marques ne nuit-elle pas à la visibilité de la certification aux yeux du grand public ? “C'est une vraie question et les associations de consommateurs qui siègent dans nos instances relaient la nécessité de simplifier le message”, acquiesce Antoine Desbarrières, qui constate cependant qu'actuellement, les promoteurs et maîtres d'ouvrage ont encore des demandes spécifiques qui justifient l'existence de plusieurs marques aux critères différents et s'appliquant à des domaines particuliers. Exemple avec la certification NF Logement, qui concerne la qualité du bien, mais aussi les services que le promoteur apporte à l'acquéreur, de la phase d'avant-contrat jusqu'à la livraison. Elle va au-delà de la construction et implique un engagement du promoteur sur tous les logements qu'il construit, contrairement aux autres marques. Les trois critères sur lesquels se base la certification NF logement, sécurité, acoustique et thermique, possèdent plusieurs niveaux de performance, A, B ou C. Au final, le profil affiché par une opération immobilière dans chacun de ces critères permet, selon la marque de donner au consommateur : “Un élément de lecture pointu sur le marché immobilier”. Comment ça marche ? Comment se fait-on certifier ? “Les référentiels de chaque certification qui comportent un certain nombre d'exigences, sont élaborés avec des représentants des professionnels et des consommateurs, qui sont membres de Qualitel. Ils sont réévalués en permanence, suivant les critères officiels et réglementaires, mais aussi les exigences exprimées par les consommateurs”, explique Antoine Desbarrières. Les promoteurs s'engagent donc à satisfaire ces critères. Les experts de la marque évaluent ensuite la progression du chantier et le respect du référentiel, puis délivrent le certificat. La marque peut être retirée au promoteur qui ne tiendrait pas ses engagements, mais les retraits sont peu nombreux car les promoteurs s'engagent volontairement et vont en général jusqu'au bout.

L’AVIS DE ERIC VERRAX, Président de la FPC région lyonnaise

L’AVIS DE ERIC VERRAX, Président de la FPC région lyonnaise

Indicateur Bertrand : Comment les promoteurs lyonnais perçoivent le marché immobilier ?

15e, 16e,17e : l’ouest pas si tranquille

15e, 16e,17e : l’ouest pas si tranquille

15e : le nouveau Beaugrenelle démarre. Ce sera le 3e centre commercial parisien et le 1er en Europe à obtenir la certification HQE®. Bien plus vert par conséquent que l'ancien modèle, il arbore une toiture traitée comme un jardin. Pour être à la hauteur, les façades des rues en vis-à-vis vont se végétaliser. Point d'orgue du projet, l'offre culturelle s'élargit en cinémas et avec la venue de Virgin. Le chantier a démarré sur l'îlot Charles-Michel pour une ouverture du centre commercial en 2010. L'offre neuve apparaissant souvent dans le paysage du 15e, on relève cinq programmes (Ogic et Meunier, Accueil et Financière Rive Gauche). Près de la Seine ou en limite du 7e, ces biens effleurent les 9 000 e/m2. Un parking vaut dans les 30 000 e : un luxe indispensable pour les Parisiens du 15e, les plus équipés en voitures (autour de 58 %). Dans un tout autre registre, 200 logements seront construits sur les terrains de la DGAC (Direction générale de l'aviation civile) acquis par l'Opac. Au programme entre autres : 75 appartements en accession et une crèche de 40 berceaux.

L'évolution des prix du marché immobilier au pays basque

L'évolution des prix du marché immobilier au pays basque

Que pensez-vous de l'évolution du marché du logement et quels sont vos principaux projets ?

Les opérations bénéficiaires

Les opérations bénéficiaires

Peu de conditions, le crédit d’impôt porte sur les opérations de construction, d’achat dans le neuf ou dans l’ancien, avec ou sans travaux. La notion de primo-accédant n’étant pas retenue, si vous devez revendre pour acheter un nouveau logement, vous aurez aussi droit au crédit d’impôt. En revanche, seule la résidence principale est concernée. C'est-à-dire là où vous habitez vous et votre famille au moins huit mois par an. L’avantage fiscal s ‘appliquera aussi bien aux nouveaux emprunts qu’aux emprunts en cours, pour les intérêts payés à compter du 1er jour suivant l’entrée en vigueur de la loi et afférents aux cinq premières années suivant l’acquisition.

Compteurs individuels d'eau

Compteurs individuels d'eau

Je vais acheter dans une copropriété un appartement de 3-pièces dans lequel je vais habiter seul et je m'étonne qu'il n'y ait pas de compteurs divisionnaires d'eau froide.Est-ce normal ? (Guillaume K., Paris 6e)

Gérard Collomb Sénateur-maire de Lyon, président du Grand Lyon

Gérard Collomb Sénateur-maire de Lyon, président du Grand Lyon

Indicateur Bertrand : Lyon évolue beaucoup depuis quelque temps. Pour autant, est-elle devenue une métropole internationale ?
Gérard Collomb : Assurément, l’agglomération lyonnaise dispose de réels atouts sur la scène internationale. En terme d’investissements, la métropole se classe au 5e rang européen, juste après Paris. Elle affiche une progression de 38 % de son tourisme et occupe une position de leader en France dans la création d’entreprises. Deux de ses pôles de compétitivité ont été retenus pour leur visibilité internationale et trois autres pour leur vocation nationale. Je rappelle pour mémoire que ce sont Lyonbiopole dans les biotechnologies, Axelera dans la chimie et l’environnement, Lyon Urban Trucks & Bus 2015 pour les systèmes de transports, Lyongame dans les loisirs numériques et Techtera (tissus techniques). La métropole vient de rejoindre le réseau des “villes gourmandes” et a procédé à la création de la signature “Onlylyon” afin de soutenir son développement économique et d’accroître sa visibilité à l’international. Je préside aussi “Eurocités” qui rassemble 130 villes européennes.
I. B. : Qu’en est-il des grands projets d’aménagement ?
G.C. :D’abord, dans le cadre de l’emblématique projet Lyon- Confluence, la ville va doubler la taille de son centre entre le Rhône et la Saône, au sud de la Presqu’île. Dans le 9e arrondissement se poursuit l’ambitieux projet de rénovation urbaine de La Duchère. A proximité de La Part-Dieu, dans le 3e arrondissement, prend forme le nouveau quartier de Labuire. La tour Oxygène est en construction. Par la suite, une 3e tour sera construite sur un lot de l’Etat, deux grands hôpitaux vont être rénovés dans le 5e arrondissement et trois établissements pour personnes âgées dépendantes, auxquels s’ajouteront trois résidences de retraite, seront réalisés dans les années à venir. Le Grand Stade va aussi être construit à Décines. Ces grands projets d’agglomération conforteront la dimension européenne de Lyon.
I. B. :Disposez-vous encore de réserves foncières sur l’agglomération lyonnaise ?
G. C. : Dans le 7e arrondissement, il reste le pendant du Confluent avec une ouverture sur la porte sud de Lyon, soit un vaste tènement industriel. Nous avons aussi une Zac en cours sur le 8e arrondissement, des friches encore disponibles sur Vaise… En 1re couronne, nous réfléchissons à des solutions pour abolir la coupure au-delà de laquelle la ville s’est paupérisée. Sur le Carré de soie, nous disposons de 500 hectares, dont 100 seront aménagés dans les prochaines années. Nous avons aussi en portefeuille le terrain du Puisoz, à Vénissieux, et les 100 hectares qui ont été remembrés à Saint-Priest.
I. B. : Selon vous, quel rôle est dévolu à l’investissement privé dans les aménagements ?
G. C. : La puissance publique donne le signal et l’investissement privé prend le relais, avec des opérateurs crédibles dans le monde des affaires. Ce principe est comparable à celui de la perle : il faut donner de la matière à l’huître pour que la nacre jaillisse. Une grande opération a été montée de cette façon sur le Carré de soie, où le Grand Lyon prolonge les lignes de métro et de tramway tandis que Altaréa construit le pôle de loisirs. A Saint-Priest, sur la Zac Berliet, où Renault Trucks va aménager une vitrine internationale du camion, nous aboutirons à une mutation importante du quartier comprenant une diversité de fonctions. Cela avec l’aide notamment de Nexity. De tels exemples de partenariats publics/ privés ne manquent pas dans l’agglomération lyonnaise.
I. B. :Quel regard portez-vous sur l’immobilier ?
G. C. : Je suis convaincu que la ville nouvelle doit être dense et aérée avec des petits jardins tous les 500 m. Le Programme local de l’habitat du Grand Lyon prévoit de construire 6 000 logements par an, tous biens con- DR fondus. En 2006, nous avons réalisé 2 600 logements sociaux sur un total de 5 800 unités. Lyon devient une métropole attractive et, pour éviter la congestion du centre-ville, nous raisonnons dès à présent au niveau de l’aire urbaine qui compte 1,8 million d’habitants : nous étudions la mise en place d’un “RER à la Lyonnaise” pour ne pas ramener la pollution dans le coeur de l’agglomération.
I.B.:Si vous êtes réélu aux prochaines municipales, quelles seront vos orientations ?
G. C. : Nous avons des projets ambitieux en termes de culture et de sport. Mon modèle de développement demeure Barcelone, où se mêlent étroitement la culture et l’urbanisme. Constatez que, à Lyon, l’accueil des Biennales à la Sucrière a donné le top départ du projet Lyon- Confluence.
I. B. :Est-il question d’une extension de la communauté urbaine ?
G. C. : C’est un sujet qui n’est pas évoqué à la communauté urbaine… avant les élections. Et pourtant, pour ne prendre que cet exemple, l’aéroport Saint-Exupéry ne fait pas partie du Grand Lyon ! Barcelone a su créer un “Grand Barcelone” et, si nous n’étions pas capables d’en faire autant, nous régresserions. Je pense que la première réforme à mettre en oeuvre en France est celle des institutions.

Sous les paillettes, le déséquilibre

Sous les paillettes, le déséquilibre

Dans une étude publiée fin juin, l'Observatoire des familles brosse le portrait d'un Paris coupé en deux. La première ligne de fracture concerne les revenus : les Parisiens du centre et de l'ouest (6e,7e,8e,16e) déclarent au fisc une moyenne de 60 000 e alors que ceux de l'est et du nord (18e,19e, 20e) gagnent quatre fois moins bien leur vie. La seconde césure porte sur la typologie des ménages. Les Parisiens sans enfants habitent dans les quartiers centraux tandis que les familles élisent plutôt domicile à l'est (13e,14e,18e et 20e). 15 % des chefs de famille sont étrangers et leurs foyers se trouvent en général dans les 1er,10e, 18e et 20e. L'éternel solo s'avère une espèce très parisienne : un habitant sur deux est célibataire et un sur trois vit seul. Les cadres sont surreprésentés. Les familles monoparentales également. Autres traits révélateurs soulignés, cette fois, par la ville de Paris dans le diagnostic du Plan local d'urbanisme (PLU) : "On dénombre 74,5 professionnels de santé pour 1 000 habitants contre 42,2 dans l'ensemble de la France, mais certains arrondissements très peuplés (12e, 13e, 14e et 15e) sont paradoxalement peu équipés". Les cinémas, dont les Parisiens sont si friands, sont inégalement répartis. Le patrimoine de la capitale est unique au monde : 376 salles dont 89 d'art et d'essai. Dans les années 60, chaque quartier possédait son cinéma. Maintenant des salles sont alignées au cordeau sur les Champs-Elysées, à Montparnasse et sur les Grands Boulevards. En revanche, des arrondissements périphériques n'ont plus qu'un ou deux cinémas. Ce sont les 16e, 19e, 20e et 17e. Parallèlement, dans cette ville deux fois plus dense que le centre de Tokyo, les espaces aérés sont rares. "L'air de Paris est si mauvais que je le fais toujours bouillir avant de respirer", déplorait Erik Satie. Entre 2004 et 2005, la circulation automobile a chuté de 5 %, la vitesse de 2 %, mais les motos ont augmenté de 8 % dans les rues…

L’économie fiscale

L’économie fiscale

Exemple pour un couple avec 2 enfants qui souscrit un emprunt de 200 000 e sur 20 ans à 4 %. Le gain, grâce au crédit d’impôt, sera de plus de 7 000 e ce qui correspond à une diminution du coût total du crédit de plus de 8 %. De la même façon, un célibataire souscrivant un emprunt de 100 000 e sur 15 ans au même taux réalise un gain de 3 500 e, soit une réduction de plus de 10 % de son crédit.

Réception d'une maison

Réception d'une maison

Nous venons de nous rendre compte de malfaçons, un mois après la réception de notre maison. Quelles démarches devons- nous entreprendre à l'égard du constructeur de maison individuelle ? (Sophie G.,Dourdan,91)

Le dernier contextuel

Le dernier contextuel

Alors étudiant, il dessine à vingt ans son premier projet : “Un pavillon de 90 m2 pour un garçon boucher. Un vrai désastre. Sa femme l’a quitté et il s’est retrouvé seul dans la maison”, avoue-t-il. En 1980, il fonde son agence à Bandol. Les concours d’architecture pratiqués en France permettent à ses idées décalées une réalité remarquée dans la politique de construction publique : “Une chance unique au monde que tous les architectes étrangers nous envient”. En 2004, la consécration arrive quand le ministère de la Culture le désigne pour le musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée. Versant sud, Rudy Ricciotti travaille, entre autres, sur le Centre chorégraphique national d’Aixen- Provence, l’Hôtel de Caumont d’Avignon, le Palais des festivals de Venise… Côté nord, il s’expatrie pour la salle de spectacles de Sélestat, la Nickolaïsaal de Postdam, un hôtel sur les docks de Confluence (Lyon), la réhabilitation des Grands Moulins (Paris Rive Gauche) et le musée des Arts premiers (Quai Branly). Il pousse jusqu’à Séoul pour une passerelle en béton fluide qui ressemble à du marbre. Un défi qui convient à son profil à deux têtes d’architecte et d’ingénieur. A l’heure actuelle, il planche sur l’aile du musée des Arts de l’Islam pour le Louvre.

Des maisons personnalisées

Des maisons personnalisées

C’est de cette alliance entre architecture, choix des matériaux et maîtrise du métier que naissent l’équilibre et l’harmonie des maisons. Du pavillon en rez-de-chaussée de 85 m2, aux imposantes maisons, avec des tours et des décrochés de toiture, de 220 m2, OC Résidences propose une cinquantaine de modèles. Aucune maison pourtant ne se ressemble. C’est l’une des particularités du constructeur qui propose à ses clients de personnaliser les espaces à vivre, en fonction des besoins et des envies de la famille. Une cheminée centrale trônant dans le salon ou un escalier en pierre grimpant à l’étage, c’est à vous de décider. Ce sont ces détails et ces aménagements qui font d'une maison OC Résidences un chez-soi sur mesure.