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Conseils

Quoi de nouveau dans l'Ouest lyonnais ?

Quoi de nouveau dans l'Ouest lyonnais ?

La banlieue ouest de Lyon est un savant mélange entre ville et campagne. Très prisée par une clientèle familiale, c'est également le deuxième bassin d'emploi de l'agglomération lyonnaise. Tour d'horizon d'un territoire qui veut préserver son charme.

Révolution architecturale au Chesnay

Révolution architecturale au Chesnay

"Vivre, jouer au tennis, monter à cheval et se baigner à deux minutes du printemps et du BHV". En 1966, au lancement de la commercialisation de Parly 2 (brièvement baptisé Paris 2 avant le veto de la capitale), l'argumentaire promettait aux audacieux acquéreurs de son architecture moderne, signée Claude Balick, "un art de vivre unique au monde". Ils furent séduits. Construits entre 1966 et 1978, ses quelque 7 500 logements répartis sur 36 résidences vont s'arracher comme des petits pains. Avec son centre commercial de 85 000 m2, ses deux écoles et son église aux lignes avant-gardistes, ils vont propulser la ville du Chesnay dans une autre ère. D'un petit village francilien, elle devient une ville de la deuxième couronne, qui compte aujourd'hui 29 000 habitants. L'opération n'a pas laissé beaucoup de surfaces disponibles aux promoteurs suivants. Les résidences construites depuis apparaissent au comptegouttes. Aujourd'hui, elles s'inscrivent rarement dans la même lignée architecturale, avec un retour aux toits et des espaces plus fermés et sécurisés que ceux de l'époque. Elles bénéficient néanmoins de sa proximité. Avec 200 boutiques, deux grands magasins, dix moyennes surfaces spécialisées et cinq salles de cinéma, le centre commercial Parly 2 continue d'assurer aux Chesnaysiens des services à la pelle ... "à quelques centaines de mètres du Hameau de la Reine", comme il était garanti sur la plaquette d'époque.

Une dizaine de programmes neufs

Une dizaine de programmes neufs

Parmi elles, trois communes sont plus souvent dans les pages actualité du marché immobilier neuf : Le Chesnay, véritablement lancée par la construction de Parly 2 sur ses terres (et quelques mètres carrés à Rocquencourt) à la fin des années 60, possède quatre programmes en cours de commercialisation. Même constat à Saint-Cyr l'Ecole, ville de militaires et d'aéronautisme. Enfin, à Guyancourt, les grues ont commencé leurs ballets sur un nouveau quartier résidentiel, baptisé quartier de la Mare Jarry. Située sur le périmètre de la Communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en- Yvelines, Guyancourt (27 000 habitants, dont un tiers est scolarisé, et un âge moyen inférieur à 30 ans) ne cesse de se développer depuis 30 ans. Aujourd'hui, la construction de la ville touche à sa fin avec les derniers grands projets réalisés ou en cours. À 20 minutes de la porte de Saint-Cloud par l'A 12 et l'A 13 et de la porte d'Orléans par l'A 86, les forêts, bois, parcs, jardins et étangs recouvrent néanmoins encore la moitié de son territoire.

La promotion immobilière à Orléans est dynamique

La promotion immobilière à Orléans est dynamique

Avec ses prix modérés dans le neuf, ses projets de nouveaux quartiers et située à moins d'une heure de Paris, Orléans dispose de nombreux atouts. Réunis autour d'une table ronde, les principaux acteurs de la promotion immobilière nous disent tout.
Indicateur Bertrand :L'activité de l'immobilier neuf a connu quantitativement une année 2005 exceptionnelle. Orléans et sa région ont-elles suivi la tendance nationale ?
Jean-Pierre Couratier (Sami Promotion) : Absolument. D'ailleurs, globalement sur les principales agglomérations que représentent nos marchés, nous avons connu la même tendance. Il y a eu une nette progression des prix de vente sur le marché d'Orléans et agglomération.
Fabien Planas (Bouygues Immobilier) : Je partage cet avis. De plus, la commune d'Orléans suscite un réel intérêt, car elle se situe aux portes de la région parisienne, avec des coûts plus favorables. A titre d'exemple, 40 % de notre clientèle vient de l'Ile-de-France.
Jean Karm (Nexity George V) : Nous pourrions faire un parallèle avec Tours. Longtemps, le marché tourangeau était à un niveau de prix plus élevé, d'environ 10 %, et nettement plus dynamique que celui d'Orléans. En 2005, j'ai le sentiment qu'il y a eu un rattrapage au niveau des prix et qu'Orléans dispose d'un fort potentiel même si cela ne se traduit pas encore au niveau quantitatif.
Agnès Cerdelli (Eiffage Immobilier Centre) : L'année 2005 a été bonne. Malgré la hausse des prix, les clients continuent à nous suivre mais jusqu'à quand ? Le coût des fonciers, des constructions ont nettement progressé. La réglementation technique ne facilite pas les choses. Mais les clients sont toujours là avec une part très importante d'investisseurs. Certainement beaucoup plus que les années précédentes. A titre d'exemple, nous avons réalisé des réservations ou des ventes auprès de 65 % d'entre eux, ce qui est beaucoup, même si l'on se situe dans la moyenne nationale.
Jean Grégoire Soissons (Groupe Valloire) : En 2005, tout le monde a bien travaillé. Certes, les prix ont augmenté mais effectivement les clients suivent et Orléans dispose d'un fort potentiel avec la création de nombreuses ZAC. De notre côté, nous avons aussi un fort pourcentage d'investisseurs, qui représente un chiffre de 48 % depuis un an.
I. B. : Doit-on en déduire que le marché orléanais est animé avant tout par les investisseurs ?
Jean-Pierre Couratier : La moyenne nationale est de 65 % pour les régions. Nous atteignons ce chiffre et le dépassons même sur certaines opérations. Dès lors, l'interrogation concerne le marché locatif car qui dit investisseur, dit produit locatif. Vendre, c'est bien, mais l'obligation est ensuite de mettre en location. Selon moi, le marché locatif peut se heurter à une problématique à l'image de ce qui se profile dans certaines villes moyennes comme Blois par exemple. Nous devons être vigilants sur des opérations de location à 50 logements où il n'y a pratiquement que des investisseurs. Sur Orléans, si l'on appliquait le taux de 70 % sur tout ce qui se livre, cela supposerait un marché fort, dopé par des apports de population. Or, nous ne sommes pas dans l'aire urbaine toulousaine et nous ne bénéficions pas de l'arrivée de 15 000 habitants par an.
Fabien Planas : On peut peut-être préciser toutefois que le marché locatif neuf se porte mieux que celui de l'ancien. Car sa valeur locative est sensiblement la même, le client a donc intérêt à opter pour un logement qui offre non seulement un confort moderne, mais également un parking en sous sol et une cave. Ces facilités sont beaucoup plus difficiles à trouver dans l'ancien.
François Deloubes (Icade Capri) : La demande de logements pour des investisseurs privés reste soutenue sur l'ensemble de l'agglomération orléanaise. Il faut que nous soyons extrêmement réactifs à l'évolution du marché locatif local non seulement sur les prix de loyer mais aussi sur la typologie et la surface des logements. Nous privilégions également dans nos résidences des appartements pour une clientèle d'accédants résidants : les seniors désireux d'un retour près des commodités du centre-ville, les familles monoparentales ou les primo accédants.
Pierre de Monteclercq (European Homes) : A Orléans, comme dans beaucoup d'agglomérations, l'évolution à la hausse des prix a entraîné une "rupture" du marché des primo accédants ; la dynamique du marché ayant été maintenue par les investisseurs.
I. B. : Sur l'évolution des prix,n'avez-vous pas constaté une baisse de la hausse ou un atterrissage en douceur ?
Fabien Planas : Nous n'avons absolument pas ressenti ce phénomène d'atterrissage en douceur. Nous avons tous surtout noté une forte progression de l'ordre de 8 à 10 % par an sur les deux, trois dernières années. Nous attendons avec impatience de voir si 2006 est du même cru.
Carole Barilland (Infinim) : Dans le vieil Orléans, sachez que l'on atteint des prix équivalents à des prix franciliens, c'est-à-dire à 3 000 €/m2.
Jean Grégoire Soissons : J'ai même vu récemment sur certaines opérations orléanaises des prix qui vont au-delà de 3 000 €/m2. En fait, la fourchette de prix se situe de 2 600 à 3 300 €/m2. L'équation entre loyer et l'achat reste encore quand même intéressante dans nos régions.
Agnès Cerdelli : J'ai le sentiment que l'on suit la même compression que l'ensemble du territoire mais en étant toujours en dessous de la moyenne nationale. La région Centre reste cependant très calme en terme de production. C'est vrai que l'on a produit de nombreux logements ces derniers temps mais Orléans souffrait d'une pénurie chronique de logements depuis environ 5 ans. Aujourd'hui les investisseurs ont véritablement dopé la commercialisation. Nous avons donc vendu plus vite mais nous gardons quand même un volant d'accession à la propriété, qui subit l'augmentation des prix mais reflète une augmentation générale et nationale. Toujours un petit cran en dessous par rapport à d'autres régions. Nous n'avons pas connu les mêmes hausses de prix constatées à Lyon, Marseille, Toulouse ou Nantes.
Jean Karm : L'augmentation des prix constatée en 2005 suit l'évolution nationale, mais dans une moindre mesure. C'est en partie cette modération relative qui fait le succès de certaines de nos opérations et c'est ce que nous ressentons lorsque l'on se met à vendre en réseau. Nous trouvons des Parisiens qui viennent acheter et qui sont attirés par cette modération des prix par rapport à ce qu'ils pourraient acquérir dans d'autres régions comparables en terme d'attractivité. Nous avons également lancé des opérations dans le département de L'Eure-et-Loir et nous constatons là aussi que lorsque nous savons modérer les prix, nous attirons beaucoup de Parisiens. A la fois ceux qui désirent s'installer et des investisseurs de la capitale qui constatent que les prix en région Centre sont particulièrement intéressants.
Fabien Planas : Tout à l'heure nous parlions de 3 000 €/m2. Il faut dire qu'il s'agit quand même d'un micro marché en hyper centre d'Orléans. Lorsque nous élargissons dans la commune voire même en agglomération, nous sommes plutôt autour de 2 400 € à 2 600 €/m2, avec peut-être une ou deux opérations en bord de Loire qui peuvent atteindre les 2 700 €/m2. Jean Karm : Il est important de souligner que les prix du marché des logements collectifs sur l'agglomération orléanaise démarre à 2 400 €/m2 annexes incluses. Et avec la centaine de logements que nous réalisons sur Orléans, on remarque que les 2/3 de ces réalisations s'échelonnent de 2 400 à 2 600 €/m2.
Agnès Cerdelli : Ce qui peut nous faire penser que si d'aventure nous perdions la clientèle des investisseurs, nous pourrions tabler sur un marché porteur : celui des Franciliens. N'oublions pas que nous faisons partie des villes situées à moins d'une heure de Paris.
Arnaud Lacroix (Bouwfonds Marignan) : Nous avons également quelques clients d'origine orléanaise installés en région parisienne, qui projettent de revenir dans la région Centre et de ce fait investissent volontiers à Orléans, y compris avec l'objectif d'un retour pour la retraite.
Pierre de Monteclercq : Nous sommes spécialistes de l'habitat individuel et notre offre en 2005 sur l'agglomération était essentiellement constituée de grandes maisons familiales à Olivet et Saint-Jean le- Blanc ; nous avons cependant connu un rythme de commercialisation habituel pour des budgets de 300 000 €, avec une demande soutenue.
I. B. : Quels sont les principaux aménagements et opérations immobilières menés actuellement ? Et quels sont vos rapports avec les élus ?
Jean Karm : En matière d'aménagement, l'îlot de la Rape est l'une des opérations les plus importantes avec à la fois des immeubles livrés (30 000 m2 de logements et de bureaux), des opérations en travaux et d'autres en phase d'étude. Une autre opération résidentielle d'envergure va se concrétiser : l'opération du quartier Sonis. Par ailleurs, sur la commune d'Orléans, des secteurs au nord-est vont être aménagés en vue de créer d'ici 10 ans de 2 000 à 2 500 logements supplémentaires. Aujourd'hui en programmation il y a la ZAC privée du Clos Sainte Croix avec 400 à 450 logements et la ZAC publique du Clos de la Fontaine, toujours située dans ces quartiers nord-est, qui comprendra elle aussi entre 400 et 450 logements, plus de l'activité, des bureaux et un nouveau collège secteur.
Jean Grégoire Soissons : J'ajoute qu'en terme de planning, l'opération de la ZAC du Clos Rozay qui concerne 300 logements a démarré auparavant. Les ventes représentent à peu près 35 % d'investisseurs et dans la partie occupants, une majorité de jeunes retraités correspondant à la génération entre 60 et 70 ans, qui a acheté une maison individuelle à 20 kilomètres autour d'Orléans, et souhaite aujourd'hui se rendre tranquillement au cinéma sans faire 25 kilomètres en voiture. Nous assistons à un retour à la ville de ces jeunes retraités. Tous les T4, T5 ont été vendus à cette clientèle âgée de 60 ans et plus.
Jean-Pierre Couratier : Pour ce qui est des relations avec les décideurs, j'ai le regret de constater que c'est de plus en plus difficile. Aujourd'hui nous vendons trop vite par rapport à la sortie des opérations. Nous évoquons le problème du manque de foncier, je préconise d'accélérer tout d'abord les procédures afin de résoudre une partie du problème et d'améliorer les délais. L'autre aspect que nous pouvons constater est peut-être le manque réel d'élus "bâtisseurs". Certes, les villes autorisent, mais dès lors que nous franchissons la couronne périphérique des autres communes, il y a trop souvent des programmations bloquées. Quant à la réforme du permis de construire applicable en 2007, nous apportera-t-elle une réelle efficacité dans la délivrance des autorisations ?
Carole Barilland : L'ensemble des opérations d'aménagement d'Orléans a été identifié, nous sommes actuellement présents sur la ZAC du Larry à Olivet. Concernant les rapports avec les élus, il est nécessaire aujourd'hui d'intégrer dans nos plannings une durée d'instruction plus longue qu'auparavant. Certains dossiers de permis de construire peuvent être obtenus en un an.
I. B. : Quels sont les principaux attraits d'Orléans et sa région ?
Jean Karm : Le dynamisme économique régional avec ses très grandes entreprises qui rayonnent et qui constituent des pôles d'excellence comme la logistique, la cosmétique et l'informatique. Toutefois l'attrait principal reste son cadre de vie exceptionnel, en pleine nature, avec entre autres paysages attachant, la Sologne et les bords de Loire et ceci au sein d'une agglomération vivante située à moins d'une heure de Paris.
Fabien Planas : Je rejoins Jean Karm sur ses propos et, en tant que Parisien de souche, je peux vous assurer qu'Orléans est une ville vraiment agréable, où il fait bon vivre.
Arnaud Lacroix : Effectivement, Orléans est une ville très accueillante. Dans notre secteur d'activité, je pense que les prospects sont attentifs et viennent volontiers chercher des informations même si la finalité n'est pas l'achat immédiat. Le second point favorable c'est ce dynamisme au niveau des fonciers, objets d'opérations à venir en 2006 (et notamment les grandes ZAC) et la diversité de l'offre qu'elles représentent. Le meilleur exemple est autour de cette table : nous proposons des produits diversifiés permettant de répondre aux nombreux souhaits des acquéreurs.
I. B. : Comment appréhendez-vous les perspectives d'évolution du marché en 2006 et quelles sont vos principales opérations sur la région ?
Agnès Cerdelli : Les voyants sont au vert mais nous sommes tout de même vigilants. Nous aurions même tendance à diminuer notre activité plutôt que de surpayer des terrains d'autant que le marché n'est pas extensible à l'infini. Pour Eiffage Immobilier Centre, nous avons deux programmes en cours de commercialisation qui fonctionnent très bien aujourd'hui : les Gloriettes, 24 maisons individuelles à Olivet et le Clos de la Saulaie, 50 logements collectifs et 12 maisons à Saint Jean de Braye ; d'autre part nous nous sommes orientés vers des opérations à Tours et Chartres.
Jean-Grégoire Soissons : Nous restons résolument optimistes. Je pense que 2006 sera un petit peu plus dur que 2005 et qu'il y a encore beaucoup de travail à mener. Pour le groupe Valloire, nous avons des programmes en cours et le stock 2006 est suffisant. Les opérations qui sortiront sont déjà calées et nous espérons avoir fait des choix judicieux comme Saint-Jean-de-Braye où nous commercialiserons 60 appartements et 5 maisons en plein centre-ville et Fleury les Aubrais une petite résidence privée de 25 appartements proche des gares SNCF et Tramway. Même si nous ne rejetons pas les investisseurs, notre effort porte avant tout sur des programmes destinés aux occupants.
Pierre de Monteclercq : Sur l'agglomération d'Orléans, 2006 sera pour nous le lancement d'une opération phare à Combleux composée de grandes maisons et terrains à bâtir ; nous sommes confiants sur ce marché mais resterons très vigilants sur les prix de vente. European Homes aura également une activité très soutenue sur Tours avec la réalisation de près de 250 logements. Cette année 2006 va être pour nous le signe d'une grande ouverture par la reconquête du primo accédant et asseoir nos partenariats dans le logement social. Nous réfléchissons en ce moment sur la région Centre à la réalisation de nouveaux concepts d'habitat en collectif vertical et semi individuel.
Arnaud Lacroix : Je pense que l'année 2006 sera bonne. Nous sommes à Orléans pour nous développer et actuellement en recherche active de foncier. Nous avons deux programmes en cours : La Porte Bannier dans la ZAC de la Rape, dont 50 % sont commercialisées (85 % d'investisseurs, 15 % d'accédants) et dont la livraison est prévue pour le 1er trimestre 2007 ; Parc Saint-Loup à Saint-Jean-de-Braye dont 35 % du programme est commercialisé (80 % d'accédants, 20 % d'investisseurs). D'autre part pour 2006, nous lançons un programme de 110 logements à Chartres (collectifs et maisons) sans oublier notre développement à Tours, là où la direction régionale de Bouwfonds Marignan est implantée depuis de nombreuses années. Jean-Pierre Couratier : Je reste volontaire, positif et confiant pour 2006, d'autant qu'il y a la matière et que les clients seront toujours là. Cette année nous devrions réaliser notamment une opération de 150 logements (petits collectifs maisons). Nous allons peutêtre imaginer un produit primo accédant. L'axe de Sami Promotion en 2006 sera d'ailleurs tourné vers l'accession. Nous sommes également diversifiés sur Tours, Chartres, et regardons de près la région parisienne.
Fabien Planas : Je suis très positif pour 2006. L'année 2005 a permis à Bouygues Immobilier de s'implanter sur le Loiret au travers de notre opération Esplanade Coligny qui s'est très bien vendu grâce à nos compétences et notre expertise. Cette année, plusieurs projets verront le jour au cours du 1er trimestre. L'effectif de l'agence d'Orléans va tripler et nous déménageons dans de plus grands locaux. Nous étudions aussi le secteur de Chartres que nous pensons très dynamique.
François Deloubes : Notre activité 2006 sur Orléans concerne deux opérations : la résidence New Orléans - 55 logements - située dans le quartier de La Rape et commercialisée à ce jour à 40 % ; Le Carré de la Madeleine comprenant 42 logements dont 7 maisons de ville et une commercialisation démarrée depuis le mois d'octobre 2005. Nous sommes confiants sur la tenue du marché immobilier à Orléans. Notre agence Icade Capri d'Orléans souhaite conforter son activité sur Orléans et son agglomération.
Carole Barilland : Notre objectif premier est le développement. Infinim concentrait jusqu'ici 80 % de son activité en Ile-de- France et 20 % en région Centre. Nous travaillons activement pour que la tendance s'équilibre. En 2005, nous avons démarré les travaux de deux opérations sur l'agglomération, et nous allons lancer la commercialisation d'une nouvelle opération de logements collectifs et de maisons sur Orléans durant le 1er trimestre 2006.
Jean Karm : L'année s'annonce positive en terme de croissance d'activité par rapport à 2005. Nous partons avec un important stock de près de 300 logements, bien situés, à commercialiser en région Centre (sur les agglomérations d'Orléans, Tours et Chartres). Par ailleurs 2006 devrait voir le lancement commercial de notre opération d'aménagement de la ZAC du Clos Sainte Croix qui a été initiée dès 2002. Enfin, nous avons des opérations qui sont en montage actuellement et qui devraient être lancées courant 2006 à la fois en collectif et en maisons. En résumé, pour George V Centre Loire, nous nous attendons à une année bien remplie, aux alentours de 500 logements.

La campagne aux portes de la ville

La campagne aux portes de la ville

La périphérie ouest de Lyon cultive l'image de la campagne a votre porte. Le PLU adopté sur le territoire du Grand Lyon prévoit notamment de développer la ville en respectant de son environnement naturel, notamment par la préservation des perspectives visuelles sur les Monts d'Or et les Monts du Lyonnais. La commune de La Tour-de-Salvagny en est un exemple frappant. Golf, hippodrome, casino, vieux bourg typique, que d'arguments pour convaincre des ménages aisés de venir s'y installer. Pour autant, la municipalité ne manque pas d'ambition et lance un projet de refonte de son centre-ville et l'aménagement du site dit du Contal. Sur une superficie de 8 hectares, elle va proposer une nouvelle zone d'habitat mixte, intégrant des bâtiments de haute qualité environnementale, destinée à des jeunes ménages qui veulent se maintenir ou venir s'installer à La Tour-de-Salvagny. Plus de 20 000 m2 vont être proposés dans ce quartier, dont 30 % de logements sociaux. D'autres communes telles que Craponne ou Dardilly ne veulent pas céder aux sirènes de l'urbanisation et entendent rester des lieux de transition entre ville et campagne.

Recours en cas de retard de livraison

Recours en cas de retard de livraison

Acquéreur d'un logement neuf, vendu sur plan, je devais en prendre livraison prochainement mais le vendeur m'a expliqué que n'ayant pu constater l'achèvement du chantier il va falloir patienter. N'ai-je aucun recours ? (Dominique B., La Courneuve, 92)

Investissez à crédit pour "booster" la rentabilité

Investissez à crédit pour "booster" la rentabilité

Pour les investisseurs, acheter à crédit est toujours recommandé. Les banques l'ont bien compris. Car, contrairement à l'achat d'une logement en résidence principale, lorsque vous investissez dans un logement locatif, vous pouvez déduire les intérêts d'emprunt de vos revenus fonciers. D'où le succès des formules de prêt "in fine". Comment ça marche ? A l'inverse d'un crédit amortissable de façon classique, remboursé généralement chaque mois sur la base d'une mensualité comprenant une part de capital et des intérêts, les prêts "in fine" permettent aux investisseurs de rembourser le capital emprunté en fin de prêt, en une seule fois. Si vous utilisez ce genre de formule, vous ne verserez, chaque mois, que les seuls intérêts d'emprunt et les frais d'assurance. Le coût de ces formules est donc très élevé mais permet à l'investisseur d'engranger le maximum d'intérêts à déduire. Reste que pour s'assurer du remboursement du prêt, les banques prennent leurs précautions et exigent que le prêt soit couplé à un produit d'épargne, par exemple un contrat d'assurance vie. Malgré un intérêt certain, soyez vigilants sur ces formules. Surtout si vous comptez sur votre revenu locatif pour payer une partie du crédit. En cas d'impayés prolongés, vous pourriez vous trouver dans une situation difficile.

Du neuf dans le bassin d'Arcachon

Du neuf dans le bassin d'Arcachon

Les grands projets de la ville d'Arcachon permettent d'y envisager le neuf. "Etant donné le coût du foncier, les nouveaux propriétaires sont soit des retraité, soit des gens en fin de carrière qui travaillent dans la région de Bordeaux ou à Paris, ou encore qui s'installent en profession libérale dans le bassin. Depuis 2001, nous orientons la construction vers la résidence principale, en imposant aux promoteurs de privilégier les grands appartements dans les nouveaux programmes et pour les jeunes ménages arcachonnais, nous avons une politique de logements aidés en locatif, qui leur permet de rester ici" explique Yves Foulon, le maire d'Arcachon. Avec un premier prix à 285 900 € pour un 3-pièces de 72 m2, le programme que Nexity George V commercialise actuellement dans le quartier du Petit Port donne effectivement une idée du niveau de prix atteint dans la commune. Toujours à Arcachon, deux autres programmes sont proposés par Bouygues Immobilier, l'un du 2 au 4-pièces offre une situation dominante sur le Bassin, l'autre est situé dans le centre à 300 m de la jetée Thiers.

Sud-Ouest : un marché convoité

Sud-Ouest : un marché convoité

Côté Sud-Ouest, les bords de mer offrent un environnement nature et des rouleaux chers à tous les surfeurs. Leurs fans inconditionnels doivent cependant y mettre le prix.

Normandie La mer à la campagne.

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Côte de Nacre ou Côte Fleurie, hautes falaises ou longues plages, galets ou sable fin, la Normandie a longtemps bénéficié de sa proximité avec la capitale, même si le développement de moyens de transport rapides lui a quelque peu ôté cet avantage et a permis aux amoureux de la mer d'aller la goûter plus loin et plus chaude...

Bord de mer : une offre plus élargie

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Sur la Côte d'Azur, que ce soit en bord de mer ou proximité mer, l'offre de programmes s'élargit mais reste soutenue en terme de prestations. "Juste derrière le front de mer, nous commercialisons Villa d'Azur, à Roquebrune-Cap-Martin, 27 logements en un seul petit immeuble, commercialisé à 6 500 €/m2, indique Arnaud Cadoux. Pour ce prix, les logements ont des prestations quasiment luxueuses". Un peu plus en retrait, à 300 m à pied du rivage, Promogim lance Les Jardins d'Antibes, une résidence sécurisée, bénéficiant de traitements d'espaces verts avec une orangeraie, un jardin japonais, un grand mail avec des palmiers... La première tranche de 57 logements, en trois bâtiments avec au prix moyen de 4 650 €/m2.

L'immobilier en bord de mer : drapeau vert

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Les opérations situées en front ou en bord de mer sont très prisées. Qualitatives, elles rencontrent toujours un franc succès auprès des acheteurs français ou étrangers.

3 QUESTIONS A LOUIS NEGRE, Maire de Cagnes-sur-Mer

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Vice-Président du Conseil Général des Alpes-Maritimes et maire de Cagnes-sur-Mer, Louis Nègre a entrepris de repenser son front de mer tout en développant une nouvelle offre de logements.

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Des travaux importants dans l'immeuble où je possède un logement en location vont être effectués. Pourrais-je les déduire alors que je suis assujettie au micro foncier ? (Evelyne T., Cherbourg, 50)

Réussir votre plan de financement

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Avant de vous engager dans un projet d'acquisition, vous devez penser à son financement. Point indispensable pour mettre tous les atouts de votre côté et réussir votre projet.

Des opportunités dans les Landes

Des opportunités dans les Landes

Tout aussi protégées et peu constructibles, entre plages et pinèdes, les Landes recèlent tout de même quelques programmes neufs, notamment à Capbreton et Soustons, où Immo-Investir propose deux résidences en copropriété classique. La première, se situe dans un quartier résidentiel de Capbreton, au bord du Boudigau, proche du centre-ville, du port et des plages. La résidence, aménagée dans un parc, autour d'une piscine privée permet de profiter d'un cadre de vie résolument tourné vers la détente. La seconde, à Soustons est à proximité des commerces et des arènes de la ville. A Soustons, le 3-pièces de 71 m2, parking inclus, est à 231 000 €, avec possibilité de mandat de gestion et rentabilité locative garantie aux alentours de 4,12 %. Dans la même commune, le programme neuf signé Bouygues Immobilier, bien placé sur les rives du lac et équipé d'une piscine réservée aux résidents, affiche un prix moyen de 3 504 €/m2. Du côté de Saint-Paul Les Dax, Nexity George V signe une nouvelle réalisation dans cette station de remise en forme, réputée pour ses établissements thermaux qui dominent le lac de Christus ainsi que l'immense parc aquatique en eaux minérales chaudes, unique dans tout le Sud-Ouest.

Répartition des charges

Répartition des charges

J'ai acquis un logement dans une copropriété il y a environ 6 mois. Or, les charges afférentes à mon lot sont bien supérieures aux charges qui incombent à mon voisin pour un lot identique. Puis-je obtenir une répartition des charges plus équitable ? (Laurence K.,Tignes,73)