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Conseils

Des villes bâtisseuses moins rares

Des villes bâtisseuses moins rares

Mantes-la-Jolie se positionne comme "la" bâtisseuse des Yvelines. La 3e ville du département (44 000 habitants) tire parti de son environnement privilégié : parc ornithologique, berges de Seine, campagne à 3 ou 4 km et proximité de La Défense, à une vingtaine de minutes. La mairie a procédé dernièrement à la requalification du centre-ville, où s'est construit un multiplexe qui s'enrichira de deux nouvelles salles l'an prochain. Des bureaux ont été livrés. Un Monoprix vient s'installer, ce qui témoigne de l'image de qualité de la ville puisque cette enseigne a pour habitude de s'implanter dans des villes de haut niveau comme Saint-Germain-en-Laye ou La Celle- Saint-Cloud. En terme d'habitat, Mantes a rééquilibré son offre privée en initiant en 2001/2002 la ZAC des Bords de Seine sur une friche industrielle. Au total, cet aménagement comportera 1 400 logements, livrés pour la moitié fin 2008 et en totalité en 2010. Les prix sont très honnêtes pour les Yvelines (aux environs de 3 000 €/m2) et ils subissent déjà une poussée haussière au terme des travaux d'embellissement de la ville. Ce quar- tier présente l'avantage d'être à 400 m du centre tout en s'ouvrant sur le fleuve. Quatre promoteurs nationaux ont répondu à l'appel de la mairie avec chacun une tranche d'une cinquantaine de logements face à la Seine pour commencer. Actuellement, sont en cours de commercialisation les programmes de Bouygues Immobilier (2555e/m2), Icade Capri, Nexity Féréal et Meunier.

Zoom sur Les SEM (Sociétés d'économie mixte)

Zoom sur Les SEM (Sociétés d'économie mixte)

Aujourd'hui, 1 130 Sociétés d'économie mixte (SEM) sont en activité en France. Elles interviennent dans une quarantaine de domaines d'activité et principalement dans l'aménagement, le logement, le tourisme, les transports et l'énergie. Elles représentent près de 9 % des 16 000 entreprises publiques locales dénombrées au plan européen. Elles emploient 65 500 salariés. Le montant de leur capitalisation s'élève à 2,65 milliards d'euros, détenus à 65 % par les collectivités locales. Le volume de leurs investissements est estimé à 11 milliards d'euros. Elles ont réalisé en 2005 un chiffre d'affaires de 13,8 milliards d'euros. www.fedsem.fr

Condition suspensive à l'achat

Condition suspensive à l'achat

Je viens de signer un compromis de vente directement avec le vendeur, sans passer par un professionnel.Or, je viens de m'apercevoir que la condition suspensive de l'obtention du prêt ne figure pas au contrat. Serai-je alors engagée, même si la banque ne m'accorde pas le financement? (Brigitte J., Asnières, 27)

Taux d'intérêt : des conditions attractives malgré tout

Taux d'intérêt : des conditions attractives malgré tout

Si, en 2005, on pouvait avec un solide dossier emprunter à taux fixe autour de 3,20 à 3,50 % sur 15 ans, aujourd'hui, il ne faut guère se faire d'illusion. D'après Empruntis, sur 15 ans, les taux oscillaient entre 3,55 et 4,55 % en septembre dernier. Mais sur 25 ans, ils se situaient entre 3,85 et 4,70 %. A taux révisable, la fourchette évoluait entre 3,10 et 4,14 % sur 15 ans et entre 3,30 et 4,34 %. Pas de quoi s'alarmer tout de même. En tout cas pour le moment. Car, si la hausse est significative, le niveau des taux reste bas. Selon Bruno Rouleau, responsable à la direction de la Formation et des Partenariats du courtier en crédit In&Fi France, pour un emprunt de 100 000 € sur 20 ans consenti à 3,55 % en novembre 2005, la mensualité s'élevait à 582 €. Aujourd'hui, le même emprunt consenti à 4,20 % représente une mensualité de 616 €, soit 34 € d'écart. Même chose si l'on considère un crédit de 100 000 € sur 25 ans. Contracté à 3,80 % en novembre 2005, il impliquait une mensualité de 516 € contre 553 e à 4,45 % aujourd'hui, soit 37 € de plus à payer chaque mois. Un impact qui reste effectivement limité puisque la perte de capacité d'endettement s'établit entre 0,9 et 1,20 % selon les revenus. Malgré tout, la hausse a de quoi inquiéter. Car elle se conjugue avec la poursuite de la hausse des prix de l'immobilier, même si celle-ci ralentit, et par la stagnation du pouvoir d'achat des ménages. Les primo-accédants sont évidemment les plus touchés. Et lorsqu'ils parviennent tout de même à réaliser leur rêve, c'est bien souvent au prix d'une superficie qui fond comme neige au soleil. Ainsi, selon l'Indicateur Crédit Foncier Essec, à l'échelon national, la capacité moyenne d'achat des acquéreurs dans l'ancien est passée de 50,7 m2 au 1er semestre 2005, à 48,5 m2 au 2e semestre 2005. Elle était de 59 m2 en 2000. Toutes les régions ne sont évidemment pas logées à la même enseigne. C'est en Ile-de- France (41,1 m2), mais aussi en Paca (42,9 m2), en Languedoc-Roussillon (58,1 m2) ou encore en Rhône-Alpes (60,6 m2), qu'elle est la plus faible. Elle est en revanche beaucoup plus forte dans des régions comme le Limousin (121,4 m2), l'Auvergne (107,8 m2), le Poitou-Charentes (98,2 m2) et la Franche- Comté (94,6 m2), rares secteurs où les primo-accédants ont encore de quoi voir grand. Résultat : les marges de solvabilité, c'est-à-dire l'écart entre la capacité moyenne et maximale d'achat, diminuent de façon significative. "Nous mesurons combien de mètres carrés les emprunteurs achètent et ce qu'ils pourraient acheter s'ils allaient au maximum de leur solvabilité et on observe que leur marge de manoeuvre diminue drastiquement", explique François Drouin, président du directoire du Crédit Foncier de France. Au 2e semestre 2005, cette marge de solvabilité se situait à 16,6m2. Elle était de 18 m2 au 1er semestre 2005. A titre de comparaison, elle se situait à 27,1m2 en 2000.

3 questions à Nicolas Finkelstein - Notaire à Saint-Germain-en-Laye

3 questions à Nicolas Finkelstein - Notaire à Saint-Germain-en-Laye

"En 10 ans, l'écart entre l'ancien et le neuf s'est réduit de moitié"

La montagne côté utile ou agréable

La montagne côté utile ou agréable

Il est possible de marier l'agréable à l'utile en acquérant un bien dans une résidence de tourisme, loué en partie mais dont on profite durant ses loisirs. Un moyen d'amortir une résidence secondaire sans s'impliquer puisque le gestionnaire se charge de la location et de l'entretien. Ce dispositif a aussi le mérite de permettre d'économiser sur le budget vacances : à titre d'exemple, la location classique à la semaine d'un studio d'une vingtaine de mètres carrés aux Houches ou à Megève reviendrait environ à 250 € hors saison et à 450 € en haute saison, avec un dépôt de garantie. Faites vos comptes !

L'art de bien vivre sur ses acquis

L'art de bien vivre sur ses acquis

Cette qualité du quotidien a toutefois un prix qui n'est pas à la portée de tous les budgets. Dans le "triangle d'or", entre Saint-Germainen- Laye, Marly-le-Roi et Le Vésinet, l'immobilier culmine. Fin juin, une maison ancienne vésigondine s'échangeait à 845 000 € en moyenne, en hausse de plus de 4 % sur un an. A Saint-Germain-en-Laye, rue Gambetta, un 4-pièces de 89 m2 est récemment parti à 585 000 €, soit 6 573 €/m2. Quant aux terrains à bâtir, fort rares dans cet est de l'ouest, l'un deux vient de se négocier 273 000 € pour 450 m2 sur la plaine de Montesson et un autre, situé à Fourqueux, a atteint la somme insensée de 550 000 € pour 1 000 m2 en juillet dernier.

Taux d'intérêt : ils remontent

Taux d'intérêt : ils remontent

Ce n'est pas un scoop, les taux remontent. Et de façon assez vigoureuse. Quelles en sont les raisons ? La hausse va-t-elle se poursuivre ? Quelles conséquences sur le crédit immobilier ? Décryptage.

Règles comptables et syndic

Règles comptables et syndic

Je suis copropriétaire et syndic bénévole dans une petite copropriété comprenant huit lots. Suis-je tenu d'appliquer les nouvelles règles comptables ? (Aline K.,Nancy, 54)

Ici commence le règne de la maison individuelle

Ici commence le règne de la maison individuelle

Cette diversité s'exprime aussi au travers des formes d'habitat : près de la moitié des logements sont des maisons individuelles (44 %). Souvent même cet habitat revêt une tonalité inédite. Les lofts de Sartrouville réalisés par Fédéral, par exemple, sont vendus sous forme de "coque" avec les murs doublés revêtus d'une couche de peinture, laissant l'acquéreur distribuer les pièces et assurer les ultimes finitions à son goût. "Nous avons eu l'idée de proposer un menu à la carte", explique le promoteur qui par ailleurs peut conseiller des équipes d'architectes d'appoint si le besoin se fait sentir. De cette façon, les espaces peuvent être ou non cloisonnés et s'étirer de 65 jusqu'à 135 m2. Ces coques sont mises sur le marché entre 250 000 et 390 000 €, avec une livraison envisageable au 2e trimestre 2007. Dans le même esprit contemporain, Promogim propose des maisons d'architecte conçues par Jean-Michel Wilmotte à Boisd'Arcy approximativement entre 435 000 et 490 000 €. Le programme est central, situé dans la ZAC de la Croix Bonnet. Boisd'Arcy s'affirme en plein renouveau avec un centre historique pittoresque, Versailles à proximité, une base nautique et une forêt domaniale. A l'inverse, L'Immobilière Promex réserve aux amateurs de cachet à l'ancienne la résidence du Donjon, conçue autour de la réhabilitation de l'usine de tisanes Boldofleurine. Le promoteur a gardé la façade, les fenêtres de 2 m de haut et une hauteur sous plafond de 3 m. Le programme se compose de 26 maisons de ville et de 16 appartements dans l'usine. Les maisons se négocient à partir de 255 000 € à environ 2 500 €/m2 et le collectif à 3 200 €/m2. Jusqu'à présent, les acquéreurs étaient de jeunes couples parisiens et des retraités souhaitant se rapprocher du centre-ville. La résidence se situe à Houdan, une cité en partie médiévale dont le centre vient d'être requalifié. Son bâti s'intègre dans le paysage traditionnel houdanais. Les petites villes tirent allègrement leur épingle du jeu : Nexity Domaines a choisi Neauphle-le-Vieux, Bonnières-sur-Seine et Magnanville pour implanter ses toutes dernières réalisations. Le promoteur sélectionne les sites : "En tenant compte de la vie quotidienne d'une famille active : gares, axes routiers, centres commerciaux, écoles, crèches et loisirs." Pour les acquéreurs, cela signifie aussi qu'il est possible de trouver un "large choix de maisons de ville, individuelles et de petites résidences dans l'esprit des 'pays franciliens'". Enfin Kaufman & Broad a ouvert depuis peu un bureau de vente à Limay pour commercialiser une trentaine de maisons et un second programme s'annonce. Le promoteur propose par ailleurs une petite dizaine de programmes de maisons plus ou moins avancés dans leur commercialisation, aux dates de livraison échelonnées entre 2007 et 2009. Saint-Nom-La-Bretèche, Saint- Arnoud, Les Clayes-sous-Bois, Toussus-Le- Noble, Houdan : autant de bourgs et villages nichés dans la chlorophylle, comme une bonne partie des 262 communes yvelinoises.

Prêt et délai de réflexion

Prêt et délai de réflexion

J'ai accepté une offre de prêt sans avoir respecté le délai de réflexion de 10 jours. Aujourd'hui un autre établissement bancaire me fait une offre plus intéressante.Puis-je me désengager malgré mon acceptation ? (Laurent S.,Montpellier, 34)

Qui paie l'ascenseur ?

Qui paie l'ascenseur ?

Je suis usufruitière de l'appartement que j'occupe. L'assemblée générale a voté le remplacement de l'ascenseur lors de la dernière assemblée générale. Les frais engagés sontils à ma charge ou à la charge du nu-propriétaire ? (Liliane G.,Blois, 41)

Les quartiers de demain

Les quartiers de demain

D'autres secteurs s'ouvrent à l'urbanisation, à l'est de Nantes. Objectif : promouvoir une offre de qualité mais accessible, notamment aux primo-accédants, qui puisse leur éviter d'aller à 20 ou 30 km de Nantes pour accéder à la propriété. Dans le quartier Bottière-Chénaie, desservi par deux stations de tramway, un vaste terrain de 35 ha de friches maraîchères va permettre un grand coup de neuf. Les travaux ont débuté cette année et devraient se poursuivre jusqu'en 2012, pour arriver à la livraison progressive de 1 500 logements, dont 50 % en collectif, 20 % en individuel, 30 % en intermédiaire. Côté équipements, la médiathèque Est s'intègre au coeur du nouveau quartier. Selon Jean-Pierre Pranlas- Descours, l'urbaniste du quartier : "Le projet s'inscrit dans le paysage et l'histoire du site. Nous travaillons actuellement sur le projet de la Nantaise d'habitation. Suivront ensuite cinq autres îlots, de 35 à 150 logements, dont l'objectif reste commun :mélanger accession et locatif social. C'est un secteur à vocation plus sociale que d'autres et on ne sera pas au niveau de prix des logements des rives de Loire." Parmi les programmes à venir, Le Nouveau Monde, un ensemble signé du Groupe Gambetta, dont l'architecture contemporaine abritera 51 logements.

…même au-delà de Montpellier

…même au-delà de Montpellier

L'aire d'influence du marché montpelliérain se situe jusqu'à une quarantaine de kilomètres. Autour de Montpellier, Pragma est présent à Castelnau-le-Lez avec la deuxième tranche de L'Etoile, sur la ligne du tramway, avec une livraison au 4e trimestre 2008. Le promoteur, qui ressent "le besoin d'élargir le spectre de son offre", s'éloigne encore plus de Montpellier pour implanter une opération à Balaruc-les- Bains, avec Bleu de Thau, 50 logements avec vue sur l'étang de Thau, à un prix moyen de 3 200 €/m2 habitable. Il lance également une opération en centre-ville de Mauguio, avec 25 logements en résidence principale, à environ 3 000 €/m2, puis à Marsillargues, sur le site de l'ancienne cave coopérative, à un prix compris entre 2 700 et 2 800 €/m2. Dans le périmètre de l'agglomération, aux portes de Montpellier, Bouwfonds Marignan commercialise Les Capitelles, des appartements de 2 à 4-pièces, sur le Domaine de Fondespierre, en lisière du golf international de Fontcaude, en hauteur de colline. Le 3-pièces, de 61 à 71 m2, est commercialisé entre 184 000 et 258 000 €, avec une livraison prévue fin 2007. A Lattes, au coeur de la cité lacustre de Port- Ariane, Roxim propose la dernière opération à s'intégrer sur le port avec une seconde tranche de Résidence Domitia où le 2-pièces de 40 m2 est proposé à partir de 155 000 € et le 3-pièces de 67 à 70 m2 est vendu à partir de 209 000 €. Comme conclut Xavier Longin : "Pour l'instant rien ne permet de s'inquiéter de l'évolution du marché immobilier local à court terme."