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Conseils

Baromètre Que d'eau !

Baromètre Que d'eau !

Selon la dernière étude de l'Institut Français de l'Environnement, chaque Français débourse en moyenne 177 euros par an pour honorer sa facture d'eau. Tout comme l'énergie, voilà un domaine où vous pouvez faire coup double en économisant une ressource naturelle précieuse et raréfiée tout en préservant votre porte-monnaie. Pour cela, l'Institut rappelle quelques principes simples : une douche plutôt qu'un bain, et ce sont 130 litres du précieux liquide économisés. Par ailleurs, la nouvelle génération d'équipements sanitaires permet également de substantielles économies : un robinet à limiteur de débit par exemple, permet de réduire la consommation de moitié.

Aménagement : des fonctions nouvelles à satisfaire

Aménagement : des fonctions nouvelles à satisfaire

Selon Gérard Mermet, sociologue et auteur de la série Francoscopie (Francoscopie 2007, Larousse) : "Si l'on cherche à dessiner le logement de demain, on imagine bien sûr d'abord une maison, puisque c'est d'elle que rêvent depuis toujours les Français. Elle serait selon les moments et les humeurs de ses occupants transparente, translucide ou opaque, c'est-à-dire ouverte, entr'ouverte ou fermée sur l'extérieur. Il lui faudra satisfaire encore mieux qu'aujourd'hui les fonctions traditionnelles : alimentation, repos, hygiène, réception, stockage-rangement (cette dernière étant appelée à prendre de l'importance…). Elle devra surtout améliorer ou intégrer des fonctions plus récentes ou nouvelles, comme l'information et la communication (en réception comme en émission), la protection et la surveillance, la gestion administrative, financière et matérielle du foyer (avec notamment une optimisation des flux entrants et sortants de marchandises, aliments et autres biens de consommation ou d'équipement). Elle devra faciliter le travail des actifs dont une part croissante se fera sous forme de télétravail, celui-ci devenant économiquement rentable, techniquement possible et socialement acceptable. Le foyer sera enfin le lieu privilégié du développement personnel, favorisant aussi bien la formation ou le perfectionnement individuel que les loisirs, solitaires ou partagés."

L’AVIS DE PATRICK JAUBERT, Directeur de l’urbanisme et de l’action foncière à La Seyne-sur-Mer

L’AVIS DE PATRICK JAUBERT, Directeur de l’urbanisme et de l’action foncière à La Seyne-sur-Mer

Indicateur Bertrand : Quelle est la politique de la ville de La Seyne en matière d'habitat pour les actifs locaux ?

Du jardin élémentaire…

Du jardin élémentaire…

Cet amoureux des pays froids a étudié dans l’ombre du roi Soleil, à l’Ecole nationale supérieure du paysage de Versailles. A 30 ans, il fonde l’agence qui figure aujourd’hui dans le top ten, décollant plus tôt qu’un architecte parce que les budgets de sa profession sont moindres. Le projet qui le lance ? Le square des Bouleaux (Paris 19e), attenant à des logements sociaux conçus par l’architecte Renzo Piano. Desvigne s’éloigne des tendances sur-dessinées de l’époque pour imaginer un “jardin élémentaire” : un bois de 110 bouleaux plantés… dans une cour de 20 m sur 60 ! Le matériau vivant dans son essence plutôt que l’ornementation. Une constante de son oeuvre par la suite.

Transfert de propriété

Transfert de propriété

Je voudrais me porter acquéreur d'un petit appartement parfaitement adapté à la situation de mes enfants, étudiants à Paris. Le problème est que le logement est vendu occupé, mais avec l'assurance du locataire qu'il est en cours de déménagement. Puis-je avoir confiance ? (Roland D., Lyon, 69)

Montpellier : succès des nouveaux quartiers

Montpellier : succès des nouveaux quartiers

A Montpellier, l'une des nouveautés urbaines tient dans le lancement du quartier de la Restanque dans le secteur sud des Près d'Arènes. Ce mot occitan désigne un petit muret soutenant les cultures en étages. Il s'agit, dans cette opération de requalification d'une zone industrielle, de transformer un périmètre de 90 ha en secteur d'habitation. Ce projet s'inscrit sur une durée de 15 à 20 ans et le quartier contiendra jusqu'à 10 000 logements, soit de 18 000 à 25 000 habitants. D'ici quelques années, le secteur sera desservi, dans sa partie nord, par la ligne 3 du tramway. Pour ne pas perdre de temps avant la création d'une prochaine Zac, un programme d'aménagement d'ensemble (PAE) a d'ores et déjà été lancé sur une surface de 7 ha à la croisée de la rue de l'Industrie et de l'avenue du Marché- gare. Ce sont environ 1 200 logements qui y seront réalisés ainsi que des équipements publics comme l'élargissement de rues, la réalisation d'un espace public central, un square ainsi qu'un groupe scolaire. Premier présent dans cette nouvelle orientation urbaine, Urbat lance Nouveau Palace, une résidence avec une architecture de verre et d'acier dédiée à la lumière, à deux pas du centre-ville et des plages. Les 250 logements vont bénéficier d'une conception dite "Open Space" avec des espaces extérieurs intégrés, des murs vitrés et des ventelles aluminium coulissantes. "La Restanque est vraiment le quartier des dix prochaines années pour les nouveaux arrivants à Montpellier, assure Alain Durand. C'est d'autant plus vrai que l'on peut réaliser des opérations à des prix tout de même abordables et je n'hésite pas à comparer ce choix urbain en terme d'impact à celui que constitua Antigone en son temps."L'opération d'Urbat est commercialisée à un prix moyen au mètre carré habitable de 3 050 e avec des logements destinés à des primo-accédants en secteur libre à 2 500 e/m2. La première tranche de 150 logements sera livrée entre mai et décembre 2009.

Les maisons de constructeur

Les maisons de constructeur

"L'engouement pour la maison individuelle n'est pas prêt de disparaître ! Les prix sont élevés, mais non surévalués et notre marché reste principalement animé par des particuliers. La stabilisation observée en 2006 nous apporte une bouffée d'oxygène qui va nous permettre d'assurer la production des ventes enregistrées en 2005 et 2006, sans dépasser les délais contractuels" se félicitait Christian-Louis Victor, président de l'UNCMI (Union nationale des constructeurs de maisons individuelles) lors de la dernière conférence de presse de l'organisation. Le secteur diffus représente la grande majorité de la construction en individuelle : en 2006, les maisons construites en diffus - c'est-à-dire par des promoteurs-constructeurs, des artisans en direct, des concepteurs ou même les particuliers eux-mêmes - ont représenté 45,15 % de la production totale de maisons, soit 181 424 logements. Ne désespérez donc pas si vous ne trouvez pas votre bonheur dans les programmes de maisons individuelles groupées ! Si vous avez un terrain, il ne vous reste plus qu'à trouver le modèle de maison qui correspondra à votre budget et à vos goûts. Mais le constructeur peut également vous aider à trouver un terrain, voire vous en proposer un. Gros avantage d'une maison de constructeur : dans la limite imposée par la nature du terrain et les contraintes architecturales, vous pourrez le plus souvent intervenir plus facilement sur les plans et modifier l'agencement intérieur suivant vos besoins et vos envies. Rajouter ou enlever une cloison, prévoir une surface plus grande pour telle ou telle pièce, un autre type d'ouverture, etc., peut s'avérer plus simple. Quant à l'avenir, il se joue en vert aux yeux du président de l'UNCMI, qui affirme : "La maison écologique figure parmi les enjeux que nous souhaitons généraliser à toute la profession. Il nous faut également construire des maisons performantes, en utilisant les matériaux et les procédés de construction les plus innovants. Par ailleurs, nous ne devons pas perdre de vue la nécessité de construire des maisons sociales, à des prix abordables. Il faut également tenir compte de la pression foncière en développant l'offre de maisons de ville".

Les bons plans de Menton à Perpignan

Les bons plans de Menton à Perpignan

Sur ce territoire très recherché des bords de la Méditerranée, le marché du logement neuf demeure résolument attractif avec une offre géographiquement diversifiée. Enquête immobilière plein soleil.

Les "deux en un"

Les "deux en un"

En dehors du prêt relais jumelé, il existe désormais, des formules globales. Dans ce cas, le financement de l'opération achat revente est appréhendé dans sa globalité. La banque vous proposera alors un prêt à long ou à très long terme, dont une partie (équivalent au prix du bien à vendre) sera remboursable par anticipation sans pénalités au moment de la vente. Ces formules qui sont plus souvent proposées par des banques spécialisées offrent toutes sortes de souplesses. Elles vous permettent notamment d'emprunter à 100 %, voire 110 % (y compris les frais de notaire), d'intégrer différents modes de remboursement. "L'avantage de notre prêt relais, c'est qu'il permet d'intégrer les crédits en cours, les frais de notaire, les frais de déménagement, explique Jean-Pierre Bourgeois de l'UCB, et notre prêt peut aller de 5 à 40 ans". Chez cette banque, une fois la vente du bien réalisée, le remboursement partiel s'effectue sans frais jusqu'à 140 % du montant initialement prévu. Côté mensualité, vous pouvez choisir entre une diminution de l'échéance ou le maintien du montant prévu au départ. Mais dans ce cas, la durée de votre prêt diminuera. Même approche au Crédit Foncier qui, avec "Foncier Intégral", prend en compte votre projet dans sa globalité. Vous disposez immédiatement de l'apport personnel que constitue le produit de la vente à venir sur la base de 80 à 90 % après expertise. "Les crédits en cours sont intégrés au financement, de telle sorte que l'acquéreur n'a qu'un seul remboursement sur la base d'une mensualité globale et constante adaptée à son budget, explique Christiane Jalon. Le prêt peut être à taux fixe, révisable, sur une durée de 6 à 30 ans. Par rapport à un prêt relais jumelé, le prêt global a un autre avantage. Outre sa simplicité, il est aussi moins onéreux. Vous n'aurez pas à débourser les frais de dossier pour deux prêts puisqu'il n'y a qu'un seul montage. Sachez toutefois qu'un certain nombre de banques font un geste commercial et ne facturent qu'une seule fois ces frais. Même chose pour les frais d'hypothèque uniquement pris sur le bien acheté. Ce qui n'est pas automatique pour le prêt relais jumelé. Il peut, en effet, arriver qu'une garantie complémentaire sur le bien à vendre soit exigée. Auquel cas, faites attention aux frais de mainlevée d'hypothèque, formalité qui sera nécessaire dès la vente de votre bien. Une promesse d'hypothèque peut très bien faire l'affaire. Elle évite les frais de mainlevée.

Antoine Desbarrières, Directeur de Qualitel et président de Cerqual

Antoine Desbarrières, Directeur de Qualitel et président de Cerqual

Indicateur Bertrand : Quelle est votre activité en matière de certification pour les logements ?
Antoine Desbarrières : Nous avons enregistré une forte croissance des demandes, puisque nous passons à plus de 100 000 logements engagés dans une démarche de certification, toutes marques confondues, contre moins de 40 000 en 2002. Nous avons constaté que les demandes de certification augmentaient plus vite que la construction, pour plusieurs raisons. D'abord l'incitation des pouvoirs publics à tous les niveaux, en particulier au niveau local, où ils peuvent d'autant mieux mettre en avant leurs exigences qualitatives qu'ils sont propriétaires des terrains. Certaines collectivités, avec lesquelles nous signons des conventions, peuvent inciter financièrement à la construction de bâtiments basse consommation. Rennes Métropole par exemple, ne finance que les logements sociaux qui obtiennent la certification. De plus les professionnels veulent montrer que leurs réalisations vont dans le sens d'une préoccupation générale pour le développement durable. La certification a été élaborée par le législateur dans ce but, avec des critères de qualité consensuels.
I. B. :…Et les professionnels de la promotion immobilière répondent présents…
A.D. : Tout à fait, c'est ce qu'exprime l'engagement de majors de la profession, comme Vinci Immobilier, Meunier Habitat ou, plus récemment, Bouygues Immobilier qui engage l'ensemble de sa production sous la marque Habitat & Environnement.
I.B. :L'abondance de marques ne nuit-elle pas à la visibilité de la certification pour le consommateur ?
A. D. : C'est une vraie question et les associations de consommateurs qui siègent dans nos instances relaient la nécessité de simplifier le message. Mais pour que le particulier puisse avoir l'opportunité d'acheter ou de louer un logement certifié, il faut qu'il y ait une offre suffisamment importante. En amont, il faut donc que le maître d'ouvrage ait eu envie de s'engager dans une certification. En développant des marques adaptées, avec des référentiels spécifiques, nous avons convaincu plus de professionnels de s'engager. Pour le grand public, cela engendre une difficulté à s'y retrouver. C'est une préoccupation majeure pour nous et dès lors que nous pourrons le faire, nous simplifierons les choses. Aujourd'hui, il est encore trop tôt, car nous avons des demandes spécifiques de la part des promoteurs, des maîtres d'ouvrages. Par contre, pour répondre aux attentes du public, nous allons lancer une grande campagne de communication, dans le cadre d'une politique générale de sensibilisation et d'action pédagogique sur la qualité du logement. Cette campagne va couvrir toutes les marques de qualité. Elle s'appuiera sur les grands médias audiovisuels et sur Internet. Vous la découvrirez cet automne, au moment des salons immobiliers.
I. B. : L'offre des industriels et la mise en oeuvre de nouveaux matériaux plus performants suit-elle l'exigence de qualité ?
A. D. : Pour élaborer nos référentiels, nous travaillons en collaboration étroite avec les experts issus du monde de l'industrie et les centres techniques comme le CSTB. Les industriels siègent également dans nos instances. On peut dire que l'offre de produits suit bien les évolutions réglementaires et celles de nos certifications. Certains sujets restent difficiles, comme l'acoustique, d'autant que la mise en oeuvre, étant donné la pénurie de main d'oeuvre qualifiée, est problématique. L'un des points difficiles reste la qualité de l'air dans les logements et les problématiques liées au choix des matériaux. On commence à avoir, sur les aspects environnementaux, un certain nombre de directives. Par contre, sur les aspects sanitaires, les choses sont beaucoup moins claires. Il y a encore des disparités fortes sur les appréciations qui peuvent être faites quant aux émissions de composés organiques volatiles des différents produits. Du coup, les industriels sont pour l'heure très prudents dans ce domaine, malgré leur volonté d'avancer.
I. B. : Quelles sont les grandes évolutions actuelles des différentes marques ?
A.D. : Globalement, l'ensemble des marques de qualité continue d'évoluer en allant plus loin sur la qualité environnementale. Lorsque cette dimension existe déjà, comme pour la marque Habitat & Environnement, nous allons intégrer de nouvelles dimensions comme celle du confort visuel. On va aussi plus loin sur l'énergie, en intégrant des niveaux de performances supérieures, avec les énergies renouvelables, les bâtiments basse consommation avec Effinergie. Et nous allons intégrer cette dimension environnementale aux marques qui ne la présentaient pas, avec par exemple un niveau Qualité Environnementale pour la marque NF Logement. Nous travaillons aussi sur la qualité de l'air dans les logements, en avançant aussi vite que possible dans un domaine difficile. L'évolution réglementaire sur l'accessibilité et la loi handicap nous entraîne également à travailler sur l'accessibilité et l'habitabilité des logements. Nous mettons l'accent sur la prise en compte du vieillissement de la population, avec des exigences sur la conception des logements, certains équipements dans les salles de bain, mais aussi la conception des menuiseries.

Emprunter pour acheter plus grand

Emprunter pour acheter plus grand

Pas facile de changer d'appartement quand on est propriétaire. Mais pas si compliqué que ça non plus. Car les banquiers ont mis en place une gamme de prêts bancaires qui permet de faciliter l'opération. Explications.

Bouches-du-Rhône : Marseille réussit son pari

Bouches-du-Rhône : Marseille réussit son pari

Véritable ville en chantier et locomotive des Bouches-du-Rhône, Marseille se métamorphose depuis des années sur l'ensemble de son territoire. Les exemples ne manquent pas comme la réalisation des Hauts de Sainte-Marthe dans le 14e arrondissement, nouveau quartier à vocation résidentielle sur un site de 150 ha. C'est dans le 14e que Promogim commercialise ainsi Le Clos Saint-Jérôme, à proximité de la Faculté des Sciences, livrable au 1er trimestre 2009. Dans le 2e arrondissement, la requalification de la rue de la République, qui entre dans un projet plus vaste de rénovation du centre-ville, a pour objectif de rénover l'ensemble du patrimoine de cette artère haussmanienne destinée à libérer une offre de logements dans ce secteur. Ce projet est notamment conduit par Marseille République, propriétaire d'une grande partie des immeubles de la rue, soit plus de 130 000 m2. Cette restructuration aura permis la mise sur le marché, d'ici la fin 2008, de 100 000 m2 de logements de qualité, du studio au 5/6-pièces, de 35 à 165 m2. Dans le 15e, le promoteur Pitch Promotion propose, lui, Les Terrasses de la Méditerranée. Parmi les innombrables projets qui tissent la toile urbaine de Marseille, le 16e arrondissement n'est pas le plus mal loti, avec la création d'un pôle touristique, culturel et éducatif autour de la peinture, baptisé Villa Mistral, qui consiste à réhabiliter la villa éponyme et les 3 460 m2 de son jardin. C'est aussi dans ce secteur que prend place la base nautique de la Lave destinée à favoriser le développement des activités de l'Estaque, au pied des falaises qui amorcent les calanques de la Côte Bleue. C'est dans ce fameux quartier de l'Estaque, qui voit son cadre de vie amélioré avec l'Espace Mistral sur 2,5 ha dans la continuité du noyau villageois, qu'Art Promotion commercialise Le Patio Cézanne, à proximité immédiate du port. Les 22 logements, qui correspondent au développement d'une offre nouvelle dans ce secteur, sont commercialisés à 3 550 e/m2 pour une livraison prévisionnelle au cours du 1er trimestre 2008. Le promoteur est aussi présent à Aix-en- Provence avec Villa Florentine, 28 logements de standing commercialisés 5 500 e/m2 à proximité du Cours Mirabeau, pour une livraison au 4e trimestre 2008. Avec un prix plus abordable, le même promoteur propose au nord d'Aix-en-Provence, sur la commune de Lambesc, le Parc Fenestrelle, pour la fin de cette année à 2 920 e/m2.

L’AVIS DE EDGAR MENGUY Adjoint au maire de Rouen en charge de l’urbanisme

L’AVIS DE EDGAR MENGUY Adjoint au maire de Rouen en charge de l’urbanisme

Indicateur Bertrand : Où en sont les grands projets de Rouen ?

Rouen et Le Havre

Rouen et Le Havre

Longtemps assoupies après les ravages de la guerre, les deux grandes de Haute-Normandie sont en plein renouveau. Projets d'envergure et logements neufs sont à l'ordre du jour.

Le Havre les pieds dans l'eau

Le Havre les pieds dans l'eau

Portée par son identité balnéaire, un classement prestigieux au patrimoine mondial de l'humanité et d'ambitieux projets urbains, Le Havre a parcouru du chemin depuis la terrible année 1944 où elle vit 80 % de son centre-ville détruit par les bombardements. Façonné par Auguste Perret après les destructions de la guerre, le centre-ville bénéficie de la proximité immédiate de la plage. Ici, le foncier libre est rare, bien sûr et les quelques réalisations neuves qui trouvent à se nicher dans les "dents creuses" sont en général plutôt haut de gamme et partent comme des petits pains. Après le triangle des gares, qui a vu surgir des immeubles de bureaux, une structure hôtelière de 125 chambres, un parking de 500 places, la métropole, qui compte près de 200 000 habitants, soigne son quartier portuaire. La conversion d'anciens docks est en route : 66 000 m2 désormais dédiés aux espaces commerciaux, aux loisirs, aux sports, à la culture et à l'équipement de la maison. La moitié des surfaces étaient vendues au 1er mars 2007 et l'ouverture de l'ensemble est programmée pour l'année prochaine. Tous ces projets ont permis de marquer et de valoriser le lien entre la ville et son port. Dans le prolongement, Saint-Nicolas de l'Eure est le quartier "qui monte". La ville de demain s'y construit et les premiers logements sont en passe d'être livrés. Ceux de Cap Marine par exemple, une résidence signée Nexity George V, dont l'architecture s'intègre parfaitement au quartier des docks. Le 3-pièces de 54 m2 y démarre à 185 000 e. Dans le même quartier, Bécarré signe le Carré Vauban, une vaste résidence de 5 bâtiments qui comprend une centaine d'appartements. Un grand 3-pièces de 68 m2 s'affiche à 188 200 e. Bleu Horizon de Bouygues Immobilier prend place près du bassin du commerce. Livrable à la fin de l'année, le programme propose encore de belles surfaces, comme ce 80 m2 à 226 500 e.

Rouen à l'heure du changement

Rouen à l'heure du changement

Pôle économique, portuaire, universitaire, la ville est jeune, active et… en pleine évolution ! Sur 800 ha, elle déploie un vaste projet urbain qui s'appuie sur la restructuration d'anciens sites industriels et portuaires, dans le but d'étendre vers l'ouest le centre de l'agglomération rouennaise. A une heure de train de la capitale, Rouen attire des salariés franciliens à la recherche d'une meilleure qualité de vie à moindre coût. Près de 2 000 habitants de l'agglomération rouennaise prennent chaque jour le train de Paris pour se rendre au travail. Salarié de Renault Guyancourt, Jean-Claude a sauté le pas il y a 5 ans. A Amfreville, petite commune desservie par la gare de Oissel et à un quart d'heure de bus du centre-ville de Rouen, il a acheté une belle maison dont le jardin donne sur la Seine pour 57 000 e, facilement couverts par la revente de son appartement de 3-pièces à Saint-Denis, qui est parti à 143 000 e ! "Depuis, les prix ont explosé à Amfreville. Une amie de ma femme vient d'acheter une maison plus petite que la notre, près de 100 000 r!"constate Jean-Claude, atterré par cette valse des étiquettes. Rouen reste néanmoins très abordable pour les Franciliens. Les logements neufs y fleurissent, notamment sur les Zac libérées par la reconquête des grandes friches portuaires et industrielles de la ville. La rive gauche, longtemps délaissée et vue comme un quartier moins attirant, se refait une beauté : autour du centre commercial et de la zone animée de Saint-Sever, des logements neufs se construisent, comme ceux du programme d'Eiffage où le 3-pièces de 59 m2 s'affiche à 141 150 e.