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Conseils

DEGAT DES EAUX

DEGAT DES EAUX

J'ai acquis récemment un appartement qui avait subi un dégât des eaux antérieurement à l'achat. L'expert qui a rendu son rapport conclut à une vétusté trop importante pour être indemnisé. Est-ce légal ? (Ariane T.,Trégueux, 22)

AUTOUR ET ALENTOURS

AUTOUR ET ALENTOURS

Les prix doux et les rares programmes de maisons neuves vous attendent dans les communes environnantes. A Déville-lès-Rouen par exemple, à l'ouest du centreville, les Terrasses de Flaubert, signé Nexity George V proposent un petit 2-pièces à 99 500 €. Et les maisons ? Il faut compter 290 000 € pour une villa de plus de 121 m2 dans le domaine de Kaufman & Broad au Mesnil-Esnard, où quelques maisons restent à prendre. Au Grand Quevilly, quelques maisons de Bouygues Immobilier sont encore disponibles et démarrent à un petit 185 000 € pour 85 m2.

OUVERTURE À L'OUEST

OUVERTURE À L'OUEST

Après l'aménagement de la nouvelle avenue Pasteur et en attendant le 6e pont de la ville, l'ouest de la rive droite constitue le nouveau centre urbain de Rouen. Aux côtés de la nouvelle préfecture et de la fac de droit, les quais accueilleront des commerces et l'îlot Pasteur, qui devrait ouvrir en 2006, formera un nouveau complexe de bureaux, logements, commerces et hôtels. Dans ce secteur prisé, les prix s'envolent vers les sommets du centre historique, flirtant avec les 2 000 €/m2 et l'offre en neuf devrait bientôt apporter de nouvelles opportunités dans ce quartier à forte perspective d'avenir.

Bordeaux : faute de densité, le marché s'éloigne

Bordeaux : faute de densité, le marché s'éloigne

La Communauté Urbaine de Bordeaux rencontre un réel succès, mais la densité des opérations d'habitat n'est pas suffisante. Face à une demande accrue de logements, les opérateurs s'éloignent des zones urbaines traditionnelles. Les principaux promoteurs de la place nous apportent leurs analyses.

La part des investisseurs vs les propriétaires accédants

La part des investisseurs vs les propriétaires accédants

I.B. : La part importante des investisseurs laisse à penser que, finalement, les locataires sont plus nombreux que les propriétaires accédants. Quel constat dressez-vous ?

L'AGGLOMÉRATION EN POINTILLÉ

L'AGGLOMÉRATION EN POINTILLÉ

L'essentiel du marché immobilier en neuf est concentré à Montpellier. Hors de la ville centre, les opérations de promotion immobilière se distinguent par leur... absence. A l'exception de la commune de Juvignac, avec le Domaine de Font Despierre, inspiré de la très médiévale circulade. Outre Sefiteg qui y réalise 26 appartements et 49 maisons, PragmA commercialise la résidence l'Hermitage, 46 appartements, composés de 2 et 3-pièces, ainsi que 18 maisons, en 3 et 4-pièces. Marignan Immobilier va construire sur ce même site, en commercialisation depuis fin octobre, 38 maisons et 38 appartements, à 2 900 €/m2 environ. Quant à Eiffage, il signe le Mas de Font Despierre, 55 logements, en deux bâtiments collectifs. A noter que les promoteurs commercialisent en parallèle des parcelles de terrains à bâtir. En dehors de cette remarquable opération d'aménagement aux portes de Montpellier, les quelques réalisations isolées sur l'aire urbaine ne poussent pas à l'optimisme : "Montpellier est un cas à part sur ce territoire, mais quasiment aucune commune ne libère de terrains pour lancer de vraies opérations d'aménagement, regrette Marc Séchaud. Nous constatons que, pour l'instant, les outils d'urbanisme densifiant l'habitat ne servent à rien. En cela, la loi SRU n'a pas changé grand chose". A l'heure d'une prévisible crise de l'énergie, la rationalisation de l'habitat et sa densification sont en ligne de mire : "L'impact du coût de l'énergie va être tel qu'il deviendra rapidement difficilement supportable à ceux qui s'éloignent trop, estime Marc Séchaud. Il est urgent d'anticiper !". Hors de Montpellier et de l'agglomération, les promoteurs poursuivent leur développement, comme Nexity George V, Sopra promotion-Groupe Kaufman & Broad. Bouygues Immobilier est présent à Villeneuve-lès-Béziers avec Villa Nova ou encore à Ribaute-les-Tavernes, dans le Gard, avec le village résidentiel des Bastides du Sud, comprenant club house, piscine ou boulodrome.

CHARGES LOCATIVES

CHARGES LOCATIVES

Je suis propriétaire d'un studio que je mets en location. Quelles sont les taxes que je peux récupérer sur mon locataire ? (Georges W., Chaumont, 52)

Les enjeux de la Communauté Urbaine de Bordeaux

Les enjeux de la Communauté Urbaine de Bordeaux

Indicateur Bertrand : Limiter l'extension urbaine, densifier le tissu existant, assurer la mixité urbaine, tels sont les enjeux signifiés par la Communauté Urbaine de Bordeaux dans le cadre du PLU. En tant que promoteurs, comment vous positionnez-vous ?

Le Havre, toutes voiles dehors

Le Havre, toutes voiles dehors

Aménagements publics, des quartiers en développement, un vent nouveau souffle sur Le Havre et ses nombreux programmes. Explications.

Trouver un logement neuf sur un air de campagne à 15 min de Lyon

Trouver un logement neuf sur un air de campagne à 15 min de Lyon

La pression immobilière déplace l'offre dans la périphérie lyonnaise. Quitte à s'éloigner du centre, beaucoup de jeunes ménages décident de faire le saut pour une vie au vert. Zoom sur les programmes à découvrir sur "un air de campagne".

Evolution du marché bordelais

Evolution du marché bordelais

I.B. : Quelle va être l'évolution du marché immobilier bordelais à court terme ?

Les prix des logements collectifs neufs

Les prix des logements collectifs neufs

I.B. : Quels sont les prix appliqués en général sur le marché des logements collectifs neufs ?

PROJETS D'AMÉNAGEMENT

PROJETS D'AMÉNAGEMENT

Les projets fleurissent aux quatre coins de la commune et sur tous les fronts. Espaces verts, logements, nouveaux équipements comme la grande médiathèque ou le palais des sports, amélioration des infrastructures avec un 6e pont qui sera mis en service en 2007, reconquête des quais de la Seine : un tourbillon de chantiers qui entraîne dans son sillage la rénovation de l'habitat existant dans de nombreux quartiers et la construction de centaines de nouveaux logements. Edgar Menguy, Adjoint à la politique de la ville précise : "Une étude récente a montré que les logements neufs sont habités par des personnes qui viennent de Rouen (25%), de l'Agglo (25 %) et de l'extérieur (50 %)".

L'ANCIEN, MÊME SANS TRAVAUX

L'ANCIEN, MÊME SANS TRAVAUX

La mesure phare de la récente réforme tient à l'ouverture du prêt au logement ancien sans contrainte de travaux. Certes, l'ancien dispositif prévoyait déjà la possibilité de bénéficier du PTZ dans l'ancien. Les conditions d'octroi étaient cependant très dissuasives : pour financer un logement ancien, il fallait au moins consacrer 35 % du coût de l'opération en travaux. De fait, 90 % des prêts à 0 % émis concernaient l'acquisition de logements neufs. Et plus particulièrement la maison individuelle. Selon la société de gestion du FGAS (Fonds de garantie de l'accession sociale à la propriété), 79 % des prêts octroyés en 2003 ont servi au financement d'un tel achat. L'ouverture à l'ancien sans condition de travaux va vraisemblablement modifier la donne. Déjà, les agents immobiliers comme les banquiers perçoivent ce mouvement. Certes, il est encore un peu tôt pour savoir si l'objectif de 240 000 prêts par an sera atteint. Mais, déjà, certains banquiers observent des évolutions notables. Certes, la clientèle n'est pas forcément plus nombreuse mais plus facilement éligible avec l'assouplissement des mesures dans l'ancien, d'autant que les plafonds de ressources ont été relevés. Il faut en effet souligner que l'aide est soumise à conditions de ressources. Certains banquiers avouent même avoir doublé leur production de prêts à 0 % dès le printemps. Parmi les plus gros distributeurs de PTZ, il faut citer le Crédit Agricole (près de 30 % de parts de marché) et le Crédit Foncier (20 %). Mais beaucoup d'autres banques distribuent l'aide de l'Etat, notamment des établissements généralistes comme BNP-Paribas, les Caisses d'Epargne, le CIC ou le Crédit du Nord, ainsi que des banques spécialisées comme l'UCB.

Hervé Manet - Président de Marignan

Hervé Manet - Président de Marignan

Indicateur Bertrand : Le dernier Congrès de la Fédération des Promoteurs Constructeurs avait pour sujet central "Environnement et construction". Est-ce une thématique qui a toute sa place chez Marignan ?
Hervé Manet : Marignan est très attaché au respect de l'environnement. Notre actionnaire Bouwfonds est un atout essentiel dans ce domaine puisqu'il exerce, depuis de nombreuses années, son activité dans le cadre du développement durable. Il est donc une référence et un soutien précieux pour Marignan. De plus, il y a quelques années, nous avons créé notre charte Haute Qualité Environnementale car la plupart des concours que nous remportons sont basés sur ces critères. Reste à convaincre le client, qui ne comprend pas toujours, que le surcoût généré par ces aspects environnementaux est une future économie de sa charge d'exploitation.
I.B. : Quels sont vos axes de développement en Ile-de-France et vos programmes les plus emblématiques ?
H.M. : Marignan aura mis en commercialisation cette année en Ile-de-France environ 800 logements dont 75 % en grande couronne et 25 % pour la première couronne. Dans les Yvelines, nous venons de terminer Carrières-sur-Seine et St-Cyr-L'Ecole, des opérations d'envergure qui représentent plus de 350 logements. Dans le Val d'Oise, à Vauréal, nous avons conçu un projet de création urbaine, où nous reconstituons un cœur de ville et développons 200 logements avec la commercialisation d'un deuxième bâtiment.
En première couronne, nous poursuivons nos activités à Meudon, Levallois, Asnières, Colombes, Le Plessis-Robinson, et sommes en pleine phase de développement à Saint-Denis, Nanterre...
I.B. : Rareté du foncier oblige, Paris n'a plus de terrain disponible et les communes résidentielles sont urbanisées quasiment définitivement, quelle est votre stratégie ?
H.M. : A chaque fois que la population se déplace, il faut recréer un environnement en démontrant aux élus notre capacité à faire venir une clientèle nouvelle. Comme à Colombes, Marignan a su attirer une autre clientèle qui a permis à la ville de s'ouvrir à une nouvelle forme d'urbanisation et d'accession à la propriété. Le même phénomène se produira demain dans toutes ces villes du Val d'Oise ou de la Seineet- Marne dont les marchés sont très actifs. C'est pour cette raison que nous sommes depuis longtemps partenaires d'EpaMarne et de Val d'Europe. Illustration notable, l'ouverture réussie de Courtaline, à Magny-le-Hongre, qui comporte 77 maisons et qui est un vif succès commercial. Six mois après le lancement d'une première tranche de 44 maisons, nous lançons la seconde, composée de 33 maisons, de 120 à 189 m2 habitables. Nous avons démontré tout notre savoir-faire sur le marché haut de gamme ainsi que notre capacité à développer des concepts originaux s'inspirant, comme à Magnyle- Hongre, d'une tradition architecturale briarde.
I.B. : Quel regard portez-vous sur l'évolution du marché ?
H.M. : Avec l'allongement de la durée des crédits, les banques continuent à soutenir l'immobilier par des taux d'intérêts très bas. C'est donc à nous de concevoir des produits qui ne dépassent pas la limite de solvabilité du client. Nous observons également depuis plus d'un an l'intérêt des investisseurs pour la région Ile-de-France grâce au dispositif Robien parfaitement en phase avec le marché. Je remarque de plus en plus, dans le comportement de nos investisseurs, que le complément de ressources pour la retraite qu'apporte un bien immobilier, s'ajoute à l'avantage fiscal immédiat.
I.B. : Qu'est ce qui a changé dans l'évolution des produits ?
H.M. : L'organisation du logement en règle générale n'a pas réellement évolué. Nous pouvons malgré tout noter que certaines pièces, plus que d'autres, reflètent aujourd'hui les différents styles de vie de nos clients : la cuisine par exemple, elle est souvent plus grande qu'autrefois pour être à nouveau un vrai lieu de rencontre de la famille, ou au contraire, pour certains, elle n'est qu'un lieu fonctionnel et devient dans ce cas une cuisine à l'américaine ; le séjour reste la pièce de réception par excellence, la demande est donc vers de belles surfaces lumineuses, les chambres sont quant à elles légèrement plus grandes pour recevoir, le cas échéant l'informatique.
En ce qui concerne plus particulièrement la résidence en elle-même, les systèmes de sécurité sont aujourd'hui nettement plus renforcés avec le plus souvent portier électronique, digicode, interphone...
L'écoute, qui est l'une des valeurs de Marignan, nous permet de mieux connaître nos clients et d'adapter nos produits à l'évolution de leurs attentes.
I.B. : Et sur l'évolution de votre métier ?
H.M. : Le métier de promoteur doit rester un métier de proximité ; proximité avec les clients, les élus locaux, les acteurs économiques... c'est pour cela qu'aujourd'hui nous avons renforcé notre maillage national avec dix directions régionales et neuf agences locales. L'évolution chez Marignan est dans l'accompagnement du Groupe aux projets d'aménagement urbains initiés par les collectivités locales soit en relation directes avec elles, soit aux côtés d'aménageurs publics ou privés. C'est cette notion de partenariat qui est aujourd'hui un élément essentiel de la culture de Marignan.

LE PTZ, QUEL AVENIR ?

LE PTZ, QUEL AVENIR ?

Dans le projet de loi de Finances pour 2006, le gouvernement envisage de prélever la quasi-totalité des fonds versés au FGAS*, autrement dit, de ne plus permettre aux banques de distribuer les prêts aidés que sont le Prêt à 0 % et le prêt à l'accession sociale (PAS). Une mesure qui fait monter les banques au créneau (BNP-Paribas, Banque Populaire, Caisses d'Epargne, Crédit Agricole, Crédit Mutuel, CIC, Dexia, Crédit Local, LCL, Société Générale et Crédit Immobilier de France). Logique puisque ce fonds est alimenté pour moitié par l'Etat et les banques. Celles-ci estiment en outre qu'une telle décision remettrait en cause 70 000 prêts par an. Espérons que le gouvernement reviendra sur cette mesure qui va d'ailleurs à l'encontre des récentes dispositions visant à élargir le champ d'application du PTZ, lequel devait profiter à 240 000 bénéficiaires par an (contre 80 000 en 2004). Affaire à suivre donc...

RÉSIDENCE PRINCIPALE EXCLUSIVEMENT

RÉSIDENCE PRINCIPALE EXCLUSIVEMENT

Si l'ancien se voit désormais mieux traité par rapport au neuf, encore faut-il que le logement respecte des normes minimales de surface et d'habitabilité. Dans le cas contraire, le prêt à 0 % ne pourra vous être accordé que si vous réalisez les travaux nécessaires à cette mise aux normes. Dans le neuf, les conditions d'octroi ne varient guère par rapport à l'ancien dispositif. Outre l'achat d'un logement neuf, la construction d'une maison individuelle accompagnée de l'acquisition du terrain, vous pouvez également financer la transformation en logement d'un local non destiné à l'habitation, de même qu'un logement en location-accession. Dans ce cas, le prêt est accordé "au vu des ressources de l'accédant à la date de la levée d'option". Une précision qui n'existait pas dans l'ancien dispositif. Reste que, neuf ou ancien, le logement doit concerner votre résidence principale. Autrement dit, un logement occupé au moins huit mois par an.