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Conseils

CRÉDIT À 100 %

CRÉDIT À 100 %

Autre phénomène qui vise à "resolvabiliser" les emprunteurs, les crédits sans apport. Une tendance rendue d'ailleurs possible grâce à l'allongement des durées. Vous avez aujourd'hui la possibilité d'emprunter jusqu'à 100 %, voire 110 % du coût de votre opération. Autrement dit, de financer frais de notaire et d'hypothèque. Tout comme l'allongement de la durée, emprunter à 100 ou 110 % coûte évidemment plus cher. Plus le capital emprunté est important, plus la durée de remboursement est longue et plus le coût du crédit est élevé. A titre d'exemple, pour 200 000 € d'emprunt à 3,85 % sur 25 ans, votre mensualité sera de 1 040 €. Le coût du crédit s'élèvera à 111 750 €. Sur 30 ans, l'échéance chute à 940 €, mais votre crédit vous coûtera 137 540 €. Une formule qui peut effectivement vous permettre d'emprunter sans dépasser les 30 % d'endettement admis par les banques, mais qui peut aussi être risquée en cas de problème. En 25 ou 30 ans, bien des événements (divorce, chômage, maladie, décès...) peuvent se produire et compromettre le remboursement d'un crédit. La prudence s'impose donc. D'ailleurs, une récente étude de l'Anil et de l'Observatoire des pratiques du Conseil national de l'habitat en fait état. "En dépit de la baisse des taux d'intérêt et de l'allongement de la durée des crédits, la charge de remboursement mensuelle dans les revenus des emprunteurs déterminée lors du montage des dossiers de prêt s'est sensiblement alourdie, passant de 27,5 % en 2000 à 29,2 % en 2004. La part des emprunteurs supportant des remboursements supérieurs à 35 % de leurs revenus est passée, dans le même temps, de 16,1 à 20,1 % de la production annuelle des établissements (...) En ce qui concerne la production 2004, la tranche 35 % et plus peut représenter, selon les établissements, de 1 à 46 % des crédits consentis". Une situation qui n'est pas sans poser problème : "Les plus modestes s'endettent sur de très longues durées et avec des perspectives de très faible inflation. Parviendront-ils à supporter si longtemps le poids réel, c'est-à-dire en euros constants, de charges initiales élevées ?", s'interrogent les auteurs de l'étude. En tout cas, une chose est sûre, si vous achetez maintenant, assurez-vous que votre bien pourra, en cas de problèmes, être revendu dans de bonnes conditions et vous permettre de faire face au remboursement total du crédit.

Christian Musset - Président de Cogedim Vente

Christian Musset - Président de Cogedim Vente

Indicateur Bertrand : Vous êtes l'un des rares promoteurs présents à Paris intra-muros. Est-ce une question d'opportunité, de stratégie ?
Christian Musset : Depuis sa création en 1963, Cogedim a toujours construit à Paris. C'est l'un des grands signes distinctifs de la marque, tout autant que son positionnement sur le marché haut de gamme, qui représente toujours notre cœur de métier. Aujourd'hui, le groupe marque sa volonté de rester présent sur ce marché et s'en donne les moyens. En témoignent deux nouvelles réalisations que nous venons de mettre en vente. La première se compose de 43 appartements dans le cœur historique du Marais, à l'angle des rues Pastourelle et Charlot. À 9 500 €/m2, nous répondons à une vraie demande, comme le montre la douzaine de ventes déjà réalisées. La seconde, rue Boussingault, près du parc Montsouris dans le 13e, comprend 35 appartements au prix moyen de 7 000 €/m2.
L'année 2006 sera marquée par plusieurs lancements, rue du Sergent-Bauchat (12e), rue Dombasle (15e) ou encore rue Chardon-Lagache (16e).
I.B. : Quels sont vos principaux développements en Ile-de-France ?
C.M. : Nous axons principalement notre développement le long de la boucle de la Seine baignant l'Ouest parisien et les communes les plus porteuses des Hauts-de-Seine. À Issy-les- Moulineaux, le site de l'ancien hôpital Corentin Celton, où nous réalisons les Jardins du Carrousel, est emblématique pour son cadre historique préservé, autour de la Cour d'Honneur et de l'ancienne chapelle. Au Plessis-Robinson, le lancement du nouveau quartier prolongeant le centre-ville fait partie des événements immobiliers, avec 500 appartements vendus en 8 mois. Notre résidence, les Rives de Castelmore, bénéficie de l'un des meilleurs emplacements, dans un très bel environnement d'eau et de verdure. Cogedim est également à Garches, en plein centre- ville, avec l'Arboretum, parmi des arbres centenaires, et au Chesnay, avec deux programmes très différents : la Ferme du Roi, dont l'esprit de l'ancienne ferme a été préservé, et Jardin Saint- Antoine, près du château de Versailles.
Pour sa part, Citalis de Cogedim, la nouvelle marque que nous avons créée en 2003, propose des logements pour habiter ou investir dans le neuf, avec la garantie d'un grand groupe et des prestations visant l'un des meilleurs rapports qualité- prix du marché, tout en restant fidèle au niveau d'exigences qui caractérise l'ensemble de notre offre. Nous parvenons ainsi à proposer des produits à prix maîtrisés et rentabilité attractive, dans des sites d'avenir, comme Saint-Denis où Côté Sud, à 2 700 €/m2, a remporté un franc succès et Cachan, avec une opération à 3 700 €/m2, idéalement située, tout près de la mairie.
I.B. : Quel regard portez-vous sur le marché ?
C.M. : Contrairement aux hypothèses émises l'an passé sur le ralentissement prévisible du marché immobilier en 2005, l'activité se maintient à un niveau élevé. Dans un contexte d'offre de logements neufs trop faible par rapport à une demande toujours forte, les rythmes de ventes sont comparables à ceux de 2004, année exceptionnelle. Parallèlement, même si les derniers chiffres montrent une modération de la hausse des prix, ceux-ci continuent d'augmenter, en raison principalement du surenchérissement du foncier et des coûts de construction. En revanche, l'évolution des valeurs est variable d'un quartier à l'autre. Ainsi à Paris, dans certains arrondissements, la hausse est inférieure à la moyenne des vingt autres.
C'est le cas des 7e, 8e, 16e et 17e, où les prix, comme à Neuilly, restent inférieurs, en monnaie constante, à leur niveau de 1990.
Parmi les autres facteurs positifs, j'observe que la clientèle dispose d'un véritable pouvoir d'achat sur la pierre, grâce à des conditions de crédit exceptionnelles, avec des taux d'intérêt autour de 3 %, et l'allongement des durées d'emprunt.
I.B. : Quelles sont les principales évolutions en matière de produits et les attentes de la clientèle ?
C.M. : La Haute Qualité Environnementale est au cœur de toutes les préoccupations. Mais, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, Cogedim a toujours privilégié la qualité de l'environnement. La création de bassins de récupération des eaux de pluie pour l'arrosage des jardins de nos résidences est un exemple de notre sensibilisation forte à la qualité environnementale. Toutefois, il ne faut pas perdre de vue les autres priorités de la clientèle qui restent l'emplacement, les transports, le calme, un cadre verdoyant. Notre mission reste donc avant tout de répondre à ces exigences et de prendre en compte l'évolution des styles de vie. Une partie de la clientèle demande notamment plus d'espace dans les pièces à vivre, avec des cuisines plus ouvertes, des séjours donnant sur des balcons ou terrasses, des salles de bains conçues comme des lieux de vie, etc.
Internet a aussi fait évoluer les comportements des acquéreurs. Près d'un tiers fait une présélection qualitative sur cinq sites et deux portails immobilier en moyenne. Quand ils se rendent sur nos espaces de vente, c'est avec une approche qualifiée et une bonne connaissance du marché. Pour Cogedim, internet constitue incontestablement un facilitateur d'achat.

Quel loyer pour votre investissement locatif ?

Quel loyer pour votre investissement locatif ?

Effectuer un investissement locatif sans penser au loyer à pratiquer n'a pas de sens. Mais comment fixer un loyer adapté ? Petit tour des incontournables du nouvel investisseur.

VERS UNE REMONTÉE ?

VERS UNE REMONTÉE ?

Les spécialistes, s'ils n'osent plus vraiment se prononcer en faveur d'une remontée des taux, s'accordent à dire que de nouvelles baisses sont peu probables. "Les taux n'iront pas plus bas, ils ont atteint un niveau incompressible", s'exclame Christophe Crémer. Même son de cloche chez Empruntis : "La baisse constatée en septembre n'aura certainement pas vocation à se poursuivre dans les mois à venir, avance Empruntis, sauf si, bien entendu, les fondamentaux économiques devaient se dégrader ou si les banques devaient rattraper leur retard dans l'atteinte de leurs objectifs commerciaux". Il est vrai que la concurrence à laquelle se livrent les banquiers pour s'octroyer de nouvelles parts de marché, a également des répercussions sur la courbe des taux. Certains établissements de crédit n'hésitent d'ailleurs pas à rogner sur leur marge pour être concurrentiels. Un contexte qui, soit dit en passant, vous met en situation de négocier âprement les meilleures conditions pour votre crédit. Une chose est sûre : les taux ne devraient pas remonter brutalement. Leur évolution est, en effet, directement liée aux politiques monétaires menées à l'échelon européen et mondial. Or, la BCE (Banque centrale européenne) a récemment décidé de maintenir son taux d'intervention à 2 %. Une décision dictée par la volonté de soutenir une croissance économique plutôt défaillante à l'échelon européen, ce qui n'est pas de nature à faire remonter les taux à court terme sur lesquels s'appuient les taux révisables. Ainsi, l'indice de référence qui sert au calcul des taux révisables, l'Euribor, se situait à 2,20 % sur un an, fin septembre, contre 2,33 % fin décembre 2004. Deux facteurs peuvent cependant modifier la donne : le redressement de l'économie aux Etats-Unis et la hausse des taux engagée par la Banque Fédérale américaine. Pour l'heure, les analystes tablent sur la stabilité des taux courts jusqu'à la mi-2006. Les taux longs sur lesquels s'adossent les formules fixes ne devraient pas non plus s'envoler. L'OAT 10 ans se maintient à un niveau relativement bas : 3,10 % fin septembre (contre 3,65 % en début d'année). "Les marchés financiers sont rassurés par une inflation durablement maîtrisée en Europe, analyse Christophe Crémer, et si la bourse va mieux, elle n'a pas encore reconquis les investisseurs qui optent aujourd'hui, majoritairement pour les placements obligataires".

INTERVIEW VINCENT DELAHAYE - Maire de Massy

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Indicateur Bertrand : Où en est le projet de restructuration des gares ?

BAISSE SUR TOUS LES FRONTS !

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"En cinq ans, les taux ont considérablement baissé, s'exclame Christophe Crémer, Pdg de Meilleurtaux, un courtier en ligne, en 2000, un crédit à taux fixe sur quinze ans se négociait en moyenne autour de 5,70 % ; en 2002, il pouvait être obtenu à 4,90 % et en 2004 à 3,95 %". Et 2005 poursuit sur la même lancée. Malgré quelques tentatives de remontée au début de l'année, force est, en effet, de constater qu'en septembre dernier la tendance était toujours à la baisse. "Après une courte pause, les taux fixes se tassent de nouveau, analyse Empruntis, autre courtier en ligne, dans son dernier baromètre des taux qui note par ailleurs : "près de 70 % des banques ont baissé leurs taux, les autres les ayant maintenus (...). Les taux du marché diminuent de façon notable sur 15 et 25 ans : respectivement de 0,15 et 0,10 %". Pourtant, à la fin de l'été, ce même courtier prévoyait une stabilisation. Difficile donc d'anticiper sur les mouvements. Depuis le début de l'année, les taux ont encore perdu un demi point, allant à l'encontre de tous les pronostics des économistes qui, depuis plus d'un an, agitent le spectre de la hausse. Pour les emprunteurs, c'est plutôt une bonne nouvelle. Si vous empruntez aujourd'hui à taux fixe sur 15 ans et que vous avez un bon profil, vous ne devriez avoir aucune peine à décrocher un taux de l'ordre de 3,10 à 3,20 %. Ce qui, rapporté à l'inflation - autour de 2 % prévu en 2005 - rend le coût réel de votre crédit imbattable ! Quant aux taux révisables, ils ont également suivi le mouvement. Mais, la baisse a été moins spectaculaire, ce qui a pour conséquence de les rendre moins attractifs. Avec un bon dossier, vous pouvez raisonnablement tabler sur un taux entre 2,30 et 2,50 %, soit un différentiel de 0,80 à 1 point par rapport à une formule fixe. Difficile d'espérer mieux.

Un logement neuf de Massy à Longjumeau

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Autour de la nationale 20, le centre de l'Essonne associe villes actives et cadre vert. Proximité de la capitale et qualité de vie sont les deux grands atouts de ces communes qui ont le vent en poupe.

Les logements neufs à Longjumeau

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UN DÉVELOPPEMENT À MESURE D'HOMME

QUEL BIEN CHOISIR ?

QUEL BIEN CHOISIR ?

Malgré les prix à la hausse, l'investissement immobilier reste une valeur sûre. Reste à faire le bon choix, car derrière les prix moyens au m2, tant à la vente qu'à la location, se cachent des réalités fort différentes. A surface égale, vous ne pourrez pas prétendre au même loyer suivant la localisation de votre appartement, son exposition, son équipement, l'état de la copropriété, l'étage, etc.

ATTERRISSAGE EN DOUCEUR

ATTERRISSAGE EN DOUCEUR

Si les loyers continuent d'augmenter, ils ne le font pas au même rythme que les prix de vente. Raison de plus pour regarder au-delà des avantages fiscaux quand on achète pour louer ! Tous les experts qui se penchent sur la situation du marché locatif privé constatent, à l'instar de ceux de la Fnaim, "une progression modérée des loyers". Lors de sa conférence de presse d'août dernier, la Fnaim, faisant le bilan de l'évolution générale des loyers sur l'année 2004, mettait en évidence "une évolution somme toute contenue par rapport à 2003, de l'ordre de 3,7 %, à comparer avec des variations annuelles qui ont pu atteindre 8,8 % en 2002 et 5,6 % en 2003, et cela quelle que soit la surface des logements, puisque la progression est à peu près la même du studio aux grands appartements".

INTERVIEW BERNARD NIEUVIAERT - Maire de Longjumeau

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Indicateur Bertrand : Où en est la Zac du centre-ville ?

TENDANCE À L'ALLONGEMENT DES DURÉES

TENDANCE À L'ALLONGEMENT DES DURÉES

Cela dit, compte-tenu des marges de manœuvre étroites des banquiers, les taux ont toutes les chances de remonter dans les prochains mois. Mieux vaut donc ne pas trop attendre. D'ailleurs, si vous empruntez maintenant, vous disposez d'une capacité d'emprunt de 17 % supérieure à celle que vous auriez eue si vous aviez contracté un crédit en 2000. Selon les spécialistes, un point de taux en moins se traduit par 8 % de capacité d'emprunt supplémentaire. Reste que la chute spectaculaire du coût du crédit a contribué à la hausse des prix des logements. Résultat, même avec des niveaux historiquement bas, les conditions de crédit ne suffisent plus à rendre solvables les catégories d'emprunteurs les plus modestes. Mais les banquiers, qui ont de l'imagination, ont trouvé la parade : l'allongement des durées d'emprunt. Et la formule remporte un vif succès. Si, en 2002, 58 % des prêts étaient consentis sur quinze ans ou moins, en 2005, ils ne représentent plus que 32 % de la production des banques. Dans le même temps, les crédits sur vingt-cinq ans qui étaient marginaux en 2002 (2 % seulement), accusent une forte progression. On peut même dire que l'envolée de la production est spectaculaire : de 16 % début 2005, elle bondit à 25 % aujourd'hui. Preuve que la solvabilité des ménages est mise à rude épreuve. En revanche, les prêts sur 30 ans ne semblent pas faire recette pour le moment. "Nous ne proposons pas de prêt sur 30 ans, annonce-t-on à la Caisse d'Epargne Ile-de-France, un tel prêt peut avoir des conséquences lourdes pour l'emprunteur". Il n'empêche que beaucoup de banques disposent de la formule. Certaines vont même plus loin. A l'image de l'UCB qui n'hésite pas à proposer un prêt sur... 35 ans ! "Aux Etats-Unis, 95 % des prêts sont sur 30 ans, affirme Christophe Crémer, mais ils ont un avantage sur les formules françaises, ils ne prévoient pas de pénalités en cas de remboursement anticipé. Des pénalités de remboursement anticipé qui peuvent atteindre 3 % du capital restant dû". Or, la majorité des prêts de longue durée sont remboursés par anticipation, généralement parce que les emprunteurs changent de logement pour avoir plus grand. De fait, pour les banquiers, il ne faut pas se focaliser sur des prêts qui, de toute façon, n'ont pas vocation à être remboursés sur de très longues durées. Selon eux, la durée de vie moyenne d'un crédit ne dépasse pas 8 ans.

DEGAT DES EAUX

DEGAT DES EAUX

J'ai acquis récemment un appartement qui avait subi un dégât des eaux antérieurement à l'achat. L'expert qui a rendu son rapport conclut à une vétusté trop importante pour être indemnisé. Est-ce légal ? (Ariane T.,Trégueux, 22)

AUTOUR ET ALENTOURS

AUTOUR ET ALENTOURS

Les prix doux et les rares programmes de maisons neuves vous attendent dans les communes environnantes. A Déville-lès-Rouen par exemple, à l'ouest du centreville, les Terrasses de Flaubert, signé Nexity George V proposent un petit 2-pièces à 99 500 €. Et les maisons ? Il faut compter 290 000 € pour une villa de plus de 121 m2 dans le domaine de Kaufman & Broad au Mesnil-Esnard, où quelques maisons restent à prendre. Au Grand Quevilly, quelques maisons de Bouygues Immobilier sont encore disponibles et démarrent à un petit 185 000 € pour 85 m2.

Interview de Hélène Mandroux, Maire de Montpellier

Interview de Hélène Mandroux, Maire de Montpellier

I.B. : Densifier l'habitat à Montpellier ou accompagner l'étalement urbain hors de la commune. Où se situe votre politique en matière d'habitat ?

UN COEUR DE VILLE FACE À LA MER

UN COEUR DE VILLE FACE À LA MER

Façonné par Auguste Perret après les destructions de la guerre, le centre-ville bénéficie de la proximité immédiate de la plage. Ici, le foncier libre est rare, bien sûr, mais quelques belles réalisations neuves ont réussi à se trouver des emplacements de rêve pour résidences haut de gamme. C'est le cas de la Villa Albert 1er d'Eiffage Immobilier, dont la commercialisation est achevée. Les 12 appartements de grand standing, de 90 à 120 m2 face à la mer se sont vendus très rapidement. Sur le même boulevard, Seri-Ouest propose également une très belle résidence en front de mer, qui regroupe trois appartements d'exception seulement. Ces beaux 5-pièces bénéficient de prestations haut de gamme et de terrasses face à la mer. On retrouve le même promoteur sur un très bel emplacement en coeur de ville, non loin de l'hôtel de ville. Les 38 appartements de la résidence Thamyris, disposés autour d'une cour intérieure orientée plein sud, profitent d'un ensoleillement maximum, favorisé par les balcons et terrasses qui prolongent les appartements vers l'extérieur. Dessinée par l'architecte Jean Amoyal, la résidence est habillée de matériaux nobles, pierres, corniches apparentes, zinc, qui l'intègrent parfaitement à son environnement de cœur de ville. Toujours en cœur de ville, le Colisée, signé Bouygues Immobilier, bénéficie d'une très belle adresse, sur le boulevard de Strasbourg, l'une des plus belles artères du Havre. Les 33 appartements de cette résidence à l'architecture moderne et harmonieuse, livrable en fin d'année prochaine, se sont vite commercialisé, à un prix moyen tournant autour de 2 700 €/m2. Restent tout de même quelques beaux 5- pièces à prendre, à partir de 233 200 €. Dans le très agréable quartier des Ormeaux, le départ de la clinique, transférée dans le quartier de l'Eure, a libéré du terrain : Pronier y commercialise le Parc des Ormeaux, un grand projet comptant 91 logements, dont les travaux commenceront en janvier 2006. Les prix y débutent à 2 450 €/m2.

COUPLE NON MARIE

COUPLE NON MARIE

Vivant en couple sans être marié, je contribue à rembourser les emprunts, mais ne suis pas propriétaire, ai-je des droits sur notre appartement si nous nous séparons ? (Sonia K., Bourges, 18)