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Conseils

Une offre fournie et diversifiée

Une offre fournie et diversifiée

Les principaux acteurs du marché tentent de répondre aux différentes clientèles présentes sur l'aire urbaine. A Toulouse, le Groupe Belin propose La Closerie Garonne, dans le quartier des Sept Deniers, aux alentours de 3 000 e/m2 habitable. Légèrement au-dessus de ce niveau de prix, à 3 200 e/m2, Cogedim vient de lancer la commercialisation d'une deuxième tranche de 60 logements, route de Labège, livrable fin 2009. Le promoteur est aussi présent, entre autres, rue Saint-Anne avec une opération de 19 logements commercialisée 6 000 e/m2 et en bas de la Côte-Pavée avec une opération de 150 logements baptisée Le Parc de la Commanderie, à 4 200 e/m2. Nexity George V est présent dans le quartier de Saint-Martin- du-Touch, avec Résidence Cap Martin, 47 logements, avec terrasse, parking en sous-sol. Le 2-pièces est commercialisé à partir de 134 000 e plus annexe et parking en sous-sol, pour une livraison au 2e trimestre 2008. Au cours de cette année, il faudra compter aussi sur le groupe Carrère, qui, implanté par ailleurs dans l'agglomération signe quelques opérations sur Toulouse- Montaudran, sur la Zac des Tibaous et dans le quartier Saint-Simon. Kaufman & Broad Malardeau signe Carré Saint- Etienne, rue des Pénitents Blancs, à Toulouse, une résidence de 68 logements avec une cour intérieure paysagée. Le 3-pièces est commercialisé à partir de 350 000 e, pour une livraison au 4e trimestre 2008. Très présent sur Montaudran, Kaufman & Broad signe de nombreuses opérations sur d'autres Zac avec, par exemple, Ô Ponts Jumeaux, boulevard de l'Embouchure, avec une vue sur le canal du Midi. Les 79 logements se- ront livrés au 2e trimestre 2009. Au pied de la Barrière de Paris et du quartier des Minimes, Bouwfonds Marignan commercialise Les Sonates Toulousaines, 41 appartements, du studio au 5-pièces, à 3 400 e/m2, parking compris, et livrables au cours du 3e trimestre 2008. L'opérateur lancera en juin, 46 logements, boulevard de Suisse dans le même esprit. Il faut aussi compter avec le groupe Cailleau, présent sur six opérations différentes dans Toulouse, comme dans les quartiers Saint-Cyprien, Minimes ou Croix-Daurade. Avec Résidence Petit Prince, Tagerim commercialise une opération au coeur du quartier de l'Ormeau, dont la livraison est prévue pour le 2e trimestre 2009. Dans le quartier en devenir Andromède, de nombreux opérateurs sont présents tels que Urbis, avec Patio Andalou, conçu comme des "logements individuels qui échappent au schéma traditionnel de l'habitat collectif ", mais aussi Sagec avec Les Riads de Babylone, une opération d'inspiration méridionale, au design contemporain. Hors Toulouse, l'offre semble aussi vaste que l'aire urbaine. Outre un acteur comme Vinci Immobilier, il importe de signaler l'opération d'Eiffage, Le Laurenti, sur la commune de Nailloux, à 25 mn de Toulouse, avec un 3-pièces de 61 à 63 m2, pour 147 100 à 150 100 e ou la résidence à thème de Sporting Promotion à Saint-Gaudens. Nexity George V lance la dernière tranche de maisons de village du domaine Mailheaux- Cendere, à Frouzins, avec le Pré Fleuri. Les T4/T5 sont compris entre 80 et 106 m2, sur des terrains de 200 à 500 m2, entre 198 000 et 255 000 e, avec une livraison attendue pour le 2e semestre 2008. Le même opérateur est présent sur la Zac des Ramassiers, à Colomiers, avec une résidence de 54 logements, à 2 700 e/m2, hors annexes. Bref, l'offre est présente, géographiquement diversifiée, avec des tranches de prix différentes et des dates de livraison variables. Voici en quelque sorte réunis les paramètres d'un marché sain.

L’assurance dommages-ouvrage

L’assurance dommages-ouvrage

Elle est obligatoire pour toute personne faisant réaliser des travaux de construction. Elle garantit aux propriétaires successifs le paiement de toutes les réparations qui mettent fin aux dommages dont sont responsables les constructeurs et qui touchent aux éléments d’équipement, affectent la solidité de l’ouvrage ou le rendent impropre à son utilisation. Ce sont donc tous les travaux relevant de la responsabilité décennale des constructeurs.

Les ambitions de Dijon

Les ambitions de Dijon

Théâtre d'une euphorie immobilière qui s'estompe, la cité des Ducs est une valeur sûre qui attire de nouveaux acquéreurs. Tour d'horizon des projets et des opportunités.

 En résumé, la Vefa c'est

En résumé, la Vefa c'est

Un contrat de réservation : vous versez alors un dépôt de garantie. Son montant dépend du délai prévu pour la signature du contrat de vente définitif (5 % du prix prévisionnel de vente si le délai est d'un an ; 2 % si le délai se situe entre un et deux ans ; aucun dépôt si le délai dépasse deux ans). Il est restitué si la vente ne se réalise pas par la faute du vendeur ou si le prix de vente final excède de 5 % le prix prévisionnel, ou encore si les équipements prévus ne sont pas réalisés ou que le logement perd 10 % de sa valeur. Attention : si vous refusez de signer l'acte définitif sans l'un des motifs prévus par le contrat de vente, vous le perdez.

Strasbourg innove

Strasbourg innove

L'arrivée du TGV, des prix de l'immobilier stables et des quartiers en mutation caractérisent Strasbourg. Nouveaux équipements et logements neufs sont d'actualité.

Condition suspensive d'obtention de prêt

Condition suspensive d'obtention de prêt

Je souhaite vendre mon appartement. Je pense signer un compromis de vente.La condition suspensive d'obtention d'un prêt est-elle obligatoire ? (Jean-Charles L., Paris 15e)

Côte d'Azur : le prix de la tentation

Côte d'Azur : le prix de la tentation

La prise de conscience des acteurs du marché immobilier azuréen permet de diversifier l'offre disponible. Quant à l'emballement des prix, le frein est amorcé.

L'immobilier neuf se met au vert à Grenoble

L'immobilier neuf se met au vert à Grenoble

Grenoble fait preuve d'une main de fer dans un gant de velours vert pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre. En ce moment, la Ville aménage un quartier durable.

Le Pass-Foncier : un bon complément

Le Pass-Foncier : un bon complément

C'est pour tenter de remédier à la difficulté des primo-accédants modestes que le Pass- Foncier vient également d'être créé. Il est issu d'une convention de quatre ans entre l'Etat, le 1 % logement et la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC). Pour alléger la charge de remboursement de l'opération d'achat, le Pass-Foncier vous permet d'acheter, dans un premier temps, le logement, dans un second temps, le terrain. Entretemps, vous signez un bail à construction avec l'opérateur et conservez la possibilité d'acheter ce terrain durant 25 ans. En cas de difficulté financière durant le prêt, vous bénéficiez d'une garantie de rachat et d'un relogement. Ce prêt est donc très intéressant. Mais attention, le nombre de Pass-Foncier est contingenté à 20 000 opérations par an pour la période du 1er janvier 2007 au 31 décembre 2010, comme pour le prêt à 0 % majoré. Tout le monde ne pourra donc pas en bénéficier. D'autant que, là encore, des conditions sont à respecter. Tout d'abord, sachez que si vous faites construire votre maison ou si vous l'achetez neuve à un promoteur, vous pouvez y prétendre. Mais passée cette première condition, trois autres critères sont nécessaires. Le premier tient au fait que vous devez être primo-accédant, c'est-à-dire, ne pas avoir été propriétaire de votre résidence principale depuis au moins deux ans. Le second concerne vos revenus. Vous ne devez pas disposer de ressources supérieures à certains plafonds. Par exemple, si vous êtes une famille de quatre personnes, votre revenu annuel ne doit pas dépasser 44 425 e en région parisienne et 40 488 e ailleurs. Les revenus à prendre en compte sont identiques à ceux du prêt à 0 %. Dernière exigence : pour être éligible au Pass- Foncier, vous devez aussi pouvoir bénéficier d'une aide à l'accession sociale à la propriété d'une ou plusieurs collectivités territoriales comme pour le prêt à 0 %. D'ailleurs, les bénéficiaires du Pass-Foncier sont également ceux qui peuvent profiter de la majoration de montant du prêt à 0 % votée dans le cadre de la loi ENL. Le montant du prêt évolue entre 20 000 et 50 000 e selon votre secteur d'habitation. Son taux s'établit à 1,5 % pour les salariés assujettis au 1 % logement. Pour les autres salariés, ce taux est fixé en fonction de l'inflation, soit actuellement entre 2 et 4,5 %. Si ce prêt vous intéresse, vous devez contacter le collecteur du 1 % logement dont vous dépendez, en général une caisse interprofessionnel du logement (Cil) ou l'UESL (Union d'économie sociale pour le logement). Vous pouvez aussi, si vous êtes salarié d'une entreprise qui cotise vous tourner vers votre comité d'entreprise.

Alpes-Maritimes : une offre toujours présente

Alpes-Maritimes : une offre toujours présente

Globalement, le marché de l'habitat, tous segments confondus, poursuit son développement même si l'offre est considérée comme encore insuffisante. Bouwfonds Marignan lancera en septembre 2007 un nouveau programme de 30 logements à Saint-Laurent-du-Var, mais ce mois-ci, c'est à Grasse que le promoteur ouvre à la commercialisation Le Carré Sentifolia, 39 logements. Avec Omnium Promotion, il signe à Beausoleil Villa Renaissance, 65 logements à un prix moyen de 5 500 e/m2, livrables fin 2008. A Nice, le groupe Sagec est très présent avec plusieurs opérations, dont Villa Tobias, 42 logements, près du campus Saint-Jean-d'Angely, à partir de 105 000 e et une livraison attendue pour le 2e trimestre 2009. Le promoteur propose à Nice-Nord Le Clos Saint- Barth, 24 logements dans un environnement calme et urbain, où le 3-pièces de 51 m2, en étage moyen, est commercialisé à 240 000 e, pour une livraison au 1er trimestre 2009. Désormais, au regard de la pénurie de foncier, tous les territoires du département présentent un intérêt. Nexity George V est présent à Pégomas, à seulement 10 km de Cannes, avec La Charmeraie une opération alternant villas et petits immeubles de 2 étages dans un site offrant un large panorama sur les collines. Le 3-pièces de 70,3 m2 est commercialisé à 268 500 e, pour une livraison prévue au 4e trimestre 2008. Près des collines résidentielles de Sophia-Antipolis, ABJ Promotion livrera au cours des 1er et 3e trimestres 2008 Les Terrasses du Golf, 69 logements répartis en deux copropriétés, destinées entre autres aux actifs de Sophia, sur la base de 4 900 e/m2 habitable.

Christian-Louis Victor, Président de l’UNCMI (Union Nationale des Constructeurs de Maisons Individuelles)

Christian-Louis Victor, Président de l’UNCMI (Union Nationale des Constructeurs de Maisons Individuelles)

Indicateur Bertrand :Quelles sont selon vous les raisons de l'engouement des Français pour la maison individuelle ?
Christian-Louis Victor : Il s'agit d'un attachement séculaire, dû à nos origines rurales. Malgré l'évolution sociologique que l'on peut constater aujourd'hui des comportements et des modes de consommation, nos origines sont là, qui nous font aspirer à vivre dans un environnement que nous maîtrisons. La maison est à la fois un espace partagé et des espaces séparés. C'est l'une des rares formes d'habitat qui permette d'obtenir cette distanciation par rapport à l'environnement et ce rapprochement par rapport à la famille et à ceux qui y vivent. La maison se situe au carrefour du besoin et du désir : le besoin de se loger et le désir de pouvoir, dans une certaine mesure, façonner soi-même son foyer. Un autre aspect important est l'évolution de l'offre financière et des garanties qui y sont liées. Le viager hypothécaire, l'hypothèque rechargeable, font de la maison le "coffre fort" des Français. Lorsque la maison est bien réalisée et bien située, elle leur permet une capacité d'endettement pratiquement infinie.
I.B. :Quelles mesures doivent être prises pour favoriser l'accession à la propriété des primo-accédants ?
C.-L.V. : Il ne faut pas forcément sortir plus de lois. Nous sommes passés d'environ 300 000 à 450 000 logements mis en chantier, dans le même cadre législatif, en disposant des mêmes outils : nous ne demandons donc pas forcément de nouveaux outils. Le prêt à taux zéro, qui a été sauvé il y a quelques mois, est par exemple un excellent outil pour les primo-accédants, d'autant que certaines municipalités et autres collectivités locales, le doublent. La difficulté majeure reste le coût du foncier par rapport au coût global de l'opération et à la capacité d'endettement, notamment des primo-accédants. Les chantiers ouverts par Jean-Louis Borloo, avec la maison à 100 000 e et l'achat en deux temps de la maison et du terrain, constituent d'excellentes pistes. Si cet achat en deux temps se stabilise juridiquement, ce sera un bon moyen de favoriser l'accession à la propriété des ménages les plus modestes. Au milieu des années 90, nous avions une majorité de jeunes ménages primo-accédants parmi les acquéreurs de maisons individuelles. On constate aujourd'hui une décélération au bénéfice de ceux qui ont un apport personnel dû à la revente d'un bien. Il faut retrouver un équilibre pour que l'accession à la propriété de sa maison joue pleinement son rôle d'ascenseur social.
I.B. :Quel bilan tirez-vous des chiffres de l'année 2006 ?
C.-L.V. : La maison individuelle se porte bien. Nous assistons à un atterrissage sur la cime des arbres, le marché se stabilisant à un très haut niveau. Le nombre de ventes enregistre un léger recul, de l'ordre de 1 % en 2006, qui correspond vraiment à un rééquilibrage, après dix années de forte croissance. D'ailleurs, si nous avions dû continuer à soutenir le rythme élevé de ces dix dernières années, nous aurions eu à affronter des problèmes de main d'oeuvre et d'approvisionnement. Quant à l'évolution des prix, on peut dire qu'en tenant compte de l'évolution des surfaces et des prestations – toujours plus importantes – le prix des maisons enregistre plutôt un décalage négatif. Par rapport aux prix du collectif, le coût du foncier a en effet moins d'impact, car il est beaucoup plus élevé en centre-ville qu'en périphérie.
I.B. :On observe des évolutions régionales contrastées. Comment les expliquez-vous ?
C.-L.V. : Le littoral ouest enregistre effectivement une baisse des ventes, de même que l'Est de la France. Il faut souligner que tout le littoral ouest a tracté pendant dix ans vers le point le plus haut le marché de la maison. Certains secteurs restent d'ailleurs toujours aussi dynamiques, comme celui de l'agglomération nantaise. Quant à la baisse globale de la région Ouest, elle illustre le phénomène de rééquilibrage que connaît le marché. A l'inverse, on note que la région Nord-Picardie, qui a connu quelques difficultés, enregistre aujourd'hui une indéniable reprise d'activité. Son positionnement géographique lui permet de profiter de l'espace européen et les nouvelles implantations d'entreprises et d'activités, soutenues par les pouvoirs publics, font revenir des habitants dans cette région à forte identité culturelle. Le développement du logement devrait donc s'y pérenniser.
I.B. : Quelles sont les grandes orientations à suivre pour les constructeurs en 2007 ?
C.-L.V. : Compte tenu de la demande qui reste très forte et de la stabilisation du marché, les constructeurs de maisons individuelles doivent proposer des maisons de qualité, mais qui restent à des prix abordables. Nous avons de nouveaux défis à relever autour de quatre enjeux qui sont fondamentaux pour toute la profession : construire des maisons sociales, à prix abordable ; développer les maisons de ville en optimisant la disponibilité foncière ; réaliser des maisons performantes, en utilisant des matériaux et des procédés de construction innovants et enfin généraliser la maison écologique, économe en énergie. Ce sont, fort logiquement, les thèmes retenus pour le prochain Challenge des maisons innovantes 2007.

Le bassin d'Arcachon en pleine expansion pour habiter dans le neuf

Le bassin d'Arcachon en pleine expansion pour habiter dans le neuf

Délimité par près de 80 km de côtes plates ou de dunes boisées, le bassin d'Arcachon est situé au coeur des landes de Gascogne, à mi-chemin entre la pointe de Grave et Capbreton. Dans ce secteur en plein essor démographique, économique et touristique, logiquement, l'offre de logements neufs progresse. Au coeur de ce développement, la commune d'Arcachon tire son épingle du jeu grâce à des opérations d'aménagement et de restructuration qui modifient l'apparence même de son centre-ville.

Villeurbanne : des opportunités pour acheter un logement neuf

Villeurbanne : des opportunités pour acheter un logement neuf

Villeurbanne serait-elle le 10e arrondissement de Lyon ? Sans conteste, la ville est entrée de plein fouet dans la centralité avec un développement résidentiel et économique comparable à celui de Lyon. Cette commune de 130 000 habitants attire 1 000 nouveaux venus au rythme de 1 200 à 1 300 logements neufs. Il est vrai qu'elle rassemble des atouts : tramway Lea, ligne A du métro étendue jusqu'à La Soie en 2009, campus universitaire de La Doua, 10 % des entreprises privées du Grand Lyon, excellentes infrastructures sportives… Rappelons que Villeurbanne est la ville mère de l'Asvel, le club européen de basket le plus titré. Son quartier des Gratte-Ciel, conçu à l'origine pour accueillir un habitat social, est devenu un haut lieu de l'architecture. "On voit venir du monde entier des délégations étrangères pour le visiter", assure non sans satisfaction le directeur de l'urbanisme. La Ville entend encore mieux tirer parti de ce quartier phare durant les deux mandats à venir en mettant en oeuvre l'aménagement de la ZAC Gratte-Ciel nord. Une opération emblématique confiée à l'architecte urbaniste Christian Devillers qui devrait prolonger dans l'espace la spécificité architecturale du secteur tout en l'inscrivant dans le 21e siècle. Le projet urbain sera achevé fin 2007 et la ZAC créée en 2008. Au menu : renfort de l'appareil commercial ainsi que de l'offre résidentielle et tertiaire, construction de bâtiments administratifs dans l'axe de l'actuelle mairie…

Quelques exemples de contrat

Quelques exemples de contrat

La plupart des banques ont mis au point avec leur compagnie d'assurances des contrats seniors. Chez LCL, le contrat groupe vous autorise à rembourser votre emprunt jusqu'à votre 75e anniversaire. En cas de décès, le capital restant dû est remboursé par la banque, dans la limite d'un plafond de 1,6 million d'euros. Quant à la prime, elle varie en fonction du dossier médical et de la durée du crédit. A titre indicatif, si vous souscrivez après 60 ans, le coût de votre assurance décès vous coûtera entre 0,49 et 0,60 %. Cette banque propose également un contrat individuel qui vous garantit jusqu'à votre 90e anniversaire. Dans ce cas, le prêt ne peut dépasser 540 000 e. Quant au coût de l'assurance, il est défini au cas par cas en fonction du risque. Chez BNP Paribas, l'offre est assez similaire (voir encadré). Dans le cadre d'un contrat groupe allant jusqu'à 70 ans, la prime dépend de l'âge au moment de la souscription et de la durée de remboursement. Ainsi, si vous êtes âgés de 51 à 60 ans de l'adhésion, votre prime oscillera entre 0,35 et 0,50 % selon que votre prêt est inférieur à 10 ans ou qu'il s'étale sur 11 à 30 ans. Entre 61 et 70 ans, la prime va de 0,60 et 0,80 %. Quant à l'extension jusqu'à 75 ans, la prime se situe entre 1 et 1,50 % du capital assuré. Au Crédit du Nord, le remboursement du prêt ne peut avoir lieu après le 75e anniversaire puisque la limite de la garantie décès est fixée à cet âge. Coût de l'assurance : 0,198 %.

A l'abri des indésirables

A l'abri des indésirables

"La première demande des acquéreurs par rapport à la sécurité, c'est de se sentir protégés chez eux", assure Valérie Brot, agent immobilier à Saint-Maur, commune coquette du Val-de-Marne, dont la plupart des villas sont protégées par télésurveillance. Une revendication d'autant plus sensible pour l'habitat individuel : on se sent plus vulnérable dans une maison que dans une résidence en collectif et il est vrai que la maison reste la cible privilégiée des cambrioleurs. C'est en réaction à cette exigence de sécurité accrue que les promoteurs se tournent de plus en plus vers la réalisation de domaines de maisons en du neuf oooils se révèlent pourtant relativement rares et représentent un pourcentage assez faible des accidents domestiques. L'évolution des normes vise également à réaliser des installations toujours plus sûres, notamment dans les locaux d'habitation. Fin 2006, une nouvelle norme NF est parue : elle devrait comporter sept parties d'ici la fin de cette année, traitant notamment de la dimension des installations et des dispositifs d'évacuation des produits de combustion. Dans l'immobilier neuf, différents labels, parmi lesquels ceux d'EDF et de GDF, garantissent non seulement la qualité et la sécurisation des installations, mais aussi des niveaux d'exigence poussés, notamment en termes de performances énergétiques. Sécurité à tous les étages. On l'a vu, les risques d'incendie sont d'autant mieux limités que les installations électriques sont modernes. Il n'en reste pas moins que la protection contre les risques d'incendie fait également partie des garanties incontournables du neuf, établies par des mesures législatives incontournables. "Pour les constructions neuves, la sécurité incendie commence par l'utilisation de matériaux de construction plus résistants aux flammes et qui ne dégagent pas de fumées toxiques à la chaleur", expose Antoine Desbarrières, président de Qualitel. Les exemples abondent : des traitements du bois permettant de le rendre résistant aux flammes en passant par des matériaux comme le béton cellulaire, subtil mélange d'eau, de sable, de chaux et d'air. Ce dernier allie les caractéristiques de la pierre - ininflammable - à celles d'un excellent isolant. Par ailleurs, certains dispositifs font désormais partie des équipements de base, en particulier dans les parties communes des bâtiments : portes coupe-feu, trappes de désenfumage, détecteurs de fumée dans les sous-sols, caves et parking. L'accessibilité des lieux aux pompiers et aux services de secours est également systématiquement étudiée dans la phase de conception des projets. Au niveau des logements eux-mêmes, la pose systématique de détecteurs autonomes de fumée, les DAF, fait par contre l'objet de débats. Un projet de loi en ce sens est passé en première lecture à l'Assemblée et a déjà été largement amendé au Sénat. "Les pompiers par exemple, montrent des réticences, car ils craignent que la généralisation des DAF fasse passer au second plan d'autres éléments indispensables de lutte contre les incendies. Cette question divise largement les experts, comme le CSTB (Comité scientifique et technique du bâtiment) et les professionnels du feu", explique Antoine Desbarrières. L'un des problèmes des DAF, lorsqu'ils sont installés dans un logement existant, est leur alimentation électrique. Le fonctionnement à piles peut entraîner des oublis et les habitants finissent par compter sur des dispositifs en réalité hors service. Dans le neuf, si on décide d'utiliser un équipement de ce genre, on peut le raccorder directement au réseau électrique, ce qui élimine l'un des principaux problèmes. A l'abri des indésirables "La première demande des acquéreurs par rapport à la sécurité, c'est de se sentir protégés chez eux", assure Valérie Brot, agent immobilier à Saint-Maur, commune coquette du Val-de-Marne, dont la plupart des villas sont protégées par télésurveillance. Une revendication d'autant plus sensible pour l'habitat individuel : on se sent plus vulnérable dans une maison que dans une résidence en collectif et il est vrai que la maison reste la cible privilégiée des cambrioleurs. C'est en réaction à cette exigence de sécurité accrue que les promoteurs se tournent de plus en plus vers la réalisation de domaines de maisons en ooovillage entièrement clos et sécurisés. La présence d'un gardien et d'un accès contrôlé est incontestablement un plus aux yeux d'acquéreurs prêts à payer plus cher pour cette surveillance garantie. Cet environnement fermé rassure également les parents, qui craignent moins de laisser leurs enfants libres d'aller jouer dans les parties publiques du domaine. La lutte contre les intrusions intempestives a également entraîné la généralisation de certains équipements dans les parties communes des résidences en collectif : double sas d'entrée équipé au minimum par un interphone - et de plus en plus par un visiophone -, accès aux sous-sols et aux parkings contrôlés par des clés, y compris dans l'ascenseur…

L'AVIS DE ALAIN JEANNOT, Maire de Caluire-et-Cuire, conseiller communautaire

L'AVIS DE ALAIN JEANNOT, Maire de Caluire-et-Cuire, conseiller communautaire

Indicateur Bertrand : Quels sont les atouts de Caluire-et-Cuire ?