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Conseils

Créer des paysages urbains

Créer des paysages urbains

Dans l’oeuvre de Dominique Perrault, la bibliothèque François Mitterrand est l’arbre qui cache la forêt. Certains de ses projets sont internationaux, tels que le vélodrome et la piscine olympique de Berlin ou l’hôtel de ville d’Innsbruck. “Ce sont des paysages plutôt que des bâtiments, des ouvrages de grande dimension, complexes pour des clients publics qui le sont autant”, remarque le concepteur en évoquant le projet de Berlin se fondant dans un grand parc de pommiers. En décembre, s’achèvera la cour européenne de justice à Luxembourg puis, l’été prochain, le tennis stadium à Madrid. À nouveau reviennent des projets en France : palais des sports à Rouen, hôtel d’agglomération à Perpignan, immeuble de bureaux sur la Zac Seguin-Rive de Seine pour Vinci Immobilier, habitat à Lille pour Icade, adaptation de la bibliothèque aux performances du développement durable. Dominique Perrault a choisi l’architecture plutôt que la peinture pour rassurer la famille d’ingénieurs dont il est issu. Sans regret, il se dit “comblé par l’architecture”. Pas de violon d’Ingres caché ni de refoulement dans sa vie, donc. Juste des projets à forte personnalité, hors mode. Une soixantaine d’entre eux forment l’exposition d’été du Centre Georges Pompidou.

L’AVIS DE JEAN-LUC PRONIER Président de la FPC de Normandie

L’AVIS DE JEAN-LUC PRONIER Président de la FPC de Normandie

Jean-Luc Pronier : La Normandie s’inscrit dans le contexte national d’accalmie. Le mouvement s’était amorcé en 2007, il se confirme en 2008 avec moins d’autorisations de construire, de commercialisations, de ventes et de mises en chantier. Il peut être plus sensible par endroits dans notre région, où les volumes de production sont limités, entre 700 et 800 logements par trimestre, soit 1 500 à 2 000 logements par an. Cette pause me semble plutôt saine, elle témoigne de la capacité d’adaptation des promoteurs. La demande reste soutenue. Le niveau de stocks, en légère augmentation, demeure assez faible dans la région. La difficulté consiste à sortir de nouveaux biens, en adéquation avec les capacités financières des acheteurs investisseurs ou occupants. Ceux-ci sont contraints par un niveau de prix assez élevé dans les centres et la politique des banques, qui exigent des apports personnels et des revenus plus conséquents pour accorder des prêts immobiliers. Je pense que les prix vont se stabiliser. En revanche, la mise en place de la production future est préoccupante. Alors que les prix doivent stagner, le coût de la production continue de grimper. On peut agir sur le foncier, dont l’escalade des prix avait été entretenue par les promoteurs et les propriétaires fonciers. Les entreprises de construction, en proie à une légère baisse d’activité, vont aussi être mises en concurrence, mais elles-mêmes sont soumises à des impératifs et des pressions. En revanche, le coût des matières premières continue d’augmenter. Et l’application des normes législatives en matière d’accessibilité et de développement durable va représenter un surcoût de 15 à 20 % sur les années à venir. La proposition d’appliquer la dissociation entre le financement du foncier et du bâti, en cours pour l’individuel, a récemment été refusée pour le collectif. Ce type de décision n’est pas très cohérent dans le contexte actuel.

OĂą construire demain en Ile-de-France?

OĂą construire demain en Ile-de-France?

Réaliser quelque 60 000 logements par an, dont 20 000 sociaux : tels sont les objectifs du schéma directeur de la région Ile-de- France (SDRIF) pour les vingt ans à venir. Un chiffre ambitieux en comparaison du médiocre résultat de l’an passé (38 000 logements), mais réaliste car la pénurie sévit en région parisienne. Près de 400 000 personnes ont demandé un logement social, dont plus de 100 000 à Paris. Pis, les Franciliens angoissent. Un sondage, réalisé par la Région en mars, révèle que 85 % d’entre eux estiment “difficile de trouver un logement en Ile-de-France”. Les plus inquiets sont les Parisiens (90 %) et les ouvriers (92 %). Tous s’accordent à dire qu’il faut construire davantage, mais où ? Le SDRIF préconise la zone dense, c’est-à-dire la première couronne et ses bordures, afin de rapprocher l’emploi et l’habitat. Pour sa part, le conseil en stratégie immobilière Adéquation recommande “les moyenne et grande couronnes”, où les tarifs immobiliers conviennent au budget de la majorité des acquéreurs. Une enquête d’Adéquation, réalisée pour le Snal, le syndicat des lotisseurs, conclut à la distorsion entre l’offre et la demande. Les chiffres en sont témoins : 67 % de la demande porte sur les gammes abordables, à 2 800 €/m2, et intermédiaires, à 3 000 €/m2. Or, l’offre correspondante s’élève à 41 %. A contrario, 33 % de la demande sollicite du moyen et haut de gamme. L’offre est de 59 %.

François Jouven - Président du groupe Akerys

François Jouven - Président du groupe Akerys

Indicateur Bertrand : Comment se positionne votre groupe dans les différents métiers liés à l’immobilier ?
François Jouven : Le groupe Akerys est un acteur de référence sur le marché de l’épargne et de l’immobilier, avec l’investissement locatif comme spécialité. Notre activité repose sur quatre grands métiers, avec la volonté de suivre l’investisseur tout au long de son projet. En premier lieu, nous sommes un promoteur, avec 12 000 logements en construction dont 85 % sont déjà réservés et 70 % actés, sur tout le territoire français, dédiés majoritairement à l’investissement locatif et à l’accession sociale à la propriété. Des réseaux indépendants de conseillers en patrimoine, avec qui nous sommes associés, proposent nos logements à la vente et mettent leur expertise au service de nos clients. Depuis le 1er juillet, l’offre d’Akerys intègre une garantie de loyer dès la date de livraison du bien, et ce jusqu’à l’entrée dans les lieux du premier locataire, sans qu’aucune franchise ne soit appliquée. Nos services immobiliers viennent logiquement compléter ce dispositif. Nous gérons aujourd’hui près de 700 résidences, dont une centaine pour des promoteurs concurrents avec lesquels nous travaillons. Des équipes de proximité nous permettent d’être réactifs, tant dans la recherche des locataires que dans le suivi et l’entretien des résidences. Enfin, nous sommes aussi distributeurs de produits financiers, à travers notre pôle Akerys Capital. Au total, nous nous sommes organisés pour accompagner nos 50 000 clients investisseurs, ainsi que leurs locataires. La progression de leur satisfaction est mesurée par les enquêtes que nous réalisons chaque année avec BVA.
I.B. : Quels sont vos programmes résidentiels les plus emblématiques ?
F. J. : Difficile de faire un choix parmi les quelque 600 résidences déjà réalisées ou en cours de commercialisation… J’ai en tête la résidence La Lutèce, à Garges-les-Gonesses (95) qui propose des appartements et des villas au sein d’espaces paysagers. J’ajoute que cette résidence vient de recevoir le label Habitat et Environnement. J’ai bien aimé aussi la résidence étudiante Thalès, à Toulouse, à 10 minutes à pied du Campus Paul Sabatier. Elle offre tous les avantages susceptibles de faciliter la vie des étudiants. À Antibes, j’ai visité récemment la résidence La Peyregoue, proche du centre-ville, qui vient d’accueillir ses locataires. C’est une petite copropriété, aérée et sans vis-à-vis. Les derniers étages, avec vue sur mer, disposent de grandes terrasses. Dans un tel cadre, il est facile d’imaginer à quel point il a été aisé de trouver rapidement des locataires.
I.B. : Quel regard portez-vous sur le marché du logement ?
F. J. : L’évolution est inquiétante. Pour la première fois, experts et politiques s’accordent à dire qu’il faut construire 500 000 logements pour faire face à la croissance du nombre de ménages et rattraper le retard accumulé. Or, le nombre de logements mis en chantier diminue : de 435 000 en 2007, on va passer à 350 000 en 2008 ; et 2009 puis 2010 vont voir cette déperdition s’accélérer. Nous allons avoir une offre insuffisante, avec la tension que cela induit sur les loyers. Le fait que quelques micro-marchés soient saturés, en accession à la propriété comme en investissement locatif, masque encore ce phénomène. Les hausses des prix ont été trop fortes – 140 % en 10 ans sur l’ancien, 75 % sur le neuf – et sont le signe d’un fossé grandissant entre l’offre et la demande : les besoins sont là, mais la demande solvable ne suit pas. Le marché va peu à peu se bloquer : parcours résidentiel plus difficile, mobilité géographique moins facile, passage du secteur social au parc privé découragé… Bref, la fluidité du marché va encore chuter. La commission Attali a montré que dans le logement, l’État devait reprendre la main. En effet, la stimulation de la construction, toutes catégories confondues, ne se fera pas sans une initiative politique forte.

Location : un congé en règle

Location : un congé en règle

Puis-je donner congé à mon locataire pour pouvoir reloger en urgence ma fille, en cours de séparation avec son mari ? (Anne L., Paris 16e)

Quelles dépenses déduire de ses revenus fonciers ?

Quelles dépenses déduire de ses revenus fonciers ?

Ayant décidé de mettre en location mon ancien logement et d’y laisser la cuisine équipée, j’ai remplacé tout l’électroménager. Ai-je le droit de le déduire des revenus fonciers ? (Daniel B., La Rochelle, 17)

Le neuf plus Ă©cologique

Le neuf plus Ă©cologique

Toitures et cloisons mal isolées, vitrages simples, chauffages peu performants… les 20 millions de logements construits avant 1974 sont les principaux émetteurs de CO2. Depuis cette date, les réglementations successives ont permis de réduire les consommations d’énergie. Grâce à elles, les bâtiments construits depuis cette période consomment déjà moitié moins d’énergie. Et ça ne va pas s’arrêter là : la loi énergie de juillet 2005 prévoit qu’en 2020, les consommations des constructions neuves seront 40 % inférieures à celles de 2000. Les bâtiments à énergie positive (qui économisent plus d’énergie qu’ils n’en consomment) devront être généralisés à cette date-là. Parmi les initiatives intéressantes, on peut relever celle de la Fondation Bâtiment et Énergie. Créée par Arcelor, EDF, Gaz de France et Lafarge, celle-ci mutualise des moyens pour la recherche sur les bâtiments basse consommation. Pour des logements neufs confortables et économes en énergie, le must est aujourd’hui de décrocher le label BBC-Effinergie. C’est le niveau de certification le plus performant actuellement sur le marché. Pour des logements très peu gourmands en énergie, qui combinent équipements adaptés et isolation renforcée et performante. Lancé en 2005, il garantit un logement ayant une consommation d’énergie inférieure à 50 kWh/m2/an.

Un apport de 10 à 20 % et des aides à suivre de près

Un apport de 10 à 20 % et des aides à suivre de près

Même son de cloche chez le courtier ACE. “Je n’ai pas le sentiment que les conditions d’accès au crédit ont changé, confie Franck Lévy. Pour notre part, nous parvenons toujours à obtenir des crédits à 100 % pour nos clients, voire 110 %,mais cela se décide au cas par cas”. Pour que votre dossier passe sans difficulté, il faut déjà que le crédit nécessaire à votre acquisition n’implique pas un endettement supérieur à 33 % de vos revenus mensuels. Et si certaines banques acceptent de vous prêter à 100 ou 110 %, sachez qu’elles ne dérogeront plus à cette sacro-sainte règle d’endettement. “Certaines banques sont plus draconiennes que d’autres et se basent sur le reste à vivre, c’est-à-dire le revenu disponible une fois toutes les charges payées”, indique Franck Lévy. Votre dossier doit donc être en béton.

L’AVIS DE ALAIN DAVID - Directeur de l'activité immobilier France de BNP Personal Finance

L’AVIS DE ALAIN DAVID - Directeur de l'activité immobilier France de BNP Personal Finance

Alain David : Actuellement, le différentiel entre taux révisable et taux fixe n’existe pratiquement plus. C’est une situation anormale et qui s’est déjà produite par le passé, mais qui dure rarement au-delà d’un an. L’écart redevient toujours favorable aux taux révisables. En tant qu’établissement spécialisé, nous proposons des taux révisables depuis 20 ans, et notre clientèle n’a pas eu à en souffrir car nous avons toujours adopté une approche de sécurisation par la mensualité. Même si nous proposons des formules à taux fixe, la solvabilisation des jeunes acquéreurs qui empruntent à très long terme passe, aujourd’hui, par des taux révisables. Ce n’est pas un problème dès lors que la formule est sécurisée par une mensualité, qui n’évoluera que dans des proportions définies au départ. Le risque de désolvabilisation en cas de forte hausse des taux est donc écarté. Quand on est locataire, on subit forcément des révisions de loyer de 3 ou 4 % chaque année, et personne ne crie au scandale.

Simulateurs sonores

Simulateurs sonores

Les sous-couches acoustiques minces, présentant l’avantage d’un encombrement réduit, sont aujourd’hui plébiscitées pour l’isolation des planchers. Le CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment) a élaboré récemment une certification CSTBat, destinée à ces fines sous-couches posées sous chape et mise en oeuvre à la demande de Qualitel. Des mesures sont réalisées en cours ou en fin de chantier, afin de vérifier si le niveau exigé est obtenu. Revêtements de sol, fenêtres, parois, toitures : tous ont pour point commun d’avoir récemment connu de nombreuses innovations sur le plan acoustique, dont les logements neufs sont les premiers à bénéficier. Et le CSTB poursuit ses efforts, apportant son concours aux professionnels pour améliorer leurs produits. Il a, par exemple, développé des simulateurs d’environnement sonore ou visuel (maquette virtuelle des villes, bruit dynamique) qui permettent aux acteurs de la construction d’entendre et/ou de voir en direct l’efficacité sonore d’un produit.

Immobilier neuf Bouches-du-RhĂ´ne : un recul relatif

Immobilier neuf Bouches-du-RhĂ´ne : un recul relatif

Si le marché départemental du neuf a enregistré une progression de 2 % de ses ventes en 2007, il est en retrait de 9,6 % au 1er trimestre 2008, ce qui reste mieux que la moyenne nationale. Sur Marseille, selon l’Observatoire immobilier de Provence, les ventes se sont établies à 765 logements au 1er trimestre 2008 (ventes en accession en bloc, en prix maîtrisés et en libre), soit un léger retrait de l’ordre de 6 % par rapport au 1er trimestre 2007. Les ventes en accession libre sont aussi en légère baisse, également de l’ordre de 6 %. En matière de prix de vente, il importe de distinguer plusieurs secteurs. Dans les quartiers Nord, les prix varient de 2 650 à 2 850 €/m2 habitable hors parking, certaines zones permettant de bénéficier de la TVA à 5,5 % sous certaines conditions. Tandis que dans les quartiers Sud, les prix s’échelonnent entre 3 600 et 4 000 €/m2, hors programme disposant d’une situation exceptionnelle. Les quartiers Est affichent une fourchette comprise entre 2 800 et 3 800 €/m2. Les projets structurants se poursuivent sur le territoire de la Communauté urbaine de Marseille (MPM pour Marseille Provence Métropole). Eugène Caselli, son nouveau président, a annoncé qu’“en matière de logement, la Communauté urbaine devait mener une politique forte et innovante permettant de répondre aux besoins notamment des familles les plus modestes.Pour cela, le taux de 20 % de logements sociaux par commune et par secteur de Marseille sera un objectif commun”. Enfin, concernant le développement d’Euroméditerranée, il a déclaré que “la dimension euroméditerranéenne de l’agglomération marseillaise sera valorisée, et MPM s’emploiera à faire de Marseille la capitale européenne de la culture en 2013”.

3 QUESTIONS À JEAN-JACQUES TOULGOAT- Directeur adjoint de Quatrinvest*

3 QUESTIONS À JEAN-JACQUES TOULGOAT- Directeur adjoint de Quatrinvest*

“Plus que la rentabilité, il faut préférer un bien loué en permanence”

Silence, on vit !

Silence, on vit !

Vous souffrez de troubles du sommeil, de nervosité, de fatigue ? Le grand coupable est peut-être tout simplement... le bruit. Plus d’un Français sur deux (54 %) se déclare gêné par le bruit lorsqu’il est chez lui, celui de la circulation en tête suivi de près par les troubles du voisinage. Souvent, le bruit apparaît comme une fatalité, or il n’en est rien. En effet, la réglementation évolue régulièrement pour assurer une meilleure qualité acoustique dans les bâtiments neufs ; la première disposition en la matière date de 1970 et a été durcie en 1996 avec la Nouvelle réglementation acoustique (NRA). Cette dernière a apporté son lot de nouveautés, comme un isolement minimal de 30dB contre les bruits extérieurs ou encore une correction acoustique dans les zones de circulation communes (couloirs, escaliers, halls). Revue et corrigée en 2000 pour s’adapter aux normes européennes, la NRA assure un confort acoustique sans faille aux logements neufs. À noter que les logements construits à proximité de voies routières ou ferroviaires bruyantes bénéficient d’un isolement acoustique renforcé. Pour aller encore plus loin, on peut demander la certification “Qualitel confort acoustique”, délivrée aux logements qui présentent des caractéristiques d’isolation acoustique supérieures aux minimas réglementaires, notamment dans le domaine des bruits de chocs et d’équipements collectifs. Dans tous les cas, pour optimiser le confort acoustique d’un logement, des précautions sont à prendre le plus en amont possible, dès la conception, car toutes les corrections mises en oeuvre ultérieurement reviennent plus cher.

L’architecture renouvelle les programmes immobiliers

L’architecture renouvelle les programmes immobiliers

De la même façon, des jours nouveaux se lèvent-ils pour l’architecture ? Des formes assez audacieuses sortent du sol autour d’équipements emblématiques, comme le quartier Masséna de Paris Rive Gauche qui a grandi au contact de la bibliothèque François- Mitterrand. Dans l’ouest, à Boulogne, le destin culturel de l’île Seguin pousse à la créativité sur les anciens terrains Renault où travaillent une cinquantaine d’architectes et une dizaine de paysagistes. En même temps, l’Arche donne le la à La Défense et sur les terrasses de Nanterre. Le stade de France a relancé la Seine-Saint- Denis et de futurs grands projets vont accompagner le mouvement : la Cité de l’air et de l’espace du Bourget, les Archives nationales livrées en 2012 à Pierrefitte, le Centre nautique olympique d’Aubervilliers et la Cité du cinéma de Luc Besson à Saint- Denis (les études sont bien avancées, mais le chantier n’a pas encore démarré). Quant à la requalification des grands moulins de Pantin, elle représentera sans doute un déclic pour les alentours.

DPE obligatoire

DPE obligatoire

Le bail conclu avec mon locataire arrive bientôt à échéance. Suis-je tenu de lui fournir un diagnostic de performance énergétique lors de la reconduction du contrat ? (Lucienne S.,Rambouillet, 78)

Dominique Perrault

Dominique Perrault

Jusqu’au 20 septembre, le centre Georges Pompidou expose des projets de Dominique Perrault. Cet architecte de trempe internationale a conçu la bibliothèque François Mitterrand.

Midi-Méditerranée : les surprises du logement neuf

Midi-Méditerranée : les surprises du logement neuf

Avec le lancement ou la poursuite d’opérations d’aménagement d’envergure à Montpellier, Marseille et Nice, le Sud est bien loin de la morosité, malgré un fléchissement d’activité.