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Conseils

Pays de Loire : forte baisse des logements neufs autorisés après des années fastes

Pays de Loire : forte baisse des logements neufs autorisés après des années fastes

Dans les Pays de Loire, l’année 2007 aura été marquante par une diminution significative du nombre de logements autorisés, avec 34 939 unités et 10,5 % de baisse sur un an. Un chiffre à relativiser : la région reste l’une des plus dynamiques de l’Hexagone, devancée seulement par la région Rhône-Alpes, l’Ile-de-France, l’Aquitaine, la Bretagne, les régions Paca et Midi-Pyrénées ; 32 080 logements y étaient en cours de construction (+ 1,8 %). Le début de l’année a été marqué par le maintien d’un bon volume de mises en vente. Sur le secteur de l’Observatoire du logement de la métropole Atlantique (Oloma) qui couvre les aires urbaines de Nantes, Saint-Nazaire et Cap Atlantique (notamment La Baule et la presqu’île de Guérande), on en notait 1 011 au 1er trimestre 2008 contre 1 022 un an plus tôt. Elles se concentrent pour les deux tiers sur Nantes Métropole. Les professionnels sont notamment encouragés par le grand nombre de logementsaidés mis sur le marché. Au printemps, on trouvait 6 programmes en TVA à 5,5 % à Nantes et Saint-Herblain (dans un périmètre Anru) et 9 programmes à prix maîtrisés à Nantes, Saint-Herblain et Saint-Nazaire. Ils offrent un prix moyen de 2 300 €/m2 contre 3 000 €/m2 en libre, et 3 400 €/m2 sur Nantes intra-muros. D’après l’Oloma, on monte à 1,6 % de logements livrés avant de trouver preneur. Un chiffre qui va sans doute augmenter un peu, mais la marge est importante avant un seuil vraiment critique…

DPE obligatoire

DPE obligatoire

Le bail conclu avec mon locataire arrive bientôt à échéance. Suis-je tenu de lui fournir un diagnostic de performance énergétique lors de la reconduction du contrat ? (Lucienne S.,Rambouillet, 78)

Dominique Perrault

Dominique Perrault

Jusqu’au 20 septembre, le centre Georges Pompidou expose des projets de Dominique Perrault. Cet architecte de trempe internationale a conçu la bibliothèque François Mitterrand.

Bien étudier le terrain

Bien étudier le terrain

Pour garantir au maximum son investissement, mieux vaut acheter dans une zone en croissance démographique, plutôt que dans une ville qui perd des habitants. Vous trouverez cette information auprès des municipalités ou de l’Insee. Prêtez également une attention particulière aux indicateurs macro-économiques : un bassin d’emploi dynamique, l’implantation de nouvelles entreprises dans la région indiquent une ville qui a un potentiel de développement. Vous pouvez aussi contacter les grandes agences immobilières de l’agglomération qui vous intéresse, appeler les fédérations comme la FNAIM ou la Cnab (Confédération nationale des administrateurs de biens), pour les sonder sur l’état du marché locatif : savoir, par exemple, combien de temps cela prend pour louer, ou relouer un logement.

TROIS QUESTIONS À BERTRAND MOURS Président de l’Oloma

TROIS QUESTIONS À BERTRAND MOURS Président de l’Oloma

“Il est essentiel de conserver un équilibre entre investisseurs et acheteurs occupants”

Les perspectives de programmation immobilière en ile de France

Les perspectives de programmation immobilière en ile de France

Le marché francilien poursuit son atterrissage depuis l’an dernier. En revanche, une période de créativité s’ouvre en termes de programmation immobilière et d’architecture. Enquête sur les perspectives d’une région en mutation.

Immobilier neuf dans le Sud-Ouest : un optimisme assumé

Immobilier neuf dans le Sud-Ouest : un optimisme assumé

Tandis que dans l’aire urbaine de Toulouse, l’offre existante s’adapte bien au marché, Bordeaux lance une vaste opération d’aménagement d’écoquartier.

La Normandie, terre de grands projets immobiliers neufs

La Normandie, terre de grands projets immobiliers neufs

Avec quelque 21 000 habitants gagnés entre 2001 et 2004 en Basse-Normandie et des projets pour l’avenir, la région continue d’améliorer ses infrastructures en pour sesuivant l’A88 entre Caen, Falaise et Sées, ou de nouvelles dessertes Caen-Rennes et Caen-Saint-Lô-Coutances. Elle enregistre également 40 000 habitants de plus entre les deux derniers recensements en Haute- Normandie, et une progression de population dans les villes d’Evreux, Rouen et Le Havre, ainsi que dans les campagnes. Mais la Normandie ne se repose pas sur ses villas à colombages. Au-delà de cette image d’Épinal, la région est dynamique, et les chantiers publics ou de logements attestent de ses ambitions. Selon le ministère de l’Écologie, du Développement et de l’Aménagement du territoire, en 2007, 12 272 permis de construire ont été délivrés en Haute- Normandie (- 7,6 % par rapport à 2006) et 10 727 logements ont été commencés (+ 7,8 %). Durant la même période, on en avait autorisé 12 364 en Basse-Normandie (- 8,3 %) et les chantiers étaient lancés pour 9 683 unités (+ 0,5 %). La baisse de la production s’annonce très nettement pour les années à venir. C’est peut-être aussi un recentrage qui se profile avec une priorité donnée à de bons emplacements, proches des commerces et des infrastructures, de transports en particulier.

Midi-Méditerranée : les surprises du logement neuf

Midi-Méditerranée : les surprises du logement neuf

Avec le lancement ou la poursuite d’opérations d’aménagement d’envergure à Montpellier, Marseille et Nice, le Sud est bien loin de la morosité, malgré un fléchissement d’activité.

L’AVIS DE PATRICK ALARY Président de la FPC de Provence

L’AVIS DE PATRICK ALARY Président de la FPC de Provence

Indicateur Bertrand : Quel est le comportement du marché de l’habitat des Bouches-du-Rhône ?

Toulouse : une offre de logements neufs accessible à tous

Toulouse : une offre de logements neufs accessible à tous

La Ville rose est toujours confrontée à la difficulté d’une offre, en partie imposée, de grandes surfaces ne correspondant pas à la demande et au budget des acquéreurs. Ainsi, l’offre inférieure à 180 000 €, considérée comme le niveau de budget adapté aux primo-accédants, est en baisse sensible, tandis que les tranches supérieures sont en pleine expansion. “La volonté politique de réaliser des grands logements à Toulouse a atteint sa limite, ajoute le président de la FPC.Nous constatons une mévente des produits placés au-dessus de 240 000 €, ce qui représente 40 % du stock au détriment des budgets inférieurs”. Au cours du premier trimestre 2008, l’aire urbaine a enregistré 1 285 ventes, soit un retrait de 10 % par rapport à 2007. “Cependant,dans le même temps, 1 280 logements ont été mis en vente, ce qui démontre que nous nous adaptons particulièrement bien au marché. La preuve, c’est que les promoteurs ne lancent plus que des opérations qu’ils sont certains de pouvoir commercialiser”, souligne Roger Metellus. Il en est de même pour les prix, qui connaissent une stabilité au cours du premier trimestre, à 3 200 €/m2 habitable. Et le président régional de la FPC de poursuivre son analyse : “Parmi les 6 000 logements de l’offre en cours, certains ne verront jamais le jour car nous assistons à un véritable réexamen des opérations immobilières”.

Investir Outre-mer

Investir Outre-mer

Vous rêvez de devenir propriétaire dans des lieux paradisiaques ? L’investissement en Outre-Mer présente des attraits, notamment fiscaux, souvent méconnus.

Parier sur des régions en devenir

Parier sur des régions en devenir

En règle générale, lorsqu’on raisonne en termes de géographie, toutes les grandes agglomérations, et des villes du littoral comme Quimper, Hendaye, Perpignan, Menton ou encore Toulouse, sont des valeurs sûres. “Mais le top 20 des villes françaises et les façades méditerranéenne et atlantique ne doivent pas faire oublier l’effet d’aubaine de certaines villes qui ont rattrapé leur écart de marché, reprend Jean- Jacques Toulgoat.

Languedoc : nouveaux quartiers à Montpellier

Languedoc : nouveaux quartiers à Montpellier

Philippe Gadelle conteste toute chute des prix : “Dire qu’à Montpellier, les prix du neuf connaissent une baisse dans certains secteurs est un non-sens ! Il ne faut pas confondre des remises opérées, ici ou là, par tel ou tel opérateur sur un programme précis, et un décrochage des prix.Que certains promoteurs, pour des raisons stratégiques ou financières, veuillent accélérer leur rythme de commercialisation, comme ils l’ont toujours fait, est une chose, mais on ne doit surtout pas en faire une généralité.La majorité des intervenants sur le marché n’entre pas dans cette logique. Non seulement, ce n’est pas dans nos habitudes, mais le prix étant une addition de coûts, je ne vois pas au nom de quelle urgence nous serions prêts à fragiliser nos entreprises, alors que nous adaptons en permanence l’offre à la demande.”

Geoffroy Bragadir - Fondateur d’Empruntis

Geoffroy Bragadir - Fondateur d’Empruntis

Indicateur Bertrand : Votre groupe, qui travaille avec de nombreuses banques, produit chaque mois des baromètres sur l’évolution des taux. Où en est-on ?
Geoffroy Bragadir : Les taux ont fortement augmenté depuis le mois de mai 2008. Depuis début juillet, la durée préférée des Français (sur 20 ans) a atteint les 5 %, un niveau jamais égalé depuis 2003 ! Dans les régions, on note à nouveau des disparités importantes. En effet, pour un taux moyen, en région Méditerranée, les emprunteurs peuvent prétendre à un taux de 4,95 % sur 15 ans et 5 % sur 20 ans contre 5,30 % et 5,40 % à l’Est. Dans l’ensemble, les taux moyens se situent autour de 5,10 % sur 15 ans et 5,20 %, toujours sur 20 ans. Néanmoins, il est important de noter que dans toutes les régions françaises, il existe encore des produits offrant des taux à 4,60 % pour les meilleurs dossiers. La fourchette de taux est très large : de 4,60 % à 5,60 % sur la même durée, il faut donc plus que jamais comparer les différentes banques entre elles.
I. B. : Selon-vous, comment la situation va–t-elle évoluer d’ici à la fin de l’année ? Quelles sont les grandes tendances du marché de l’immobilier ?
G. B. : Les OAT ont fortement augmenté ces dernières semaines, et les banques ont largement anticipé la hausse annoncée de la Banque centrale européenne de juillet 2008. Dans un tel contexte, les taux devraient se stabiliser ou enregistrer de très légères hausses ; nous ne prévoyons donc pas de baisse des taux dans le courant de l’été. Néanmoins, il faut rester attentif, car il y a traditionnellement deux grosses périodes immobilières, le printemps et le début de l’automne, que les banques utilisent pour réaliser leurs objectifs commerciaux et capter de nouveaux prospects. Il est donc possible qu’à la rentrée, des offres “promotionnelles” fassent leur apparition, mais elles seront destinées à une clientèle jeune avec des revenus évolutifs.
I. B. : Quel jugement portez-vous sur les politiques des banques en matière de prêts ?
G. B. : Il faut tordre le cou à l’idée qui circule sur le prétendu resserrement des conditions d’octroi de crédits. Il n’y a pas, à l’heure actuelle, de volonté des banques de “couper le robinet” des crédits à l’habitat. Seules les conditions de taux ont changé, les banques ne demandent pas plus d’apport, et ne sont pas plus strictes sur les critères d’endettement ; elles appliquent aujourd’hui les mêmes critères qu’il y a 18 mois, à part sur la quotité du prêt relais. La seule différence, c’est le niveau des taux actuel. Nous avons calculé que la hausse des taux intervenue entre janvier 2007 et juillet 2008, a suffi à exclure 1 personne sur 5 des finançables. En appliquant les mêmes critères, avec une hausse de 1 point sur le taux, 20 % des personnes qui étaient en mesure de financer leur projet, ne le peuvent plus car elles dépassent les 33 % d’endettement admis par les banques. Le seul domaine dans lequel celles-ci sont plus prudentes, ce sont les prêts relais. L’explication est très simple : quand l’immobilier augmentait de 10 % tous les ans, elles étaient certaines, en cas de défaut, de récupérer leur mise ; à l’heure où les délais de vente sont plus longs et les prévisions sur les prix, à la baisse, les banques ne veulent plus se risquer à prêter davantage à ce niveau. Néanmoins, il faut relativiser, car il existe de fortes disparités selon les biens et leur emplacement : ainsi, pour un 3-pièces dans Paris, l’emprunteur n’aura aucun mal à obtenir 70 à 80 % de la valeur du bien. En revanche, pour un logement situé loin d’un centre-ville, la valeur du prêt relais ne dépassera pas 60 %.
I.B. : Quels conseils souhaitez-vous donner à ceux qui veulent investir dans l’immobilier ?
G. B. : La pierre reste et sera toujours une bonne affaire, car il n’y a pas de bons ou de mauvais moments pour devenir propriétaire. En effet, si vous achetez dans un marché haussier, vous ferez une plus-value mais vous devrez acheter un nouveau bien dans un marché également haussier ; au contraire, si vous achetez dans un marché baissier, vous bénéficierez à la revente de prix également plus bas pour acheter votre nouveau bien, et le mètre carré supplémentaire vous coûtera moins cher. L’achat d’une résidence principale est souvent lié à un changement de vie (mariage, arrivée d’un enfant...) et non à un calcul quelconque de rentabilité. Les jeunes actifs sont la cible privilégiée des banques, car c’est au moment où l’on souscrit un crédit immobilier que l’on décide d’une nouvelle relation bancaire. Pour emprunter, il n’est pas nécessaire de disposer d’un apport conséquent : s’il ne dépasse pas 33 % d’endettement, un jeune couple sans apport trouvera sans problème un produit de financement adapté. Néanmoins, avec des prix de l’immobilier toujours très élevés et des taux en hausse constante, l’apport peut permettre d’emprunter moins et, par conséquent, de diminuer le coût total de son crédit. Pour les jeunes qui ne disposent pas d’une épargne importante, il existe plusieurs solutions simples : les prêts aidés, le déblocage de la participation professionnelle et, pourquoi pas, la contribution des parents ou des grands-parents dans le cadre d'une donation (facilitée par les nouvelles mesures fiscales). En cette période, tout ce qui permet de diminuer le montant total de l’emprunt est bon à prendre. Enfin, pour ceux qui sont encore trop justes, il peut être bon d’attendre afin d’augmenter ses revenus.

Une belle offre de logement avec TVA à 5,5%

Une belle offre de logement avec TVA à 5,5%

Le Grand projet de ville couvre plusieurs sites de l’Est (Vaulx-en-Velin, Rillieux-la- Pape, Vénissieux) et La Duchère, dans le 9e. Les réalisations avec mini-TVA placent le 2-pièces aux environs de 100 000 euros et le grand appartement, à 200 000 euros. À Vaulx-en-Velin, les projets sont signés Bouwfonds Marignan, Kaufman & Broad, Nexity George V et Copra Rhône-Alpes (la résidence Cap Vert de Copra a remporté le Prix du logement durable et le Grand prix régional des Pyramides de la FPC). Des programmes sont sur la ligne de départ à Vénissieux (un 4-pièces de Spirit Grand Sud), à Rillieux-la-Pape (Nexity) et à La Duchère (Spirit Grand Sud, Cogedim, SLCI, Rhône Saône Habitat, Opac du Rhône). Les perspectives de la région lyonnaise sont certes encourageantes, mais les opérateurs doivent bien garder en mémoire un chiffre : 88 % des Grandlyonnais disposent de ressources ne dépassant pas les plafonds du prêt locatif social (PLS).

Respecter le mandat de vente

Respecter le mandat de vente

Pour vendre notre maison, nous passons par deux agences. À quel moment devons-nous les prévenir si le bien est vendu par nos soins ? (Régis A.,Nantes, 44)