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Conseils

3 QUESTIONS À Gilles Cécère, Président de la FNAIM du Rhône

3 QUESTIONS À Gilles Cécère, Président de la FNAIM du Rhône

Les biens anciens commencent à s'afficher au juste prix

Entre avant-contrat et acte définitif

Entre avant-contrat et acte définitif

Une fois l'avant-contrat signé, dans quel délai légal l'acte définitif de vente doit-il être conclu ? (Maud M., Étampes, 91)

Location et relocation, mode d'emploi

Location et relocation, mode d'emploi

Mon locataire va quitter les lieux plus d'un an après l'expiration du terme du bail, alors que je lui avais donné congé pour loger mon fils. Depuis, celui-ci a trouvé un autre logement. Dois-je proposer à ce locataire la possibilité de rester ? (Pierre S.,Draguignan, 83)

Marc-Philippe Daubresse, président de l'Anah

Marc-Philippe Daubresse, président de l'Anah

Spécialiste du logement, le nouveau président de l'Agence nationale de l'habitat (Anah) dresse ses priorités, livre ses analyses et nous fait partager sa vision du marché.

Indicateur Bertrand : Quel regard portez-vous sur l'évolution du marché de la pierre ?
>Marc-Philippe Daubresse : Une première crise a émergé entre 1983 et 2003, où l'on a très peu construit et sous-estimé le besoin en logements. Nous avons ensuite connu un boom exceptionnel de la construction, et la situation s'est retournée en 2008 en contrecoup de la crise des subprimes. Nous avons accumulé du retard, c'est pourquoi aujourd'hui nous manquons de 800 000 logements environ : la saturation du parc social pousse les ménages modestes vers le locatif privé.
Parallèlement, les promoteurs et les artisans du bâtiment ont vu leurs carnets de commandes diminuer considérablement.
Il était donc urgent de relancer la machine du logement, mais aussi d'engager une nouvelle bataille comme l'a annoncé le président de la République dans son discours de Douai.
I. B. : Justement, le plan de relance est-il à la hauteur du problème du logement ?
>M.-P.D. : Ce plan est une véritable révolution : il agit massivement sur l'investissement, avec des moyens d'une ampleur sans précédent. Il prévoit le financement de 100 000 logements neufs supplémentaires, dont 30 000 seront rachetés par l'État. Par ailleurs, le plan de relance renforce le budget de l'Agence nationale de l'habitat et celui de l'Agence nationale de rénovation urbaine. À l'Anah, un fonds de 200 millions d'euros est réparti en 100 millions pour 50 000 propriétaires occupants modestes supplémentaires, 50 millions pour traiter les copropriétés dégradées et 50 millions pour accélérer les Opah en cours, traitant notamment des situations d'habitat indigne dans le parc locatif privé.
I. B. : Faut-il aider les maires bâtisseurs ? Si oui, comment ?
>M. -P. D. : Dans le cadre de la loi Boutin, les députés ne sont pas revenus sur l'article 55 de la loi SRU, qui prévoit 20 % de logements sociaux pour les communes. Mais je pense qu'il faut aller plus loin et aider les maires bâtisseurs qui s'efforcent de construire du logement locatif ou en accession.
I. B. : Quels sont les grands chantiers de l'Agence nationale de l'habitat ?
>M. -P. D. : Après une année 2008 qui a renforcé le caractère “social et durable” des actions de l'Anah, 2009 s'inscrit dans la dynamique du plan de relance, avec un budget historiquement élevé pour favoriser les missions prioritaires de lutte contre l'habitat indigne et la précarité énergétique.
À ce titre, l'Anah a signé récemment avec GDF Suez une convention de partenariat “Solidarité Énergie” pour mieux accompagner les propriétaires modestes à mieux maîtriser leurs dépenses d'énergie et à financer des travaux d'amélioration de l'efficacité énergétique.
L'Anah versera à ces propriétaires modestes des éco-primes de 1 000 €que GDF Suez abondera d'un montant pouvant atteindre 800 €, sur une période de deux ans. Cette mesure s'inscrit dans la dynamique du plan de relance et du Grenelle de l'environnement.
Mais nous souhaitons aller plus loin : on estime que 3,9 millions de Français sont propriétaires de maisons individuelles dont les combles ne sont pas isolés, principale source de déperdition énergétique alors qu'il s'agit de travaux facilement réalisables et rentables.
Sur la base de ces éléments, l'Anah étudie la mise au point de “bouquets de travaux” simples et performants, comprenant des travaux de 5 000 à 8 000 € pouvant générer près de 25 % d'économies sur la facture énergétique mensuelle.
Enfin, pour accélérer les opérations en cours et inciter les propriétaires à réaliser des travaux d'amélioration de leur logement, l'Anah donne rendez-vous au public, les 3 et 4 avril, dans les permanences de près de 400 Opah récemment mises en place. Ces Rendez-vous de l'habitat durable apporteront des conseils gratuits de professionnels à tous les propriétaires qui souhaitent mieux maîtriser leurs dépenses d'énergie.

Une offre à taux bonifié

Une offre à taux bonifié

De son côté, le directeur général adjoint de Kaufman & Broad, William Truchy, annonce tout de go la couleur : “Nous ne pratiquons pas de soldes !”. Bien qu'une trentaine de ses réalisations soient commercialisées en Île-de-France, “elles sont loin de la phase de livraison”, justifie-t-il. Cependant, Kaufman & Broad s'est adapté au marché en retravaillant ses projets, tant sur le plan du produit que du prix. En outre, “afin de resolvabiliser la clientèle”, le promoteur met en place des offres à taux bonifié d'un demipoint, et participe à votre apport personnel à hauteur de 5 %. Ces propositions sont appliquées de façon ponctuelle, à la fin de la commercialisation de programmes qui ne sont pas dénués d'atouts, notamment en termes de localisation. Par exemple : un projet de Saint-Germain-en-Laye ou deux autres, à Paris, en cours de construction dans le 19e et le 20e. Le responsable de Kaufman&Broad estime par ailleurs que “les récentes mesures gouvernementales devraient faire rebondir le marché francilien”. Le début d'année a été plutôt prometteur : “Nous sentons un frémissement de l'investissement en 2e couronne, où des clients ont pris des décisions dans le cadre de la loi Scellier. Des primo-accédants se renseignent dans nos bureaux de vente sur le doublement du prêt à taux zéro, et nos opérations entre 3 100 et 3 500 €/m2 obtiennent des résultats très satisfaisants”.

Apport personnel toujours requis

Apport personnel toujours requis

Si les taux baissent, en revanche, inutile d'espérer emprunter dans les mêmes conditions qu'il y a un an ou deux, même si les banques ne cessent de dire qu'elles n'ont rien changé à leurs habitudes. La plupart des établissements affirment cependant prêter toujours à 100 % ou 110 %, sur 25 ou 30 ans, avec des taux d'endettement qui varient de 30 à 40 % selon les dossiers. Tout dépend des revenus, de la situation professionnelle et des perspectives d'évolution de carrière de l'emprunteur. Il ne serait pas responsable d'endetter un ménage qui gagne 2 500 € par mois à hauteur de 40 % de ses revenus sans perspectives d'évolution dans le temps. En revanche, c'est tout à fait envisageable pour un couple bien installé dans la vie, et dont les revenus atteignent 6 000 à 7 000 € par mois. Bref, les banques ne prennent plus de risques. D'autant qu'entre prix élevés et pouvoir d'achat en berne, la solvabilité des acquéreurs, même si elle se reconstitue avec la baisse des taux et des prix, reste dégradée. D'où une diminution de la demande finançable et la vigilance accrue des banquiers, notamment en matière de prêts relais. Concrètement, l'acquéreur lambda, qui bénéficie de revenus modestes ou moyens, est de nouveau invité à mettre un apport personnel sur la table, de l'ordre de 5 à 10 % en plus des frais de notaire. Quant aux crédits de très longue durée, ils sont distribués avec parcimonie.

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Maisons Pierre enrichit sa gamme Première Pierre, afin d'étendre la propriété au plus grand nombre.

Les banques reviennent sur le marché

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En effet, ceux-ci n'osent plus s'engager dans un achat immobilier. C'est la raison pour laquelle le numéro un du courtage en crédit s'est lancé dans une vaste opération de communication “le train du crédit immobilier”, allant jusqu'à affréter une rame de TGV qui sillonne une quinzaine de villes françaises pour persuader les acquéreurs que les solutions financières existent bien...

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Avec le développement de la communauté urbaine et l'extension des transports en commun, l'attrait démographique et économique de la Ville rose entraîne toujours une forte demande de logements.

Témoignage

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Christophe Bonnavent, Directeur général de Cequami

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Il faut investir dans des opérations de qualité et bien situées