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Conseils

François de Las Cases, Sefri Cime

François de Las Cases, Sefri Cime

Chargé du pôle résidentiel chez Sefri Cime, François de Las Cases nous expose les particularités de son nouveau programme immobilier situé dans le quartier des Yearlings à Deauville.

Immobilier neuf : Allier loisir et défiscalisation

Immobilier neuf : Allier loisir et défiscalisation

Pour profiter d’une résidence et en tirer profit, l’achat en résidence de tourisme peut constituer une solution. Tout en bénéficiant d’avantages fiscaux et de revenus locatifs, c’est l’assurance de disposer de la possibilité d’occupation personnelle, compatible avec l’utilisation d’une résidence secondaire. Par exemple, l’investissement en résidence de tourisme permet de se porter acquéreur d’un logement dépendant d’une résidence de tourisme, classée en zone touristique, comme ce peut être le cas à la campagne.

Syndic et assemblée générale

Syndic et assemblée générale

Notre syndic ne convoquant pas l'assemblée générale, notre conseil syndical peut-il le faire à sa place ? (Syndicat de copropriété, Orléans, 45)

3 questions À Christine Vassal-Largy

3 questions À Christine Vassal-Largy

Cabinet de conseil en gestion de patrimoine Thesaurus

Indicateur Bertrand: Les rentabilités sont-elles plus intéressantes en 2009 ?
Christine Vassal-Largy: Si l’on considère la rentabilité nette en intégrant en plus l’économie d’impôts, les résultats sont intéressants cette année, car l’effort fiscal du Scellier et du nouveau LMNP sont importants. Il est possible d’investir 100 000 €, de récupérer 25 000 € d’économie d’impôt, et encore 19 600 € de TVA dans le cadre d’un investissement en résidence avec services. On peut aussi placer la TVA, si la banque ne la demande pas pour rembourser le crédit. La rentabilité est plutôt générée par la stagnation des prix du foncier, qui permettent aux promoteurs de servir de meilleurs rendements. Attention, tout cela ne veut pas dire que l’opération ne coûte rien. Cependant, l’effort d’épargne pour un investisseur cette année est moins important que l’an dernier.

I.B. : Peut-on garantir sa rentabilité ?
C.V.-L. : La première garantie de rentabilité reste d’avoir fait un choix cohérent. Si on investit sur un marché où il n’y pas de demande locative, on risque de ne pas encaisser de loyers et au pire, la requalification fiscale, car un appartement acheté en Scellier doit être occupé dans les 12 mois. Les assurances permettent de pallier à une carence ou à une vacance, mais elles ne durent qu’un temps. De plus, si le bien est mal situé, son propriétaire ne peut pas espérer le revendre au prix où il l’a acheté. Il vaut donc mieux revenir aux basiques pour choisir son bien, en se fiant à l’emplacement et à la qualité. Le placement immobilier comporte toujours un risque, mais l’investisseur dispose d’outils pour réaliser une opération cohérente. Dans le cas d’un investissement en résidence avec services, la rentabilité va vraiment être assurée par la qualité de l’exploitant. C’est un métier qui ne s’improvise pas, il faut le choisir avec soin et toujours se méfier des rentabilités délirantes, à 7,8 %.

I.B. : Pour plus de rentabilité, il vaut mieux investir dans une petite ou une grande surface ?
C.V.-L. : Il est sûr qu’une petite surface est plus rentable, mais la vraie question à se poser est de quoi a-t’on besoin à l’endroit où des logements sont construits. J’ai déjà vu par exemple des T1 situés à 40 minutes du centre-ville d’Aix-en-Provence, alors que es locataires ciblés sont des célibataires ou des jeunes couples, qui préféreront loger directement au centre-ville. Avant d’acheter, le futur propriétaire-bailleur doit s’assurer qu’il répond à un besoin local.

L’avis d'Evelyne Desserey, Gérante de Xenyt et viceprésidente de l’Anacofi-Cif

L’avis d'Evelyne Desserey, Gérante de Xenyt et viceprésidente de l’Anacofi-Cif

Indicateur Bertrand: Quels critères faut-il prendre en compte pour calculer la rentabilité au plus juste ?

Loyer et dépot de garantie

Loyer et dépot de garantie

Mon locataire va quitter le logement. A-t-il le droit de suspendre son loyer durant le préavis à hauteur de son dépôt de garantie ? (Christelle L., Bar-le-Duc, 55)

3 questions à Marc Peters, Adjoint au maire de Chamonix en charge du logement

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Indicateur Bertrand : L’offre de logements est-elle suffisante pour la population permanente ?

Financer son logement neuf : réussir son premier achat

Financer son logement neuf : réussir son premier achat

Des prix qui restent orientés à la baisse, une offre diversifiée, des crédits attractifs. Autant de signes qui doivent vous encourager à devenir propriétaire de votre premier logement.

Le littoral et ses résidences neuves d'Est en Ouest

Le littoral et ses résidences neuves d'Est en Ouest

Depuis la Manche jusqu’à la Méditerranée, le littoral français offre une grande diversité de paysages et les possibilités de résider à proximité de la mer y sont variées.

Les trois rentabilités d'un investissement locatif

Les trois rentabilités d'un investissement locatif

En évoquant la rentabilité d’un investissement locatif, une première définition, simple, s’impose : il s’agit de calculer le rapport entre les loyers et le coût d’acquisition. Le chiffre © Chlorophylle Optimiser la rentabilité locative Au-delà de la réduction fiscale promise par le dispositif Scellier, les règles fondamentales de l’immobilier continuent à s’appliquer pour garantir l’investissement et sa rentabilité. ainsi obtenu correspond à la rentabilité brute, parfois affichée dans les publicités de vente. Mais il ne concorde pas avec le rendement qu’un propriétaire-bailleur pourra réellement tirer de son bien. Des recettes locatives, il faut d’abord en effet déduire les charges prévisibles telles que les charges de co-propriété, la taxe foncière, les travaux éventuels, auxquels peuvent s’ajouter des frais de gestion locative ou encore d’assurances. Le résultat de ce calcul livre la rentabilité nette du bien, qui se situe bien endessous du chiffre brut.

Provisions pour travaux

Provisions pour travaux

Bientôt propriétaire d’un appartement ancien, le vendeur me dit que je vais devoir lui rembourser un compte travaux, de quoi s’agit-il ? (Laurent P., Paris 1 er )

L'avis de Lionel Quillet,Président de la Communauté de communes de l’île de Ré et maire de Loix

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Indicateur Bertrand : Comment concilier tourisme et habitat permanent sur un secteur protégé ?

Taxe sur terrain constructible

Taxe sur terrain constructible

Nous voulons construire sur un terrain qui nous sera donné par la famille. Quid de la TLE ? (René D., Athis-Mons, 91)

3 questions à Bernard Vorms, Directeur général de l’Anil

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Indicateur Bertrand: Depuis le début de l’année, les Adil ressentent-elles un regain d’intérêt des primo-accédants pour l’accession à la propriété ?

3 questions à Daniel Caruhel

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Maire de Granville et président de la Communauté de communes du pays granvillais

Crédit immobilier : dopez votre apport !

Crédit immobilier : dopez votre apport !

Que les conditions d’achat soient favorables est une évidence. Pour autant, cela ne doit pas vous empêcher de mettre toutes les chances de votre côté. Et notamment de bien étudier votre plan de financement. Si les établissements de crédit expriment à nouveau l’envie de prêter et si la place du crédit joue toujours un rôle important dans leur stratégie globale, “beaucoup nous mentionnent d’eux-mêmes leur attention toujours soutenue en ce qui concerne l’évaluation du risque : prudence maintenue, attention générale plus grande…”, relate Empruntis.com. Raison de plus pour peaufiner votre dossier. Tout d’abord en mobilisant le plus possible d’économies. Après avoir financé pendant plusieurs années des projets immobiliers à 100 % (voire 110 %), les banques ne font désormais plus l’impasse sur l’apport personnel. Sauf pour certains emprunteurs disposant d’excellents revenus et d’un emploi jugé très stable. Autrement dit, en tant que primo-accédant, il vous faut au minimum 10 % d’apport. Plus c’est encore mieux. Pas toujours facile à réunir quand on est un jeune couple en début de parcours professionnel, mais vous disposez de quelques cartes dans votre manche pour gonfler cet apport. Ce qui vous permettra aussi de mieux négocier le taux de crédit. C’est un fait, plus votre apport sera élevé, meilleures seront vos conditions de crédit. Peut-être avez-vous mis un peu d’argent de côté ? Peut-être pouvez-vous faire jouer la solidarité familiale en bénéficiant d’une donation de vos parents, celle-ci étant exonérée de droits jusqu’à 150 000 € par parent et par enfant tous les six ans.

Le prêt à taux zéro (PTZ)
En complément, vous avez sûrement la possibilité d’obtenir un petit prêt à conditions très attractives comme le prêt à taux zéro. D’autant que le montant du prêt est doublé dans les régions où l’accès au logement est difficile. Comme son nom l’indique, sans débourser le moindre euro d’intérêt, vous bénéficiez d’un financement particulièrement intéressant dès lors que vous n’avez pas été propriétaire depuis au moins deux ans et que vous achetez votre résidence principale. À condition toutefois de respecter les plafonds de ressources définis dans le cadre de ce prêt. Si vous êtes un couple avec deux enfants, vos revenus ne doivent pas excéder 56 875 € en région parisienne, sur la Côte d’Azur ou le pays genevois et 40 488 € dans les autres zones (revenus de l’année dernière ou de l’année précédente selon la date de demande du prêt).
Si vous achetez de l’ancien, le montant du prêt est plafonné à 20 % du coût de l’opération (30 % en zone urbaine sensible) et 50 % du total des autres prêts de plus de deux ans. Dans le neuf, il peut couvrir 100 % des autres prêts et 30% maximum du coût global de l’opération (40% en zone urbaine sensible). En région parisienne ou sur la Côte d’Azur, par exemple, un jeune couple peut obtenir 45 000 € de prêt et un couple avec deux enfants 55 050 €. Dans le neuf, vous pouvez même bénéficier, dans certains cas (subvention de votre commune ou de votre département, performances énergétiques du logement…) et si vos ressources ne dépassent pas certains plafonds fixés (différents de ceux du PTZ), d’un montant de prêt majoré (jusqu’à 20 000 €). Indépendamment du PTZ du ministère du Logement, sachez que certaines villes ont mis en place leur prêt à taux zéro. Renseignez-vous auprès de votre mairie.

1 % logement
Voilà un autre petit prêt que vous pouvez solliciter si vous êtes salarié (vous ou votre conjoint) d’une société (régime non agricole) employant plus de 20 personnes. Vous devez en faire la demande directement à votre employeur ou au comité d’entreprise (ou encore au collecteur 1 % dont vous dépendez). Cependant, l’octroi de ce prêt n’est pas automatique. Tout dépend en effet des fonds dont dispose votre employeur au moment de votre demande.
Il se peut très bien que d’autres salariés en aient bénéficié avant vous et que les caisses soient vides. Sachez aussi que votre demande ne sera prise en compte que si vous êtes primo-accédant ou en mobilité professionnelle. Le montant du prêt n’est pas très élevé : entre 11 200 et 17 600 € selon votre région d’habitation. Mais le taux non plus : 1,5 % (hors assurance). Quant au remboursement, il peut s’étaler sur 5 à 15 ans.

Épargne Logement
Si vous disposez d’un PEL ou d’un CEL et de droits à prêt substantiels, peut-être est-il intéressant, pour vous, d’emprunter dans le cadre de l’épargne logement. Avec un PEL, par exemple, vous pouvez emprunter jusqu’à 92 000 €. À condition que vous ayez acquis suffisamment de droits à prêt et que le taux de votre prêt soit plus attractif que ceux du secteur libre.
Tout dépend, en effet, de la date à laquelle votre plan a été ouvert. S’il a été souscrit à compter du 1er août 2003, le taux du prêt est fixé à 4,20 %, soit quasiment les mêmes conditions qu’un prêt du secteur libre. En revanche, si votre Plan a été ouvert entre le 1er juillet 2000 et le 31 juillet 2003, le taux passe à 4,97 %, ce qui n’est plus du tout compétitif. Si vous possédez un CEL, le taux du prêt est fixé à 3,50 % pour les intérêts acquis à compter du 1er août 2007, un taux qui est donc séduisant, mais le montant du prêt est limité à 23 000 €.