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Conseils

La recherche en pôle position

La recherche en pôle position

Le Prebat (Programme de recherche et d’expérimentations sur l’énergie dans le bâtiment) soutient les projets innovants de conception de logement à basse consommation énergétique et dessine les bâtiments de demain. Sa mission : apporter des solutions concrètes pour réduire par quatre, à l’horizon 2050, les émissions de gaz à effet de serre et donc, dans les mêmes proportions, les consommations énergétiques des bâtiments. “Concernant le chauffage, nous avons plusieurs axes de travail, affirme Jean-Paul Fideli, secrétaire permanent adjoint du Prebat. Par exemple, nous cherchons déjà à miniaturiser les pompes à chaleur. Ce projet est très prometteur. Nous voulons réduire sensiblement la taille des appareils, pour mieux les intégrer à l’habitat sans rien devoir sacrifier au rendement. Nous travaillons également sur le remplacement des habituels convecteurs électriques (qui représentent plus de la moitié des appareils de chauffage installés dans le neuf aujourd’hui) par une autre technologie. Enfin, nous cherchons à obtenir un meilleur rendement, ainsi qu’une meilleure intégration dans l’habitat du photovoltaïque et du solaire.” De son côté, la Fondation Bâtiment et Énergie a été créée par Arcelor, EDF, Gaz de France et Lafarge pour la recherche sur les bâtiments basse consommation. Elle soutient financièrement des projets. “Notre mission consiste à anticiper les objectifs du Grenelle de l’Environnement, explique son directeur, Pierre Hérant. Pour obtenir des bâtiments à basse consommation ou à énergie positive, tous les produits sont déjà à disposition. En clair, il n’y a pas de difficulté technologique, mais plutôt un frein économique, puisque ces technologies sont plus coûteuses. Plus elles se diffuseront, plus on pourra optimiser les coûts. Et puis, il ne faut pas oublier que si l’installation coûte un peu plus cher, à moyen terme, le maître d’ouvrage finit par être gagnant. De toute façon, d’ici à 2010-2012, les réglementations rendront obligatoires ces bâtiments à basse consommation énergétique, qui intégreront notamment des équipements performants de chauffage. Tout le monde devra alors s’y mettre !”

Henry Buzy-Cazaux - Délégué général de la FNAIM

Henry Buzy-Cazaux - Délégué général de la FNAIM

Indicateur Bertrand : La Fédération nationale de l’Immobilier (FNAIM) annonce la baisse des prix de l’immobilier ancien de 2,9 % au 3e trimestre. Vous attendiez- vous à ce repli ?
Henry Buzy-Cazaux : Oui, parce que nos données mensuelles avaient fait état d’une baisse des prix en juillet et en août, confirmée en septembre. Ce repli est maintenant clairement avéré, alors qu’il se montrait plutôt erratique au cours du 1er semestre. Nous savions depuis longtemps que le niveau des prix était en décalage par rapport à la solvabilité des ménages, et qu’il aurait pour effet de tempérer les augmentations et d’infléchir le marché à la baisse. C’est un phénomène normal de fin de cycle. Par contre, nous ne nous attendions pas au resserrement du crédit. En mai et juin, nous avons constaté un revirement des banques, dont l’attitude a été beaucoup plus restrictive dans la distribution des prêts. Cela a eu pour conséquence de redresser l’activité immobilière à partir d’une moindre fréquentation des agences et de “casse” – pour emprunter une expression de négociateur, c’est-à-dire de ventes qui n’aboutissent pas, faute d’obtention de financement.
I.B. : Sur quels segments se situe particulièrement la “casse” ? Sur les grands logements et les maisons, dirait-on ?
H.B.-C. : Il est délicat de tenir un discours unique à ce sujet, car des disparités régionales apparaissent. Mais nul ne peut nier que la réticence des banques se manifeste surtout par rapport au financement des opérations les plus onéreuses, à hauteur de 450 000 à 500 000 euros. Par conséquent, les appartements des grandes villes, comme Paris, et les maisons sont les plus concernés.
I.B. : Vos adhérents ont-ils des clients qui rencontrent des problèmes avec leurs prêts-relais ?
H.B.-C. : Ce phénomène est beaucoup moins répandu dans les agences immobilières que sur le marché de particulier à particulier, car l’agent immobilier a pour mission de trouver le prix d’équilibre de la vente. Vis-à-vis du vendeur, ce rôle est didactique, d’autant que les négociations deviennent plus âpres à mesure que le marché se durcit. L’agent immobilier a pour métier, et il le fait très bien, d’inciter les vendeurs à la modération. En professionnel du flux, il ne peut pas se payer le luxe de garder trop longtemps un bien en vitrine – si celui-ci n’est pas vendu au bout de 18 mois, c’est souvent en raison de son prix. Les produits anciens se situent dans la partie dense du patrimoine, centre-ville ou proche périphérie, et n’ont pas de gros défauts rédhibitoires.
I.B. : Quel niveau de remise peut espérer l’acquéreur ?
H.B.-C. : Tout dépend si, à l’origine, le prix a été ou non fixé à sa juste valeur. Un bien mal évalué et présenté depuis 6, 8 ou 9 mois, pourrait ainsi subir une décote de 10 à 15 %. Ce cas de figure n’est pas rare. Quand le mandat a été bien pris, mais avec des visites insuffisantes, le prix peut être corrigé de 2 à 3 % au bout de trois mois.
I.B. : Pensez-vous que cela ira plus loin ?
H.B.-C. : Si les banques n’étaient plus au rendez-vous, l’économie serait bloquée, dont le marché immobilier en premier lieu. Nous vivons une période tellement folle que nous n’excluons pas cette sombre hypothèse. Mais ce scénario peut être évité à l’aide d’outils, comme la baisse des taux d’intérêt et les mesures en faveur de l’accession sociale, par exemple. Je pense que nous finirons l’année avec une baisse des prix de 5 à 6 %, qui pourrait se prolonger au même niveau en 2009. Cela induit une fourchette large de 10 à 15 % sur 18 mois, puisque le 1er semestre n’a pas enregistré de baisse. Cette érosion en pente douce pourrait permettre la resolvabilisation des acquéreurs.
I.B. : Comment les agences immobilières résistent-elles dans cette conjoncture ?
H.B.-C. : Les agences, comme les études notariales et les promoteurs, vont être touchées. Mais cela ne fait que 3 à 4 mois que leur activité est affectée, alors que leur capacité de résistance joue sur plusieurs mois, notamment en ajustant la variable de l’emploi. En général, la profession, et non les adhérents de la FNAIM, ont recours à 70 % d’agents commerciaux. Les agences ont également la possibilité de réduire leurs investissements, tels que la publicité et la formation. La FNAIM va d’ailleurs mettre en place une cellule, dans le but d’aider ses adhérents à choisir les meilleures solutions.
I.B. : Malgré tout, l’immobilier reste-t-il un bon investissement ?
H.B.-C. : Plusieurs de nos adhérents sont consultés par des clients paniqués, qui veulent convertir en immobilier leurs liquidités ou leur portefeuille d’actions. Ceci prouve bien que, quelles que soient les circonstances, il existe toujours un fond de confiance envers la pierre. L’immobilier est et restera un marché soustendu par le besoin. Une famille aura toujours l’obligation de se loger, de s’agrandir… Un tel investissement rime avec plus-value, la seule condition étant de garder le bien au-delà de 6, 7, voire 12 ans. Et s’il s’agit d’une résidence principale, cette plus-value n’est pas imposable. L’immobilier demeure le moyen sûr d’asseoir sa situation financière.

La maison écoperformante

La maison écoperformante

Constructeur de maisons individuelles dans tout le Grand Ouest, Maisons de l’Avenir propose un concept de maison plus économique et plus écologique.

Logement neuf : les vrais chiffres

Logement neuf : les vrais chiffres

Sur l’agglomération de Montpellier, on comptait 98 programmes commercialisés au 2e trimestre 2008, soit 1 128 logements disponibles. Parmi ces derniers, 8 % se situaient en entrée de gamme à des prix inférieurs à 2 700 € le m2, et 24 % en haut de gamme, au-delà de 3 600 €le m2. Au sein de cette offre, la plupart des biens sont des 3-pièces (45 %), suivi de près par les 2-pièces (36 %). Quant à l’orientation géographique de l’offre, elle se partage entre Montpellier est (23 %), nord-ouest (23 %), sud (21 %), ouest (15 %) et centre (11 %), ce qui montre une bonne répartition des opérations en cours de commercialisation sur le territoire de l’agglomération. Pour essayer de comprendre l’évolution de ce marché et l’impact de la conjoncture sur son fonctionnement, il est intéressant de l’intégrer dans une logique plus large. C’est ce qu’Adéquation a présenté le 10 septembre dernier, lors d’une conférence organisée au Palais des Congrès de Lyon, sur “La crise : raison, importance et durée”.

Transférer son prêt à 0 % sur une nouvelle acquisition

Transférer son prêt à 0 % sur une nouvelle acquisition

Mon mari est muté dans le Sud de la France.Nous nous trouvons donc dans l’obligation de vendre notre maison, acquise avec un prêt à 0 %.Dans quelles conditions le transfert de ce prêt estil possible par rapport à une nouvelle opération ? (Marie A.,Franconville,95)

Chauffage et environnement

Chauffage et environnement

Un chauffage performant, c’est la clé d’un logement moins gourmand en énergie. Les spécialistes du secteur planchent déjà sur le sujet. Sélection des initiatives les plus prometteuses.

Prêt Parcours Résidentiel - Un nouveau prêt à 0% pour Paris

Prêt Parcours Résidentiel - Un nouveau prêt à 0% pour Paris

Courant septembre, la Mairie de Paris a annoncé la mise en place, pour le début de l’année prochaine – vraisemblablement au mois de février – d’un nouveau prêt à 0 %, baptisé Prêt Parcours Résidentiel. Contrairement au Prêt Paris logement (également à taux zéro) que la Mairie propose déjà depuis 2004, le Prêt Parcours Résidentiel s’adresse aux locataires HLM qui souhaitent devenir propriétaire d’un logement dans le privé. Une démarche qui est donc différente de celle prônée par le Conseil général des Hauts-de-Seine puisqu’il ne s’agit pas de céder le parc de logements sociaux de Paris, mais d’encourager les locataires HLM à accéder à la propriété dans le secteur privé et de permettre ainsi à Bertrand Delanoë d’atteindre, dès 2014, la proportion de 20 % de logements sociaux dont la ville a tant besoin. “La vente simultanée d’une partie des logements sociaux actuels aurait pour conséquence de réduire le parc social à Paris, ce qui serait contradictoire avec cet engagement et constituerait une aberration au regard des besoins de logements à loyers accessibles qui ne peuvent être satisfaits actuellement”, explique-t-on à la mairie. Pour pouvoir bénéficier de ce prêt, il faudra que l’acquéreur soit locataire dans le parc HLM et qu’il s’engage à libérer son logement pour en acheter un dans le secteur libre. Ses ressources ne devront pas dépasser certains plafonds (entre 3 003 et 7 890 euros par mois, selon la composition de la famille). Quant au montant du prêt, il variera de 27 500 euros pour un célibataire à 80 000 euros pour une famille de cinq personnes et plus.

Montpellier : le marché immobilier neuf opte pour la stabilité

Montpellier : le marché immobilier neuf opte pour la stabilité

Tant dans le secteur neuf que dans celui de la revente, l’agglomération montpelliéraine confirme sa place régionale et son attrait auprès des acquéreurs.

Réactions aux initiatives pour le logement en région PACA

Réactions aux initiatives pour le logement en région PACA

Indicateur Bertrand :Comment réagissezvous aux différentes initiatives dites de “mobilisation pour le logement”, lancées par Nicolas Sarkozy ?

L’AVIS DE PATRICK LEMERCIER Directeur des expertises du Crédit Foncier

L’AVIS DE PATRICK LEMERCIER Directeur des expertises du Crédit Foncier

Patrick Lemercier : La Normandie avait été épargnée par la crise immobilière de 1991 ; elle avait certes subi un sérieux ralentissement du nombre de transactions, mais avait réussi à contenir la baisse des prix. La flambée avait été limitée aux jolies villes en extrémité de région parisienne, comme Vernon, et à certaines communes cotées, situées en bord de mer. Nous sommes aujourd’hui face à un phénomène d’une tout autre ampleur. La hausse a été générale, diffuse et forte, en particulier dans les secteurs les plus abordables. Le ralentissement concerne maintenant l’ensemble du marché, y compris la construction pavillonnaire depuis trois ou quatre mois, avec une fragilisation particulière pour les produits défiscalisés. Face à ce retournement et à la chute du nombre de transactions, certains parlent de blocage. Dans le neuf, on s’oriente sans doute vers un tassement des prix, ou du moins, vers une plus grande diversité de l’offre. On ne peut pas comparer une maison standard en périphérie, dont la revalorisation sera problématique, et un appartement en bord de mer au Havre, qui est structurellement cher mais possède une valeur sûre à long terme. L’immobilier dépend fortement de l’évolution de l’environnement économique et financier. On dispose aujourd’hui d’éléments positifs : les stocks sont faibles, et le marché locatif reste relativement équilibré. On peut aussi noter que des initiatives existent en Normandie pour répondre aux problèmes de la désolvabilisation de la demande : on trouvera bientôt quelques maisons à 120 000 ou 130 000 euros au Havre. Le mécanisme de la TVA à 5,5 %, en périmètre de Honfleur, permet aussi d’afficher des programmes entre 1 800 et 1 900 €/m2 à Rouen. Des solutions existent pour produire de l’immobilier à moindre coût, sous réserve de foncier maîtrisé.

Entrepreneur responsable, mais pas coupable

Entrepreneur responsable, mais pas coupable

Une fois installés dans notre maison à peine construite, nous avons constaté de nombreux dégâts, qui ont donné lieu à une expertise concluant à de mauvaises soudures. Notre entrepreneur s’exonère de toute responsabilité, mettant en cause celle d’un sous-traitant, qui refuse tout contact avec nous.Que faire ? (Anne et Pierre L., Clermont-Ferrand, 63)

Un architecte à tout faire

Un architecte à tout faire

Nous souhaitons faire construire une maison dont les plans seront conçus par un architecte. Pouvons-nous lui confier également la construction et la surveillance du chantier ? (Anne et Laurent D.,Brive-la-Gaillarde, 19)

Dommages-ouvrage : garantie 10 ans

Dommages-ouvrage : garantie 10 ans

Sur quelle période s’étend la garantie applicable à l’assurance dommages-ouvrage ? (Eric F.,Douarnenez, 29)

Claude Cagol - Président-directeur général de Sefri-Cime

Claude Cagol - Président-directeur général de Sefri-Cime

Indicateur Bertrand : Dans un marché immobilier marqué par un fort ralentissement, comment se déroule cette année 2008 et quelle est l’actualité de votre société ?
Claude Cagol : Nous sommes un généraliste de l’immobilier depuis plus de 50 ans. Nous intervenons, en immobilier résidentiel, comme prestataire de services pour le compte de grands investisseurs, mais également dans le cadre d’opérations de promotion- vente, orientées vers les résidences principales, ce qui nous permet d’équilibrer notre activité. La crise financière que nous vivons actuellement va inévitablement avoir des répercussions sur notre chiffre d’activités mais, compte tenu de nos opérations de prestations de services et de vente en bloc, notre volume d’affaires global ne devrait, fort heureusement, qu’à peine s’infléchir en l’état.
I. B. : Quels sont vos principaux projets résidentiels en Ile-de-France et dans les régions ?
C. C. : Nous réalisons actuellement à Boulogne- Billancourt, route de la Reine et rue de Paris, une nouvelle tranche de notre programme Boulogne Évidence, très représentatif de la manière dont nous entendons participer au développement urbain de chacune des villes dans lesquelles nous intervenons. La commercialisation, lancée il y a quelques mois, se poursuit aujourd’hui encore avec régularité, au fur et à mesure de l’avancement de notre projet. Nous continuons aussi à reconquérir les bords de Seine notamment à Issyles- Moulineaux, sur le quai des Chartreux, avec nos deux immeubles Côté Coeur, réalisé par l’Agence Jean-Michel Wilmotte, et Côté Jardin, qui offrent deux des dernières opportunités de se trouver à proximité de Paris, dans un site disposant d’atouts pérennes. J’ai plaisir aussi à noter, dans notre panel général, une superbe réalisation à Deauville dans le Quartier des Yearlings, emblématique de la qualité des sites et de l’architecture que nous recherchons pour nos programmes. Notre constant positionnement sur le haut de gamme nous conduit à nous inscrire, à Bois-Colombes, dans le très beau Quartier des Bruyères, un formidable exemple de réhabilitation urbaine, mais également à Massy, Orangis, Montlhéry, Cergy ou encore Magny-le-Hongre, autant de sites que l’on peut qualifier de potentiellement à forte valeur ajoutée.
I. B. : Comment l’accession à la propriété pourrait-elle être davantage développée, voire encouragée ?
C. C. : La demande de logements est structurellement forte dans notre pays. La difficulté rencontrée pour maîtriser rapidement les terrains et l’amélioration constante des nouvelles réglementations en matière d’habitat pèsent sur le prix de revient des opérations, mais leur valeur interne s’en trouve d’autant améliorée. La crise financière actuelle rend l’accès au crédit des ménages plus difficile, mais il me semble donc que les priorités nationales en faveur du logement devraient permettre in fine une stabilisation des prix de revient. Elles passent par la mise à disposition de fonciers suffisants pour satisfaire les besoins structurels et éviter la surenchère sur le prix des terrains. Puis, il sera nécessaire d’effectuer une pause dans la mise en oeuvre des nouvelles réglementations techniques, afin de permettre à l’ensemble de la filière d’intégrer celles-ci dans de bonnes conditions économiques. Ensuite, il faudra mettre en place un meilleur accès au crédit pour les ménages, et enfin, baisser le taux de TVA sur un périmètre géographique et social plus large.

L'immobilier neuf destiné aux actifs

L'immobilier neuf destiné aux actifs

I. B. : Quelle est, justement, la place du marché destinée aux actifs ?