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Conseils, Actualité

Regards européens

Regards européens

Comment les Européens considèrent-ils la qualité de leur logement ? Le résultat de l'enquête menée par BVA en Allemagne, Grande-Bretagne, Italie, Espagne et France, montre une certaine disparité. En terme de qualité et de préoccupation "verte", et notamment de maîtrise des consommations d'énergie et d'eau, l'Allemagne est incontestablement le bon élève, mais la France ne mérite pas le bonnet d'âne, puisque les personnes sondées intègrent des préoccupations énergétiques et environnementales à leurs raisonnements sur la qualité de leur logement. En Espagne et en Italie en revanche, cette préoccupation pour le développement durable est moins sensible chez la majorité des interviewés, reflétant sans doute une implication moins importante des pouvoirs publics.

Du nouveau dans les matériaux

Du nouveau dans les matériaux

Des plus sophistiqués aux plus écolos, les matériaux se réinventent sans cesse et sont autant de pistes pour construire autrement. Eclairage.

Michel Desvigne

Michel Desvigne

Architecte-paysagiste de renommée internationale, Michel Desvigne renoue avec la tradition des parcs urbains américains. Coup de projecteur sur ce métier qui a refleuri en France.

Maison rêvée

Maison rêvée

Selon les statistiques du ministère de l'équipement, 401 994 maisons ont été commencées en 2006. Les maisons en village des promoteurs y occupent une place relativement modeste, avec 49 280 maisons construites, soit 12,25 % du nombre total, tandis que les maisons "en diffus" représentent plus de 45,15 % du total. L'an dernier, la maison individuelle représentait 57 % des nouveaux logements mis sur le marché, mais 71 % de la surface résidentielle construite. Un chiffre qui illustre à la fois la qualité principale et le problème majeur de la maison individuelle : elle est plébiscitée par les Français qui rêvent d'espace, pour ses surfaces généreuses et son jardin… Mais elle est du coup, bien plus "gourmande" en foncier que les appartements !

Des formules jumelées

Des formules jumelées

Mais obtenir une avance sur le produit de la vente de votre ancien logement ne règle pas tout. Quand on rachète plus grand, il faut pouvoir financer le surplus éventuel. C'est pourquoi, les banques proposent généralement, dans leur gamme de crédit, des prêts relais jumelés à des prêts à long terme. C'est, par exemple, le cas de LCL, de Banque Postale ou encore de BNP Paribas… Dans ce cas, l'établissement de crédit met en place deux prêts : un relais qui constitue l'avance remboursable à la vente de l'ancien bien, soit 2 ans maximum, et un prêt à long terme (15, 20, 25 ans…) servant à compléter le financement puisque acheter plus grand coûte, en principe, plus cher. L'avance en relais a donc vocation à être remboursée très vite, selon les modalités évoquées plus haut. Quant au prêt complémentaire, il se rembourse de façon classique, chaque mois, sur la base d'une mensualité comprenant une partie de capital, les intérêts et l'assurance décès. Compte tenu de sa durée, le prêt relais est généralement consenti à taux fixe tandis que le prêt complémentaire peut être à taux fixe ou révisable. Si vous optez pour un prêt relais jumelé à un prêt à long terme, privilégiez cependant les formules qui vous autorisent à effectuer un remboursement partiel sur votre prêt complémentaire. C'est souvent le cas des prêts à taux révisables. En effet, si vous touchez finalement plus qu'espéré au moment de la vente de votre bien, rien ne vous interdira de verser ce supplément d'argent au compte de votre prêt complémentaire. Auquel cas, le capital emprunté à ce titre sera diminué et la durée de remboursement allégée. Vous ferez ainsi des économies. Il faut en effet savoir que tout remboursement anticipé sur un prêt immobilier donne le droit aux banques d'exiger des pénalités. Ces pénalités ne peuvent cependant aller au-delà de 3 % du capital restant dû.

Baromètre Que d'eau !

Baromètre Que d'eau !

Selon la dernière étude de l'Institut Français de l'Environnement, chaque Français débourse en moyenne 177 euros par an pour honorer sa facture d'eau. Tout comme l'énergie, voilà un domaine où vous pouvez faire coup double en économisant une ressource naturelle précieuse et raréfiée tout en préservant votre porte-monnaie. Pour cela, l'Institut rappelle quelques principes simples : une douche plutôt qu'un bain, et ce sont 130 litres du précieux liquide économisés. Par ailleurs, la nouvelle génération d'équipements sanitaires permet également de substantielles économies : un robinet à limiteur de débit par exemple, permet de réduire la consommation de moitié.

Antoine Desbarrières, Directeur de Qualitel et président de Cerqual

Antoine Desbarrières, Directeur de Qualitel et président de Cerqual

Indicateur Bertrand : Quelle est votre activité en matière de certification pour les logements ?
Antoine Desbarrières : Nous avons enregistré une forte croissance des demandes, puisque nous passons à plus de 100 000 logements engagés dans une démarche de certification, toutes marques confondues, contre moins de 40 000 en 2002. Nous avons constaté que les demandes de certification augmentaient plus vite que la construction, pour plusieurs raisons. D'abord l'incitation des pouvoirs publics à tous les niveaux, en particulier au niveau local, où ils peuvent d'autant mieux mettre en avant leurs exigences qualitatives qu'ils sont propriétaires des terrains. Certaines collectivités, avec lesquelles nous signons des conventions, peuvent inciter financièrement à la construction de bâtiments basse consommation. Rennes Métropole par exemple, ne finance que les logements sociaux qui obtiennent la certification. De plus les professionnels veulent montrer que leurs réalisations vont dans le sens d'une préoccupation générale pour le développement durable. La certification a été élaborée par le législateur dans ce but, avec des critères de qualité consensuels.
I. B. :…Et les professionnels de la promotion immobilière répondent présents…
A.D. : Tout à fait, c'est ce qu'exprime l'engagement de majors de la profession, comme Vinci Immobilier, Meunier Habitat ou, plus récemment, Bouygues Immobilier qui engage l'ensemble de sa production sous la marque Habitat & Environnement.
I.B. :L'abondance de marques ne nuit-elle pas à la visibilité de la certification pour le consommateur ?
A. D. : C'est une vraie question et les associations de consommateurs qui siègent dans nos instances relaient la nécessité de simplifier le message. Mais pour que le particulier puisse avoir l'opportunité d'acheter ou de louer un logement certifié, il faut qu'il y ait une offre suffisamment importante. En amont, il faut donc que le maître d'ouvrage ait eu envie de s'engager dans une certification. En développant des marques adaptées, avec des référentiels spécifiques, nous avons convaincu plus de professionnels de s'engager. Pour le grand public, cela engendre une difficulté à s'y retrouver. C'est une préoccupation majeure pour nous et dès lors que nous pourrons le faire, nous simplifierons les choses. Aujourd'hui, il est encore trop tôt, car nous avons des demandes spécifiques de la part des promoteurs, des maîtres d'ouvrages. Par contre, pour répondre aux attentes du public, nous allons lancer une grande campagne de communication, dans le cadre d'une politique générale de sensibilisation et d'action pédagogique sur la qualité du logement. Cette campagne va couvrir toutes les marques de qualité. Elle s'appuiera sur les grands médias audiovisuels et sur Internet. Vous la découvrirez cet automne, au moment des salons immobiliers.
I. B. : L'offre des industriels et la mise en oeuvre de nouveaux matériaux plus performants suit-elle l'exigence de qualité ?
A. D. : Pour élaborer nos référentiels, nous travaillons en collaboration étroite avec les experts issus du monde de l'industrie et les centres techniques comme le CSTB. Les industriels siègent également dans nos instances. On peut dire que l'offre de produits suit bien les évolutions réglementaires et celles de nos certifications. Certains sujets restent difficiles, comme l'acoustique, d'autant que la mise en oeuvre, étant donné la pénurie de main d'oeuvre qualifiée, est problématique. L'un des points difficiles reste la qualité de l'air dans les logements et les problématiques liées au choix des matériaux. On commence à avoir, sur les aspects environnementaux, un certain nombre de directives. Par contre, sur les aspects sanitaires, les choses sont beaucoup moins claires. Il y a encore des disparités fortes sur les appréciations qui peuvent être faites quant aux émissions de composés organiques volatiles des différents produits. Du coup, les industriels sont pour l'heure très prudents dans ce domaine, malgré leur volonté d'avancer.
I. B. : Quelles sont les grandes évolutions actuelles des différentes marques ?
A.D. : Globalement, l'ensemble des marques de qualité continue d'évoluer en allant plus loin sur la qualité environnementale. Lorsque cette dimension existe déjà, comme pour la marque Habitat & Environnement, nous allons intégrer de nouvelles dimensions comme celle du confort visuel. On va aussi plus loin sur l'énergie, en intégrant des niveaux de performances supérieures, avec les énergies renouvelables, les bâtiments basse consommation avec Effinergie. Et nous allons intégrer cette dimension environnementale aux marques qui ne la présentaient pas, avec par exemple un niveau Qualité Environnementale pour la marque NF Logement. Nous travaillons aussi sur la qualité de l'air dans les logements, en avançant aussi vite que possible dans un domaine difficile. L'évolution réglementaire sur l'accessibilité et la loi handicap nous entraîne également à travailler sur l'accessibilité et l'habitabilité des logements. Nous mettons l'accent sur la prise en compte du vieillissement de la population, avec des exigences sur la conception des logements, certains équipements dans les salles de bain, mais aussi la conception des menuiseries.

Emprunter pour acheter plus grand

Emprunter pour acheter plus grand

Pas facile de changer d'appartement quand on est propriétaire. Mais pas si compliqué que ça non plus. Car les banquiers ont mis en place une gamme de prêts bancaires qui permet de faciliter l'opération. Explications.

Hervé Manet, Président de Bouwfonds Marignan

Hervé Manet, Président de Bouwfonds Marignan

Indicateur Bertrand : Quel bilan dressez-vous de l’année 2006 ?
Hervé Manet : L’année 2006 a été une année exceptionnelle pour l’immobilier neuf. En totale adéquation avec l’évolution du marché, Bouwfonds Marignan a enregistré un volume d’affaires logements de 567 millions d’euros, en hausse de 30 % par rapport à 2005 ; le pôle habitat demeure notre coeur de métier et représente 64 % de notre activité avec plus de 2 700 logements commercialisés en 2006. Parallèlement, nous poursuivons notre développement en immobilier d’entreprises et la diversification de nos activités dans les secteurs du loisir, du tourisme d’affaires, du logement pour étudiants et des résidences seniors a pris toute sa dimension avec la création, l’an dernier, du pôle résidences services. L’objectif initial est atteint : en 4 ans, Bouwfonds Marignan a doublé son activité. La forte croissance du groupe traduit la pertinence de ses choix stratégiques.
I. B. : Quels sont vos axes de développement ?
H. M. : En habitat, notre objectif est d’atteindre un rythme de production annuel d’environ 7 000 logements à l’horizon 2011, soit 7 % de parts de marché, avec un premier palier à 3 500 logements dès cette année. L’immobilier d’entreprises constitue un axe fort de notre développement ; nous intervenons sous différentes formes : en qualité de promoteur, en codéveloppeur avec des fonds d’investissement et en prestataires de services. En résidences services, 6 opérations en résidence de tourisme ou urbaines sont en cours de développement. Nous développons 4 résidences seniors en Indre-et-Loire, dans la Sarthe et plusieurs projets sont à l’étude en Ile-de- France et en régions.
I. B. : Quelles sont les grandes opérations d’urbanisme sur lesquelles vous intervenez ?
H. M. : Parmi les plus emblématiques, la reconquête de Lyon Confluence qui s’étend entre le Rhône et la Saône et s’affirme comme l’une des plus vastes réalisations urbaines de centreville en Europe. Sur l’Ilot B, nous réalisons l’essentiel des 350 logements en accession. A Marseille 14e, la Zac des Hauts de Sainte-Marthe est un projet d’urbanisme qui représente également un enjeu majeur pour la ville de par l’importance de son volet environnemental. Nous nous sommes positionnés sur six îlots totalisant 112 500 m2, pour la réalisation de 750 logements. Enfin, la requalification et la restructuration de l’île de Nantes (350 hectares au coeur de la ville), constituent, avec une capacité de près d’un million de m2 constructibles, le plus ambitieux projet d’urbanisme du Grand-Ouest. A l’horizon 2008, 70 hectares d’espaces publics seront créés et environ 2 000 logements seront construits.
I. B. : Quel regard portez vous sur le marché ?
H. M. : Nous observons toujours une attente forte de la clientèle à l’accession principale qui va sans doute se confirmer avec les nouvelles mesures fiscales annoncées par le gouvernement et le retour des investisseurs qui continueront à bénéficier des dispositifs en vigueur (Robien recentré et Borloo). Après un cycle continu de hausse à deux chiffres depuis 2002, le ralentissement de la hausse des prix amorcé en 2006 se confirme. Les taux d’intérêt se maintiennent à des niveaux encore attractifs et la pression démographique représente le plus fort soutien de la demande en logements. La stabilité des fondamentaux écarte l’hypothèse d’un retournement du marché en 2007. La confiance est de mise mais comme l’ensemble des acteurs de notre profession, nous sommes vigilants. Nous devons réaliser une production maîtrisée en prix de revient afin de permettre à nos clients de rester dans le seuil de solvabilité du financement de leur budget.

Assurance impayés

Assurance impayés

Je viens de mettre en location un logement neuf et j'ai souscrit une assurance impayés. Dois-je également m'assurer comme propriétaire non occupant ? (Thierry M., Limoges, 87)

L’AVIS DE ALAIN BÉNICHOU Directeur commercial de Windsor

L’AVIS DE ALAIN BÉNICHOU Directeur commercial de Windsor

Indicateur Bertrand : Les programmes de maisons sont-ils plus difficiles à monter que les autres ?

Rouen et Le Havre

Rouen et Le Havre

Longtemps assoupies après les ravages de la guerre, les deux grandes de Haute-Normandie sont en plein renouveau. Projets d'envergure et logements neufs sont à l'ordre du jour.

L’AVIS DE EDGAR MENGUY Adjoint au maire de Rouen en charge de l’urbanisme

L’AVIS DE EDGAR MENGUY Adjoint au maire de Rouen en charge de l’urbanisme

Indicateur Bertrand : Où en sont les grands projets de Rouen ?

Le Havre les pieds dans l'eau

Le Havre les pieds dans l'eau

Portée par son identité balnéaire, un classement prestigieux au patrimoine mondial de l'humanité et d'ambitieux projets urbains, Le Havre a parcouru du chemin depuis la terrible année 1944 où elle vit 80 % de son centre-ville détruit par les bombardements. Façonné par Auguste Perret après les destructions de la guerre, le centre-ville bénéficie de la proximité immédiate de la plage. Ici, le foncier libre est rare, bien sûr et les quelques réalisations neuves qui trouvent à se nicher dans les "dents creuses" sont en général plutôt haut de gamme et partent comme des petits pains. Après le triangle des gares, qui a vu surgir des immeubles de bureaux, une structure hôtelière de 125 chambres, un parking de 500 places, la métropole, qui compte près de 200 000 habitants, soigne son quartier portuaire. La conversion d'anciens docks est en route : 66 000 m2 désormais dédiés aux espaces commerciaux, aux loisirs, aux sports, à la culture et à l'équipement de la maison. La moitié des surfaces étaient vendues au 1er mars 2007 et l'ouverture de l'ensemble est programmée pour l'année prochaine. Tous ces projets ont permis de marquer et de valoriser le lien entre la ville et son port. Dans le prolongement, Saint-Nicolas de l'Eure est le quartier "qui monte". La ville de demain s'y construit et les premiers logements sont en passe d'être livrés. Ceux de Cap Marine par exemple, une résidence signée Nexity George V, dont l'architecture s'intègre parfaitement au quartier des docks. Le 3-pièces de 54 m2 y démarre à 185 000 e. Dans le même quartier, Bécarré signe le Carré Vauban, une vaste résidence de 5 bâtiments qui comprend une centaine d'appartements. Un grand 3-pièces de 68 m2 s'affiche à 188 200 e. Bleu Horizon de Bouygues Immobilier prend place près du bassin du commerce. Livrable à la fin de l'année, le programme propose encore de belles surfaces, comme ce 80 m2 à 226 500 e.

Rouen à l'heure du changement

Rouen à l'heure du changement

Pôle économique, portuaire, universitaire, la ville est jeune, active et… en pleine évolution ! Sur 800 ha, elle déploie un vaste projet urbain qui s'appuie sur la restructuration d'anciens sites industriels et portuaires, dans le but d'étendre vers l'ouest le centre de l'agglomération rouennaise. A une heure de train de la capitale, Rouen attire des salariés franciliens à la recherche d'une meilleure qualité de vie à moindre coût. Près de 2 000 habitants de l'agglomération rouennaise prennent chaque jour le train de Paris pour se rendre au travail. Salarié de Renault Guyancourt, Jean-Claude a sauté le pas il y a 5 ans. A Amfreville, petite commune desservie par la gare de Oissel et à un quart d'heure de bus du centre-ville de Rouen, il a acheté une belle maison dont le jardin donne sur la Seine pour 57 000 e, facilement couverts par la revente de son appartement de 3-pièces à Saint-Denis, qui est parti à 143 000 e ! "Depuis, les prix ont explosé à Amfreville. Une amie de ma femme vient d'acheter une maison plus petite que la notre, près de 100 000 r!"constate Jean-Claude, atterré par cette valse des étiquettes. Rouen reste néanmoins très abordable pour les Franciliens. Les logements neufs y fleurissent, notamment sur les Zac libérées par la reconquête des grandes friches portuaires et industrielles de la ville. La rive gauche, longtemps délaissée et vue comme un quartier moins attirant, se refait une beauté : autour du centre commercial et de la zone animée de Saint-Sever, des logements neufs se construisent, comme ceux du programme d'Eiffage où le 3-pièces de 59 m2 s'affiche à 141 150 e.

Des offres exceptionnelles dans le centre

Des offres exceptionnelles dans le centre

Le centre-ville accueille déjà 24 000 habitants et 45 000 emplois, avec la force d'un patrimoine important, à l'image du Château des Ducs de Bretagne, qui vient de rouvrir ses portes après 15 ans de travaux et trois années de fermeture totale, et de grands espaces publics, dont 25 000 m2 auront été réaménagés entre 2003 et 2008. Ses secteurs sensibles, Decré, Bouffay, Saint-Pierre et Saint-Nicolas font l'objet d'un plan d'action d'ensemble. Sur le marché de l'accession, les terrains se font rares mais certains promoteurs parviennent à offrir quelques opportunités au coeur de la ville : Kaufman & Broad termine la commercialisation de sa Villa Montpensier, entre le château des Ducs de Bretagne et le canal Saint-Félix. Le promoteur national possède un stock plus important dans d'autres secteurs de la ville, à proximité de l'Erdre (Le Clos du Plessis), près du prestigieux parc de Procé (Les 2 Meusnier de Querlon), des universités (Les Jardins de Gesvres) ou dans le quartier du port (Quai Rive droite) et en périphérie.Rue Dugommier, Bâti-Nantes affiche aussi le Square Newton, "un havre de tranquillité empreint de pureté et de raffinement dans un espace inattendu au coeur de Nantes". Près du marché Talensac, Arc annonce un produit "idéal pour les investisseurs Robien" : le Stanislas, une petite résidence disposant encore de studios, 3 et 4-pièces. Espacil, enfin, a deux chantiers en cours, la résidence Bella Maria, 51 logements du 2 au 5-pièces, entre Saint-Pasquier et Saint-Félix et les Jardins de la Comète, tout près du Jardin des Plantes, avec quelques appartements en duplex. Dans le quartier Saint-Jean, Bouwfonds Marignan, qui commercialise deux programmes sur la ville, affiche notamment le Square Maestria, 53 appartements du studio au 5-pièces avec terrasse. Sur ses plans par exemple, des 2-pièces à 133 300 e(46m2), des 3-pièces entre 180 000 et 198 000 e (de 65 à 69 m2) ou un 5-pièces (113 m2) à 295 000 e.