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Conseils, Actualité

Haut de gamme : qui achète ?

Haut de gamme : qui achète ?

Le plus beau, le plus cher n'est, par définition, pas accessible à toutes les bourses. Alors qui achète ces produits qui font rêver ? Portrait robot de ces heureux acquéreurs.

Le haut de gamme dans le neuf

Le haut de gamme dans le neuf

Quand l'immobilier devient un produit de luxe, la tentation est grande de ne pas faire les choses à moitié : emplacement de rêve et matériaux de choix, petite balade à travers l'Hexagone à la découverte des plus belles résidences haut de gamme disponibles.

Marseille : des logements pour tous

Marseille : des logements pour tous

Face aux besoins importants de logements, Marseille a lancé une rénovation à grande échelle avec pas moins de 11 zones de redynamisation urbaine et une zone urbaine sensible, dont neuf sont prioritaires pour les aides à l'Agence nationale pour la rénovation urbaine. L'habitat existant fait l'objet de nombreuses opérations à l'instar de la Procédure de restauration immobilière (PRI) du Panier prolongée jusqu'en 2009, qui porte au total sur 4 000 logements. Dans le neuf, le lancement d'un pourcentage de logements à prix maîtrisés et destinés à s'adapter aux revenus des actifs locaux semble remporter un certain succès, comme l'explique Alain Paget, PDG de Progereal :"Dès lors que des logements sont commercialisés à ce prix-là, la clientèle est très nombreuse.Nous soutenons la politique de l'habitat menée par Jean-Claude Gaudin au point de lancer, courant 2008, une opération dédiée à ce type de logements sur la Zac Vallon-Regny, dans le 9e arrondissement. Pour la réaliser, il faudra savoir être inventif, éviter la spéculation sur les fonciers et recréer notre rôle de promoteur. Chacun d'entre nous devrait être sensibilisé à cette problématique". Progereal, présent dans le 15e avec Les Hauts de l'Estaque, à 3 000 e/m2, lance par ailleurs d'autres opérations sur le secteur de la communauté urbaine : ainsi, à La Ciotat, commune qui devient de plus en plus attractive, le promoteur lance Les Terrasses de Figuerolles, 48 logements face à la mer, livrables courant 2009 et commercialisés autour de 4 000 e/m2. Il est intéressant de noter que sont aussi présents sur la commune Kaufman & Broad, avec Côté Port, sis quai François-Mitterrand, sur les quais, avec un prix moyen de 5 321 e/m2, pour une livraison attendue fin 2008. Le promoteur a aussi lancé, pour une livraison au 3e trimestre 2009, Côté Plage. A Marseille, l'offre bien répandue sur quasiment l'ensemble des arrondissements permet à chaque promoteur d'être présent. Parmi eux, Nexity George V réalise Villa Toscana, au sommet de la colline de Montolivet, à 10 mn du centre-ville et coréalise avec Eiffage Parc Avenue, avenue Jules-Cantini, face au Parc du 26e centenaire. C'est dans ce même quartier du Rouet, à deux pas de la place Castellane, que Bouygues Immobilier réalise Le Majorelle, avec, par exemple, l'appartement de 63 m2 et 19 m2 de terrasse commercialisé à 257 000 e, parking extérieur inclus, livrable courant 2009. Présent dans le quartier totalement métamorphosé de Belle de Mai, Constructa propose Bella Maggio, 25 appartements, du 2 au 5-pièces. Un appartement d'une surface de 62,95 m2 et ses surfaces annexes de 47 m2 est commercialisé à 245 650 e. La livraison est attendue pour le 2e trimestre 2009. Quant à Cogedim Provence, il coréalise avec Bouygues Immobilier Les Rives d'Allauch, livrables au 1er trimestre 2009. Cette opération sise sur les hauteurs de Marseille avec vue sur le village d'Allauch permet d'acquérir un 2-pièces, de 38 à 49 m2, entre 166 000 e et 177 000 e.

L’équilibre entre offre et demande

L’équilibre entre offre et demande

Dans ce contexte, entre cette nouvelle demande mais aussi celle d'actifs locaux, un marché immobilier dynamique et adapté à la demande de ce territoire est nécessaire. En matière d'équilibre, le marché neuf l'est incontestablement, comme le souligne, un brin surpris, Philippe Roux, le président de la chambre de la fédération des promoteurs-constructeurs de Provence : "Au cours des six premiers mois de 2007, la seule ville de Marseille a enregistré 1 646 réservations, soit un niveau équivalent à celui du 2e semestre 2007 qui avait totalisé 1 656 réservations. Je m'attendais à observer une baisse en raison d'un certain nombre de paramètres extérieurs susceptibles de tendre le marché mais il n'en a rien été". Durant la même période, l'offre s'est même réduite mais après une période qui avait vu de nombreuses mises en ventes, diminuant de fait les stocks. "De plus, la demande reste importante et le marché marseillais continue de montrer son dynamisme et le constat est à l'identique dans les Bouches-du-Rhône," ajoute Philippe Roux, commentant les statistiques de l'Obser- vatoire immobilier de Provence. Même les prix en secteur libre se sont assagis : entre l'année 2006 et la période couvrant du 1er janvier au 30 juin 2007, la progression a été "seulement" de 3,8 %, à 3 548 e/m2 habitable contre 3 417 e/m2 lors de la période précédente. Ce constat d'équilibre du marché entre offre et demande est confirmé par les opérateurs, comme chez Bouygues Immobilier où l'on constate cependant un taux de "désistement important", de l'ordre du double de celui de l'année dernière, qui s'explique notamment par "des refus de prêt, même parfois sur trente ans, en raison d'une vigilance accrue des établissements financiers, surtout dans le secteur de la résidence principale". Ce mouvement s'explique peut-être aussi par le renforcement de la part des acquéreurs en résidence principale, au détriment de celle des investisseurs.

Le nouvel élan marseillais

Le nouvel élan marseillais

Des prix assagis, une offre qui se régule et une demande toujours forte. Tous les ingrédients d’un marché immobilier sain sont actuellement réunis à Marseille.

Vos engagements

Vos engagements

En échange de ces différents “cadeaux” fiscaux, vous êtes évidemment tenus à quelques engagements. D’abord, vous devez mettre le bien en location dans les 12 mois suivant sa livraison. Deuxième obligation : louer le logement nu au titre de résidence principale pour votre locataire. Et enfin, respecter des plafonds de loyer (sauf en cas de décès, d’invalidité ou de chômage du bailleur). Et c’est là que les choses se compliquent et divergent en fonction du dispositif retenu. Plus attractif fiscalement (amortissement plus long et déduction forfaitaire de 30 %), le Borloo neuf est aussi plus contraignant. “L’objectif du Borloo neuf est de dynamiser le marché locatif privé en permettant à des ménages aux revenus moyens d’accéder à des logements aux loyers encadrés” explique Yoann Bobe, responsable produit et service à la direction marketing du Crédit Foncier. Côté loyer, les plafonds au m2 (voir tableau comparatif express) sont inférieurs de 30 % à ceux du marché. De plus, vous ne pouvez pas louer à des membres de votre famille et les revenus de vos locataires sont eux aussi plafonnés (voir tableau). “Ce plafond de revenus impose de fait à l’investisseur de s’orienter vers des communes où les prix de l’immobilier ne sont pas encore envolés.En effet, impossible pour lui d’investir dans un bien cher et spacieux qu’il devrait louer en dessous des prix du marché car tenu par les plafonds de loyer et revenus de locataires” conseille Olivier le Juez, gérant de Valoris Patrimoine (Levallois-Perret, 92). A noter que vous pouvez financer un investissement en Borloo neuf avec un prêt locatif social (PLS). Vous bénéficiez ainsi d’une TVA à 5,5 % sur le prix du logement (au lieu de 19,6 %) et vous êtes exonéré de la taxe foncière pendant les 15 premières années de détention. Inversement, si vous souhaitez investir dans un appartement ou une maison dans le centre-ville d’une grande agglomération, mieux vaut privilégier le dispositif Robien recentré. Le plafond des loyers est plus élevé, 20 % de plus qu’en Borloo neuf, (voir tableau) et surtout, vous conservez le libre choix de votre locataire. Comme pour un investissement classique, vous demanderez un maximum de garanties pour vous assurer du paiement du loyer. Vous limitez également les risques de vacances locatives car dans ces quartiers centraux, les demandes sont bien souvent supérieures aux offres. Et puis, autre avantage du Robien, vos ascendants et descendants peuvent également profiter du bien.Ce qui sécurise d’autant vos rentrées locatives (enfin normalement). Quel que soit le dispositif choisi, vous prenez de toute façon l’engagement de louer le bien pendant 9 ans.

Strasbourg entame ses grands travaux

Strasbourg entame ses grands travaux

Malgré les quatre heures de trajet en train depuis Paris, Strasbourg n'a jamais souffert de ce relatif isolement. La capitale alsacienne dispose en effet de nombreux atouts : proximité avec l'Allemagne et ses emplois frontaliers, présence d'institutions européennes (Conseil de l'Europe, Parlement Européen), structures universitaires reconnues, prospérité économique grâce au secteur tertiaire, premier réseau de pistes cyclables en France, offre culturelle de premier plan. Le tout dans un cadre enchanteur puisque la totalité du centre historique est classée au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco. Voilà qui explique pourquoi Strasbourg fut la commune la plus chère de France après Paris entre 1989 et 1995. Depuis, les autres villes se sont largement rattrapées. Aussi avec en moyenne 3 000 e/m2 neuf, mais beaucoup plus à certains endroits, Strasbourg ne s'en tire pas trop mal. "Le TGV est là depuis peu mais on ne note pas de changement concernant les prix, confirme Michel Reverdy, directeur du développement urbain pour la ville et la communauté urbaine de Strasbourg. Pourtant, la conjoncture de l'immobilier neuf n'est pas très active dans l'agglomération. Avec des ventes en légère baisse (134 logements vendus au 1er trimestre 2007) et des mises en vente qui stagnent. "On se pose même la question en sens inverse avec des Alsaciens qui iraient travailler à Paris", s'amuse Jean-Marie Wintemberger, président de la fédération Alsace-Lorraine des promoteurs-constructeurs de France.

Charges relatives à l'ascenseur

Charges relatives à l'ascenseur

Nous sommes copropriétaires d'un lot au rezde- chaussée et nous ne participons pas évidemment aux charges relatives à l'ascenseur. Nous avons cependant remarqué que la prime d'assurance concernant l'ascenseur figurait dans nos charges générales. Est-ce légal ? (M. et Mme Patrick P.,Orléans, 45)

Le long du littoral

Le long du littoral

Diversité des paysages, c'est bien ce qui caractérise le littoral normand. Du Tréport au Havre, falaises crayeuses et plages de galets dominent tandis que de l'autre côté de la Seine, une fois franchi le pont de Normandie, il est tout autre. De Honfleur à la presqu'île du Cotentin, les falaises laissent place à d'immenses plages de sable blond, puis de la Hague à Granville à une succession de côtes escarpées et de larges plages. Un littoral où la construction neuve, si elle n'est pas très étoffée, offre un certain choix tout de même. A Deauville, la reine des stations de la Côte fleurie, Icade Capri réalise Sur le quai qui se dressera sur le quai de la Marine, un emplacement de premier choix pour une réalisation tout à fait deauvillaise. Un studio de 27 m2 s'y vend entre 195 000 et 204 000 e selon son étage. Un 3-pièces de 45 à 61 m2 de 299 000 à 391 000 e.

Plein soleil sur le Languedoc-Roussillon

Plein soleil sur le Languedoc-Roussillon

La conjoncture immobilière des principales villes du Languedoc-Roussillon et au premier rang Montpellier, confirme l’attractivité, et probablement pour longtemps, de la région.

Guy Nafilyan - Président de Kaufman & Broad

Guy Nafilyan - Président de Kaufman & Broad

Indicateur Bertrand : Comment s’organise aujourd’hui l’activité de votre groupe ? Et quels sont vos axes de développement ?
Guy Nafilyan : Kaufman & Broad a aujourd’hui trois axes majeurs de développement. Tout d’abord les logements, qui représentent actuellement l’essentiel de l’activité. Kaufman & Broad construit des appartements et des maisons individuelles en village dans les principales villes de France, destinés essentiellement à des accédants traditionnels à la propriété. Les bureaux sont le deuxième axe majeur de développement. Kaufman & Broad avait réalisé dans les années 90 de grandes opérations en Ile-de- France. La volonté du groupe aujourd’hui, dans un marché qui reste solide, est de développer cette activité, en Ilede- France mais aussi dans les grandes villes comme Marseille, Lyon ou Toulouse. Dernier axe, enfin : les résidences pour personnes âgées dépendantes. Kaufman & Broad a pris il y a quelques mois une participation de 34 % dans Seniors Santé. Ce secteur est extrêmement porteur, les besoins étant considérables compte tenu du vieillissement de la population.

I.B. : En immobilier résidentiel, quelles sont vos réalisations les plus emblématiques, en Ile-de-France et en régions ?

G. N. : Nos réalisations les plus significatives en Ile-de- France, aujourd’hui, se situent en première et deuxième couronnes. Nous développons actuellement à Rueil- Malmaison une opération de plus de 144 logements, qui est très représentative de l’approche Kaufman & Broad. En régions, nous développons de grandes opérations à Marseille, à Toulouse. A Sète par exemple, nous réalisons une opération particulièrement significative de 354 logements, qui comprend une résidence pour personnes âgées, des logements sociaux et des logements destinés aux accédants traditionnels à la propriété. Cette opération, très symbolique, est un enjeu réel pour la ville de Sète et pour Kaufman & Broad.

I. B. : Quel est votre sentiment sur les mesures du gouvernement pour inciter les Français à devenir propriétaires ?

G.N. : Les mesures engagées par le gouvernement vont, sur le principe, dans le bon sens : rendre les Français propriétaires de leur logement est évidemment un objectif auquel nous souscrivons. Cependant, le plafonnement de la déduction des intérêts, au surplus uniquement pendant 5 ans, ne nous semble pas de nature à créer une véritable dynamique. Il aurait été plus efficace d’améliorer fortement cette mesure pour les premiers accédants à la propriété, et pour favoriser le secteur de la construction qui est créateur d’emplois, de la cibler plus particulièrement sur le secteur des logements neufs. Si l’objectif du gouvernement est de construire 500 000 logements par an, il faudra par ailleurs mettre en place un mécanisme fiscal permettant de libérer un certain nombre de terrains, à un prix qui permette de réaliser des logements pour les Français les plus jeunes. Le logement doit devenir une véritable priorité pour le gouvernement.

Caen favorise l’accession sociale

Caen favorise l’accession sociale

Malgré la hausse des prix des dernières années, Caen demeure une ville sage en terme de prix,qui a la volonté de faire en sorte qu'elle le reste en utilisant tous les moyens à sa disposition. Malheureusement, Caen intra muros n'a pas beaucoup d'opportunités foncières. Sauf sur la presqu'île aux abords du port, une friche d'une centaine d'hectares qui représente un potentiel énorme pour la ville. Cette opération d'envergure se décompose en quatre secteurs : la presqu'île, l'île, l'avenue de Tourville et les rives de l'Orne. Pour ce qui concerne ce dernier quartier, il s'agit de rendre le secteur plus agréable et de le doter d'un multiplex et de bureaux. Sur l'avenue de Tourville, il est prévu la construction de logements. Sur la presqu'île, une salle des Musiques Actuelles est ouverte au public depuis janvier dernier, tandis que la première pierre de l'école régionale des Beaux-arts a été posée en février pour une livraison fin 2008. Pour le reste du site, les projets ne sont pas encore tranchés. En attendant, la ville ne construit pas beaucoup, la plupart des Zac étant en cours d'achèvement ou pas encore véritablement commencées.

Arte Charpentier

Arte Charpentier

Arte Charpentier est une agence d’architecture et d’urbanisme de carrure internationale. A sa tête, Jean-Marie Charpentier, un président qui compose la ville comme une symphonie dans un registre varié.

Le 94 : des guinguettes au renouveau d'Orly

Le 94 : des guinguettes au renouveau d'Orly

Après deux années d'essor, le Val-de-Marne n'a pas fait preuve de dynamisme au début de l'année. Fin mars, les ventes enregistraient une chute de 30 % sur un an et les commercialisations de 75 %. Par voie de conséquence, l'offre disponible redescendait à 1 000 logements. "Dans ce contexte de rareté des biens, la pression sur les prix est l'une des plus fortes de la région : + 9 % par an, analyse l'Adil dans sa note de conjoncture. Un appartement neuf dans le Val-de-Marne coûte désormais en moyenne près de 4500 r/m2, mais la gamme de prix du département reste très étendue, allant de 3 100 r à Orly à près de 6 000 r/m2 à Charenton-le-Pont". En quelque sorte, le Val-de-Marne apparaît comme le grand magasin de l'Est. A chaque étage, l'acquéreur peut dénicher le bien correspondant à son budget ou à ses prétentions. Au sommet : les villes proches du bois de Vincennes. A des niveaux moins cotés, des communes populaires, mais en renouveau. Nogent-sur-Marne a pris du volume ces dernières années, passant de 28 200 habitants en 1999 à 32 200 de nos jours. Les nouvelles recrues viennent de Seine-Saint- Denis, du Val-de-Marne, et aussi de Paris. L'attrait des lieux ? "La proximité de Paris, l'ambiance village de grande qualité et l'aspect familial", répond le maire Jacques JP Martin. Les nostalgiques des guinguettes apprécient l'animation des bords de Marne et les familles se rassurent d'avoir sous la main des établissements scolaires, comme les institutions privées Albert de Mun et Montalembert ou le lycée Branly. L'offre se concentre sur le coeur de ville et sur le boulevard de Strasbourg, l'axe structurant allant du RER A jusqu'au Perreux. Les projets sont signés Eiffage Immobilier, Franco-Suisse, Bouygues Immobilier, Kaufman et Broad et Altaréa. Un autre s'annonce à proximité de la caserne et sera baptisé "La petite Italie" en raison de son caractère architectural. Quelques exemples de prix : 285 000 e pour un 3-pièces de 54 m2 de Bouygues Immobilier et 538 000 e le 4-pièces de 83 m2 de Franco-Suisse.Ville d'habitat majoritairement collectif (à 75 %), Nogent préserve son patrimoine pavillonnaire, trésor architectural des villes de première couronne. Le Perreux-sur-Marne, sa voisine et presque jumelle, comporte 60 % de maisons individuelles auxquelles la ville accorde une attention similaire. La faible mobilité résidentielle et les réserves foncières quasiment inexistantes font que l'offre est rare et recherchée. Seuls deux projets sont commercialisés pour l'heure par Icade Capri et NS Développement. Plus on s'éloigne de Paris, plus les surfaces s'étoffent : au Plessis- Trévise, à 17 km de la capitale, le 3-pièces de Cogedim coûte 269 000 e pour 71 m2.