• Le Figaro.fr
  • Actu
  • Le Scan Politique
  • International
  • Économie
  • Bourse
  • Décideurs
  • Le Scan Éco
  • Sport 24
  • Le Scan Sport
  • Culture
  • Lifestyle
  • Madame
  • Figaro Store
  • FigaroTV
  • TVMag
  • Santé
  • Étudiant
  • Figarochic.cn
  • Histoire
  • Nautisme
  • Golf
  • Figaroscope
  • Voyage
  • Enchères
  • Vin
  • Jardin
  • Météo consult
  • Annuaire santé avec PagesJaunes
  • Le particulier
  • Cadremploi
  • La chaîne météo
  • Keljob
  • Kelformation
  • Ticketac
  • Cplussur

Conseils, Actualité

Un architecte à tout faire

Un architecte à tout faire

Nous souhaitons faire construire une maison dont les plans seront conçus par un architecte. Pouvons-nous lui confier également la construction et la surveillance du chantier ? (Anne et Laurent D.,Brive-la-Gaillarde, 19)

Dommages-ouvrage : garantie 10 ans

Dommages-ouvrage : garantie 10 ans

Sur quelle période s’étend la garantie applicable à l’assurance dommages-ouvrage ? (Eric F.,Douarnenez, 29)

La soif d’espace

La soif d’espace

Inlassablement, la demande revient, à chaque enquête sur le logement : le besoin de plus d’espace est toujours d’actualité. En vingt ans, la surface moyenne par habitant est pourtant passée de 31 à 37 m2. Mais c’est encore insuffisant, puisqu’une demande d’espace supplémentaire continue à se faire entendre. C’est l’une des raisons du succès de la maison individuelle, le type de bien qui offre le plus d’espace. Mais avec un pouvoir d’achat en berne et un prix au mètre carré qui continue de tutoyer les sommets, l’objectif est bien d’optimiser chacune des pièces du logement, pour perdre le moins de surface possible. Dans ce domaine, le neuf a quelques longueurs d’avance sur l’ancien. On garantit aujourd’hui, dans 50 m2, un niveau de confort équivalent, voire supérieur à ce que pouvait offrir une surface plus grande il y a quelques années. “L’amélioration a d’abord été structurelle, affirme Gwenaelle Zunino, architecte urbaniste à l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France. Les nouvelles techniques de construction ont augmenté la portée entre les travées.” Autrement dit, la distance entre les pièces maîtresses de la construction (piliers, colonnes, etc.) est aujourd’hui plus importante que par le passé. Concrètement, cela signifie moins de murs porteurs. “Ainsi, on perd moins de place, ce qui agrandit automatiquement la surface utilisable des pièces. Explication : avant, les planchers étaient en bois, aujourd’hui, ils sont en béton. Une plus grande solidité, qui permet plus de liberté dans l’organisation du logement”, détaille Gwenaelle Zunino. Aujourd’hui, il est toujours possible de demander des adaptations au constructeur, pour obtenir du sur-mesure. Le garage, par exemple, peut être transformé en atelier de bricolage ou en salle de jeux. Le premier pas pour un logement au plus près de ses envies. L’un des principaux atouts du neuf, c’est sa meilleure adaptation de l’espace aux besoins individuels de ses occupants. Autre point fort, le décloisonnement, qui supprime les couloirs, ouvre l’espace, facilite le mouvement, et l’utilisation de plus en plus fréquente de portes coulissantes, plutôt que battantes. Les premières sont légèrement plus chères à installer... mais prennent moins de place. Encore plus efficace, l’abandon, fréquent dans les petites surfaces (studio, 2, voire 3-pièces, de l’entrée et des couloirs. Enfin, pour “remédier” à notre tendance à accumuler de plus en plus de choses, les astuces gain de place se multiplient. Le rangement ? Une clé de l’aménagement intérieur, un véritable luxe à ne pas négliger sous peine de se laisser déborder. Les solutions sont de plus en plus souvent intégrées dans les logements neufs. Prévues en amont, avant de poser la première pierre, elles coûtent forcément moins cher qu’en réhabilitation. À titre d’exemple, les meubles-cloisons, qui font office de séparation entre les pièces, se multiplient. Une manière de marquer la frontière entre deux espaces de vie, sans devoir recourir à un mur.

Clôturage de parcelle : qui doit payer ?

Clôturage de parcelle : qui doit payer ?

Nous venons de faire construire une maison, et nous avons donc fait installer une clôture tout autour de notre parcelle. Il reste quelques mètres en limite d’un jardin mitoyen, mais son propriétaire refuse de payer une part du clôturage, sous prétexte qu’il existe un vieux mur de délimitation. Le problème, c’est que celui-ci est très en retrait, et que nous ne souhaitons pas empiéter chez notre voisin. Sommes-nous en droit de l’obliger à clôturer à frais partagés ? (M. et Mme Jean-Jacques M.,Gap, 05)

Comportement du marché immobilier neuf en Alpes-Maritimes

Comportement du marché immobilier neuf en Alpes-Maritimes

I.B. : Comment se comporte le marché des Alpes-Maritimes ?

Trois bâtisseuses en vogue

Trois bâtisseuses en vogue

Boulogne-Billancourt, Cergy-Pontoise et Massy, témoignent d’une offre immobilière soutenue. Enquête sur ces trois mousquetaires aux caractères bien trempés.

Côte d’Azur : atouts d’un marché atypique

Côte d’Azur : atouts d’un marché atypique

Dans un contexte international mouvementé, les principaux acteurs du marché du logement neuf analysent la situation et les perspectives des Alpes-Maritimes et du Var.

Maison HQE® - Élève modèle

Maison HQE® - Élève modèle

Le 20 septembre dernier, la place Denfert- Rochereau (Paris 14e) assistait au coup d'envoi d'un chantier unique. L'architecte Philippe Pascal, et son cabinet Art'Ur, ont imaginé une maison individuelle qui respecte les quatorze cibles de la HQE® (Haute Qualité Environnementale). Baptisée La Maison 14, elle aura sa propre serre bioclimatique, pour prolonger l'ambiance végétale de la place, filtrer l'air extérieur, et jouer le rôle d'écran acoustique. Construite en bois, elle sera passive au niveau énergétique. Panneaux solaires thermiques et photovoltaïques, pompe à chaleur, triple vitrage, récupération des eaux de pluie, isolation avec de la laine de bois... 555 m2 d'exemples à suivre pour être l'élève modèle de la classe écolo ! Pour en savoir plus : www.lamaison14.com

Déco - Peintures nature

Déco - Peintures nature

Laques, vernis, lasures... Si leur composition est très variable, ces peintures contiennent toujours un liant pour regrouper les différents constituants et favoriser l’accrochage, une charge pour donner du corps, un solvant pour faciliter l’étalement, des pigments pour la coloration et des additifs tels que les épaississants, les agents de conservation... C’est surtout le liant qui différencie les peintures naturelles de leurs homologues synthétiques. Dans le premier cas, c’est le plus souvent de l’huile de lin. Dans le second, ce sont des polyuréthanes. Les solvants sont différents également : eau, essence de térébenthine ou esters d’agrumes pour une peinture naturelle, des alcools et cétones, bien plus dangereux, pour la version synthétique. Autres atouts : les peintures naturelles sont d’aussi bonne qualité, leur pouvoir de pénétration étant même plus important que les synthétiques, leur durée de vie et de vieillissement est excellente, et, enfin, elles ne coûtent pas plus cher. Pourquoi hésiter ?

Bien choisir le produit

Bien choisir le produit

Pour que l’investissement en résidence avec services constitue effectivement une bonne opération, qui permettra de se constituer un complément de retraite par exemple, il faut faire les bons choix dès le départ. Le gestionnaire, qui s’occupe de l’entretien des lots, de trouver des locataires et de verser un revenu garanti au bailleur, est évidemment primordial dans l’affaire. Plusieurs grands noms du secteur ont déjà investi ce créneau depuis des années : Pierre & Vacances, Odalys, Lagrange ou encore VVF Belambra pour le tourisme ; Accor ou Lamy pour les résidences d’affaires et étudiantes ; Orpéa, Domytis, Mieux Vivre et GDP Vendôme pour les résidences médicales. Le choix du gestionnaire s’opère au vu du nombre de résidences qu’il gère et de sa solidité financière. Quant à opter pour un secteur plutôt qu’un autre, cela se décide en fonction de l’objectif de l’acquéreur. “La résidence gérée dans le tourisme offre une rentabilité d’environ 4 %,mais avec une valorisation patrimoniale forte, explique Sébastien le Goascoz, responsable produits au Comptoir Immobilier, société de conseil en immobilier dédiée à la prescription bancaire. La résidence d’affaires tourne autour de 4,5 %, avec une valeur patrimoniale très importante si elle se situe en centre-ville. La résidence médicale, pour sa part, est très rentable, autour de 5 %, mais a une valeur moindre en termes de patrimoine. Si un client a le budget pour un seul lot, nous allons le guider en fonction de ses moyens et de son appétence pour une valeur patrimoniale ou pas. S’il a un budget plus important, on va panacher les investissements.” La sélection de l’immeuble reste, quant à elle, une question de bon sens immobilier. “Les résidences étudiantes, d’affaires ou de tourisme doivent logiquement être situées, respectivement, près d’une fac ou d’une école réputée, dans un quartier d’affaires dynamique ou sur un bel emplacement pour les vacances. Les résidences médicalisées sont un peu à part, les exigences en termes d’équipement et aménagement sont hautes et doivent faire l’objet d’une validation par la Ddass. Autre critère pour ce type de résidence : l’endroit doit être facilement accessible par la route ou les transports en commun, pour que la famille puisse rendre visite à son parent âgé” détaille Michèle Lambert.

Claude Cagol - Président-directeur général de Sefri-Cime

Claude Cagol - Président-directeur général de Sefri-Cime

Indicateur Bertrand : Dans un marché immobilier marqué par un fort ralentissement, comment se déroule cette année 2008 et quelle est l’actualité de votre société ?
Claude Cagol : Nous sommes un généraliste de l’immobilier depuis plus de 50 ans. Nous intervenons, en immobilier résidentiel, comme prestataire de services pour le compte de grands investisseurs, mais également dans le cadre d’opérations de promotion- vente, orientées vers les résidences principales, ce qui nous permet d’équilibrer notre activité. La crise financière que nous vivons actuellement va inévitablement avoir des répercussions sur notre chiffre d’activités mais, compte tenu de nos opérations de prestations de services et de vente en bloc, notre volume d’affaires global ne devrait, fort heureusement, qu’à peine s’infléchir en l’état.
I. B. : Quels sont vos principaux projets résidentiels en Ile-de-France et dans les régions ?
C. C. : Nous réalisons actuellement à Boulogne- Billancourt, route de la Reine et rue de Paris, une nouvelle tranche de notre programme Boulogne Évidence, très représentatif de la manière dont nous entendons participer au développement urbain de chacune des villes dans lesquelles nous intervenons. La commercialisation, lancée il y a quelques mois, se poursuit aujourd’hui encore avec régularité, au fur et à mesure de l’avancement de notre projet. Nous continuons aussi à reconquérir les bords de Seine notamment à Issyles- Moulineaux, sur le quai des Chartreux, avec nos deux immeubles Côté Coeur, réalisé par l’Agence Jean-Michel Wilmotte, et Côté Jardin, qui offrent deux des dernières opportunités de se trouver à proximité de Paris, dans un site disposant d’atouts pérennes. J’ai plaisir aussi à noter, dans notre panel général, une superbe réalisation à Deauville dans le Quartier des Yearlings, emblématique de la qualité des sites et de l’architecture que nous recherchons pour nos programmes. Notre constant positionnement sur le haut de gamme nous conduit à nous inscrire, à Bois-Colombes, dans le très beau Quartier des Bruyères, un formidable exemple de réhabilitation urbaine, mais également à Massy, Orangis, Montlhéry, Cergy ou encore Magny-le-Hongre, autant de sites que l’on peut qualifier de potentiellement à forte valeur ajoutée.
I. B. : Comment l’accession à la propriété pourrait-elle être davantage développée, voire encouragée ?
C. C. : La demande de logements est structurellement forte dans notre pays. La difficulté rencontrée pour maîtriser rapidement les terrains et l’amélioration constante des nouvelles réglementations en matière d’habitat pèsent sur le prix de revient des opérations, mais leur valeur interne s’en trouve d’autant améliorée. La crise financière actuelle rend l’accès au crédit des ménages plus difficile, mais il me semble donc que les priorités nationales en faveur du logement devraient permettre in fine une stabilisation des prix de revient. Elles passent par la mise à disposition de fonciers suffisants pour satisfaire les besoins structurels et éviter la surenchère sur le prix des terrains. Puis, il sera nécessaire d’effectuer une pause dans la mise en oeuvre des nouvelles réglementations techniques, afin de permettre à l’ensemble de la filière d’intégrer celles-ci dans de bonnes conditions économiques. Ensuite, il faudra mettre en place un meilleur accès au crédit pour les ménages, et enfin, baisser le taux de TVA sur un périmètre géographique et social plus large.

L'immobilier neuf destiné aux actifs

L'immobilier neuf destiné aux actifs

I. B. : Quelle est, justement, la place du marché destinée aux actifs ?

Les avantages des résidences services

Les avantages des résidences services

Destinées aux étudiants, aux personnes âgées, au tourisme ou au business, les résidences avec services présentent de nombreux avantages pour les investisseurs potentiels. Suivez nos conseils pour bien choisir et optimiser votre placement.

Certification - Passeport bois

Certification - Passeport bois

La France s’est engagée vigoureusement dans la lutte contre le commerce illégal de bois exotiques.” C’est ce qu’affirmait récemment Jean-Louis Borloo, ministre de l’Écologie, du Développement et de l’Aménagement durables. Objectif : lutter contre la déforestation sauvage de forêts primaires qui nuit à la biodiversité et à la lutte contre le changement climatique. En attendant, les consommateurs peuvent faire confiance au logo PEFC. C’est la certification la plus répandue qui couvrait, en 2006, près de 200 millions d’hectares dans le monde, soit 9% des forêts exploitées. Lorsqu’un produit arbore ce logo, c’est l’assurance que le bois qui le compose est issu d’une forêt pérenne, gérée selon des règles strictes. D’ailleurs, contrairement à certaines idées reçues, la forêt progresse, en France comme en Europe. Entre les pinèdes méditerranéennes et les vastes étendues de conifères scandinaves, les visages de la forêt européenne sont multiples. Pour respecter ces spécificités, ce sont les associations régionales PEFC qui établissent les cahiers des charges que doivent suivre les producteurs de bois.

Grenoble : la vogue des écoquartiers

Grenoble : la vogue des écoquartiers

La capitale des Alpes a posé sa candidature aux jeux Olympiques de 2018. En attendant d’édifier des podiums, elle construit des écoquartiers tendance comme celui de Bonne, dont les bureaux à énergie positive ont été couronnés à la biennale du développement durable de la ville. Sur ce morceau de ville de 8 hectares, près de la ligne de tramway, sortiront du sol 850 logements à 50 kW/m2/an, un centre commercial de 15 000 m2, des résidences à thème (pour seniors ou étudiants), trois cinémas, un hôtel et une école. Les premiers habitants entrent dans les lieux, mais, fin septembre, les promoteurs avaient encore quelques disponibilités pour amateurs tardifs : lofts de plus de 100 m2 dans un bâtiment restauré de la caserne du site (Villes et Villages, 3 100 €le m2, livraison immédiate), appartements signés Jean-Paul Viguier (pour Nexity, 4-pièces duplex témoin en appoint). Sont également présents, Safilaf avec des lots au prix maîtrisé de 3 700 €le m2, Icade et Novalim. Ailleurs aussi, la programmation a de l’ampleur : 350 logements dans le quartier tendance et culturel Bouchayer- Viallet (dont le Patio de Bouygues Immobilier), 200 sur l’ancienne ganterie Perrin (Central Park de Meunier Rhône-Alpes, appartements à 92 kW/m2/an, façades à bardage bois pratiquement inédites à Grenoble), commercialisations de résidences Bernard Teillaud, Cogedim, Nexity, etc. La moitié de la production de l’agglomération se localise sur la ville-centre, au rythme de 700 à 800 logements par an. Intra-muros, les valeurs neuves affichent une moyenne dans les 3 700 € le m2 comparable à celle de Lyon, une fourchette basse de 2 500 €en accession sociale et une haute de 4 500 €. L’ancien cotait 2 480 € le m2, fin mai, selon la base de données Notaires de France. L’investisseur doit savoir qu’en 2007, la hausse des loyers a été quasi inexistante. Les 60 000 étudiants, plus nombreux qu’à Lyon, sont très demandeurs de petits logements. Toutefois, comme le souligne une étude du Crédit Foncier de France, “ils se tournent de plus en plus vers la colocation”. Un 90 m2, récent et bien situé, avec tennis et piscine, se loue très cher, 1 250 à 1 400 € par mois.

Seine-Maritime : du neuf côté ville et côté campagne

Seine-Maritime : du neuf côté ville et côté campagne

Rouen concentre une part importante de la production en Seine-Maritime. En bord de Seine, près de la place Saint-Marc, on peut opter pour un studio avec un budget de 116 500 euros au Cap Seine, affiché par Palm Promotion boulevard Gambetta. Le programme comprend de beaux volumes, avec des 4-pièces jusqu’à 144 m2. Les grandes surfaces sont aussi à l’ordre du jour du 50 Avenue de Caen. Ce dernier, construit par les Nouveaux Propriétaires au pied du métro et près du centre commercial Saint-Sever, dispose de plusieurs 4-pièces à partir de 108 m2 et des 5-pièces à partir de 104 m2 (269 000 euros). Proche de Rouen et accueillant le plus gros du pôle universitaire de la communauté urbaine, Mont-Saint-Aignan se renouvelle aussi : pour les familles entre autres, Nexity George V vient d’y lancer les Florilèges, un programme d’exception dans un parc arboré entre ville et forêt, bénéficiant de prestations hautement qualitatives.

Une pièce en plus

Une pièce en plus

Certains architectes innovent en proposant une “pièce en plus”, c’est-à-dire un espace sans affectation, qui anticipe de futurs besoins. Les choses ne sont pas figées. La maison est désormais “à géométrie variable”, s’adaptant à ce que l’avenir nous réserve. Un divorce, l’arrivée d’un troisième enfant, ou encore la grand-mère qui vient s’installer à la maison : autant de scénarios anticipés par cette pièce en plus. De son côté, le constructeur de maisons Phenix a lancé la gamme Tri-logis. Un modèle de maison qui évolue en fonction des besoins et des envies de toute la famille. On peut y passer d’une atmosphère à l’autre au gré de ses envies. Installer un appartement pour l’aîné ou pour accueillir un parent âgé, créer son bureau, s’offrir le luxe d’une vraie salle de sports, de loisirs, de jeux, son home cinéma... Tout y est possible. “Votre rêve à l’abri du hasard”, voilà l’argument marketing de cette nouvelle maison. Elle rassemble sous le même toit non plus des séjours ou des chambres, mais des espaces de vie qui communiquent entre eux de façon ouverte et libre. L’ensemble formant à peu près trois logis individuels, que chacun des habitants peut interpréter et aménager à sa guise, de plain-pied ou en duplex. Ultracontemporaine et lumineuse, l’ambiance ressemble à celle d’un loft. Plus que jamais, la modularité de l’habitat devient une notion essentielle, surtout en ce qui concerne les familles recomposées. Car passer de trois à la maison en semaine, à cinq un week-end sur deux, cela n’est pas anodin. Non figé, cet habitat propose notamment un système très pratique de cloisons amovibles. Désormais, les acquéreurs potentiels ont un seul impératif : que leur logement puisse évoluer en même temps qu’eux. Et dans ce domaine, le neuf relève le défi haut la main. Victoire par K.-O. sur l’ancien !