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Conseils, Actualité

Jean-Philippe Bourgade - Directeur Général Adjoint Habitat Bouwfonds Marignan Paris Ile-de-France et Centre

Jean-Philippe Bourgade - Directeur Général Adjoint Habitat Bouwfonds Marignan Paris Ile-de-France et Centre

Indicateur Bertrand :Quels sont les programmes emblématiques et les développements de Bouwfonds Marignan pour le secteur Paris 1ère Couronne ?
Jean-Philippe Bourgade : Nos opérations phares en Première Couronne sont le Domaine des Dryades, en bordure de forêt au Plessis- Trévise (94) et Square Saint-James, au coeur de la Cité Jardins du Plessis-Robinson (92). Elles représentent chacune une centaine de logements et la commercialisation se déroule pour le mieux. Nous avons aussi deux autres opérations dont la commercialisation sera lancée avant l'été. L'une est située à Saint- Denis, l'autre à Levallois- Perret. Pour cette dernière, il s'agira d'une opération d'exception proche de la mairie. Elle comprendra 30 appartements, du studio au 5-pièces, ainsi que quatre maisons. C'est une offre rare sur le marché de l'immobilier neuf aux portes de la capitale.
I.B. : Quels sont votre positionnement et votre stratégie en Ile-de-France Grande Couronne ?
J-P.B. : Nous affirmer aujourd'hui comme un opérateur majeur sur le marché de l'habitat tant au niveau des appartements que de celui de la maison individuelle où nous nous positionnons plus particulièrement sur le segment haut de gamme. Des opérations de prestige comme le Domaine de Bois Maison à Vauhallan (91) et récemment, Courtaline à Magny-le-Hongre (77), constituent de solides références.
Fort de ces deux succès commerciaux, nous nous engageons dans de nouveaux projets, l'un d'envergure porte sur la réalisation de 200 maisons sur le plateau de Saclay, face à l'école HEC, un autre à Maisons- Laffitte avec 35 appartements, un troisième à Vieille-l'Eglise près de Rambouillet. Au total, nous prévoyons 20 lancements d'ici la fin de l'année. Parmi les prochains, citons notamment Bobigny, Serris-Val d'Europe, Aubergenville, Lagny-sur-Marne, Dourdan, Montreuil, Conflans-Sainte-Honorine, sans oublier une nouvelle tranche à Vauréal. Pour cette année 2006, ce sont plus de 1 000 logements qui seront lancés par Bouwfonds Marignan en Ile-de-France Grande Couronne.
I.B. : Au niveau prix, où se situe l'Ile-de-France Grande Couronne ?
J-P.B. : Même s'il y a toujours structurellement une difficulté à produire du foncier et à répondre à la forte demande, je pense que globalement les prix vont se stabiliser et notamment sur le marché de la maison individuelle : l'année 2006 sera l'année de la croissance maîtrisée. Elle s'exprimera d'autant mieux au travers d'opérations en Ile-de-France Grande Couronne que nous resterons dans des fourchettes de prix entre 2 800 euros/m2 et 3 500 euros/m2 correspondant à une réelle solvabilité des clients.
A noter que les crédits ne cessent de s'allonger ; à titre d'exemple, en 2005, lors de la commercialisation de notre première tranche à Vauréal, 20 % des crédits étaient sur une durée supérieure à 20 ans. Aujourd'hui pour la seconde tranche, ces mêmes crédits représentent 80 %.
I.B. : Avez-vous des ambitions sur le marché de la très Grande Couronne parisienne ?
J-P.B. :Nous avons une stratégie de développement au sein de villes très dynamiques situées à une heure de Paris comme Tours, Chartres ou Orléans. Nous allons nous implanter cette année à Rouen et nous étudions les opportunités foncières de Reims car l'arrivée du TGV en 2007 mettra Paris à trois quarts d'heure. La bonne pertinence immobilière est de savoir s'adapter là où le marché est porteur.
I.B. : Que vous inspire l'arrivée du Borloo populaire ?
J-P.B. : Je pense que son arrivée est une très bonne chose pour l'investissement locatif et la mixité. D'ailleurs, tout ce qui peut favoriser le social intermédiaire ou l'accession sociale à la propriété doit être développé. En tant que promoteur citoyen, je ne peux que féliciter sa mise en place.

Une population quadruplée en 30 ans

Une population quadruplée en 30 ans

Cergy-Pontoise compte 179 000 habitants de nos jours, contre 41 000 à l'origine et plus de 65 000 logements (dont 45 % d'habitat individuel et 25 % de logements sociaux). Plus de 3 700 entreprises sont implantées sur le secteur, parmi lesquelles Sagem, Renault, Thomson, Clarins, Peugeot, Spie, CIC ou encore Vuitton mais aussi Johnson, BP-France ou Yamaha France. Le développement urbain n'a pourtant pas eu raison de ce coin de campagne francilien. Les opérations de logements des années 90 ont fait la part belle aux pavillons et les élus du secteur ont volontairement freiné les programmes de logements neufs à l'approche de l'an 2000 pour maintenir un bon taux d'emploi (65 000 emplois dans le secteur privé, 21 000 dans le public, dont le premier employeur est l'hôpital de Pontoise et 3 000 dans les entreprises individuelles).

Clause illicite

Clause illicite

Le nouveau règlement de copropriété interdit d'apposer une plaque professionnelle sur la façade de l'immeuble. Or, j'exerce la médecine depuis plus de 10 ans dans cette copropriété. Vais-je devoir retirer ma plaque ? (Thierry H., Amiens, 80)

Surprenante périphérie lyonnaise

Surprenante périphérie lyonnaise

Tandis que Lyon intra-muros tardait à mettre sur le marché une offre neuve, sa banlieue en profitait pour marquer des points. Visite de sites porteurs dans l'orbite de Lyon.

Cergy-Pontoise : le passé éclaire l'avenir

Cergy-Pontoise : le passé éclaire l'avenir

Trente ans après sa création, la ville nouvelle poursuit son développement. Cergy et Pontoise proposent plus d'une quinzaine de programmes en neuf, en appartements comme en maisons. Exploration.

L'Ouest

L'Ouest

Bretagne et Pays de la Loire ont le vent en poupe, avec des villes comme Rennes et Nantes qui se distinguent par le nombre de nouveaux habitants qu'elles attirent et les nombreuses opportunités de logements neufs qu'elles offrent. Les prix ont grimpé en conséquence et il n'est pas rare de dépasser les 3 000 euros/m2 pour le haut de gamme en centre-ville. L'investissement locatif n'est pas des plus rentables quand les prix d'entrée sont si élevés, mais comme le fait remarquer Pierre Bazaille, notaire : "Dans toutes les grandes agglomérations apparaissent des micro-marchés, à l'échelle d'un quartier, très au-dessus du prix moyen, mais qui constituent des valeurs sûres d'un point de vue patrimonial". Outre les deux grandes agglomérations, il faut citer des villes comme Brest, Vannes ou Le Mans, où le marché a enregistré de fortes hausses, témoins d'un renouveau immobilier, avec une demande locative conséquente.

Des assurances en pagaille

Des assurances en pagaille

L'assurance décès-invalidité étant quasi obligatoire lorsqu'on contracte un crédit immobilier, les banques ont négocié avec leurs compagnies d'assurances des contrats "groupe" relativement intéressants pour les emprunteurs. Plus particulièrement pour les emprunteurs se situant dans la tranche d'âge 40/60 ans. Car dans le cadre de contrats "groupe", la prime est identique pour tout le monde. Or, plus vous êtes âgé et plus le risque de maladie ou de décès s'accroît. Pour mémoire, rappelons que l'assurance- décès invalidité couvre généralement trois risques : le décès, l'invalidité totale et définitive et, éventuellement, l'incapacité temporaire de travail. Certaines compagnies en font une option complémentaire. En cas de décès ou d'invalidité totale, le capital restant dû est pris en charge par la compagnie. En cas de malheur, vos héritiers n'auront pas à rembourser le prêt immobilier. Il en va différemment de l'incapacité temporaire de travail qui prend éventuellement en charge les mensualités du crédit le temps que vous vous rétablissiez. Toutes les banques proposent ce type d'assurances pour faciliter la vie des emprunteurs. Le coût d'un tel contrat se situe généralement entre 0,40 et 0,50 % du capital emprunté ou restant dû. Concrètement, elle revient de 3 à 3,50 euros par mois pour 10 000 euros empruntés. A côté de l'assurance décès-invalidité qui est un grand classique des produits distribués, les banques proposent également des assurances "perte d'emploi". Cette assurance, bien que facultative, est fortement conseillée. Encore faut-il que vous disposiez d'un contrat de travail en CDI (contrat à durée indéterminée) et que votre ancienneté dans l'entreprise soit d'au moins six mois ou un an. Autrement dit, si vous êtes en CDD (contrat à durée déterminée), intérimaire, en période de préavis ou de licenciement, vous n'avez aucune chance de pouvoir contracter cette assurance. Et si vous êtes admis, sachez que l'indemnisation dépend d'un certain nombre de conditions. En cas de chômage, vous n'êtes pas pris en charge tout de suite. Car l'assurance prévoit non seulement un délai de carence qui varie de 6 à 12 mois le plus souvent, mais également un délai de franchise d'au moins 90 jours. L'indemnisation varie fortement d'un contrat à l'autre : de 30 à 80 % de votre mensualité. Différentes options sont possibles. Par exemple 30 % les trois premiers mois d'indemnisation Assedic, 50 % les trois mois suivants, etc. Bref, dans la plupart des cas, l'indemnisation est progressive. Mais certains contrats peuvent vous proposer une indemnisation sur la base de 50 % durant toute votre période de chômage. Attention toutefois : il existe une limite à cette indemnisation. La durée varie de 12 à 18 mois, voire 24 mois et plus. Dans certains contrats, elle peut avoir lieu une seconde fois si vous vous trouvez à nouveau au chômage au bout de quelques années.

Banques : avantage services !

Banques : avantage services !

Acheter signifie souvent emprunter. Mais aujourd'hui les banques ne se contentent plus de vous consentir un crédit. Elles s'évertuent à "coller" au plus près à votre besoin et vous proposent toute une gamme de services.

Acheteur de mauvaise foi

Acheteur de mauvaise foi

Je viens de signer avec le futur acheteur de ma maison, un compromis de vente sous condition suspensive de l'obtention d'un prêt.L'acheteur a indéniablement fait en sorte de ne pas obtenir le prêt.Quels sont mes recours ? (Louis D., Saint-Mandé, 94)

Le Sud-Ouest

Le Sud-Ouest

Le manque de foncier disponible à Bordeaux a favorisé la construction de programmes neufs dans des villes éloignées du coeur d'agglomération, parfois à plus de 50 km, ce qui rend l'investissement locatif hasardeux. Mieux vaut saisir les opportunités offertes par la ville elle-même, où certains programmes neufs s'affichent autour de 2 600 euros/m2. Quant aux autres villes de la région, de Périgueux à Agen, le marché locatif n'y est pas extensif à l'infini. Pau s'avère plus intéressante, du fait d'un dynamisme économique plus intense, lié à l'industrie aéronautique et à la présence de quelques milliers d'étudiants, le tout à des prix au mètre carré encore raisonnables, autour de 2 000 euros/m2.

Loyers impayés

Loyers impayés

Si elles n'étaient pas très présentes sur ce segment, les banques proposent de plus en plus de contrats "loyers impayés" à destination de propriétaires bailleurs. Mais attention, les contrats n'offrent pas tous des garanties similaires. La garantie de base prévoit l'indemnisation des loyers, charges et taxes récupérables. Mais il existe toujours des limites à cette indemnisation. Certains contrats plafonnent la durée d'indemnisation à 24 voire 36 mois avec parfois un plafond de loyer mensuel. D'autres offrent une indemnisation illimitée dans le temps, mais plafonnent le montant indemnisé par sinistre. Si vous contractez cette assurance, vous toucherez donc l'équivalent du loyer mensuel. A condition, bien sûr que le conflit ne s'éternise pas. Attention : si certains contrats ne prévoient pas de franchise, dans la plupart des cas le dépôt de garantie (2 mois de loyers en principe) que détient le bailleur est décompté en début ou en fin d'indemnisation. Autre prise en charge possible, les frais de contentieux et les dégradations. En la matière, la plus grande hétérogénéité règne, l'indemnisation pouvant aller de 1 500 à 8 000 euros par location. Cette garantie, souvent optionnelle, coûte de 0,20 à 0,30 % et s'ajoute à la prime d'assurance loyers impayés, qui pour sa part coûte de 2 à 3 % du montant des loyers annuels avec charges.

Crédit : la souplesse avant tout

Crédit : la souplesse avant tout

Même si les banques offrent de plus en plus de services annexes au crédit, elles n'en oublient pas pour autant leur coeur de métier : la gestion de comptes bancaires - du moins pour les généralistes - et la délivrance de crédits à la consommation ou immobiliers. Elles ont un devoir de conseil, notamment si vous souhaitez contracter un crédit immobilier. Et pour répondre au mieux à vos attentes, elles ont à leur disposition toute une batterie de crédits susceptibles de s'adapter à vos préoccupations et à vos besoins. Avec des logiciels très sophistiqués, elles sont en mesure de vous établir des plans de financement très élaborés. Prêts classiques, à taux fixe ou à taux révisable, modulables, avec différé d'amortissement ou non, à palier... Si vous disposez par exemple de ressources modestes, la banque vous proposera un crédit à paliers dont le but est de niveler la mensualité pendant toute la durée du crédit. Cette technique est largement utilisée lorsque vous financez votre achat avec plusieurs prêts (prêt à 0 %, 1 % logement, épargne logement...). Les établissements vont même plus loin puisqu'ils ont mis au point des prêts à 100 %, voire 110 % sur des durées très longues. En empruntant sur une aussi longue durée, vous avez même la possibilité de choisir des remboursements modulable. Dans ce cas, la banque vous laisse une certaine liberté pour augmenter votre mensualité quand vos revenus s'améliorent, ou de la diminuer si vous devez faire face à une dépense imprévue. Ainsi, à BNP Paribas, la modulation peut atteindre 2 % à la hausse ou à la baisse. La hausse provoque une diminution du crédit, la baisse une augmentation de la durée. A la Bred/Banque Populaire, la variation à la hausse comme à la baisse peut aller jusqu'à 30 % de l'échéance mais vous ne pourrez utiliser cette possibilité que cinq fois au cours de la durée de votre prêt. Au Crédit Foncier, l'échéance peut être augmentée de 50 %. A condition que la durée de votre crédit ne diminue pas de plus de 20 % par rapport à celle d'origine. Vous avez aussi la possibilité de diminuer votre mensualité de 50 %. Mais vous ne devez pas provoquer un allongement de la durée du prêt. Si vous empruntez pour un logement qui n'est pas encore construit (vente en Vefa, construction d'une maison...), la banque peut encore mettre en place un différé d'amortissement. Autrement dit, vous ne remboursez pas votre mensualité (sauf les primes d'assurance) tant que vous payez un loyer par ailleurs. Cette facilité peut parfois s'échelonner sur un ou deux ans, selon les cas. Une souplesse bien utile quand on n'a pas les moyens de mener de front le remboursement d'un crédit et le paiement d'un loyer. Il faut toutefois avoir en tête que cette souplesse rend votre crédit plus cher. Rien ne vous empêche non plus de reporter une ou deux mensualités lorsque c'est nécessaire. Cette possibilité vous est offerte chez LCL (deux échéances mensuelles par an). Même chose au CIC où vous pouvez reporter 12 mensualités maxi à raison de 3 par demande. A L'UCB, vous disposez de cinq "jokers" : vous pouvez reporter votre mensualité au moins cinq fois au cours du prêt sans avoir à vous justifier. Dans cette banque une garantie report chômage est également proposée qui vous permet, comme son nom l'indique, de reporter votre mensualité en cas de licenciement. Attention : dans la plupart des cas, toutes ces souplesses ne sont pas gratuites. Chaque demande peut faire l'objet d'une facturation de l'ordre de 30 à 50 euros selon les établissements.

Des choix multiples

Des choix multiples

Autant de profils d'investisseur que de choix possibles : c'est la première remarque que font tous les professionnels du conseil en investissement immobilier. "Il n'y a pas de vérité unique. Le secteur d'acquisition dépend du profil et des objectifs de chaque investisseur. S'il recherche à la fois une défiscalisation importante et une garantie de valorisation, sa solution sera moins fixée sur la rentabilité locative. Dans ce cas, pour- quoi ne pas acquérir une maison très bien située, qui nécessite un budget élevé mais garantit une plus-value" argumente ainsi Jean-Pierre Marillier, responsable de la formation chez Valority.

Pas assez de terrains pour construire

Pas assez de terrains pour construire

Seule ombre au tableau, les logements manquent pour accueillir les nouveaux Lillois. Et la situation est particulièrement tendue sur le terrain de la construction. Selon le diagnostic établi pour l'élaboration du programme local de l'habitat de la communauté urbaine de Lille Métropole, "les besoins peuvent être estimés entre 48 000 et 60 000 logements d'ici à l'horizon 2010, soit entre 4 300 et 5 500 logements à construire par an". Actuellement, la production varie entre 3 000 et 3 500 logements chaque année, dont un tiers de sociaux. Reste donc une offre d'un peu plus de 1 000 logements dans le parc privé pour les 85 communes de la communauté urbaine. Une offre qu'il faut donc suivre de près afin de ne manquer aucune opportunité.

Le Midi

Le Midi

Le Sud de la France reste un eldorado convoité, avec des prix en conséquence, qui dépassent les 3 200 euros/m2 à Marseille, et peuvent aller au-delà de 5 000 euros/m2 dans les villes les plus touristiques comme Cannes, où les actifs ont bien du mal à se loger. La demande locative existe, mais elle est bien difficile à satisfaire, le manque de logements neufs à des prix permettant un minimum de rentabilité locative se faisant ressentir partout. A Marseille par exemple, le loyer ne peut guère aller au-delà de 11 euros/m2 sans se heurter à une limite de solvabilité.

Reprise de prêt

Reprise de prêt

Nous allons vendre notre appartement pour faire construire une maison. Quel va être le sort du prêt en cours ? (Anne F., La Baule, 44)

Lancements d'opérations : tous les arrondissements

Lancements d'opérations : tous les arrondissements

C'est la force de Marseille : désormais, la quasi-totalité des arrondissements fait l'objet d'opérations de promotions immobilières, diversifiant l'offre, mais moins souvent la palette des prix. Dans le 2e arrondissement, Cogedim lance Horizon Schuman, dans le secteur d'Euroméditerranée, une opération du deux au 5-pièces duplex, dont des "penthouses", avec vues sur Marseille. Au Bas de Montolivet, dans le 4e, Novelis Immo livrera au 1er semestre 2007 Carré Del Arte, 17 logements sur un terrain à plusieurs orientations, à une moyenne de 3 300 €/m2. Dans le 9e, Meunier Méditerranée lancera fin 2006 une opération sur le site d'un ancien hôpital sise dans un secteur très résidentiel. Les 46 logements proposés auront de belles surfaces avec mezzanine. C'est aussi dans le 9e que Nexity groupe George V lance une opération entre 3 000 et 3 200 € sur la Zac de la Jarre. C'est dans cette dernière qu'Eiffage lance ce début mars une opération de trente logements. Le promoteur est aussi présent sur la Zac du Rouet pour une très importante opération de 156 logements, en copromotion avec Nexity George V, dont le lancement pourrait intervenir au cours de l'été 2006. A deux pas du Prado, du parc Chanot et du parc du 26eCentenaire, Kaufman & Broad propose Le Carroussel, une opération dont la livraison est prévue pour le 2e trimestre 2008. Promogim, qui commercialise déjà Espace Saint-Jean, dans le 10e, lancera une autre opération de 30 logements dans le même arrondissement et en prévoit une autre de 104 logements à Marseille d'ici début avril. Novelis Immo lancera au printemps 2006, dans le 12e, une opération de 16 logements à l'architecture contemporaine, sur un segment "haut de gamme", commercialisé entre 4 500 et 4 800 €/m2 habitable. Dans le 14e, Meunier Méditerranée lancera mi 2006 un programme sur Sainte-Marthe, hors Zac, destiné à des acheteurs en résidence principale. C'est dans cet arrondissement que Bouygues Immobilier lancera l'une de ses quatre prochaines opérations à Marseille. Nexity George V a déjà commercialisé deux-tiers du programme Cap-Pinède lancé fin octobre 2005, sise dans le 15e, avec des vues mer et sur Marseille. Le programme est proposé à un peu moins de 3 000 €/m2.