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Orion, la nouvelle constellation de l’écoquartier Ginko

VIDEOS. Ce bâtiment bardé de lamelles dorées réfléchissant le soleil, s’annonce comme l’une des originalités architecturales de la ville de Bordeaux.

Orion, la nouvelle constellation de l’écoquartier Ginko
Orion, la nouvelle constellation de l’écoquartier Ginko

Une bulle hors du temps. C’est un peu l’effet que produit l’ecoquartier Ginko. Depuis le début des travaux, en 2010, l’ex Zac des Berges du Lac a fait place, en en partie, à un parc arboré de 4,5 hectares et un canal aménagé. Le long de ce corridor d’eau, les immeubles poussent. Tout prochainement, c’est Orion, livré au 1er trimestre 2016, qui devrait attirer tous les regards.


Ce gros bâtiment d’une trentaine de mètres a pour originalité de proposer 37 logements aux larges loggias et balcons, parés d’une résille en aluminium dorée. Cette seconde peau permet, selon le promoteur Bouygues immobilier, de donner à l’ensemble de la construction "un aspect aérien", tout en protégeant les particuliers du soleil en reflétant la lumière. C’est également une méthode atypique pour assurer l’intimité des habitants des différents appartements proposés dans le programme.





L’ensemble de l’édifice est certifié NF Logement HQE. Côté prix, on est dans la fourchette haute de ce qui se fait à Bordeaux. Comptez un peu moins de 4000 €/m² pour obtenir un appartement, soit 399 000 € pour un T5 de  près de 100 m².


Le premier écoquartier bordelais


Orion profite d’un environnement idyllique, les pieds dans l’eau, à quelques pas de la "forêt citadine", où les espèces arboricoles et végétales se mêlent. Bancs, pistes cyclables et itinéraires pédestres sont autant d’installations qui brouillent les frontières entre cité-jardin et écoquartier.

Le projet Ginko, dont les travaux devraient s’achever en 2020, est appelé à devenir le fleuron bordelais en matière d’économie d’énergie. Imaginé par les urbanistes Christian Devillers et Olivier Brochet, le projet prévoit de faire sortir de terre 2 700 logements capables d’accueillir près de 7 000 habitants, répartis sur une trentaine d’îlots.





L’ensemble proposera une offre de biens diversifiés dans le but de favoriser la mixité : 33 % de logements sociaux, 22 % d’accession sociale et modérée et 45 % d’accession libre. Aussi attractif qu’il puisse paraître, Ginko souffre pourtant d’une mauvaise réputation sur le web. Depuis la chute du balcon d’un des immeubles en juillet 2015, les internautes expriment régulièrement leur mécontentement sur l’écoquartier via les réseaux sociaux.


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