• Le Figaro.fr
  • Actu
  • Le Scan Politique
  • International
  • Économie
  • Bourse
  • Décideurs
  • Le Scan Éco
  • Sport 24
  • Le Scan Sport
  • Culture
  • Lifestyle
  • Madame
  • Figaro Store
  • FigaroTV
  • TVMag
  • Santé
  • Étudiant
  • Figarochic.cn
  • Histoire
  • Nautisme
  • Golf
  • Figaroscope
  • Voyage
  • Enchères
  • Vin
  • Jardin
  • Météo consult
  • Annuaire santé avec PagesJaunes
  • Le particulier
  • Cadremploi
  • La chaîne météo
  • Keljob
  • Kelformation
  • Ticketac
  • Cplussur

Tous les conseils en Immobilier

UNE DUREE COURTE

UNE DUREE COURTE

Dans le cadre d'un prêt relais, l'attente coûte cher. Et plus elle s'éternise, plus les conséquences peuvent être désastreuses. Si vous ne parvenez pas à vendre dans un délai raisonnable, vous devrez vous résoudre à baisser le prix de votre logement, voire à le brader… Un prêt relais n'est consenti que pour une courte durée. Celle-ci est généralement fixé à un an, renouvelable une fois, ou à 24 mois maximum. Un délai qui peut être très long ou très court. Tout dépend de la conjoncture immobilière. "De nos jours, les relais ont une durée de vie très courte, de l'ordre de 4 à 5 mois, c'est presque le délai technique nécessaire pour effectuer toutes les formalités de la vente", note Philippe Stoltz, responsable des crédits à l'habitat chez BNP-Paribas. Reste que le marché peut se retourner et rendre la vente plus difficile. Dans un tel cas, vous pourriez être contraint de négocier avec votre banquier la transformation du prêt relais en prêt amortissable. Il faut savoir en effet qu'un crédit relais ne s'amortit pas tous les mois comme un prêt immobilier classique. Le capital ne diminue donc pas et les intérêts portent pendant toute la durée du prêt sur la totalité de ce capital qui a vocation à être remboursé au moment de la vente du bien. Vous pouvez cependant choisir entre deux formules : la franchise partielle ou la franchise totale. En franchise partielle, les intérêts et la prime d'assurance décès invalidité sont payés chaque mois. En franchise totale, en revanche, la mensualité ne comporte que la prime d'assurance décès invalidité, les intérêts et le capital étant versés lors de la vente du bien. Certes, c'est une souplesse qui peut être utile si vos revenus ne vous permettent pas d'assumer ne serait-ce que la mensualité du prêt relais et celle du prêt complémentaire. Mais aussi séduisante soit-elle, cette facilité n'est pas gratuite car les intérêts non payés sont capitalisés et portent, eux-mêmes, intérêt. Quoi qu'il en soit, les formules sont de plus en plus souples et proposent dans la plupart des cas l'une et l'autre possibilité. C'est donc à vous de choisir celle qui vous convient le mieux. Quoi qu'il en soit, l'euphorie d'une nouvelle acquisition ne doit pas vous faire oublier que la démarche reste délicate, mais réalisable si vous prenez la peine de vous intéresser aux mécanismes du prêt relais. Celui-ci se décline en effet en plusieurs versions.

TROUVER LE BON EMPLACEMENT

TROUVER LE BON EMPLACEMENT

Tous les professionnels s'accordent à le dire, à l'instar de Marc Pigeon, président de la FPC "L'emplacement reste le premier critère que l'acquéreur doit retenir, qu'il s'agisse pour lui d'acheter sa résidence principale ou de réaliser un investissement locatif". Vous devez donc absolument vous renseigner sur l'environnement immédiat du bien que vous comptez acheter. Un quartier sans école, des transports à plus de vingt minutes de marche... : voilà autant d'éléments qui feront fuir les locataires et abaisseront en conséquence la valeur locative de votre bien et sa valeur patrimoniale.

Réglage d'antenne

Réglage d'antenne

Souhaitant avoir accès à la Télévision Numérique Terrestre (TNT), puis-je obtenir le réglage de l'antenne collective que nous n'utilisons plus depuis le câblage de l'immeuble ? (Joseph K., Paris 15e).

ASSURER LA GESTION LOCATIVE

ASSURER LA GESTION LOCATIVE

Investir pour louer entraîne un certain nombre de contraintes : régler les éventuelles charges de copropriété, et en suivre les décisions, chercher des locataires, indexer les loyers sur l'indice du coût de la construction, se prémunir d'éventuels impayés... Si vous n'avez pas le temps - ou l'envie ! - de vous occuper de la gestion locative de votre bien, vous pouvez vous tourner vers les offres "packagées" que de plus en plus de promoteurs proposent sur leurs nouvelles réalisations. Associant la vente du bien à un certain nombre de prestations qui vous déchargent des problèmes de gestion, ces formules ont leur coût, mais peuvent être intéressantes à condition de bien étudier l'étendue des garanties offertes. De la simple offre de gestion locative à la garantie d'un certain taux de rentabilité, en passant par une offre plus ou moins large d'assurances, contre les impayés par exemple, les "packages" peuvent représenter jusqu'à 11 % du montant annuel des loyers.

Saint-Denis et Saint-Ouen tournées vers l'avenir.

Saint-Denis et Saint-Ouen tournées vers l'avenir.

Aux portes de la capitale, la banlieue nord pratique des prix attractifs avec une qualité de services quasi-parisienne. Saint-Denis bat des records de construction en petite couronne, et Saint-Ouen tire bien son épingle du jeu. C'est le moment d'explorer leurs opportunités. #rSAINT DENIS, UN MARCHE PHARE DE L'ILE DE FRANCE

Gabriel Mingeon - Directeur commercial de MGM Immobilier

Gabriel Mingeon - Directeur commercial de MGM Immobilier

Indicateur Bertrand : MGM Immobilier s'est d'abord implantée en Haute-Savoie. Où en est cette activité montagne ?
Gabriel Mingeon : Sur le secteur montagne, notre croissance est constante. Au départ, Maurice Giraud, fondateur du groupe, construisait des maisons individuelles, avant de porter sa réflexion sur la résidence secondaire en montagne, à partir de 1985. Nous avons construit en Haute-Savoie, puis au début des années 90, nous nous sommes implantés en Savoie. Autre date clé de l'activité montagne, 1996, qui voit l'ouverture de notre première résidence de tourisme.
IB : Comment MGM en est-il venu à se spécialiser dans la résidence de tourisme ?
G.M. : Ce que nous voulions, c'était faire un immobilier de loisirs de qualité, en montagne. Or, les mairies nous demandaient de la résidence de tourisme car pour faire tourner les stations, elles ont besoin d'un turn-over important et d'un taux d'occupation élevé des résidences secondaires. De plus, le dispositif Périssol a dynamisé ce secteur. La résidence de tourisme s'est mieux vendue et elle est devenue notre spécialité, puisque nous sommes désormais connus et reconnus pour cela.
IB : Comment arrivez-vous à maintenir la rentabilité locative, avec des résidences haut de gamme et donc aux prix d'entrée élevés ?
G.M. : Nous ne vendons pas l'avantage fiscal ou la rentabilité locative avant tout. Nous construisons des résidences de qualité, mais notre clientèle dispose d'un pouvoir d'achat conséquent et n'a pas besoin des revenus de la location. Ce n'est pas ce qui la motive au départ.
La montagne est une sorte de grand parc d'attractions qui fonctionne à plein sur quatre mois. Pour notre type de résidences, il faut vendre quelque chose en plus du ski. Nous ne lésinons pas sur les prestations et nos résidences ne se conçoivent pas sans piscine, hammam, services hôteliers de qualité. Tout cela a un coût, mais permet à une clientèle aisée de profiter à la fois d'un appartement bien à elle, suffisamment grand pour y vivre à l'aise pendant les vacances, avec les mêmes services qu'un hôtel.
Nous avons d'ailleurs décidé d'ajouter un "plus" en animant nos espaces détentes et loisirs : désormais, il y aura des esthéticiennes dans nos espaces beauté, des cours d'aquagym, des animateurs pour les salles de fitness. C'est cette qualité qui nous a permis de nous faire connaître et qui est notre marque de fabrique. C'est cela que nous voulons donner à nos clients et la rentabilité passe après.
IB : Justement, quel est le profil "type" de votre clientèle ?
G.M. : Les gens qui viennent nous voir pour acheter un appartement ont la démarche contraire de celle d'un investisseur, qui veut défiscaliser, faire rentrer les loyers et ne se déplace même pas pour voir les appartements. Ceux qui achètent chez nous, même en ZRR, ont un lien sentimental avec leur appartement. C'est avant tout leur appartement à la montagne. Il faut même parfois les convaincre d'acheter en résidence de tourisme et de voir leur bien mis en location en dehors de leurs propres semaines d'occupation. Nous avons d'ailleurs très peu d'appartements vendus en bloc, à quelques rares exceptions près. De plus, il faut éduquer l'Europe à la résidence de tourisme, car ce concept ne lui est pas familier, même si on connaît le time-sharing chez les Anglo-Saxons. Les parts de marché en France ne sont pas extensibles à l'infini pour nos résidences de tourisme haut de gamme. Mais nous avons une clientèle qui vient de partout en Europe, notamment ces derniers temps des pays de l'Est, qui découvrent la montagne.
IB : Qu'en est-il de votre activité sur la Côte d'Azur ?
G.M. : Nous sommes arrivés en 1998, à Sainte- Maxime, avec une résidence de tourisme. Mais il y a sur la Côte d'Azur une concurrence incroyable sur cette activité.
Nous avons donc voulu rester dans le domaine de l'immobilier de loisirs, mais en résidence secondaire classique. L'expérience nous a montré que pour rester sur ce créneau, il valait mieux s'écarter des grandes villes, comme Cannes, Nice, Menton, Antibes, qui sont devenues des pôles urbains où on vient vivre. Notre programme en centre-ville de Saint-Raphaël a ainsi accueilli une grande majorité de clients en résidence principale, en particulier de retraités souhaitant se rapprocher du centre.
Comme nous voulons continuer à faire de la résidence de tourisme haut de gamme, en nous faisant plaisir sur les matériaux, la qualité, etc., nous privilégions les sites qui ont gardé l'aspect "destination loisirs", comme Pont-Royal, avec son golf.
IB : Quels sont vos projets actuels et à venir ?
G.M. : Au total, nous avons 30 à 34 projets. En montagne, nous avons six ouvertures pour la fin de l'année, et autant sont prévues pour 2006. Il y aura notamment un très beau projet au Grand Bornand-Chinaillon, où nous avons 20 000 m2 de droit à construire et aménageons complètement le site. La résidence de tourisme comptera une quinzaine de chalets avec 10 à 20 appartements par chalet et un hôtel.
Du côté de la mer, la commercialisation du domaine de Pont-Royal a débuté cette année. C'est un projet d'exception, construit autour du golf à la manière d'un vrai hameau, sur un site exceptionnel.

MEGÈVE : UN MARCHÉ ÉVOLUTIF

MEGÈVE : UN MARCHÉ ÉVOLUTIF

Située entre Chamonix et Albertville, Megève est l'une des stations des Alpes les plus réputées. "L'offre de logements est constituée pour moitié de neuf et pour moitié de revente, explique Frédéric Duc Dodon, gérant de l'agence immobilière Ici et Maintenant. Sur le neuf, 75 % des achats se porte sur des résidences secondaires traditionnelles et 25 % en investissement locatif LMP ou LMNP". La part de la clientèle étrangère a fortement progressé, avec des Anglais qui portent leur choix sur cette station au détriment de Val d'Isère ou de Chamonix. Le marché neuf suit la configuration de Megève en plusieurs quartiers : le Mont d'Arbois et le centre-ville constituent deux secteurs où les prix varient entre 6 000 et 12 000 t/m2. Rochebrune, situé au départ des remontées mécaniques vers le domaine skiable se situe entre 6 000 et 9 000 t/m2 tandis que le Demi-Quartier présente des prix compris entre 5 000 et 11 000 t/m2. Quant à Jaillet, coupé du centre-ville, les logements neufs varient entre 5 000 et 8 000 t/m2. "En l'espace de trois ans, les prix ont augmenté de 30 à 40 %, observe Frédéric Duc Dodon qui constate qu'avec un seul chalet, il est désormais possible d'accéder au statut LMP. Dans les environs de Megève, le marché est loin d'être atone : "Une fois que vous êtes au pays du Mont- Blanc, chaque village a son charme", estime Maria Guibert, gérante d'OACI Conseil qui réalise et commercialise plusieurs opérations comme cette première résidence de tourisme à Crest Voland Cohennoz où la saison estivale, son habitat montagnard, sa vie agricole et ses équipements touristiques n'ont rien à envier à la saison hivernale. La résidence est commercialisée à 3 000 t HT avec une rentabilité comprise entre 4 et 4,5 %. Des communes comme Combloux ou Pratz-sur-Arly attirent de plus en plus : "Pratz-sur-Arly se situe à 5/6 km de Megève et pourtant, les prix y sont plus accessibles, constate Frédéric Duc Dodon et la clientèle est en grande partie française". Quant à l'avenir de ce secteur, l'agent immobilier a une certitude : "Il n'y aura plus d'augmentation comparable des prix, mais certainement pas une baisse, et ce en raison de l'absence d'une offre suffisante".

Claude Arnaud, maire de Lunel.

Claude Arnaud, maire de Lunel.

"La croissance démographique est une chance pour Lunel ! " Après avoir pâti d'une image dégradée, Lunel, quatrième ville de l'Hérault, est à la mode. A michemin de Nîmes et Montpellier, la commune repense son urbanisation, ses équipements et ses infrastructures, comme l'explique son maire, Claude Arnaud.

DES SOLUTIONS POUR LES SENIORS

DES SOLUTIONS POUR LES SENIORS

Jean et Annick habitent depuis 20 ans dans le même appartement. Hors de question de le quitter à l'approche de la retraite. Or, le propriétaire a décidé de vendre. Que faire ? Partir ou acheter ? Avec le vieillissement de la population, les établissements bancaires ont peaufiné leurs offres commerciales aux seniors. Et le crédit immobilier n'a pas échappé à la règle. Dans les grandes lignes, il s'agit de concevoir des prêts qui puissent se rembourser avec une mensualité à deux paliers. Tant que vous travaillez, elle peut être importante. Mais, dès lors que vous prenez votre retraite et dans la perspective d'une baisse conséquente de vos revenus, les mensualités peuvent baisser de 30 à 90 % selon les banques et en accord avec vos souhaits. Le but est de vous permettre de conserver votre niveau de vie.

Assurance en cas de faillite du constructeur

Assurance en cas de faillite du constructeur

Nous nous sommes adressés à un constructeur pour la réalisation de notre maison. Les entreprises ont peu à peu déserté le chantier jusqu'à ce que nous apprenions la faillite du constructeur. Pouvons-nous nous retourner contre l'assureur dommageouvrage ? (Julie G., Rouen, 76).

HORS ZRR : ENCORE PLUS DE POSSIBILITÉS

HORS ZRR : ENCORE PLUS DE POSSIBILITÉS

Hors des secteurs où la défiscalisation dicte tout, même la taille des logements, les opérateurs spécialisés proposent des produits élaborés avec un raisonnement différent en terme d'investissement. "Tout l'intérêt de réaliser des résidences de tourisme hors ZRR est d'adapter les surfaces et les prestations, non pas en fonction d'un plafond fiscal, mais en fonction d'une politique haut de gamme, note Gabriel Mingeon, directeur commercial de MGM. Le plaisir est réellement présent dans l'investissement, surtout lorsqu'il s'agit de stations ayant atteint leur pleine maturité une qualité d'infrastructure et un beau domaine skiable. Cette philosophie allie la plus-value potentielle à la qualité de l'acquisition". Pourtant, la distinction entre les stations en ZRR estelle toujours valable ? "Je n'opère pas de distinction entre les stations en ZRR et hors ZRR assure Jérémy Achache. On peut réaliser des produits sans qu'ils soient rattachés à un avantage fiscal et cependant être très bien vendus. Par contre, se poser des questions sur certains secteurs peut être salvateur".

Un crédit immobilier à tout âge

Un crédit immobilier à tout âge

Quel que soit votre âge, il existe un crédit immobilier adapté à votre situation. Que vous soyez jeune et primo-accédant, quadra et à la recherche d'un nouvel appartement ou à l'approche de la retraite et désireux de devenir enfin propriétaire, vous pourrez trouver des prêts à la mesure de vos besoins. Petit tour d'horizon des solutions de financement possibles.

Hérault : logements neufs à moins de 3 000 € le m2 destination hôtelière des Alpes.

Hérault : logements neufs à moins de 3 000 € le m2 destination hôtelière des Alpes.

Si quelques programmes dépassent allègrement les 3 000 €/m2 dans l'Hérault, la plupart des opérations se situent plus près de 2 500 €/m2. Une bonne nouvelle pour de nombreux acquéreurs.

Accédants : Comment vous constituer un patrimoine ?

Accédants : Comment vous constituer un patrimoine ?

Valeur refuge traditionnelle, la pierre protège le capital investi à long terme. Le patrimoine immobilier se construit pas à pas et les possibilités d'investissement varient aussi en fonction de vos objectifs. Tour d'horizon...

MARCHÉ IMMOBILIER DOPÉ

MARCHÉ IMMOBILIER DOPÉ

"L'arrivée du TGV joue à plein, non seulement à Saint- Malo, mais sur tout le marché du pays malouin. A Pleurtuit, par exemple, nous avons connu une vitesse de commercialisation record pour notre dernière résidence, où les derniers 3-pièces disponibles démarrent à 123 300 r pour 61 m2, garage inclus", remarque Christiane Brender, chez Secib. En résidence principale ou secondaire, en investissement locatif : tous les types d'acquéreurs sont présents sur le marché du secteur. "La demande est forte, c'est une évidence. Et nous avons de plus en plus de gens pour lesquelles la résidence secondaire se transforme en résidence principale bis, grâce au développement du télétravail. Il s'agit notamment de Rennais qui y conservent un pied-à-terre mais s'établissent à Saint-Malo, pour sa qualité de vie" constate Marie-Christine Le Hérissé.

LES ATOUTS D'UNE GRANDE

LES ATOUTS D'UNE GRANDE

A quelque 30 kilomètres de la capitale, les communes de l'agglomération de Cergy-Pontoise ont vécu, comme toutes les villes-nouvelles, une croissance au rythme accéléré. Entre 1969 et 1999, le territoire est ainsi passé de 41 000 à plus de 178 000 habitants. Pour ne pas devenir une gigantesque ville-dortoir, il a fallu associer à la construction de dizaines de milliers de logements, l'implantation d'entreprises, de commerces, de services et d'équipements permettant de donner vie à l'agglomération. Pari tenu, malgré des conjonctures économiques parfois difficiles, puisque l'ensemble du territoire forme un véritable bassin d'emplois, avec près de 95 000 salariés du public et du privé. A elle seule, la ville de Cergy compte 90 hectares d'implantation industrielle et 972 000 m2 de bureaux. La présence de grandes entreprises privées, telles Spie, 3M France ou Peugeot à Cergy, Clarins, Saab ou BMW à Pontoise, constitue une base d'activité solide à laquelle s'ajoutent les emplois induits par le statut de préfecture du département de Cergy, le développement du pôle universitaire, sans oublier la présence des équipements commerciaux ou de loisirs.

Construire sans architecte

Construire sans architecte

Dois-je faire appel à un architecte pour faire construire un pavillon d'environ 100 m2 ? (François F., Quimper, 29).