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Tous les conseils en Immobilier

Lyon : les projets se concrétisent

Lyon : les projets se concrétisent

Depuis l'approbation du PLU en 2005, les projets immobiliers du Grand Lyon, dont deux emblématiques, vont enfin sortir de terre. Tour d'horizon...

Délai de rétractation

Délai de rétractation

J'ai signé un compromis de vente pour l'achat d'un terrain. Est-ce que je bénéficie du délai de rétractation de 7 jours ? (Danielle V., Saint-Malo, 35)

Des projets emblématiques

Des projets emblématiques

Deux grands projets éclipsent les nouvelles opérations de logements de l'agglomération lyonnaise. Lyon Confluence et La Duchère qui sont emblématiques. Le premier symbolise la volonté de mixité urbaine et de développement durable prônée par les collectivités locales du Grand Lyon. Le second a pour ambition de renouveler un quartier en difficulté et de l'ouvrir à de nouveaux habitants. La Duchère gomme ses barres au profit de nouveaux programmes de construction neuve de petite taille et de meilleure qualité. Dans une première phase, le nouveau quartier va ainsi proposer 600 logements neufs en accession développés en 8 îlots par des promoteurs privés. A terme, c'est-à-dire à l'horizon 2013, ce ne sont pas moins de 1 500 nouveaux logements qui viendront remplacer les 750 appartements détruits.

Sud-Ouest : le renouveau urbain

Sud-Ouest : le renouveau urbain

Tandis que Bordeaux poursuit l'aménagement de son territoire, Toulouse cherche des solutions pour accueillir ses 15 000 habitants supplémentaires chaque année.

3 QUESTIONS À FRANÇOIS ZIMERAY, Président de l'Agglomération de Rouen

3 QUESTIONS À FRANÇOIS ZIMERAY, Président de l'Agglomération de Rouen

Indicateur Bertrand : Où en sommes-nous du projet Seine Ouest ?

Toulouse : envol à l'Ouest

Toulouse : envol à l'Ouest

Grâce à une poussée, au 2e semestre 2005, des mises en vente sur le marché de l'aire urbaine toulousaine, les ventes, aux alentours de 2 800 €/m2 en moyenne, ont immédiatement enregistré une augmentation qui démontre que la ville rose conserve toujours une image dynamique. "C'est vrai que, notamment grâce à l'activité liée à l'aérospatiale, la ville a un vrai pouvoir d'attractivité auprès des investisseurs, souligne Xavier Longin, consultant de Stratis Conseil, société spécialisée dans l'étude des marchés immobiliers. Ce succès s'explique aussi par l'attractivité fiscale pour les investisseurs, très nombreux ici, en raison de la forte croissance démographique. Il n'en reste pas moins que ce constat n'est pas validé sur des communes éloignées comme Montauban où la vacance locative est devenue importante". Si les acheteurs s'éloignent, c'est aussi en raison d'une absence d'offre suffisante sur Toulouse et ses environs immédiats. De nombreuses communes saisissent l'opportunité de développer leur offre de logements neufs, à l'instar de Colomiers, Castelginet, Frouzins ou Leguevin.

Marseille et le département aérent l'offre

Marseille et le département aérent l'offre

Déjà lieu de nombreuses opérations, le nord de Marseille (du 13e au 15e) apporte une bonne nouvelle : la Zac Saint-Marthe, dans le 14e, va assurer la production de plusieurs milliers de logements sur des années, dont une partie destinée à une clientèle de primo-accédants. Dans le quartier sud, précisément dans le 9e, la Zac Carré Régny - un millier de logements au total - va aussi être lancée à partir de 2006. Cette production assurée va s'ajouter à la Zac du Rouet et de la Capelette. La conjoncture se prête donc à l'application de l'engagement de Jean-Claude Gaudin, Sénateur-Maire de Marseille, envers les jeunes actifs pour lesquels l'accession à prix maîtrisé - à moins de 2 400 €/m2 - va peu à peu se généraliser au cours des prochains mois.

Mandat de représentation

Mandat de représentation

Je ne pourrai pas être présente à la prochaine assemblée générale de copropriété. Est-il vrai que seul un copropriétaire est habilité à recevoir mandat de me représenter ? (Edith M., Besançon, 25)

Le "Borloo populaire" : le petit nouveau

Le "Borloo populaire" : le petit nouveau

Des mesures qui rendent d'autant plus séduisant le nouveau dispositif proposé par Jean-Louis Borloo en marge de son "Engagement national pour le logement". Destiné à soutenir l'investissement locatif tourné vers les ménages à faibles revenus, celui-ci comporte un volet social qui le distingue du Robien actuel, et qui prévoit le plafonnement des loyers exigés à 70 % des prix du marché locatif ainsi que le plafonnement des ressources du locataire, qui ne devront pas dépasser les plafonds des PLI (Prêt Locatif Intermédiaire). Des contraintes réelles, certes, mais très bien compensées par des avantages fiscaux plus musclés. Sur 15 ans, la déduction du Borloo se décompose en 7 ans à 6 %, 2 ans à 4 % et 6 ans à 2,5 %, contre 5 ans à 8 % en Robien, mais qui tombent ensuite à 2,5 % pour les 4 ou 10 années suivantes, selon que l'investisseur choisi d'amortir son bien sur 9 ou 15 ans (NDLR : L'amortissement sur 15 ans a été remis en question par le Sénat en novembre dernier).

Requalifier les friches

Requalifier les friches

L'augmentation des prix a poussé de facto les ménages vers la périphérie. Mais l'année 2006 pourrait voir le retour des accédants vers la ville. Les grands projets initiés par les élus du Grand Lyon arrivent à maturité et les premiers immeubles commencent à sortir de terre. De plus, à la faveur de l'adoption du PLU (Plan local d'urbanisme), de nombreux terrains sont enfin rendus constructibles. Ainsi, quelque 100 ha de friches industrielles vont être réhabilités pour développer des opérations mixtes mêlant logements, bureaux et activités. Les mutations urbaines concernent pratiquement tous les secteurs de l'agglomération lyonnaise.

Reconquête du centre-ville

Reconquête du centre-ville

En plein centre-ville, dans le quartier de La Part-Dieu, quelque 750 logements neufs sont programmés dans une opération menée par la foncière Gecina et la Lyonnaise de Banque. Le projet urbain vise à conforter l'axe tertiaire le long du boulevard Vivier- Merle à l'entrée Sud de La Part-Dieu avec le développement de 68 000 m2 de bureaux, mais également de faire naître un quartier résidentiel et paysager entre la rue de l'abbé Boisard et l'avenue Félix-Faure autour d'un parc public de 5 000 m2. Le futur quartier va s'enrichir d'une crèche, d'un groupe scolaire, d'un gymnase et d'une salle associative, sans oublier les traditionnels services de proximité (restauration, commerces...). Les premiers coups de pioches ont été donnés et l'ensemble du programme sera achevé entre 2008 et 2012.

Un prêt à l'accession sociale pour financer quoi ?

Un prêt à l'accession sociale pour financer quoi ?

Avec un prêt à l'accession sociale, vous ne pouvez pas financer n'importe quel logement. Il doit, en effet, s'agir de votre résidence principale, ou de celle de vos ascendants, descendants, ou de ceux de votre conjoint. Autrement dit, le bien financé doit être occupé au moins huit mois par an. Ce logement peut prendre les traits d'un logement neuf, d'un projet de construction d'une maison, d'un logement ancien avec ou sans travaux.

A QUEL TAUX ?

A QUEL TAUX ?

Le taux est fonction de l'apport personnel et de la durée de remboursement du prêt. Il ne peut toutefois jamais dépasser des taux plafonds publiés chaque trimestre par la SGFGAS (société de gestion du fonds de garantie de l'accession sociale à la propriété). Depuis le 1er septembre 2005, les taux fixes ne peuvent excéder 5,05 % pour une durée inférieure ou égale à 12 ans ; 5,25 % pour une durée allant de 12 à 15 ans ; 5,40 % pour une durée comprise entre 15 et 20 ans et enfin, 5,50 % pour une durée supérieure à 20 ans. Le taux du Pas peut également être révisable. Dans ce cas, le barème ne peut aller au-delà de 5,05 % toutes durées confondues. Indéniablement, ces taux paraissent élevés au regard de ceux pratiqués pour les prêts classiques. Mais rassurez-vous, s'agissant de taux plafonds, les conditions proposées sur le terrain sont généralement plus favorables, proches des conditions des autres prêts du secteur libre. A titre d'exemple, la Caisse d'Epargne Ile-de-France affichait récemment ses taux fixes à 3,85 % sur 20 ans avec 30 % d'apport personnel. De son côté, le Crédit Foncier annonçait une fourchette de 3,50 à 4,65 % selon la durée. LCL (Le Crédit Lyonnais) proposait 3,45 à 4,30 % tandis que l'UCB oscillait entre 3,40 et 4,55 %.

RÉINVENTER LA VILLE

RÉINVENTER LA VILLE

"La terre, on ne l'hérite pas de nos parents mais on l'emprunte à nos enfants. Nous sommes donc résolument favorables à la mise en oeuvre d'une démarche environnementale qui s'appuie sur une politique d'économies d'énergies, de développement des énergies renouvelables et de financements à la hauteur des enjeux. Mais quels sens donner à cette orientation quand elle est à ce point contredite par certaines politiques urbaines ?" interrogeait Marc Pigeon, le président de la FPC, dans son discours au 35e congrès des promoteurs. Le problème du développement durable dépasse en effet largement la bonne volonté que peuvent y mettre les promoteurs. Sans formes urbaines adaptées, le plus écologique des programmes perd tout son sens, car s'il faut une heure de voiture pour aller travailler et presque autant pour faire ses courses, l'économie d'émissions de gaz à effets de serre réalisée en utilisant des énergies renouvelables pour se chauffer sera littéralement ruinée par les effets dévastateurs du trafic routier. "L'étalement urbain sans cohérence est mauvais et la seule démarche intelligente est de développer de nouveaux pôles périphériques dans les grandes agglomérations, à condition bien sûr de développer les transports en commun" estime Jacques Pelissard, président de l'association des Maires de France, qui qualifie volontiers les maires de "fantassins du développement durable".