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Tous les conseils en Immobilier

La Méditerranée à moins de 300 000 e

La Méditerranée à moins de 300 000 e

Du Languedoc à la Côte d’Azur, le marché de l’immobilier neuf dispose d’une partie non négligeable de son offre accessible aux budgets inférieurs à 300 000 ..

Tours et Orléans, le coeur du Centre

Tours et Orléans, le coeur du Centre

Les deux villes ont bénéficié de la hausse des prix de l’Ile-de-France, dont elles compensent la distance par une qualité de vie agréable, des transports fiables et une offre soutenue.

Christian Rolloy - Président-directeur général de Promogim

Christian Rolloy - Président-directeur général de Promogim

Indicateur Bertrand : Voudriez- vous nous rappeler le positionnement du groupe Promogim et ses enjeux en 2008 ?
Christian Rolloy : Avant toutes choses, je signale que Promogim est le premier groupe national indépendant de promotion-construction. C’est une structure familiale que j’ai fondée et dont j’ai été le seul actionnaire à une époque. Maintenant, mes enfants sont entrés dans le capital et ils occupent des postes importants dans l’entreprise. Notre groupe a successivement acquis deux filiales, Franco Suisse d’abord et ensuite Immopierre l’an dernier. Désormais notre objectif est de poursuivre le développement de nos trois marques en les spécialisant chacune sur les divers marchés régionaux. Ainsi la marque Promogim est présente de l’entrée au haut de gamme pratiquement partout en France sauf dans le Sud-Ouest. Les deux autres marques, Franco Suisse et Immopierre, sont spécialisées dans le haut de gamme mais sur des marchés régionaux différents : la première en périphérie sud et ouest de Paris et la seconde dans la résidence côtière en Bretagne sud. Bien que notre activité se concentre dans le logement résidentiel, nous sortirons l’an prochain un important projet de bureaux sur Euralille.
I.B. : Quels sont vos programmes résidentiels phares ?
C. R. : Nous avons 103 opérations en cours de commercialisation représentant une offre disponible de 2 450 logements. Ce sont des programmes de taille moyenne et d’une certaine patte qualitative, comme le prouvent les Pyramides d’Argent 2007 qui ont couronné l’esthétique et le caractère durable de trois de nos projets. Les deux-tiers de nos clients sont des résidents et les investisseurs acquièrent un bien chez nous souvent dans la perspective de l’habiter plus tard ou de le céder à un enfant. Parmi nos programmes du moment, je citerai de très beaux produits de centreville à Antibes, Juan-les-Pins, Cagnes-sur-Mer et à 100 m de la mer à Cavalaire. Nous commercialiserons deux projets haut de gamme à La Trinité-sur-Mer, une exception dans cette ville qui construit peu. J’ajouterai un programme mixte niçois dont une moitié est rétrocédée à un opérateur social et l’autre commercialisée à un prix maîtrisé de 3 800 e/m2. Un tarif d’autant plus compétitif que le marché local tourne autour de 4 500 à 4 800 e/m2. Ce type d’opération se révèle exemplaire parce qu’il permet de construire pour les actifs locaux tout en produisant des logements sociaux.
I.B. : À ce propos, quelle est votre perception des prix maîtrisés ? Et plus largement du marché immobilier neuf ?
C. R. : La vente à prix maîtrisés n’est envisageable par les promoteurs que si la Ville, en contrepartie, abaisse le prix du foncier. Dans ce cas, le mécanisme est positif. Mais ces opérations ne sont que ponctuelles et l’hétérogénéité qu’elles provoquent sur le marché pose des problèmes. En fait, les clients s’interrogent sur les différences de prix et peuvent différer leurs acquisitions dans l’attente d’une opération à prix maîtrisés. Pour ce qui est du marché immobilier, il s’essouffle parce que les prix augmentent et que les banques se montrent plus sélectives. La conjugaison de ces deux facteurs diminue sensiblement le nombre d’acquéreurs potentiels malgré une demande forte. Les banques reviendront peut-être à une politique plus souple, mais la hausse des prix se prolongera étant données les contraintes qui s’accumulent sur la construction (nouvelles normes, réglementation handicapés…). Nous pourrions vivre une "stagflation", disons plutôt une "baisseflation" sous forme de baisse de la production et de hausse des prix du logement.

L’Essonne soutient la comparaison

L’Essonne soutient la comparaison

L'Adil (Association départementale pour l'information sur le logement) dresse un bilan satisfaisant du département : "La vitalité de l'Essonne s'apparente à celle de la Seine-et-Marne même si l'ampleur des deux marchés immobiliers n'est pas comparable", note-t-elle. L'an dernier, les ventes de biens neufs ont avoisiné 2 000 unités et les mises en vente 2 900, en croissance respective de 15 et 10 %. Fin décembre, l'offre disponible s'élevait jusqu'à 2 000 logements alors qu'elle n'avait guère dépassé 1 600 lots depuis 1992. Même tonus de l'ancien : + 16 % de volumes dans le secteur collectif alors que la grande couronne affichait une croissance pâlichonne de 3,5 % ; + 5,6 % dans la maison individuelle dans un contexte général de repli. La hausse des tarifs a amorcé sa descente après une montée vertigineuse au cours des sept dernières années. Durant cette période, le prix moyen de la maison ancienne a augmenté de 90 % et celui de l'appartement de 127 %. L'an dernier, la hausse s'est stabilisée à 4 %, un niveau normal, dirons-nous. Laissons les chiffres pour les mots : que disent les professionnels sur le terrain ? Mireille Augé, la directrice de l'agence Ilede- France sud de France Terre, compare l'Essonne au Val d'Oise. "Les prix sont plus élevés, mais le bassin d'emplois est bien plus étendu et en plein développement", remarque-t-elle.

Qui achète à Massy et à Évry ?

Qui achète à Massy et à Évry ?

Quelle est la capitale de l'Essonne ? Les géographes répondent Evry, la préfecture fondée sous forme de "ville nouvelle". Les économistes citent Massy, où siègent de grandes sociétés. Pour Régis Hérouard, le directeur général adjoint d'Ogic qui lance en parallèle un programme dans chacune de ces villes : "Massy est vécue davantage comme une commune de première couronne, à proximité d'Antony et elle séduit une clientèle au pouvoir d'achat plus élevé qu'Évry". Mais la ville préfecture n'est pas en reste : "Le maire nous demandant de concevoir sur la ville des programmes de très bon niveau, nous avons monté un projet atypique doté de luxueuses surfaces et situé dans une ancienne propriété", argumente le promoteur. Jusqu'à présent, les deux produits d'Ogic ont retenu l'attention d'une clientèle composée à 30 % d'investisseurs. La demande majeure porte sur les petites surfaces qui enregistrent un rythme d'écoulement très rapide. Les primo-accédants se lancent aussi sur les 3-pièces plutôt compacts à cause des prix plus serrés. Quant aux grands appartements des étages élevés, ils reviennent à des "pionniers" qui anticipent l'essor de quartiers comme Atlantis à Massy. "Les grands logements plus conventionnels tels que les 4-pièces se vendent plus difficilement en raison de la concurrence de la maison, très prisée en Essonne", poursuit le promoteur. À Massy, les acquéreurs viennent souvent de première couronne. À Évry, ce sont essentiellement des actifs locaux. Rappelons que 65 % des Essonniens occupent un poste d'employé ; les cadres sont 12 %, comme les ouvriers, et les techniciens et agents de maîtrise 8,6 %. Les services procurent un emploi à 65 % d'entre eux et le commerce à 16 %. En régression continuelle, l'industrie n'offre que 12 % des postes.

Dans le Pays d’Auge, appartement neuf avec vue sur Deauville

Dans le Pays d’Auge, appartement neuf avec vue sur Deauville

La Touques traverse Deauville. Mais savezvous que c'est aussi une petite ville du Pays d'Auge ? Elle mérite le détour, avec ses jolies maisons à pans de bois, ses bâtiments classés… et quelques opportunités qui sortiront prochainement de terre. Les appartements du Parc Bel Horizon (Bouygues Immobilier), à 3 545 e/m2 en moyenne, surplomberont la vallée et les haras, d'un côté, et Deauville de l'autre. Les Manoirs du Haut- Bois (Nexity George V), quant à eux, comprennent 34 maisons avec jardin. Une vingtaine restent à vendre, de 2 à 4 chambres. En 4-pièces, on trouve un 77,21m2 à 265 000 e et un 80,53 m2 à 295 000 e.

L’AVIS DE MICHEL SAMALIN, Directeur du centre d’affaires immobilier à la banque Courtois, groupe Crédit du Nord

L’AVIS DE MICHEL SAMALIN, Directeur du centre d’affaires immobilier à la banque Courtois, groupe Crédit du Nord

Indicateur Bertrand : Quelles sont les clientèles concernées par un budget inférieur à 300 000 euros ?

Chantiers : le deuxième souffle d’Évry

Chantiers : le deuxième souffle d’Évry

Ville nouvelle des années 70, Évry est née du rêve de mixité sociale. Pour des raisons financières et surtout de gestion, elle a subi une crise majeure dans les années 90 entraînant la fuite des classes moyennes, la concentration sociale et des problèmes d'image et de sécurité. L'objectif est de mettre en oeuvre désormais une gestion de proximité, de développer la sécurité et d'asseoir la place d'Évry dans le département au travers d'un projet de ville défini en 2004/2005. En complément, le PLU prendrait fin en 2008. Au-delà de 43 % de logements sociaux, des copropriétés dégradées jouent de facto le rôle d'habitat social et doivent faire l'objet d'un plan de sauvegarde ou d'OPAH (Opération programmée d'amélioration de l'habitat).

Marché immobilier “sain”

Marché immobilier “sain”

Depuis quelques années, Lyon aménage, Lyon construit, Lyon s'internationalise. L'an dernier, l'aéroport Lyon-Saint-Exupéry a passé le cap des sept millions de passagers, en croissance de 8,4 % alors que le niveau moyen en Europe augmentait de 6 %. De la même façon, un vent de croissance souffle sur l'immobilier, qui a gagné six points de volumes. Dans sa dernière communication à la presse, le Cecim (Centre d'études de la conjoncture im- confonmobilière) constatait que "pour la première fois, en 2007, Lyon avait passé la barre très symbolique des 5 000 ventes" en devenant le premier marché du neuf après l'Ile-de- France. La configuration des ventes s'est révélée "saine", répartie grosso modo entre les investisseurs et les résidents, mais ces derniers se sont montrés les plus actifs (2 336 achats contre 2 165). Une première également : les prix, à 3 480 e/m2 de moyenne, n'ont connu qu'une progression à un chiffre de 6 %. Lyon intra-muros se révèle moins cher que l'Ile-de-France, Aixen- Provence et Marseille, mais dépasse Toulouse, Montpellier et Rennes. À la fin de l'année, 1% des logements avaient été achevés, 40 % étaient en construction et 60 % en commercialisation. Représentant 14 mois de vente en perspective, l'importance de l'offre pourrait amener les opérateurs à différer leurs lancements et mises en chantier. Le 3e arrondissement, où se trouvent La Part-Dieu et le quartier de Labuire, a été l'un des plus demandés avec les 7e, 8e et 9e.

Possibilités d'investissement à Lyon et sa région

Possibilités d'investissement à Lyon et sa région

Même s’il y a encore de bons placements à réaliser dans le centre de la capitale des Gaules (Lyon Confluence, aménagement des friches industrielles sur la presqu’île), l’essentiel se passe dans les quartiers périphériques. Au premier rang desquels, Gerland. “Gerland est un peu à Lyon ce qu’Asnières est à Paris. À savoir, un prolongement de la capitale en pleine mutation notamment dans la Zac du Bon Lait qui offre des programmes attractifs en terme de prix. Autour de 3 000 e/m2”, observe Christophe Volle, en zone ANRU,Vaux-en-Velin affiche aujourd’hui des prix inférieurs à 2 500 e/m2 et inévitablement, il s’agira dans quelques années d’un secteur porteur. Autre valeur, cette fois plus sûre dans l’immédiat, Tassin. C’est un peu le Boulogne- Billancourt de Lyon. La clientèle familiale y est aisée et stable ce qui signifie moins de vacance locative et moins de frais de remise en état. Un investisseur qui en a les moyens à tout intérêt à investir sur place dans un 3-pièces minimum”. Enfin, malgré une augmentation des prix de 9 % en 2007, Saint-Etienne reste la ville de province de plus de 150 000 habitants, la moins chère de France dans le neuf (2 400 e/m2). Il y a peu d’offre, la demande est donc soutenue, conséquence, il ne faut pas hésiter à y investir” conclut Christophe Volle.

Côte d’Azur : un étonnant constat

Côte d’Azur : un étonnant constat

Avec un prix moyen des logements neufs mis à la vente de 5 970 e/m2 au 3e trimestre 2007, il semblerait d'emblée que les Alpes- Maritimes, pas plus que la partie du Var voisine dans sa structure de marché, ne puissent trouver une adéquation entre l'offre et ce budget. Or, il n'en est rien ! "Comme dans l'ensemble des secteurs de la Méditerranée, tout dépend de la clientèle visée, rappelle Sarah Marie, directrice commerciale de Kaufman & Broad. Pour des étrangers, il s'agira d'un montant franchissable tandis que ce seuil de 300 000 r deviendra plus difficile pour les actifs locaux". Le promoteur dispose ainsi de plusieurs opérations sur le département des Alpes-Maritimes où, en deçà de 300 000 e, l'offre reste ouverte : ainsi, éloignée du bord de mer, Liliade des Homeriales, sise à Vallauris, à proximité du centre de Sophia Antipolis, propose des 3-pièces de 65 m2 et même deux 4-pièces de 74 m2, pour un budget de 280 000 e, auxquels il faut ajouter 15 000 ede parking. L'opération dispose même de surfaces plus réduites avec un 3-pièces de 59 m2 à 210 000 e. "Ceci n'empêche pas de proposer de belles prestations", prévient Sarah Marie, qui, pour entrer sous le seuil des 300 000 e, annonce un studio de 220 000 e sur le programme "exceptionnel" d'Hambury Palace à Menton. Ce dernier affiche des prestations telles que parquet en chêne, pierre marbrière et porcelaine dans les salles de bains ainsi qu'un semi-salon fitness ou un jacuzzi : "Ce type de logement s'adresse à une clientèle italienne ou anglo-saxonne pour un pied-à-terre à moins que ce ne fut pour un investissement de la part d'un Francilien", ajoute la responsable commerciale de Kaufman & Broad.

Plus-values immobilières

Plus-values immobilières

Peu connue mais pouvant présenter un réel avantage, l’exonération de plus-values en cas de cession à un bailleur social est prorogée jusqu’au 31 décembre 2009. Il était prévu que cette faveur prenne fin au 31 décembre 2007. La mesure fait également l’objet d’une extension des catégories de bailleurs sociaux autorisant l’exonération.

Investir à l’Ouest

Investir à l’Ouest

La population de Rennes et de son agglomération devrait croître de 10 % d’ici à 2020. De plus, le plan local de l’habitat a fixé l’objectif de 4 500 nouvelles unités par an. Le tout assorti d’une politique de maîtrise du foncier intelligente. “En effet, pour éviter une escalade des prix du foncier, les pouvoirs publics locaux n’ont pas hésité à libérer le foncier au moment opportun.Evitant ainsi une envolée des prix.En 2007,les prix n’ont progressé que de 1 % dans l’ancien.Les prix du neuf flirtent avec les 3 000 e/m2 soit très en dessous des prix du Havre par exemple”, constate Christophe Volle, d’Ad Valorem. D’ici à 2020, 4 700 logements devraient par exemple sortir de terre sur l’ancienne friche militaire de La Courrouze. Une seconde ligne de métro est également à l’étude pour desservir entre autres ce nouveau quartier. Malgré des prix de vente élevés, La Rochelle reste tout de même un bon placement. “Compte tenu de la forte demande estivale, l’investisseur peut très bien passer loueur en meublé non professionnel est ainsi bénéficier de tous les avantages fiscaux inhérents à ce statut”, conseille Christophe Volle. Plus au sud, Bordeaux fait partie des villes où les prix ont peu progressé ces dernières années (2 400 e/m2 dans l’ancien). Pourtant, il reste très difficile de se loger dans de petites surfaces à Bordeaux, plutôt adepte des grands appartements dans de belles bâtisses anciennes. Investir dans un studio ou un 2-pièces en centre-ville ou dans le quartier universitaire de Talence (désormais desservi par le tramway) peut s’avérer sur le long terme un investissement opportun.

Zoom sur Promogim

Zoom sur Promogim

Depuis sa fondation, le groupe Promogim a réalisé 56 000 logements. L’an dernier, il a conclu 2 750 ventes chez les notaires. En 2008, 5 700 logements seront en cours de construction, dont 3 000 à livrer avant la fin de l’année. Avec ses neuf directions régionales et ses filiales, le groupe affiche l’ambition de réaliser 3 000 ventes au cours de 2008, dont le tiers en Ile-de-France. www.promogim.fr

L’AVIS DE DELPHINE GUISARD, Ingénieur urbaniste à l’Agence d’urbanisme de l’agglomération de Tours

L’AVIS DE DELPHINE GUISARD, Ingénieur urbaniste à l’Agence d’urbanisme de l’agglomération de Tours

Dans la région, certaines réalisations ont été menées en zone urbaine, dans la Zac des Deux-Lions à Tours et à Saint-Pierre-des-Corps par exemple ou en zone périurbaine, à Mettray ou Véretz. Dans cette commune située à moins de 10 km au sud-est de Tours, il s'agissait de réaliser un nouveau pôle de centralité des quartiers nord, avec des logements collectifs sociaux et des locaux commerciaux dans un environnement résidentiel pavillonnaire. Les logements ont été situés au premier niveau, desservis par des escaliers extérieurs et des passerelles. L'avant est côté place. À l'arrière, des petits jardins collectifs ont été aménagés. Au rez-dechaussée, on trouve les magasins et les garages individuels des appartements. Les logements de ce type ont des retours plutôt positifs, mais on les voit pour l'instant davantage dans des opérations de logement social. C'est en général dans ce secteur de l'habitat que l'on trouve les innovations.