La répartition des ventes reflète un rééquilibrage en faveur de Toulouse, qui affiche 537 logements (+ 40) contre 831 pour le reste de l'unité urbaine (- 70). Quant aux investisseurs, ils continuent d'être majoritaires entre ceux présents en "vente debout" et ceux, d'origine locale, enregistrés dans les "ventes assises". Ainsi, le marché toulousain traverse, trimestre après trimestre, la conjoncture de manière sereine : "Au regard de mon activité, je n'ai aucune difficulté à commercialiser mes logements, lance Jean-Christophe Etienne, rien qu'au mois de novembre, j'en ai vendu 17 ! Ce qui importe désormais, c'est d'être attentifs à l'implantation des programmes et de bien définir les besoins des acquéreurs."
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