Le point de vue de Daniel Crucq

« Le Roussillon attire beaucoup d’acquéreurs qui viennent d’ailleurs et qui s’installent durablement, soit parce qu’ils sont originaires de la région, soit parce qu’ils recherchent la qualité de vie du Sud. Le plus souvent, ils achètent en semi-principal, conservant un pied-à-terre ailleurs. Le plus souvent, ils vivent six mois ici. On a aussi des investisseurs qui trouvent de l’attrait à la région. Perpignan est en zone B2 et a obtenu son agrément pour le dispositif Duflot. Les stations du bord de mer profitent aussi du dispositif fiscal. De fait, comme les prix sont très attractifs, la rentabilité atteint 4 % minimum, hors fiscalité. Et ce type de placement est très judicieux car, ici, il y a une demande locative forte, surtout dans le neuf, celui-ci assurant de belles surfaces et des résidences qui sont au minimum BBC (Bâtiment basse consommation) ou RT 2012 (réglementation thermique). Un avantage certain puisque cette réglementation assure aux occupants une maîtrise de leurs charges. En outre, dans le neuf, il y a généralement un ascenseur et des parkings, des atouts que l’on ne trouve pas dans facilement dans le bâti ancien à Perpignan. Au Patio de Nysa, on a même proposé des duplex en rez-de-chaussée, des hauteurs sous plafond jusqu’à 3 mètres. Difficile de trouver cela dans l’ancien. »