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L’Essonne soutient la comparaison

L'Adil (Association départementale pour l'information sur le logement) dresse un bilan satisfaisant du département : "La vitalité de l'Essonne s'apparente à celle de la Seine-et-Marne même si l'ampleur des deux marchés immobiliers n'est pas comparable", note-t-elle. L'an dernier, les ventes de biens neufs ont avoisiné 2 000 unités et les mises en vente 2 900, en croissance respective de 15 et 10 %. Fin décembre, l'offre disponible s'élevait jusqu'à 2 000 logements alors qu'elle n'avait guère dépassé 1 600 lots depuis 1992. Même tonus de l'ancien : + 16 % de volumes dans le secteur collectif alors que la grande couronne affichait une croissance pâlichonne de 3,5 % ; + 5,6 % dans la maison individuelle dans un contexte général de repli. La hausse des tarifs a amorcé sa descente après une montée vertigineuse au cours des sept dernières années. Durant cette période, le prix moyen de la maison ancienne a augmenté de 90 % et celui de l'appartement de 127 %. L'an dernier, la hausse s'est stabilisée à 4 %, un niveau normal, dirons-nous. Laissons les chiffres pour les mots : que disent les professionnels sur le terrain ? Mireille Augé, la directrice de l'agence Ilede- France sud de France Terre, compare l'Essonne au Val d'Oise. "Les prix sont plus élevés, mais le bassin d'emplois est bien plus étendu et en plein développement", remarque-t-elle.

L’Essonne soutient la comparaison
L’Essonne soutient la comparaison

Des villes à l'image peu dynamique "pratiquent maintenant une véritable politique d'urbanisation qui permet de mettre sur le marché de belles opérations. C'est le cas de Corbeil et d'Évry." Le promoteur a bouclé en 13 mois son programme de 39 logements d'Evry à 2 800/2 900 e/m2 parking compris. Deux autres de ses projets sont dans les bureaux de vente, dont l'un, à Arpajon, qui mêle appartements classiques, ateliers d'artiste et maisons. Lancé en janvier, il a suscité 110 contacts durant les deux premières semaines alors que le prix d'un "espace à vivre" en rez-de-chaussée avec petit jardin va de 289 000 à 372 000 e. Le projet de Montlhéry, lui, est cédé à 3 800/4 000 e/m2 et comprend 90 lots sur trois bâtiments. Dans les deux cas, l'Architecte des bâtiments de France a supervisé les projets qui se situent juste à côté de la halle du marché d'Arpajon et de la tour de Montlhéry. Dans la foulée, France Terre lancera un projet à Linas en septembre et s'intéresse à Corbeil ainsi qu'à Massy, "une ville où toutefois existe déjà une offre importante sur le marché".


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