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Dijon, un potentiel à explorer pour acheter un bien immobilier

Le principal attrait de la capitale du duché de Bourgogne ? Sa situation géographique. Et pour cause. À moins d’1h40 de Paris par TGV, la métropole régionale bénéficie en plus d’équipements modernes en matière de santé, de sports, de culture et bien sûr d’enseignement et de mobilité.

Dijon, un potentiel à explorer pour acheter un bien immobilier
Dijon, un potentiel à explorer pour acheter un bien immobilier

Grâce à sa gare, véritable pôle d’échanges multimodal, Dijon rayonne ainsi sur trois grandes régions françaises : le bassin parisien, la région Rhône-Alpes et l’Alsace-Lorraine.

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Elle regroupe aussi un large panel de moyen de transports, à la fois urbains et nationaux. C’est d’ailleurs l’autre atout de Dijon: son maillage de solutions de mobilité urbaines avec ses deux lignes de tramway et un réseau de bus étendu et performant.

Une ville étudiante

Du coup, tous ces atouts attirent inévitablement les étudiants, en lien avec « les grandes écoles comme Science Po, ou les universités », précise Françoise Béatisse, négociatrice en immobilier chez Eraze Immo. Résultat : la population a augmenté de 2,3 % sur les cinq dernières années, et surtout près de 4 800 nouveaux étudiants ont investi la ville, soit une progression de 7,4 %.

Une véritable qualité de vie

Combiné à une belle qualité de vie, tournée autour de la gastronomie, et d’une architecture préservée et entretenue, « Dijon attire des Parisiens qui investissent ici car la ville est proche en TGV et les prix sont nettement moins chers que dans la capitale », indique Pascale Piat, gérante d’Immo Passion. Les appartements se louent facilement et la rentabilité peut atteindre 7 à 8 %. ».

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Investir dans le centre-ville

Et, tous souhaitent investir…. en plein cœur de ville. « Ici, un studio de 21 m2, boulevard Carnot s’est vendu récemment 63 000 € ; un autre de 47 m2 dans le quartier ancien, à proximité de l’École de Commerce, est parti à 90 000 € », reprend la gérante.

« Les T1 et T2 sont très recherchés car ils offrent une rentabilité de 6,5 %. De plus, avec les taux d’intérêt bas, il est possible d’acheter avec un montant de crédit équivalent à celui du loyer ». En effet, tout l’hyper centre est coté « pour ses grandes parties piétonnes. Du côté des places Darcy ou Cordelier, les prix varient de 3 000 à 4 000 €/m2. De plus, il y a de beaux biens. Par exemple, un grand T2 s’est vendu 128 000 € avec un loyer 600 € hors charges, ce qui promet un rendement proche de 6 % », explique Françoise Béatisse.

Des petites surfaces prisées

D’ailleurs, à Dijon, les prix à la location des petites surfaces prisées par les étudiants sont en hausse sur un an : + 7,3 % pour les studios, à 15,2 €/m2 et +1,4 % pour les T2, à 11 €/m2. Au Nord-ouest, « il y a de nombreuses maisons, notamment du côté de Montchapet où la demande forte pousse un peu les prix. Du côté du boulevard Victor Hugo, un bien avec quatre chambres et un terrain de 500 m2 se négocie autour de 600 00 à 700 000 € ».

Et dans le neuf ?

Côté neuf, avec un prix moyen au mètre carré en baisse de -1,7 % sur un an, à 3 450 €, contre 1 960 /m2 en moyenne dans l’ancien (+2,55 %), les opérations sont plébiscitées « notamment du côté de Jouvence, de la Toison d’or ou de l’hyper centre », reprend la négociatrice.

Dans ce dernier secteur, Via Julia d’Icade Promotion propose des 2 et 3 pièces de 40 et 58 m2 commercialisés à 131 000 € et 170 500 €, ou encore l’opération Canal & Sens de Kaufman & Broad se compose de T1 à T4, de 25 m2 à 75 m2, au prix de 104 000 à 266 000 €.

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« Nous sommes aussi en attente d’un quartier en devenir, celui de la future cité de la gastronomie », signale Françoise Béatisse. Si le projet prévu pour 2021 est avant tout culturel, il vise le développement économique, commercial et touristique autour de la gastronomie et du vin, sur un espace de 6,5 hectares sur le site de l’ancien Hôpital général. Au programme : commerces, hôtels, restaurants mais aussi un éco-quartier avec 90 logements du studio au T3, et tout cela… en plein centre.

Bref, la capitale de la Bourgogne fait partie de ces villes «bon marché» (à moins de 2 000 €/m² en moyenne dans l'ancien et 3450 €/m2 dans le neuf) qui se lancent dans d’importants aménagements urbains (15 000 nouveaux logements à l’horizon 2030, future cité de la gastronomie et du vin en 2021, projet OnDijon de métropole intelligente et connectée…), et qu’il faut suivre pour investir.

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